L'event se déroule sur la plage de la ville, en compagnie de hauts dignitaires et de personnes venues de tout horizon. Bonne ambiance et chaleur estivale à l'appui, l'envie de réunir la population autour de quelques amusements va pourtant s'en montrer peu efficace : suite à l'apparition d'anti-mono à la fête. En effet, trafic de pilules et coups bas pour en gâcher les réjouissances de fin du couvre-feu sont à prévoir, tout du long de ces journées...

Comment participer ?

L'event se passe sur inscriptions et se fait interactif. En effet, Sensha viendra ponctuer l'event d'actions et interviendra pour faire se développer l'intrigue et le déroulé des évènements. Pour participer, vous devez vous être inscrit au préalable lors de la semaine de préinscription. Le sujet se veut commun ! Vous pouvez poster à la suite de ce dernier, mais également dans la catégorie si vous désirez rp en tête à tête ! Pas de règle ni de restriction : amusez vous tout simplement

douceur estivale :
à arracher !
ses sourires.

quand des paysages à en dépeindre dégradés jusqu'aux nuits insolentes, c'en était les feux allumés en plein milieu du sable, qui semblait en capter son attention. d'un regard vague sur les flammes à danser : jonglent les étoiles ! au dessus de leurs têtes. et dans les nuits déjà bien tombées, il y avait les rires, de tous ceux à s'être laissés tenter de se joindre aux festivités. de ses doigts à se réchauffer délicatement, de sa coupe serrée entre ses phalanges pour passer le temps, il se redressa finalement ! pour se diriger vaguement vers le bord de mer, et venir y tremper ses pieds.

comme enfant :
presque ,,
innocent !

grimace à se former sur son visage, ô Renji en était toujours trop désagréable ! à ne jamais pouvoir s'empêcher de râler : qu'importe la situation. — je te déconseille de mettre les pieds dans l'eau. elle est gelée. qu'il s'adressa à l'une de ces personnes qui s'en trouvait à proximité ! avertissement sans doute ridicule ,, à simplement toujours trop parler. petit monstre ambulant qui venait à en cacher pourtant douceur inestimée : que personne n'avait encore découvert ! à porter à ses lèvres sa coupe de champagne ,, pour en dégager là les quelques énervements ,, qui viendraient à lui monter à la tête.

Difficile de passé à côté d’une occasion comme celle-ci. Le cadre festif est annonciateur d’une bonne soirée. L’occasion de faire de nouvelles rencontres éphémères ou destinées à durer. Je ne suis pas difficile, que ce soit en amour ou en amitié, je prends la vie et les gens comme ils sont.

Bien que je sois habituellement toujours entouré, j’ai décidé de m’y rendre seul. Je ne doute pas d’y retrouver des visages connus et si ce n’est pas le cas, je suis d’une nature sociable, souriant aux inconnus que je croise sur la plage. J’apprécie de sentir le sable sous mes pieds nus et alors que je m’approche de l’eau pour y tremper mes pieds, j’entends une voix s’élever. Je me retourne et aperçoit un jeune homme. Est-ce que la mise en garde vient de lui ? Je n’en suis pas certain mais je décide de saisir l’opportunité de lui adresser la parole lorsque nos regards se croisent :
« Elle est fraiche mais ce n’est pas totalement déplaisant. »
Je tends alors ma coupe dans sa direction pour trinquer avec lui, lui souriant au passage avant de poser mon regard sur les silhouettes qui nous entourent et dont certaines se détachent plus que d’autres.

@Amano Renji

et de quelques mots partagés, à s'en penser si fort : loin du monde environnant, il se redressa pourtant, de ses épaules presque trop désinvoltes. envie d'en apparaître loin de ces luxes toujours trop apparents ,, il haussa finalement les épaules ! presque prêt à se retourner vers celui qui vint à lui en tendre sa coupe pour trinquer avec @Kanzaki Wu Jin.

verre à tinter !
amicale :
entente !

— Pas faux. qu'il venait à avouer, quand lui-même en avait planté ses chevilles dans ces fraîcheurs nocturnes. à en aimer la sensations ,, loin des feux à danser un peu plus derrière eux. — J'pensais pas que y'aurait autant de monde. Si j'avais su, pas sûr que je serai venu. rabat-joie à ne pas réellement savoir s'amuser, quand les solitudes venaient à le gagner. à n'y voir que gris danser devant ses prunelles ! comme si les spectacles ne venaient plus réellement l'émerveiller. — T'es venu accompagné ? Ou comme moi juste pour les coupes ? banalité de quelques mots : à se demander, ce que viendraient à prédire les étoiles ! là où les horizons en semblaient dépourvu de vie. là, au loin, quand lui ne rêvait finalement : que de pouvoir danser de ses pieds nus auprès d'un feu à valser sous la lune !

Ne pas savoir quoi faire, ne pas savoir quoi faire là. Rien à faire des représentants du département, liens qui ne sont qu’une poudre aux yeux qui n'effleure pas les tiens. Profiter du buffet pour manger à l'œil, seul intérêt qu’tu trouves à cette soirée. Le couvre feu ? Rire jaune, rire noir. Sans domicile fixe, les autorités se sont fatiguées tous les soirs à te dire de rentrer. Parfois tu t’es cachée, parfois t’as été coffrée, jusqu’à ce que chacun laisse tomber.
Mois animé, ô quelle sera la prochaine animation de cette existence sans intérêt ?

Grignoter par ci, par là, tu ne te retiens pas. Souvent les gens se sentent gênés de se servir, pas toi. De toute façon, ces gens-là, tu sais qu’tu les reverras pas. Dans l’pire des cas, c’est eux qui ne te verront pas. Sur le macadam même avec tes tatouages ils ne te reconnaîtraient même pas, regards détournés.
Inconnu qui passe et décide de faire le service, âme sociable, âme trop charitable. Plateau avec une coupe de champagne, à demander qui veut, nombreux, nombreuses jouent le jeu et se servent. Quand tu vas pour te servir tes phalanges croisent les doigts d’une autre personne. Ne reste qu’une coupe pour deux. « Les petits fours sont vachement salés, tu permets ? » Tu t’empares de la boisson, une gorgée:  « On partage s’tu veux. » Sourire, défier à se demander si tu es sérieuse ?

c'est un grand évènement, parait-il. le genre où les grands hommes de ce monde se doivent d'être présents. il était donc évident que pour représenter son nom, allen allait être forcé d'y faire une apparition. puisque visiblement, d'après le paternel, sa jolie frimousse se trouve être leur meilleure vitrine. il est depuis peu son devoir d'aller se pavaner dans les bals mondains, les soirées de la haute et, apparemment, tout ce qui touche aux célébrations de la ville. il paraît que quelques autres grands noms seront là.

et puisqu'il y va pour paraître, il était évident qu'il allait emmener avec lui sa dernière trouvaille ; un jeune garçon originairement ramassé dans la rue pour être vendu, avant que sa bouille de jolie fille et son caractère ne lui plaisent assez pour qu'il l'embauche comme escorte. graissé sous fond de promesses de sommes gargantuesques, accompagnées bien sûr de légères menaces quant à la sécurité de l'homme qu'il semble aimer, pour s'assurer que jamais il n'aille rapporter tout ce qu'il avait vu ou verrait.

son compagnon soigneusement déguisé en femme accroché à son bras, allen fait ainsi acte de présence en arrivant sur les lieux des festivités. le regard hautain balayant les personnes déjà présentes, il ne se mêle pas immédiatement à la foule, préfère rester à l'écart pour jouer la fameuse carte de l'homme mystérieux que son paternel lui a tant incité à utiliser. dans un coin d'ombre, il se penche vers son cavalier pour lui murmurer à l'oreille. "tiens-toi tranquille ce soir hein, c'est toute ma réputation qui est en jeu" et il est persuadé que le plus petit sait exactement   quels sont les risques si jamais il désobéit. son regard anthracite sonde une nouvelle fois la foule, comme s'il redoutait de voir un visage en particulier. "t'es sûr que ton copain compte pas venir ?"

C’est le genre de notification qu’il redoute de recevoir tous les jours depuis plusieurs semaines qui l’a réveillé ce matin. Une date, une heure, une tenue déposée dans sa boite aux lettres et rien de plus. Sanha contraint de s’y rendre comme un chien qu’on aurait sifflé pour lui ordonner de venir au pied. Devenu escort privé et dans ce business contre son gré, juste parce qu’il était là au mauvais endroit au mauvais moment, qu’on l’a pris pour une fille et qu’en réalisant que ce n’était pas le cas, la mafia a eu la clémence de ne pas l’éliminer si en contre partie il obéissait au doigt et à l’oeil de ce Allen.

Alors aujourd’hui il n’a pas le choix, contraint de serrer les dents, d’enfiler cette tenue qui a au moins le mérite d’être jolie et puis de trouver une excuse pour justifier cette sortie à son colocataire. Et c’est pour lui qu’il fait tout ça en réalité. Sanha se fout bien d’être tué, sait de toute façon qu’avec sa maladie il risque sa vie chaque jour, mais c’est la vie de Minki qui est en jeu, alors il ne peut tenter aucune rébellion, aucune fuite. Le voilà donc à cette stupide fête sur la plage, accroché au bras de cette ordure tout en s’efforçant de sourire. « Elle doit être bien fragile ta réputation si même moi j’peux la briser hein ». Après tout, il est payé à avoir l’air de l’aimer, il n’a pas besoin de l’apprécier réellement. « Ta gueule. Il viendra pas, j’te laisserai jamais être à moins de 10km de lui. Par contre si un de mes abonnés me reconnaît c’est pas mon problème. »

Je ne connais pas son nom et ce n’est pas très grave car je suis justement venu ici pour ça. Pour rencontrer de nouvelle personne sans me soucier de savoir si ça donnera quelque chose ou non. Quant à la foule…
« C’est vrai qu’il y a du monde mais si tu n’étais pas venu, on ne se serait pas croisé. »
Car pour le moment, on ne fait que se croiser. On ne se rencontre pas vraiment car nous sommes encore des inconnus et j’ignore si cette conversation continuera et donnera quelque chose ou pas. Je n’ai pas d’attente à ce sujet. Je prends les gens comme ils viennent.
« Je suis venu seul. Je me suis dit que c’était l’occasion de boire un verre avec de nouvelle tête. »
Donc dans un sens, je suis là pour les mêmes raisons que lui.
« Au fait, je m’appelle Wu Jin. »
Ça y est, je ne suis plus un inconnu pour lui. Alors que j’attends de savoir s’il va se présenter à son tour, je décide de faire quelque pas hors de l’eau pour prendre une autre coupe de champagne, la mienne étant vide. Comme mon regard est toujours ancré sur mon interlocuteur, je ne vois pas que je convoite la même coupe qu’une jeune femme dont je frôle les doigts. Elle attire alors mon attention et me fait une étrange proposition à laquelle je réponds avec amusement :
« Je n’ai pas encore goûté les petits fours alors je te la laisse. »
Je lui souris et lui montre ma coupe vide que je pose sur le plateau.
« Mais on pourra peut-être partager la prochaine. »
Mon regard et mon attention passe de l’une à l’autre, attendant de savoir lequel des deux me répondra en premier. Lui avec son nom, elle à cette fausse proposition qui tient davantage de la plaisanterie ?


@Amano Renji @Asano Anzu

tête à acquiescer : à en valider les points de vue ! quand sa présence n'en était pourtant exceptionnelle aux yeux de personne. ô virtuosité d'un instant ! à faire battre les regards sur celui qui en avait délaissé les visites de la plage accompagnées pour en trouver les solitudes d'un instant. — Hmm, c'est une bonne raison ça. La preuve, ça marche bien. qu'il rigola presque tout doucement ! quand de ces constatations : lui aussi, en avait rencontré nouvelle figure.

à s'en réjouir ,,
observer :
admirer !

— Moi Renji, enchanté. de politesses gravées entre les lippes, à pourtant tenter de ne jamais trop s'y accrocher : les habitudes revenaient pourtant rapidement ! là où toute son éducation en avait été basée sur des règles trop strictes. rencontre à l'amuser de par sa simplicité, à venir l'observer tenter d'en attraper une coupe, il contempla tout doucement la scène ! quand d'un rire presque franc, il se rapprocha tout doucement de @Kanzaki Wu Jin et de la douce inconnue @Asano Anzu. — De toute manière leurs coupes sont pas les meilleures. Ils sont bons, les petits fours au moins ?, qu'il interrogea la douce, à venir tout doucement poser à son tour sa coupe sur le plateau.

— Si vous voulez je vous paie la prochaine bouteille. Doit bien y avoir un truc du genre dans le coin. à se détendre un peu, Renji, quand il voulait juste tenter de s'amuser : avec ceux qu'il viendrait à rencontrer ! sans devoir craindre, ceux à en entourer les corps et les feux de quelques danses.

« Enchanté Renji. »
Un sourire franc se dessine sur mes lèvres alors que je le détaille davantage, comme pour graver les traits de son visage dans ma mémoire et les associer à ce prénom qu’il vient de me donner. Un rire m’échappe lorsqu’il se montre difficile sur le champagne, avant que mon sourire ne se teinte d’amusement mais aussi d’envie à la promesse d’un alcool bien meilleur que celui qui nous est proposé. Je ne manque pas de moyen, mais je ne dis jamais non à une invitation aussi charmante.
« Ne me tente pas, je pourrais te dire oui et c’est d’ailleurs ce que je fais. »
Je suis d’humeur joueur ce soir. J’ignore si la demoiselle va se joindre à nous, sinon nous boirons entre garçons.
« Je paierais la prochaine tournée. »
Mon regard balaie les alentours à la recherche d’un endroit où nous pourrions acheter un meilleur alcool, quand mes yeux se posent sur d’étranges individus. En soit, ils sont ordinaires mais ce sont leurs manières qui m’interpellent et me font un peu froncer les sourcils, sans que je ne comprenne ce qu’ils font exactement. On dirait qu’ils cherchent quelqu’un.

@Amano Renji