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Fujiwara Aria
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Fujiwara Aria
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❛ ❜ 24 yo ❛ ❜ 164cm ❛ ❜ 47kg ❛ ❜


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Le message envoyé depuis plusieurs heures, Aria souriait en se regardant dans le miroir. Ce soir serait une soirée d'anthologie, elle ne savait pas réellement pourquoi, mais elle le savait. De toute façon, c’était presque toujours le cas quand elle se retrouvait avec Rika. Les deux étaient comme chiens et chats et pourtant, elles ne pouvaient pas vraiment se passer l’une de l’autre. Il n’y avait pas une seule semaine sans qu’elles ne s’engueulent et ne se parlent plus pendant des jours, pour des conneries la plupart du temps, mais elles finissaient toujours, d’une façon ou d’une autre, par se rabibocher. Souvent, c’était même autour d’un verre qu’elles le faisaient. C’était d’ailleurs comme ça qu’elles s’étaient rencontrées, deux ans plus tôt, autour d’un verre. Puis leur amitié avait évolué au fil du temps et même si maintenant Rika était une personne très importante aux yeux de Aria, il y avait des choses qu’elle lui cachait. Bien entendu, c’était totalement pour sa sécurité, mais le fait qu’elle fasse partie de la famille Fujiwara était un secret. Il était hors de question qu’elle mette la vie d’une civile en danger parce qu’elle désirait partager avec elle ce bout de sa vie. Ainsi, même si elle l’amenait parfois dans des endroits qui étaient liés de près ou de loin au clan Fujiwara, Aria faisait en sorte que Rika reste loin de tout ça. Elle était bien trop précieuse à ses yeux pour qu’elle lui fasse courir un quelconque danger.

Avec cette idée en tête, la jeune femme quitta la maison, sans même dire où elle était. De toute façon, elle savait que si jamais ils avaient besoin de la retrouver, ils le feraient en quelques secondes. Ce n’était donc pas la peine de prévenir de l’endroit où elle retrouvait son amie. S’il y avait bien un inconvénient à faire partie de la famille Fujiwara c’était bien celui-là. Elle ne passait jamais inaperçue, ses cheveux de feu n’aidant clairement pas d’ailleurs, et on savait presque où elle était à chaque heures et minutes de la journée. C’était pénible, elle ne pouvait pas le nier et en même temps, si elle était dans une situation périlleuse, elle savait qu’on viendrait rapidement l’en sortir. Cependant, ce soir, Aria n’avait pas envie de voir quelqu’un de sa famille. Il était hors de question qu’ils viennent gâcher ce moment qu’elle passait avec Rika. Si ça arrivait, la jeune femme ne resterait pas sans rien fairen, quitte à avoir l’air d’être une folle devant tout le monde.

Aria se dépêcha donc d’aller vers le lieu de leur soirée, sans se douter une seule seconde que les problèmes pointeraient le bout de leur nez à l’instant même où elles seraient ensemble. Mais pour le moment, c’est avec le sourire aux lèvres, le manteau fermé qu’elle marchait d’un pas rapide pour la rejoindre. Rika était déjà là quand elle entra à l’intérieur du bar et le sourire de Aria mourut sur ses lèvres quand elle vit sa tenue. « J’espère que c’est une blague Rika… » Et encore, même si ça l’était, elle était de très mauvais goût. Aria n’appréciait pas du tout l’humour de son amie. « Je sais pas ce qui t’a fait pensé que ça t’irait bien. Mais c’est clairement pas le cas. Tu ressembles à rien dans cette tenue. » C’était peut-être méchant, cruel même mais le fait qu’elles portaient toutes les deux la même tenue était inadmissible. Aria enleva son manteau pour lui montrer la raison de ses paroles crues. Son sourire se crispa légèrement alors qu’elle détaillait la jeune femme des pieds à la tête. Objectivement, Rika était parfaite dans cette tenue. Mais le fait qu’elles portent la même ne lui plaisait pas du tout.



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Son maître mot était la ponctualité. Rika est l’incarnation même de cette qualité, car jamais de sa vie, elle ne fut en retard pour quoi que ce soit. C’était presque une marque de fabrique maintenant. Ses journées étaient tout ce qu’il y avait de plus organisées. Elle savait comment contrebalancer travail et relations sociales, impératifs et vie privée, telle une horloge que rien n’arrête, un pendule qui ne se décale jamais de sa trajectoire. Alors, c’était bien en avance qu’elle se retrouva au point de rendez-vous qu’elles avaient choisi avec Aria. La journée avait été satisfaisante ; ses progrès étaient notables et surement que la montre sera fonctionnelle d’ici la fin du mois. Déjà, plusieurs investisseurs avaient commencé à dépenser dans la publicité, heureux de voir naître ce projet. L’ingénieur, également, ne pouvait que trépigner en attendant de voir son petit bijoux de technologie retrouver les étagères des boutiques. Pourtant, son cerveau était déjà occupé par autre chose. Une autre idée qui la titillait, qui faisait son petit bout de chemin en elle, lui demandant une nouvelle forme d’attention. Depuis plusieurs nuits, elle s’était appliquée à l’écriture, de manière assez détaillé pour s’y retrouver plus tard. Pas sûre que les autres de la direction acceptent de se lancer là-dedans. Enfin, si elle décidait de le mettre en place, iels ne pourront rien lui dire, car une fois que Rika se mettait sur un plan, impossible de l’en déroger. Ses idées étaient toujours plus novatrices. Et sa seule limite était la capacité de travail de ses mains.

Ses doigts pianotaient distraitement sur l’écran de son téléphone, faisant passer le temps en attendant l’arrivée d’Aria. Un verre était déjà posé devant elle, à peine touché pour le moment, ne voulant pas commencer sans son amie de beuverie. Elles se retrouvaient souvent pour discuter de leur vie, Rika ne se privant pas de lui lâcher les dernier gossips qu’elle avait pu glaner en flânant dans les bars queer de la ville. Parce qu’après tout, il n’y avait pas que les mecs et leur boys club qui avaient le droit de discuter des affaires d’états d’Osaka. Si certain se prenait pour le haut de l’échelle sociale, Rika s’amusait à se dire qu’elle en faisait également partie, étant toujours celle qui savait tout sans pour autant interférer. Elle avait perdu le goût des histoires à s’en tirer les cheveux pendant des mois. Cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait plus le temps pour cela. Pourtant, c’était toujours amusant de savoir qui avait trompé qui, pourquoi, avec qui, et surtout, comment l’autre allait se venger d’une manière ou d’une autre. Un peu comme une série télévisée uniquement dédiée au drame sans grande valeur des coeurs. En entendant la voix d’Aria, elle releva aussitôt la tête, souriante, bien sûr, jusqu’à voir le visage de son amie et surtout… l’écouter. Aussitôt, elle fronça des sourcils. Jusqu’à comprendre les raisons. Ce qui ne fit qu'ajouter à son irritation. Aria portait la même tenue qu’elle. Un drame.

« Oh la salope, lâcha-t-elle, sans filtre. Tu peux toujours parler ! La personne qui t’a vendu ça à surement dû te mentir pour que tu l'achètes parce que ma pauvre… Cela ne te va absolument pas ! »

Le problème était bien l’inverse. Objectivement, Rika savait qu’elle pouvait absolument sublimer toutes les tenues qu’elle choisissait. Mais Aria aussi, avait ce charme, ce visage, qui obligeait à ses vêtements à lui rendre justice. Elle mentait, pour ne pas perdre la face. Parce que la rousse était magnifique dans ses pupilles, indéniablement. En toute objectivité bien sûr. Pourtant, elle se força à grimacer, faisant un long “up and down” des yeux sur le corps de sa compagne du soir. C’était tout simplement inacceptable qu’elles se retrouvent ainsi habillées toutes les deux. C’était quoi encore, ce coup de pute qu’on lui faisait ? Rika se leva, s’avança vers elle sans la lâcher des yeux, les bras croisés, l’air plus stricte encore qu’une professeur de mathématiques.

« Si j’étais toi, j’éviterais de me foutre la honte un peu plus et j’irais me changer. » dit-elle, terrible, camouflant son cri intérieur en découvrant que c’était totalement la couleur d’Aria.

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La première chose qui l’avait frappé en entrant dans ce bar où Rika l’attendait, posée près du comptoir, ce fut la tenue de la jeune femme. Au début, Aria avait pensé que ses yeux lui jouaient des tours. Ce n’était pas possible que les deux jeunes femmes portaient la même tenue le même jour. La fille Fujiwara savait qu’elles avaient parfois les mêmes goûts, mais jamais elle n’aurait imaginé qu’un jour, elles se retrouveraient affublées des mêmes vêtements. Elle s’approcha rapidement d'elle, sa voix s’élevant pour l’arracher à son téléphone. Aria ne mâcha pas ses mots, mais resta pour le moment correct. Elle n’allait pas insulter son amie directement. Pourtant, quand Rika lui répondit, cette dernière ne se gêna pas pour le faire. Un rictus déforma sa bouche tandis qu’elle posa son regard noir sur la jeune femme. Rika avait pu voir qu’elles étaient habillées de la même manière puisque Aria avait enlevé son manteau et les yeux de son amie firent la même chose que les siens quelques instants plus tôt. Elles se dévisagèrent, jaugeant le corps de l’autre dans cette tenue similaire. Aria ne pouvait pas nier le fait qu’elle allait à Rika parfaitement. Le tissu épousait son corps à merveille et la couleur rendait hommage à la carnation de sa peau. Aria n’avait pas à rougir de son côté, sachant parfaitement qu’elle était magnifique également.

Pourtant, son esprit contradictoire se fit plus fort quand la jeune femme lui intima d’aller se changer parce qu’elle se foutait la honte. Sauf qu’elle savait, autant que Rika, que ce n’était pas le cas. Toutes les deux rendaient hommage à la tenue et était belle dedans. Seulement, leur rivalité refaisait surface parce qu’aucune d’eux n’allait céder. Et ça, elles en avaient toutes les deux conscience. Aria posa son manteau sur le dossier de sa chaise et soupira presque exaspérée par le comportement de Rika. « La seule qui devrait avoir honte, c’est toi Rika. Même un sac poubelle aurait plus fier allure sur toi. » Venait-elle de la traiter indirectement de déchet ? Possible ! Mais la jeune femme s’en moquait parfaitement. Tout ce qu’elle désirait était de voir la brune à ses côtés décider de rentrer pour se changer pour qu’elles puissent passer une soirée tranquillement. Mais Aria avait le sentiment que ça ne serait pas aussi facile malheureusement.

« Franchement, ton cul est pas jaloux de ta bouche à cause de toute la merde que tu déverses ? » ricana-t-elle avant de planter son regard dans celui de Rika, tout en prenant place sur la chaise où trônait fièrement son manteau. « Tu devrais donc partir te changer maintenant, avant de devenir la risée du bar, parce que je porte cette tenue bien mieux que toi et que je t’éclipse totalement. » Un peu vantarde sur les bords, Aria se moquait bien que ce soit le cas ou non. Elle se foutait bien des regards qu’on pourrait lui donner ce soir. Elle n’était pas là pour attirer la gente masculine ou féminine mais pour passer un bon moment avant Rika. Enfin, ce serait le cas si la jeune femme décidait d’aller passer une autre tenue. Ce ne serait pas Aria qui céderait. Il en était hors de question, quitte à ce que leur échange finisse dans un bain de sang. Elle était une Fujiwara et elle ne pliait devant personne, pas même une amie qui portait aussi bien qu’elle, une tenue qu’elle avait pris soin de choisir pour la retrouver.




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Ce qu’elle aimait bien avec cette amitié, c’est que le mensonge avait autant de place que la vérité s’il servait un but plus grand. Comme maintenant, où Rika lui faisait très bien comprendre que cette tenue était tout à fait inappropriée sur Aria, alors qu’elle était toute aussi resplendissante qu’elle. Question d’honneur au féminin, peut-être. Il y avait un truc particulier à voir son amie habillée comme elle. C’était presque si elles n’étaient pas devenues la même personne, ce qui ne lui plaisait pas. L’originalité était une marque de fabrique. Impossible donc que Rika et Aria partagent la même tenue pour une soirée. Même si elles avaient prévu le coup en avance, il fallait toujours se douter qu’elles auraient changé des petites choses au bout d’un moment, pour ne pas être totalement la même et s’affirmer. Le visage choqué, offensé même, Rika ne se leva pourtant pas, restant bien assise à sa place. Hors de questions qu’elle ne parte, qu’elle n’esquisse le moindre mouvement vers la sortie. Ici, des deux, elle n’était pas celle “en retard”. Première arrivée, première à avoir le dernier mot.

« Tu es jalouse parce que moi, au moins, je serais belle même en sac poubelle, répliqua-t-elle, munis d’un demi-sourire. Tu en portes déjà l’odeur en tout cas, ma petite pute, ça c’est sûr. »

Aaah, les mots d’amour, les mots doux. Rika en déversait sur tout le monde avec autant d’affection que de raisons derrière. D’habitude, elle lui parlait en “chérie”, “princesse” ou “demoiselle” avec des yeux tendres et des manières tranquilles. Là, si elle pouvait lui arracher le haut pour lui foutre la honte devant tout le bar, elle le ferait sur le champ. Il n’y avait plus de jolies cœurs qui tiennent ; les amitiés, ça va bien quand elles ne dépassent pas les limites. Surtout qu’Aria se permettait de lui dire de rentrer. Elle ? Takano Rika ? Celle à qui la couleur rouge est prédestinée ? Celle dont le rouge à lèvre est toujours tellement bien posé qu’on se demande si elle n’est pas née avec ? La guerre sera sans merci, sans fin possible dans la paix et la joie, sauf si l’une d’elle abdiquait. Rika n’était peut-être pas une fille entraînée à la bagarre, mais elle possédait la hargne des charognes.

« Charmant, connasse, répondit-elle sans un sourire cette fois. Pourquoi tu ne rentrerais pas pour laver cette sale bouche pleine de verrues et en profiter pour te changer par la même occasion ? J’suis sûre que ça fera du bien aux yeux de tout le monde ! Vraiment, épargne-nous cette horreur ! »

Dans l’indifférence des deux femmes, des yeux curieux ou furieux se posaient sur elles. Elles parlaient fort, mal, en s’insultant à ciel ouvert, dans des vêtements sur des corps qui pourraient faire rougir certaines mannequins. Rika savait son potentiel d’attirance, même si elle n’en avait pas fait beaucoup d’usage romantique récemment, beaucoup plus concentrée sur ses affaires professionnelles. D’ailleurs, en réalité, si, elle l’avait fait une fois. Quelque chose dont elle voulait parler à Aria. Mais pour le moment, impossible. Il y avait des sujets plus importants que les exs dans la vie. Genre, le fait que son amie soit habillée comme elle à l’heure actuelle. En plus d’être splendide, elle osait lui répondre. Vraiment, elles se ressemblaient trop pour leur propre bien. Un parfait cocktail de bombes.

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Bien que leur amitié soit aussi ardente qu’un feu, c’était ce qui plaisait à Aria parce que Rika ne se gênait pas pour lui dire ce qu’elle pensait. C’était peut-être pour cette raison qu’elle restait amie avec elle, malgré l’agression de ses paroles. Il fallait dire que Aria n’avait pas réellement connu ça en étant plus jeune parce qu’en quelque sorte on lui passait tout. Alors que quelqu’un soit si fermement opposé à l’écouter, la frustrait plus que tout. Malheureusement, elle ne fonctionnait pas très bien avec la frustration. Encore une fois, Rika montra toute l’étendue de sa répartie et un sourire presque fier s’afficha sur les lippes de la jeune Fujiwara. Elle ne pouvait nier que leurs joutes verbales lui plaisaient bien, sinon elle ne serait plus en compagnie de la jeune femme depuis bien longtemps. « Oh donc on passe aux insultes maintenant. » Son sourire s’agrandit et ses yeux se posèrent sur la jeune femme, la reluquant comme si elle n’était qu’un petit bout de viande. « Même avec l’odeur, j’attirerai plus de client que toi ! Puis quel est l’intérêt de prendre du plaisir sans se faire payer. Mais j’imagine que toi, tu connais pas, ma petite salope. » Aria avait toujours aimé la différence entre ces deux mots. Dans un sens, c’était clairement la même chose. Une pute et une salope laissaient leurs corps se faire utiliser par n’importe qui. Le contraire était qu’au moins la pute y voyait un avantage financier non négligeable et c’était tout ce qui les différenciait.

Le déversage de vulgarités continuait à cause d’une simple tenue et même si jamais Aria ne l’avouerait, elle allait aussi bien à Rika qu’à elle, peut-être mieux même. Mais sa fierté lui interdisait de céder. Elle n’avait pas été élevée comme ça et une Fujiwara ne reculait pas, ne cédait pas. Alors, elle resta et rit aux paroles de son amie, levant son majeur vers les quelques curieux qui s’étaient déjà tournés dans leur direction. « Mais l’horreur qu’ils regardent c’est toi ! Ils sont stupéfaits par ta bêtise de vouloir continuer à porter une tenue qui te rend aussi laide que tes mots. » Le sourire de Aria ne quitta pas son visage tandis qu’elle réfléchit à comment faire en sorte de la faire lever son gros cul pour aller se changer parce qu’il était hors de question que ce soit elle qui le fasse. Mais rien ne lui venait à l’esprit et la frustration grandissait en elle. C’était rare qu’on lui tienne autant tête et qu’on s’en sorte sans rien. Rika avait un passe droit dont elle n’était même pas au courant, ignorant tout de la famille de son amie.

« Arrête de te ridiculiser Rika. Ça sert à rien de te battre pour une cause perdue. Vraiment tu fais pitié à tirer sur l’ambulance alors que t’es déjà morte à l’intérieur. Fais toi une fleur, et va te changer. Tout le monde s’en portera mieux. » Vraiment aucune ne désirait céder du terrain à l’autre et si Aria se montrait légèrement moins insultante dans sa façon de parler, laissant les réelles insultes à son amie, le débat ne semblait pas prêt de se terminer. Aucune n’irait se changer par fierté, par flemme ou que sais-je. « La prochaine fois, préviens moi que tu aimes ce que je porte, je te donnerai tout ce que je ne mets plus. Puis tant qu’à faire, tu veux aussi la liste des mecs que je baise pour que tu puisses faire encore une fois comme moi ? Je suis ton modèle Takano ? » lança-t-elle, une lueur amusée dans les yeux. Cette soirée n’allait pas bien se terminer, elle en était certaine. Mais c’était ça qui la rendait amusante et excitante à ses yeux.



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Personne ne pouvait regarder Rika et dire que cette femme était un drapeau vert dans ses relations, quelle qu’elles soient. Elle était plutôt rouge, plutôt de celle qui, au lieu de rire de la situation, réagit immédiatement, celle qui préfère culpabiliser plutôt que d’attendre des réponses. Elle avait travaillé dessus ; ce n’était plus aussi destructeur que pendant ses années de lycée ou de fac, parce qu’à l’époque, elle devait se battre corps, âme et ongles pour survivre dans un univers réservé aux hommes. En ayant commencé à travailler, même si elle devait toujours faire face à ce genre d’imbécile qui ne voyait pas plus haut que sa poitrine, ses ardeurs s’étaient calmées. L’équipe de son entreprise trouvait tout à fait normal qu’elle soit à sa position et ne remettait que très rarement en question ses idées et points de vue. Elle était accepté en tant que femme, ce qui l’adoucissait au fur et à mesure du temps. Mais seulement sur certaines questions, disons, pratiques. Aujourd’hui, sur la tenue, elle restait intransigeante, voulant abusivement de son originalité, qui était totalement remis en cause par Aria.

L’un de ses sourcils harmonieux se leva à la nouvelle attaque de son amie. Elles prenaient leurs aises toutes les deux, s’envoyant des piques comme on discuterait de la météo ou de la dernière fashion week. Elle pouvait les voir, les visages choqués sur les visages de certains clients, ou alors ceux, tellement médusés par la situation, qu’ils n’arrivaient pas à ne pas sourire face à cette joute verbale. Rika n’était pas particulièrement dérangée par l’attention, bien au contraire, elle aimait l'attirer. Mais là, elle savait que si elles continuaient, elles allaient finir dehors. Sans pour autant s’arrêter, néanmoins, parce que l’autre jeune femme méritait que l’on s’interpose face à elle et ses craprices. Il n’y avait plus une seule once de pitié ou d’altruisme envers Aria de la part de Rika. Elle était arrivée en première, elle avait toujours été la mieux habillé des deux. Clairement, Aria voulait faire valoir son apparence pour concurrencer la jeune Takano. Ce n’était pas dans ses habitudes d’abandonner une discussion aussi fleurie, de plus.

« Parce que tu penses sincèrement que les gens payeraient pour ça, grimaça-t-elle en montrant le corps de son amie. Tu devrais vraiment aller faire vérifier tes yeux, ma puce. Parce que j’ai l’impression qu’ils voient des choses qui n’existent. Comme ton cul d’ailleurs... »

De toutes les deux, disons que Rika avait toujours plus rempli ses décolletés et ses jeans qu’Aria. A la force de la génétique sans doute. Si Aria était le portrait d’une poupée Barbie, Rika pouvait passer pour une Bratz, c’était toujours un plaisir d’être la bimbo de service. Parce que plus les gens la trouvent ignorante et idiote, plus elle peut leur en mettre plein la vue. D’ailleurs, pour la peine, elle jeta un coup d’oeil autour d’elle, amenant son verre à sa bouche pour constater les regards qui se mirent à fuir avec nervosité. Elle qu’ils regardaient ? Une horreur qu’elle venait de se faire comparer ? Vraiment, ils ne devaient pas beaucoup sortir de chez eux, car Rika était un rêve dans un corps de femme, et ceux qui l’ignoraient devait sans doute ne pas les aimer, les femmes. Pour sa gouverne, elle avait un peu de tout pour tout le monde, sans discriminer. Alors, elle comprenait si certains et certaines aimaient laisser leur regard traîner plus que de raison.

« Vraiment ? Pourtant personne ne le faisait quand je suis rentrée, au contraire, il y avait des étoiles dans la pièce. C’est toi qui rend tout monstrueux, ma connasse, alors il va falloir que tu partes rapidement, sinon ta bave acide risque de détruire cet établissement tellement sa dégouiline de ta sale gueule. »

Le crapaud qui n'atteint pas la colombe, comme tout le monde s’évertue à le répéter. Ses yeux se plissèrent vers Aria, qui tirait toutes ses flèches avec le désespoir de sa cause. Il fallait tellement faire pitié pour continuer de se battre sans remarquer que tous ses arguments n’étaient que du vent dans un moulin. Même si, il est clair que cette tenue leur allait à toutes les deux et qu’elles méritaient autant l’une que l’autre de la porter, Rika ne démordra pas de son droit de la porter et de celui d’Aria de la retirer. Mais elle commençait à aller sur un terrain dangereux, la Fugiwara. Rika posa son verre, gardant son calme, même si la démone en elle n’arrivait pas à rester en place, voulant avalant jusqu’à la dernière miette l’honneur de celle qui se trouvait en face d’elle. Si les humains étaient tous descendants d’Adam et Eve, la jeune Takano arrivait tout droit des jupes de Lillith, première femme, rejetée de Dieu, devenue maîtresse des Enfers. Levant alors la main, elle tapota l’épaule d’Aria, souriante, amusée, qu’elle ose lui demander si elle était son modèle. Parce que des deux, Rika possédait tout ce qu’Aria rêvait de devenir.

« Ew… Tu veux me passer des fringues ? Mais chérie, ça va jamais passer. (Elle lui montra sa poitrine, fière de ses formes.) Et puis, garde tes gamins. J’suis sûre qu’ils kiffent avoir l’impression de toucher le jackpot avec toi alors que tu n’es qu’une pâle-copie, continua-t-elle avec un sourire. Aller, Aria, va te changer. Tu ne voudrais pas te balader avec une manche déchirée, pas vrai ? »

Sur ses mots, Rika tira sur le tissus, faisant péter les coutures qui créa un trou dans le haut de la jeune femme. Elle savait exactement combien coûtait ce vêtement, vu qu’elle avait le même. Elle porta ensuite son verre et le versa sur les jambes d’Aria, en versant dessus la fin du contenu. Si elle ne comprenait pas avec de simples mots, autant partir sur les gestes. Et puis, qui devait être le modèle de qui déjà ? Parce qu’aux dernières nouvelles, Rika menait la danse et Aria n’en était qu’à de légers balbutiements.

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D’un point de vue extérieur, leur altercation avait tout d’une dispute de cours de récréation. Autant Rika que Aria, aucune ne désirait céder du terrain à l’autre et pourtant, elles étaient toutes les deux magnifiques avec cette tenue. Mais, dans d’autres circonstances, elles auraient potentiellement pu apprécier d’être habillées l’une comme l’autre. Cependant, aujourd’hui n’était pas le jour. Les deux jeunes femmes n’avaient en tête que de briller et même si la tenue épousait leur forme de façon différente, les rendant uniques, le simple fait qu’elle soit la même les dérangeait. Leur joute verbale choqua même quelques clients. Aria entendait les halètements de surprises à chaque mot que les deux femmes se balançaient au visage. La fille Fujiwara se moquait bien de tout ce que son amie lui disait. Après tout, elle avait entendu pire lors de sa scolarité. Ce n’était pas quelques insultes lancées par ci, par-là qui allait la vexer ou lui donner envie d’arrêter cet échange enfantin. Aucune des deux ne semblait vouloir se stopper et un sourire moqueur s’afficha sur les lèvres de Aria tandis qu’elle écoutait la réplique de son amie. Un léger rire s’échappa de sa bouche avant qu’elle ne hausse les épaules. « Tu sais, il cherche quelque chose que tu n’as pas… » La jeune femme posa son doigt sur sa tempe, ses cheveux oranges encadrant son visage avant qu’elle ne finisse sa phrase. « Un cerveau. C’est populaire ces derniers temps. Plus qu’une paire de seins refaits et un cul qui pourrait les écraser. » Aria n’avait aucune idée de si son affirmation sur les seins de Rika était vraie ou pas, mais elle se félicitait d’avoir eu une aussi bonne répartie. Dans ce jeu, elles pouvaient être deux à rabaisser l’autre avec des choses que l’autre ne disposait pas.

Puis sans le vouloir, Rika avait peut-être appuyé sur un des petits complexes que Aria possédait. Certes, elle n’aurait pas été à l’aise avec une poitrine énorme ou un cul bien trop imposant. Mais elle aurait aimé avoir quelques formes en plus à ces endroits-là. Elle n’était pas à plaindre, mais à côté de la jolie jeune femme à ses côtés, elle ressemblait plus à une planche qu’à autre chose. La Fujiwara n’était pas envieuse, pas réellement, mais elle ne pouvait quand même pas cacher cette pointe d’envie qui traversait son corps quand ses yeux se posaient sur le corps de son amie. Mais aujourd’hui n’était pas un jour à s'apitoyer sur son sort. Aujourd’hui, Aria avait choisi la violence de ses mots pour se défendre et il n’y avait plus d’amitié entre les deux jeunes femmes. La cause de tout ça, cette satanée tenue qu’elles avaient eu toutes les deux eu envie de mettre. Levant les yeux au ciel, Aria ne put empêcher un nouveau rire moqueur de passer la barrière de ses lippes. « C’est bien d’essayer de se convaincre… Mais même toi tu n’y crois pas. Pauvre de toi. Franchement, je te plains. » dit-elle, ce sourire arrogant toujours affiché sur son visage.

Elles affichaient un spectacle bien pathétique et de nombreuses têtes s’étaient tournées dans leur direction, comme attirées par leur rixe. Ce n’était pas rare de voir des hommes s’adonner à ce genre de chose, des femmes un peu plus. En plus, elles juraient comme des charretières et n’étaient pas prêtes de s’arrêter. D’un coup d’épaule, la Fujiwara délogea la main de son amie qui avait pris place dessus, réprimant à grande peine une grimace. Elle leva une nouvelle fois les yeux sous les mots de Rika. Elle aurait bien aimé lui répondre, mais avant que Aria ne puisse dire quelque chose, la jeune femme à ses côtés détruisit sa tenue. Sa bouche s’ouvrit complètement sous le choc de ce qui venait de se passer. La tenue coûtait une blinde et même si de ce côté Aria n’était pas à plaindre, ce n’était pas une raison pour la laisser détruire le tissu. Elle glapit de surprise quand le verre suivit et la rage commença doucement à monter en elle. Si elle était plus ou moins calme jusqu’à présent, là, elle laissa son tempérament de feu reprendre le contrôle. Rika devait s’estimer heureuse que Aria n’ait pas de briquet à portée de main, sinon, elle aurait très certainement mis le feu à sa tenue. À la place, ce fut sa paume qui rencontra la joue de Rika. « Espèce de garce ! » Elle se leva ensuite, ses yeux sombres dardés sur la jeune femme. « Tu vas le regretter. » Et fortement. Aria se jeta presque sur la jeune femme, attrapant ses cheveux dans une poignée avant de la tirer vers elle, manquant de la faire tomber au sol. Elle s’empara de son col, une fois Rika face à elle et elle le déchira, y mettant toute sa force. Ça allait très certainement finir en bain de sang. Mais Aria s’en moquait.




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« Malheureusement, c’est là où tu te trompes ma grande. (Rika prenait toujours un malin plaisir à infantiliser Aria dans ce genre de moment.) J’ai le cerveau et les seins qui vont avec. »

Parce que Rika a en sa possession un diplôme d'ingénieur, qu’elle a la bouche d’une poupée Barbie, qu’elle est responsable de son propre travail dans la start-up qu’elle gratifie de ses connaissances, et qu’elle a sans doute plus de conquête à son actif que l’autre jeune fille. Mais ça, Aria le savait déjà, ce n’était pas une nouveauté. Oh non, elle essayait d’attaquer sur des sujets qui feront monter la pression de la Takano, c’est sûr. Seulement, si elle espérait que son adversaire fasse un faux pas, Aria se trompait lourdement. Rika est aussi tordue qu’on peut l’être, avec le même répondant, la même hargne, qu’une nana qui a toujours dû répondre à toutes les critiques avec des pirouettes pour éviter de foutre des coups. Enfin, elle en avait donné, bien sûr. Mais uniquement à ceux qui le méritaient, évidemment.

La joute verbale continua sur sa lancée. Elle détestait la manière dont Aria méprisait ses paroles, mais c’était bien le jeu après tout. Si elle avait voulu une petite discussion de courtoisie, elle serait aller voir quelqu’un d’autre pour que cette personne lui vante sa journée et qu’elle puisse songer à tout l’alcool qu’elle pouvait ingurgiter au cours de la conversation. Alors, aux paroles sans profondeur de sa partenaire, elle ne fit qu’un regard las de son si-peu de répondant. Tout à l’heure était plus amusant, lorsqu’elle lui disait que sa vie n’était pas mieux qu’une poubelle et qu’elle en portait l’odeur. L’ingénieure, prise d’une fougue nouvelle, passa à la vitesse supérieure. D’abord l’épaule puis le verre et Aria se retrouva totalement décontenancée. Mais alors que Rika savourait sa petite victoire, elle fut coupée court en se faisant soudainement attraper les cheveux, son col se faisant déchirer dans la même veine.

« Comment oses-tu ? hurla-t-elle en portant la main à son désormais décolleté, qui révélait plus qu’elle ne l’imaginait. T’as cru que t’allais t’en sortir comme ça, pétasse ? »

Sans plus de réflexion - une première pour elle -, Rika se saisit du bout de tissus qui pendait de l’épaule d’Aria pour l’attirer vers le sol, la poussant et lui saisissant brutalement les cheveux en même temps. Aussitôt, plusieurs personnes se levèrent autour d’elles, se rendant compte que la dispute allait trop loin. La jeune Takano eut tout de même le temps de détruire la mise en forme des cheveux de son amie et de lui griffer l’avant-bras, détruisant par la même le maquillage de cette dernière, avant d’être séparée d’elle de force. Retenue par des bras plus forts que les siens, elle se débattut tout de même, tentant de l’atteindre pour lui faire payer d’avoir ainsi ruiner sa tenue.

« Calmez-vous, plaida l’homme qui le retenait.
-Me calmer ? Cette connasse le mérite ! répliqua aussitôt Rika. Elle vole mon style et elle se croit intouchable parce que ça lui va bien ? Mais j’vais lui faire voir, moi, qu’on fait pas ça impunément… »

L’individu qui la retenait eu dû mal à le faire alors qu’elle tentait un nouvel assaut sur Aria. Mais il réussi à la faire reculer, pour qu’elle ne puisse pas l’atteindre, même en tendant les bras. D’ordinaire, Rika est toujours d’une classe imparable. Et si ce n’était pas pour sa beauté, actuellement, tout le monde la prendrait pour une folle. Mais Aria est pareille. Elles sont les deux faces d’une seule pièce.

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Fujiwara Aria
catching fire in summer

Fujiwara Aria
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A R I A

❝ ☼ Scorpio ; ↑ Pisces ; ☽ Capricorn ❞

❛ ❜ 24 yo ❛ ❜ 164cm ❛ ❜ 47kg ❛ ❜


Family are like a branche on a tree

we grow in differents directions

yet our roots remain the same.


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ft. @Takano Rika



« Permets moi d’en douter. » lâcha Aria en la regardant avec mépris. Certes, elle avait un physique plus avantageux que le sien avec des formes où il les fallait comme on disait. Mais la jeune Fujiwara était persuadée que le cerveau de son amie n’était pas à la hauteur. Cependant, elle n’était pas sûre de pouvoir rivaliser. Si Rika avait été à l’école, ce n’était pas le cas de Aria. Elle n’avait pas été plus loin que le lycée, simplement parce qu’elle ne savait pas ce qu’elle avait envie de faire de sa vie, mais également parce que c’était sûrement mal vu d’être plus intelligente que le mec avec lequel elle allait devoir se marier. La jeune femme n’avait donc pas poursuivi ses études malgré son envie d’en faire. Mais elle aurait fait quoi ? Elle n’était douée que dans peu de domaine, ce n’était pas assez pour avoir un diplôme. Puis, son père n’aurait certainement pas approuvé ou simplement pour se “débarrasser” d’elle, le temps de trouver quelqu’un qui conviendrait pour son mari.

Heureusement, elle avait quand même assez d’esprit pour maintenir la joute verbale que Rika et elle jouait, refusant de céder à l’autre. Après tout, même si la tenue leur allait bien à toutes les deux, en toute objectivité, elles ne pouvaient pas se permettre de la porter en même temps, au même endroit alors qu’elles étaient ensembles. L’objet de leur discorde, que ce soit dans le cas de Rika comme dans celui de Aria, vola en lambeaux et un sourire satisfait fleurit sur les lèvres de cette dernière tandis qu’elle voyait la rage de son amie augmenter. C’était sa faute. Elle n’aurait clairement pas dû lancer les hostilités en déchirant ses vêtements en premier lieu. Les répliques de Rika n’attendirent pas et alors qu’elle ouvrit la bouche pour lui répondre, la jeune femme se retrouva au sol, ses cheveux dans sa main. Aucune réaction ne déforma son visage et elle eut même un éclat de rire. « J’espère que tu ne comptais pas me faire de mal, connasse. » Malheureusement pour son amie, Aria ne ressentait pas la douleur. Elle pouvait donc tirer de tout son saoul, ça ne ferait que lui faire ressentir une légère gêne et encore.

Rika s’acharna sur elle et elle sentit sa coiffure se défaire. Elle allait devoir revoir également son maquillage et quand ses yeux se baissèrent sur son bras, elle vit les marques de griffures. Aria haussa les épaules. Ça ne ferait qu’une cicatrice de plus si jamais cela en faisait une. À cause de son insensibilité à la douleur, elle ne comptait même plus les bleus et les cicatrices qui parcouraient son corps. La jeune femme ne resta pas de marbre face aux assauts de son amie et rendait coups pour coups, bien qu’elle ne sache pas si elle touchait sa cible. Puis soudain, elles furent séparées, des bras entourant leurs corps. Si Rika continuait de se débattre, ce ne fut pas le cas de Aria. « Lâche moi ! » ordonna-t-elle, frappant les bras qui la retenaient qui la lâchèrent presque aussitôt.

« Tu fais peine à voir Rika ! Une vraie furie. » Un rire s’échappa de ses lèvres et elle attrapa son sac à main, sortant un briquet. Elle l’alluma, ses yeux fixés sur la flamme et s’approcha de la jeune femme. D’un geste rapide, elle déchira un morceau de son vêtement qui pendait et se décala tout aussi rapidement. Aria n’avait aucune envie de se retrouver avec un talon dans l'œil ou ailleurs. Elle préféra donc prendre ses distances avec la jeune femme. La flamme vint alors embrasser le tissu qu’elle laissa tomber au sol. « C’est dommage que ça t’aille si bien… Mais peut-être que tu devrais te calmer si tu ne veux pas finir comme ce bout de tissu… » Elle sourit un peu plus. « carbonisée. » Le ferait-elle réellement ? Probablement pas. Mais Rika n’était pas censée le savoir. « J’aurais toujours l'ascendant sur toi ma petite. » Surtout en matière de menace.



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ft.  @Fujiwara Aria

« Garde ce doute, et sort moi tes diplômes pour qu’on compare… » dit-elle, simplement, avec un petit sourire aux lèvres.

Rika était, jusqu’à lors, la plus diplômée de sa famille, et sans compter de nombreuses personnes de son entourage également. La Takano a un bout de papier certifiant son métier d’ingénieur en nouvelles technonologies, un domaine aussi fleurissant que machiste, tout aussi surpris de voir à quel point une femme pouvait percer dans ce milieu sans avoir à se mettre à genoux. Ce n’était pourtant pas les échecs qui lui avaient manqué. Entre ses ruptures, des relations qu’elle ne pouvait pas garder par manque de temps et d’investissement, ou tout simplement dans le monde du travail, car personne ne l’acceptait en stage, riant de son genre. Bien pour cela qu’elle avait décidé de rejoindre le projet de la d.RE.am Tech, y participant même activement. Et maintenant, les résultats y sont. Aria oubliait trop souvent qu’elle n’avait pas une cruche sur talons devant elle, mais une ingénieure diplômée et dans la vie active, qui n’attendait pas l'avènement d’un homme pour que sa vie avance. (Bien qu’elle se doutait que ce n’était pas forcément non plus dans les projets de l’autre jeune femme, au vu de son caractère.)

Seulement, tout ce calme qu’elle avait pourtant gardé jusqu’alors s’envola en pièce de miroir lorsqu’Aria dépassa les bornes. La colère de Rika la dépassa, la rendant d’une aggressivité peu commune pour les femmes japonaises - même pour les japonais généralement - alors qu’elle attaquait frontalement l’autre jeune femme, sans une once de remord. Elle l’avait blessé au sang, voulant lui faire mal, même si cela ne semblait pas réellement l'affecter. Ce n’était pas uniquement de la douleur qu’elle lui voulait, mais la rendre mauvaise, pour montrer son réel visage, celle qui n’était pas aussi princesse et mignonne que ses beaux yeux pouvaient pourtant faire croire. Bien que Rika lui porte une affection infinie, hors de question qu’Aria reste impunie de cette histoire. Elles furent séparées, obligeant Rika a reprendre un semblant de calme et de posture, même si elle était toujours aussi furax dans les bras de l’homme qui tentait tant bien que mal de l’empêcher de se rejeter sur sa nouvelle ennemie no.1.

« Furie ? Tu te crois miséricordieuse ? Je vais te faire vivre un enfer, Aria… répondit-elle sans broncher quand son vêtement fut arraché puis brûlé. Vas-y, essaie un peu de me brûler vive. Je t’emmène en enfer avec moi, ma conne. »

Fallait-il réellement aller jusqu’à ce langage de la mort ? Oh que oui. Elles ne s’y tiendront sans doute pas, mais Rika ne faiblira pas face à elle. La pyromane pouvait faire tous les plus beaux discours qu’elle pouvait, ça n’allait pas l’arrêter. Rika se débarassa de celui qui la retenait, s’approchant alors d’Aria quasiment front contre front. Soit, son vêtement était foutu. Mais à vrai dire, ce n’était pas son préféré, et c’était presque honteux qu’elles s’engueulent aussi fortement sans vouloir se laisser battre, à cause de lui. Elle était prête à remettre le couvert pour lui en envoyer encore dans le visage, jusqu’à ce qu’un nouvel individu n’apparaisse. Il devait être le patron, au vu de sa tenue et de son charisme, se portant clairement en celui qui possède ces lieux.

« Ça suffit ! tonna-t-il en les poussant soudainement vers la sortie, toutes les deux. Dégagez les gamines, vous tuez mon business avec vos saloperies ! »

Rika eut à peine le temps d’attraper son sac qu’elles se retrouvèrent dehors, seules, éjectées de l’établissement pour avoir semé le carnage et dérangé les honnêtes gens qui prennent une bière à cette heure. La Takano donna un coup de pied dans un caillou qui se répercuta sur la porte, alors que l’homme y rentrait, grognant sur l'ingérence de cette nouvelle génération et comme quoi “de mon temps, elles savaient se tenir”. Soufflant sur l’une de ses mèches qui lui passaient devant le visage, Rika tourna son regard vers Aria, plissant les yeux en se demandant un instant si elles allaient continuer leur méchante bagarre. Mais, considérant que la cloche de paix avait été sonné par cet insupportable homme, elle décida qu’un accord tacite silencieux allait s’appliquer.

« Ça va ? demanda-t-elle avant de se tourner vers le bar. Quel connard, on était si bien parti… »

Elle eut un regard mauvais et une grimace de colère retenue, alors de, de nouveau, regarder Aria. Pour tout avouer, elle lui en voulait à peine d’avoir brûlé son vêtement ; Rika avait bien ruiné le sien d’une tout autre manière. Une chose était sûre, elle allait plus souvent la consulter pour connaître le dress code et surtout, pour décider en avance de ne pas porter la même tenue lors de leur rendez-vous.  

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