will you color my world ?



yes ?
no ?

colorimétrie

humide et orageux, d'une chaleur époustouflante. profitez d'un doux turquoise et de nuances de saumon !

newsletter

venez découvrir la douxième version du forum juste ICI ! ainsi que de participer à la cinquième intrigue du forum ICI. et n'hésitez pas à rejoindre discord par LA
-55%
Le deal à ne pas rater :
Coffret d’outils – STANLEY – STMT0-74101 – 38 pièces – ...
21.99 € 49.04 €
Voir le deal


dismissable ((ft* Aria))
Invité
Invité

Anonymous



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Fujiwara Aria



Akihiro fumait, assis sur la dernière marche de l’entrée de la résidence des Fujiwara-Rengo, après avoir taxé une clope à un des gros bras qui l’avait escorté jusqu’à l’extérieur de manière très protocolaire. Il attendait là la voiture du clan qui devait le ramener, si elle arrivait un jour. Depuis qu’il avait été blessé et soigné il n’avait plus le droit de bosser de nuit au RED INSTINCT tant que tous ses membres n’étaient pas remis en place. On lui donnait donc quelques tâches à effectuer, comme reverser une partie de la dîme du clan à la branche mère comme aujourd’hui, où parfois on lui demandait d’aller former quelques junkoseiin, les nouvelles recrues à faire le tour du quartier centre.
Il s’emmerdait comme un rat mort. Il avait bien envie de passer plus de temps avec Akihiko mais il savait le barman occupé et leur relation était… pour le moins particulière en ce moment et puis, il s’était fait des promesses à lui même le Satoshi, il avait des choses à régler avant de pouvoir regarder son ami en face. Donc le voilà à attendre d’arrêter de boîter pour mettre en œuvre sa liste d’actions, et surtout à attendre un taxi.
Habituellement il serait rentré à pied, mais entre ses côtes fêlées, son bras complétement meurtrie et inutilisable et le reste de son abdomen qui souffrait de l’épanchement du bleu qu’il s’était fait, il avait décidé pour une fois de ne pas trop se pavaner ; en tout cas pas tant qu’il était dans cet état.
Sa gueule cassée avait déjà réussi à mieux se remettre et on ne voyait presque plus les traces des bleus qui avaient constellé sa peau des semaines durant au niveau de la mâchoire. Avec ce look toujours bling-bling, de grosses bagues aux doigts, ses boucles d’oreilles et colliers sur ses vêtements noirs trop large, il ressemblait à tous ce que l’on pouvait attendre d’un yakouz’ mais voilà, malgré son allure, il savait qu’au premier regard on remarquerait qu’il était affaibli et pitoyable. Ses éternelles lunettes de soleil sur le nez, même en ce début de soirée, lui permettait de cacher les épais cernes qui s’étaient formés sur son visage. Il ne dormait presque plus, passant presque la totalité de ses nuits à regarder son téléphone au cas où on aurait besoin de lui au bar à hôtesse. Sa vie le rendait fou mais il n’avait pas le choix il devait faire avec.
Le quartier commençait à vrombir d’activité, on pouvait entendre les ruelles adjacentes se remplir. Bientôt, les caves, bars et casino du quartier seraient remplis à ras-bord et la famille Fujiwara montrerait son ascendant à Osaka et son milieu du luxe et de la dépravation comme elle savait si bien le faire. Ça ne le dérangeait pas Akihiro, il avait grandi là-dedans après tout, et si le clan Kazunari n’opérait pas à Namba, son monopole sur le centre-ville ne faisait pas grise mine en comparaison.  
Malgré les bruits diffus au loin, la rue sur laquelle donnait les marches était toujours vide. Absolument vide. Tous le monde savait qu’il ne fallait pas passer par ici. Les rumeurs disaient qu’il s’agissait d’un coupe gorge, mais au fond la population connaissait très bien le lieu d’habitation de la famille Fujiwara, et personne ne penserait à s’y aventurer. Alors oui, il n’y avait qu’un yakuza un peu looser et cassé, finissant sa clope et donnant une pichenette dans le filtre pour la jeter sur le bitume, il n'y avait que ce type d’individue pour trainer ici à cette heure.


unicolore

Fujiwara Aria
catching fire in summer

Fujiwara Aria
Gif profil :
dismissable ((ft* Aria)) Sa

dismissable ((ft* Aria)) 200w.gif?cid=6c09b952y7pslbatv7g5ey8e1k2c8wcwfebwdin4iykyp76a&rid=200w

. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 5a44d89401a49fdd044111f3992e8693 dismissable ((ft* Aria)) 379b8508949b94a51a5659114d859c02
A R I A

❝ ☼ Scorpio ; ↑ Pisces ; ☽ Capricorn ❞

❛ ❜ 24 yo ❛ ❜ 164cm ❛ ❜ 47kg ❛ ❜


Family are like a branche on a tree

we grow in differents directions

yet our roots remain the same.


. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 2f0a16d87a257311135c43889ae73230_w200


violence ; manipulation ; crimes ; blood ; vulgarities ; fire obsession ;
Pseudo :
MARION.
Messages :
133
avatar + crédits :
Minatozaki Sana ; KELLY.
¥¥¥ :
643
Date d'inscription :
19/12/2022
Âge :
vingt-quatre ans.



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Satoshi Akihiro



La dispute faisait rage dans la maison Fujiwara. Encore une fois, on reprochait à Aria un événement qu’elle aurait pu éviter mais que Allen avait réalisé quelques jours plutôt. Lui n’avait rien eu. Normal, c’était l’aîné de la famille et un homme tout ce que la jeune femme n’était pas. Alors, elle continuait de hurler pour se faire entendre, quitte à manquer de respect à l’homme à la tête du clan. Elle se moquait bien de tout ça. Qu’est-ce qu’il pouvait bien faire contre elle ? Lui interdire de faire partie des plans du clan ? C’était déjà le cas. Aria n’avait donc pas peur d’une quelconque menace qui pourrait planer au-dessus de sa tête. Elle finit par ne plus écouter ce qu’on lui disait et sans même sourciller une seule seconde, elle tourna les talons et mit fin à la conversation qui n’était même pas finie. Aria entendit son père l’appeler plusieurs fois, mais elle ne répondit pas. Elle en avait marre d’être infantilisée alors qu’elle avait plus de plombs dans la tête que son grand frère. Certes, il lui arrivait parfois d’en avoir mais c’était tellement rare que quand ça arrivait, Aria ne savait même pas si elle devait rire ou pleurer.

Elle alla se cacher quelques minutes dans sa chambre, se préparant à sortir. La jeune femme ne désirait pas rester une seule seconde de plus dans cette maison. De toute façon, elle savait qu’elle serait suivie et si ce n’était pas le cas, ils finiraient par la retrouver et potentiellement même la ramener de force. Elle aurait encore les bleus de leurs doigts sur les bras mais comme d’habitude, elle ne ressentirait rien du tout. Sa maladie l’empêchait de ressentir la douleur et si c’était un avantage dans ce genre de cas, c’était également un inconvénient dans le sens où elle ne savait jamais quand elle était blessée. Certes, lorsqu’elle tombait, elle s’en rendait compte, mais parfois, elle ne comprenait même pas qu’elle s’était fait mal. Heureusement, elle pouvait compter sur sa famille pour l’inspecter de temps en temps pour ne pas qu’elle laisse traîner des blessures.

Mais là, sa famille lui sortait un peu plus par les yeux que d’ordinaire et une fois prête, elle quitta rapidement sa chambre. Aria ne manqua pas les regards des personnes présentes et leur adressa à tous son majeur signe qu’elle était en colère et qu’il ne fallait pas l’énerver. Quand elle était ainsi, il valait mieux laisser la lionne se calmer pour qu’elle redevienne un petit lionceau. Elle pressa le pas pour sortir et en fermant la porte derrière elle, ses yeux tombèrent sur Akihiro. Un soupir s’échappa de ses lèvres. Elle n’était pas en état pour le voir et se prendre des réflexions de sa part. « C’est pas aujourd’hui le ramassage des ordures. » lança-t-elle avant de lui sourire sarcastiquement. « Qu’est-ce que tu fous là ? On dirait que t’as passé un sale quart d’heure. » S’inquiétait-elle pour lui ? Peut-être un peu mais elle nierait que c’était le cas, sa voix ayant pris un ton ironique en lui parlant.



unicolore

Invité
Invité

Anonymous



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Fujiwara Aria



La porte s’ouvrit derrière le yakuza qui part reflexe se releva. C’était la marque de respect qu’il devait à ceux qui appartenaient au clan ou aux invités. Si quelqu’un sortait donc par cette porte, celle de la famille Fujiwara, Akihiro lui devait le respect. Mais le regard qu’il croisât après qu’il ait fait sa révérence formel en se penchant légèrement à la vie de la personne lui arrachât une moue un peu dédaigneuse.
Historiquement le clan Kazunari était relié au clan Fujiwara par une alliance qui avait permit à Osaka de devenir un lieu stable pour les affaires de la mafia. Si les Kazunari étaient les acteurs de terrain, pacifiant les rues et ramassant un peu tout ce qu’il y avait à blanchir pour assurer la sérénité des lieux, les Fujiwara-Rengô étaient la tête de proue, les négociateurs au niveau national et international, ceux dont le nom protégeait toutes les sous-branches. Un écosystème finement construit mais qui n’empêchaient pas certain de leurs membres d’avoir du mal à cohabité, et ce qui était certain dans le cas du Satoshi c’est que les gosses Fujiwara lui tapaient un peu sur le système.
« Parle mieux. Habillé comme ça on va croire que tu bosses au Velvet Pearl. » assenât-il en réponse à la demoiselle qui venait de le comparer littéralement avec un sac poubelle. Faisant la moue et reniflant un peu honteux aussi de tomber sur elle dans cette état, Akihiro passa les mains dans les poches de son pantalon, traditionnellement trop grand comme ne savent les porter que les yakuzas.
« Ça te regarde pas ce que je fous là, t’es pas dans les affaires. » maugréât-il avant d’ajouter sur la défensive « Si j’ai cette tête c’est pour que tu puisses t’acheter des mini-sacs ridicules avec des strass dessus il parait. » ajoutât-il en la regardant de haut en bas. Aria était une jolie fille, Akihiro ne pourrait pas le nier, elle faisait peut-être même parti des plus jolies filles d’Osaka. Mais elle avait un mauvais caractère et elle était le trophée des Fujiwara, celle que l’on ferait se marier pour assurer la prospérité au clan. Aux yeux du Satoshi elle était privilégiée, elle n’avait pas connu ce que lui avait connu et elle devrait faire preuve de plus d’humilité. Les filles du RED INSTINCT, elles avaient traversé la houle infernale elles ; on ne pouvait pas dire qu’elles étaient respectables, mais au moins si elle fanfaronnait c’était pour de bonnes raisons ; mais Aria c’était un peu une princesse dans son royaume pour Akihiro.
« Tu vas où comme ça ? » demandât-il en la regardant par-dessus ses lunettes
Il avait l’impression de l’avoir toujours connu Aria. Lorsqu’il la regardait comme ça, elle n’était plus la jeune fille qu’il avait croisée étant junkoseiin, l’apprenti yakuza, non, elle était une femme maintenant, et cet état de fait mettait mal à l’aise le robuste mafieux qu’il pouvait être. Surtout lorsqu’elle se tenait ainsi devant lui, à le regarder de haut en bas à son tour, à le jauger. Akihiro savait qu’il n’était ni assez intelligent, ni assez haut placé dans la hiérarchie pour se mettre à dos la demoiselle, mais ça ne l’empêchait jamais de lui dire au fond ce qu’il pensait, surtout qu’il avait un peu tendance à s’inquiéter pour les filles. C’est ce qu’on lui avait appris à faire et à être après tout, le parfait garde poupée.


unicolore

Fujiwara Aria
catching fire in summer

Fujiwara Aria
Gif profil :
dismissable ((ft* Aria)) Sa

dismissable ((ft* Aria)) 200w.gif?cid=6c09b952y7pslbatv7g5ey8e1k2c8wcwfebwdin4iykyp76a&rid=200w

. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 5a44d89401a49fdd044111f3992e8693 dismissable ((ft* Aria)) 379b8508949b94a51a5659114d859c02
A R I A

❝ ☼ Scorpio ; ↑ Pisces ; ☽ Capricorn ❞

❛ ❜ 24 yo ❛ ❜ 164cm ❛ ❜ 47kg ❛ ❜


Family are like a branche on a tree

we grow in differents directions

yet our roots remain the same.


. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 2f0a16d87a257311135c43889ae73230_w200


violence ; manipulation ; crimes ; blood ; vulgarities ; fire obsession ;
Pseudo :
MARION.
Messages :
133
avatar + crédits :
Minatozaki Sana ; KELLY.
¥¥¥ :
643
Date d'inscription :
19/12/2022
Âge :
vingt-quatre ans.



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Satoshi Akihiro



Alors qu’elle sortait de chez elle, ses yeux se posèrent sur Akihiro qui s’était relevé pour marquer son respect envers elle. Mais elle avait compris avec les années que ce n’était qu’une façade. Il ne la respectait pas, comme elle devrait l’être. Il devait sûrement penser comme les autres qu’elle n’était qu’une gamine pourrie gâtée et qu’elle ne méritait pas plus que ce qu’elle avait. Aria se retrouva donc à l’attaquer en premier pour éviter qu’il ne le fasse et elle sourit en entendant sa réplique. « Sois pas jaloux parce que tu peux pas avoir un bout. Mais je comprends, je suis irresistible. » Est-ce que le faire avec Akihiro l’embêterait ? Non pas réellement. Il était plutôt charmant mais vu la façon dont il parlait de cet endroit, ce n’était sûrement pas en respectant les gens qui y travaillaient ou même leurs clients. Aria se moquait bien de ce qu’il pensait de sa tenue et encore plus de son comportement. Ce qui l’agaçait cependant était la façon dont lui se comportait avec elle.
Pour une fois, elle s’inquiétait presque réellement pour lui et il l’envoya chier, lui rappelant sa place de femme qui n’était au courant de rien. Et il n’avait pas tort. La jeune femme ne savait pas pourquoi il était dans cet état. Elle grimaça quand il continua et lui montra son majeur, la colère reprenant ses droits sur l’inquiétude qu’elle avait pu ressentir pour lui. « Va te faire foutre Akihiro. J’en ai rien à foutre des mini sacs ridicules avec des strass dessus comme tu dis. » Aria n’était pas le genre de filles superficielles que le jeune homme pensait qu’elle était. Elle n’utilisait pas réellement l’argent de sa famille, sauf si elle avait réellement besoin de quelque chose. Mais ce n’était certainement pas pour avoir une collection de sacs à paillettes comme il pouvait le penser.

Aria leva les yeux au ciel en entendant la suite. « Qu’est-ce que ça peut te foutre où je vais ? Tu comptes m’accompagner et jouer au bon toutou pour la famille ? » Est-ce que c’était bas ce qu’elle venait de dire ? Peut-être. Mais Aria s’en moquait. Il se pensait supérieur parce qu’il était un homme, parce qu’il avait des droits qu’elle n’avait pas et ça mettait la jeune femme hors d’elle. Elle détestait qu’on la rabaisse à son rang de femme et encore plus pour lui rappeler qu’elle ne pourrait jamais s’investir dans les plans de la mafia, alors que c’était tout ce qu’elle souhaitait depuis qu’elle était en âge de comprendre que sa famille n’était pas comme les autres. « Allez pousse toi. Tu bloques mon chemin et j’en ai déjà les yeux qui saignent d’avoir été autant en ta présence. » Mais Aria ne pouvait pas nier le fait que malgré tout, elle aimait bien Akihiro. Il était toujours l’un des seuls à dire ce qu’il pensait, sans se soucier de si ça la blessait ou non. Puisqu’il était le seul à le faire, elle continuait de chercher la confrontation avec lui.




unicolore

Invité
Invité

Anonymous



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Fujiwara Aria



Irrésistible, elle pouvait l’être. Akihiro se renfrognât encore plus, il n’aimait pas qu’on le prenne pour un gamin à retourner ses paroles contre lui. Il n’était pas un beau parleur, les mots c’était pas son truc et il faisait avec, tous le monde n’avait pas besoin de savoir plaire en société. Lui ce n’était pas son taf après tout. Aria le savait. Depuis qu’ils étaient gosses il n’avait pas étoffé son vocabulaire le Satoshi, avec son accent du kansai et sa dégaine de gosse des rues un peu arrangé. On savait qu’il venait des bas-fonds. Elle était là, elle, avec sa peau pale et ses grands yeux à profiter des nuits d’Osaka. La moitié des Fujiwara seraient peut-être envoyé la chercher plus tard dans la nuit, car on ne laisse pas une princesse dans dragon pour la protéger dans sa tour.
Akihiro clignât des yeux. Personne ne semblait la suivre, ça lui paraissait soudainement plus adhérant, mais voilà qu’il s’envoyait faire foutre. Il dégainât un sourire un coin en enfonçant ses mains des les poches de son pantalon noir. Elle n’en avait peut-être rien à foutre des strass et des mini-sac mais elle s’offusquait bien vite, et elle l’avait appelé Akihiro. Devant son père elle l’aurait certainement appelé par son nom de famille. Mais ils étaient seuls ce soir et donc il se laissa le droit de l’appeler par son prénom.
« Ce que ça peut me foutre c’est que si t’es amoché et qu’on sait que je t’ai vu, ça va retomber sur ma pomme et j’ai d’autres choses à gérer que ton joli petit cul Aria. » lui lançât-il un poil mauvais, ne pouvant s’empêcher de sourire tandis qu’il poussait le bouchon délibérément trop loin.
« Être ton clebs ça serait pas le pire des trucs qu’on me ferait faire, même si ça doit pas être une partie de plaisir tous les jours … » ajoutât-il en marmonnant.
Il chercha dans les poches intérieures de ses vestes et en sorti un paquet de chewing-gum à la pêche-framboise, un truc de gosse qui avait un gout chimique qu’il aimait bien, et s’en enfila deux dans la bouche avant de se mettre à suivre la demoiselle qui venait de le pousser de son chemin en étant toujours aussi peu aimable. Ça ne l’embêtait pas au fond, les paroles un peu mesquines à son égard il en essuyait tous les jours à son travail. Venant d’elle, ça ne changeait pas grand-chose.
Sans dire un mot, il continua de la suivre à environ un mètre, ses yeux ne pouvant s’empêcher de tomber sur ses bras et ses jambes. Elle savait s’habiller la Fujiwara, ça il ne pourrait pas dire le contraire. Il pourrait la suivre toute la nuit comme ça, jusqu’à ce que sa famille décide de lui envoyer une escorte digne de ce nom tout du moins.
Au fond de lui Akihiro espérait qu’ils ne tarderaient pas trop parce qu’il avait encore des hématomes qui lui arrachait les côtes et plusieurs affaires à régler ; mais tant pis, voilà qu’il se retrouvait à suivre Aria dans la ruelle, relevant ses lunettes de soleils sur son nez et avançant de son pas arqué et balourd. Le Satoshi mâchait vulgairement son chewing-gum en faisant du bruit avec sa langue pour en apprécier le gout acide et sucré. Il n’était ni le prince charmant, ni le roi de la discrétion, parce qu’au fond ce qu’on attendait de lui c’était bien qu’il soit un bon toutou. Ce n’était pas comme ça qu’il avait prévu de passer sa soirée, mais sa vie était assez imprévisible en ce moment de toute façon. Alors un écart de plus ou de moins, il n’était plus à ça près.

unicolore


Fujiwara Aria
catching fire in summer

Fujiwara Aria
Gif profil :
dismissable ((ft* Aria)) Sa

dismissable ((ft* Aria)) 200w.gif?cid=6c09b952y7pslbatv7g5ey8e1k2c8wcwfebwdin4iykyp76a&rid=200w

. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 5a44d89401a49fdd044111f3992e8693 dismissable ((ft* Aria)) 379b8508949b94a51a5659114d859c02
A R I A

❝ ☼ Scorpio ; ↑ Pisces ; ☽ Capricorn ❞

❛ ❜ 24 yo ❛ ❜ 164cm ❛ ❜ 47kg ❛ ❜


Family are like a branche on a tree

we grow in differents directions

yet our roots remain the same.


. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 2f0a16d87a257311135c43889ae73230_w200


violence ; manipulation ; crimes ; blood ; vulgarities ; fire obsession ;
Pseudo :
MARION.
Messages :
133
avatar + crédits :
Minatozaki Sana ; KELLY.
¥¥¥ :
643
Date d'inscription :
19/12/2022
Âge :
vingt-quatre ans.



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Satoshi Akihiro



Leur relation était floue, encore plus quand ils n’étaient que tous les deux. Ils ne se détestaient pas, mais ne se supportaient pas non plus. C’était bizarre et en même temps, du point de vue de Aria complètement compréhensible. Elle aimait sa compagnie même si elle la fuyait parce qu’il était presque toujours juste dans ce qu’il disait et pensait d’elle. Sauf pour la partie où elle était une fille superficielle qui attendait qu’on fasse les choses à sa place pour pouvoir s'offrir une vie de luxe. Ce n’était pas la mentalité de la jeune femme. Au contraire, elle aspirait à faire comme son père et les membres de sa famille. Elle voulait faire partie intégrante des yazukas et ne plus être une poupée qui attendait dans un coin qu’on la sorte pour pouvoir écarter les jambes et avoir un héritier. Aria désirait une vie plus dangereuse avec plus de rebondissement. Elle n’était pas la femme fragile et superficielle dont tout le monde semblait lui coller l’étiquette dans le dos. Ce fut pour cette raison qu’elle s’énerva contre Akihiro. Il l’avait tellement énervée qu’elle ne se souciait plus de la façon dont elle devait s’adresser à lui. Elle s’était seulement retenue de l’appeler Connard ou tout autre surnom fleurit qui selon son père n’était pas assez féminin dans sa bouche. Elle n’en avait que faire et faisait ce qu’elle voulait quand elle le voulait.
« Si t’as autre chose à gérer que mon joli petit cul, fais comme si tu m’avais jamais vu. Ça nous arrange tous les deux. » Elle rougit presque du fait qu’il trouvait cette partie de son corps joli, mais préféra passer ça sous le rouge de la colère qui continuait de l’habiter. Entre sa famille et maintenant Akihiro qui se foutait presque de sa gueule en continuant de parler, Aria allait exploser si jamais elle restait là. Elle se tut donc et le dépassa pour sortir, ayant besoin d’air, loin de sa maison, loin de sa famille et loin de lui.

Et tandis que la jeune femme pensait qu’il allait rester là-bas, elle entendit ses pas derrière elle et ses bruits de bouche qui lui donnaient des envies de meurtre. Elle ne supportait pas qu’on ne ferme pas la bouche en mangeant ou même en mâchant un chewing-gum. Akihiro ne dérogeait pas à la règle et après quelques minutes où elle claqua ses talons avec un peu trop de force sur le bitume pour montrer son agacement et sa colère qui montaient tous les deux en flèche, elle se retourna pour lui faire face, ses yeux fusillant le jeune homme en face d’elle. « Putain mais t’as pas autre chose à faire que de me coller au train arrière comme un chien affamé qui attend qu’une occasion pour sauter la chienne dont il renifle le cul ? » Encore une fois, la jeune femme utilisait des mots assez imagés parce qu’elle était exédée par le comportement de Satoshi. « Arrête de me suivre et va remuer ta queue ailleurs. T’auras un bon gros nonos en récompense. » Aria qui désirait plus que tout que sa colère s’estompe et laisse place à du bien être, en présence de Akihiro, c’était perdu d’avance. Elle tourna la tête autour d’elle et remarqua un bar pas très loin. Elle changea alors de tactique. Si lui gueuler dessus ne fonctionnait pas, peut-être qu’en essayant autre chose, elle aurait plus de succès. « Je compte me bourrer la gueule et me faire baiser par le premier venu. Ça aussi tu veux suivre et regarder ? A moins que tu sois jaloux et que tu voudrais être ce premier venu. » Aria se rapprocha de Akihiro, un sourire aguicheur sur les lèvres. « Il fallait le dire. Je t’aurai peut-être laissé me sauter dans des toilettes. Un chien en chaleur comme toi, ça doit pas avoir besoin de beaucoup de temps non ? En deux minutes c’est réglé… » Allait-elle trop loin ? Peut-être. S’en moquait-elle ? Totalement. Il la cherchait en la suivant, il la trouvait. Il n’aimait pas ce qu’il voyait ou entendait, c’était son problème, pas le sien.





unicolore

Invité
Invité

Anonymous



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Fujiwara Aria



Ça remontait à quand déjà leur rencontre ? Parfois il avait l’impression qu’il l’avait toujours connue la Fujiwara. C’était cette espèce d’ombre dans sa vie, une entité qui existait en dehors de son espace-temps mais qu’il n’était jamais surpris de retrouver. Ils avaient beau avoir changé depuis leur adolescence, ils n’en restaient pas moins tous les deux des gosses de mafia, et il suffisait de les voir se dévisager pour comprendre que ni l’un ni l’autre n’avait apprit à rendre les armes.
Elle était planté devant lui à présent, presque rouge de colère, du moins c’était l’expression qu’il avait entendu quelque part, il ne savait pas à quoi correspondait la couleur rouge, alors elle pouvait bien être verte, ça ne changeait pas grand-chose. Mais elle avait un regard qui lui inspirait presque une crainte naturelle de se prendre une gifle sans avoir le temps de le voir venir.
Seulement voilà, il n’aimait pas comment elle lui parlait en cet instant présent et comme réponse le yakouz’ ne se mit qu’à la toiser de plus belle derrière ses lunettes de soleil qui ne lui servait à rien à par à filtrer la luminosité des néons et à avoir l’air cool. Il fit claquer la bulle de chewing-gum presque à la figure de la demoiselle puis soupira bruyamment en sifflant entre ses dents.
« Tu devrais vraiment parler mieux. » grinçât-il avec une légère grimace, utilisant de son accent bien trop prononcé du kansai pour avoir l’air sympathique.
« C’est à cause de ce genre de merde qui sortes de ta bouche que tu te fous dans des histoires à la con. T’as vraiment envie de te faire baiser Fujiwara ? » Akihiro se penchât vers elle, ses mains toujours dans ses poches et l’observa par en dessous, en levant ses sourcils, un sourire découvrant ses dents en bien trop bon état malgré le nombre de sucreries qu’il était capable de s’envoyer dans la lampe.
Il n’avait jamais vraiment été un homme à femme le Satoshi, il savait qu’il leur plaisait, mais son taf c’était de faire en sorte que les nanas du RED INSTINCT soient pas emmerdé, alors il avait prit l’habitude de regarder plus qu’il ne touchait. Il savait qu’il attirait les mauvaises filles avec sa dégaine de voyou bling-bling. Mais Aria c’était pas une mauvaise fille, c’était l’héritière qui avait grandit dans une cage dorée, et le yakuza voulait pas croire qu’elle était capable de se mettre dans une situation pareille juste par plaisir. Surtout que c’était certain que si le Allen il retrouvait sa frangine prise de travers dans les chiottes d’un bar par un inconnu alors que lui était là, il allait perdre plus qu’une phalange.
« Vas-y, que je regarde jusqu’où t’es capable d’aller pour jouer à ton petit jeu de bosozoku. » Il avait envie de lui balancer un « t’es chiante » et « tu soules » mais il allait pas la laisser gagner si facilement. Surtout qu’elle insinuait que lui aurait envie d’elle … peut-être, il n’en savait rien. Il ne savait pas bien ce qui l’attirait ou non dernièrement, mais il ferait que mentir de dire qu’il avait pas apprécier marcher derrière elle à lorgner sur sa silhouette. Si elle n’avait pas des paroles aiguisées comme un couteau, elle pourrait être jolie la Fujiwara. Akihiro avait l’impression que ça faisait un siècle qu’il ne l’avait pas vu sourire et lui il aimait les filles qui souriait. Elle faisait que l’emmerder avec ses phrases crues à la con, alors il allait l’emmerder en retour.
« Je serais un bon chien promis. » dit-il en désignant le bar qu’elle venait de lui montrer, Akihiro penchât la tête sur le côté comme pour l’inviter dans un sourire à entrer. C’était un jeu dangereux qu’ils étaient en train de jouer. Surtout si près de la maison mère du clan. Mais c’était ça ou laisser Aria faire des conneries toute seule, et au fond de lui le Satoshi savait qu’il ne se le pardonnerait pas s’il arrivait quelque chose à al demoiselle ce soir.


unicolore


Fujiwara Aria
catching fire in summer

Fujiwara Aria
Gif profil :
dismissable ((ft* Aria)) Sa

dismissable ((ft* Aria)) 200w.gif?cid=6c09b952y7pslbatv7g5ey8e1k2c8wcwfebwdin4iykyp76a&rid=200w

. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 5a44d89401a49fdd044111f3992e8693 dismissable ((ft* Aria)) 379b8508949b94a51a5659114d859c02
A R I A

❝ ☼ Scorpio ; ↑ Pisces ; ☽ Capricorn ❞

❛ ❜ 24 yo ❛ ❜ 164cm ❛ ❜ 47kg ❛ ❜


Family are like a branche on a tree

we grow in differents directions

yet our roots remain the same.


. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 2f0a16d87a257311135c43889ae73230_w200


violence ; manipulation ; crimes ; blood ; vulgarities ; fire obsession ;
Pseudo :
MARION.
Messages :
133
avatar + crédits :
Minatozaki Sana ; KELLY.
¥¥¥ :
643
Date d'inscription :
19/12/2022
Âge :
vingt-quatre ans.



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Satoshi Akihiro



Si Aria avait voulu que sa colère ne disparaisse ou du moins s’efface en sortant de chez elle, ça n’avait pas été le cas à cause de la présence de Akihiro qui n’avait fait qu’augmenter l’envie qu’elle avait d’étrangler quelqu’un. C’était donc le jeune homme qui prenait tout dans la gueule et elle n’en était même pas désolée et culpabilisait encore moins parce qu’il faisait tout pour l’énerver encore plus. Son chewing-gum en était la preuve et s’il n’avait pas été là, dans sa bouche, à claquer contre ses lèvres à chaque bulle, Aria n’aurait sûrement plus adressé la parole au yakuza. Mais comme il continuait de la suivre, ce bruit insupportable parvenant à ses oreilles, Aria ne put s’empêcher de se retourner pour lui faire face. Un rire sans joie passa la barrière de ses lèvres et elle lui sourit, mais son sourire sonnait faux et n’atteignait pas ses yeux. « Sinon quoi mon chou ? Tu vas faire quoi si je continue de te parler comme si tu étais un bon toutou ? » Il la cherchait en ne la laissant pas toute seule et elle poursuivait sa dégradation. Pourtant, Aria n’était pas méchante. Mais il ne comprenait pas qu’elle n’avait pas besoin de chaperon et qu’il alimentait le feu qu’elle tentait vainement d’éteindre. Un nouveau rictus s’apposa sur ses lèvres et elle hocha la tête. « Si tu savais à quel point j’en ai envie. Rien que le fait d’imaginer et j’ai déjà envie, même besoin, que ça arrive… » La jeune femme lui fit même un clin d’oeil, ponctuant ainsi sa phrase.
Son air faussement jovial quitta alors son visage alors que la colère revenait légèrement déformer les traits de sa figure. Elle soupira et leva les yeux au ciel. « Mais putain pourquoi personne pense que je suis capable de la même chose qu’un mec simplement parce que j’ai pas un truc qui pend entre mes jambes ? » Ce n’était pas une réelle question, juste de la rhétorique et elle ne désirait aucune réponse de la part de Akihiro. Aria leva donc sa main, coupant possiblement toute réaction de sa part avant de sourire, une lueur de défi dans les yeux. « Bien sois un bon chien alors, et reste à ta place pendant que je bois et que je trouve le premier venu pour me déglinguer. » Elle s’approcha à nouveau de lui et déposa ses lèvres sur sa joue. « Dommage, ce sera pas toi. T’as eu ta chance, tu l’as pas saisi. »
Aria tourna ensuite les talons, le laissant planté là, en plein milieu du trottoir. Elle en avait plus qu’assez d’être prise pour une princesse sans cervelle, incapable de faire quelque chose justement parce qu’elle était une fille. Elle buvait, fumait, baisait autant voire même plus que certains mecs de la famille et pourtant, ça ne les empêchait pas de la voir comme simplement une femme. La jeune femme entra rapidement dans le bar et s’installa au comptoir, commandant une bière pour Satoshi qu’elle savait, arriverait presque aussi vite que si elle l’avait sifflé, et pour elle un cocktail. Elle soupira en le voyant dans la périphérie de son regard tandis qu’elle paya les boissons. « Presque déçue que tu sois encore là. » murmura-t-elle tandis qu’elle donna un sourire éclatant au barman qui leur amena la commande. « Si t’aimes pas, tu peux toujours rentrer ! » dit-elle en désignant le verre de bière. Aria posa alors son regard sur Akihiro et lui sourit amusée. « Que dis-tu d’un concours ? Le premier ne pouvant plus boire devient le chien de l’autre… » La jeune femme se mit alors à rire avant de faire mine de réfléchir. « Pardon, ça te changera pas beaucoup… Disons que je deviens ta chienne pendant une semaine… Et toi ? Tu ferais quoi pour moi mon petit Kiki. » Surnom qu’elle lui donnait souvent pour l’emmerder et qui ressemblait bien plus à un sobriquet animal qu’un surnom humain.




unicolore

Invité
Invité

Anonymous



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Fujiwara Aria



Une gifle, c’était bien la seule chose qu’Akihiro avait envie de lui mettre en cet instant. Elle n’avait pas bougé d’un pouce la fille Fujiwara, malgré sa provocation. Quelque part au fond de lui Akihiro aurait juste espéré qu’elle rentre chez elle et qu’elle arrête de parler avec la bouche pleine de mots si peu dignes. Mais à défaut de savoir lui-même bien parlé au moins il comprenait tous ce qu’elle lui disait. Oh oui, il ne comprenait que trop bien et serait les poings qui étaient profondément enfoncés dans son pantalon trop large.
A croire qu’elle se faisait des idées sur lui, ou peut-être pas. Il devait vraiment être un clébard pour elle. Un truc auquel on peu jeter le reste de bouffe que les autres auraient refusés de toucher. Akihiro avait vu la jeune fille devenir ce qu’elle était aujourd’hui, certes de loin, mais ils avaient grandit dans un univers similaire, un univers où peu de femmes sont invités à entrer, alors quand une s’y trouve nul doute que ça attire tous les regards. Ils n’auraient pas du compter le nombre de blagues salaces sur la demoiselle qui avaient fusés dans les douches du clan Kazunari lorsqu’ils revenaient des évènements officiel des clans. A croire que tous les gosses fantasmes sur les mêmes choses.
Le Satoshi restait stoïque devant elle, ne lui offrant que son sourire et passant sa langue sur ses dents tandis qu’elle s’énervait. Pas qu’il la croyait pas capable, mais avec lui dans les parages, sur il n’allait pas la laisser faire n’importe quoi. De tous les mecs qui avaient osé ouvrir leurs bouches pour parler d’elle, aucun ne se mesurait vraiment à sa grande gueule pleines de vilains mots. A part lui.
C’était dommage vraiment, elle avait un visage doux la demoiselle, mais elle parlait comme un charretier.
Sauf que voilà, ce si beau visage venait de s’approcher trop près de lui et de sa tronche décalqué de coups et de fatigues. Elle venait de l’embrasser sur la joue. Akihiro sentit son estomac se soulever, sauf qu’il ne savait pas très bien si c’était positif comme émotion. Son corps avait tendance à faire trop facilement les montagnes russes quand on lui donnait de l’affection.
Une affection qui se transformât rapidement en coup de poignard tendit qu’elle lui adressait ses dernières piques avant d’entrer dans le bar.
« Fais chier Fujiwara ! » gueulât-il alors qu’elle refermait la porte comme si toute cette discussion n’avait pas eu lieu.
Akihiro sera les dents, presque à s’en faire péter une. Il crachat son chewing-gum au sol et entra dans le bar. Il n’y avait pas grand monde, mais tous avaient les yeux rivés sur elle, évidemment…
Le regard du garçon fut sans appel, et tous comprit ce qu’ils risquaient s’ils s’approchaient trop près de la demoiselle à la chevelure de feu.
Prenant place à côté d’elle sans rien dire il retira ses lunettes. Grimaçant tendis que la lumière lui agressait la paupière. Evidemment sa grimace attirât l’attention certainement et Aria en profita pour lui rappeler qu’elle comptait bien remplacer sa présence par un autre. Qu’à cela ne tienne, il restait, agrippant la bière fraiche qu’on lui tendait dans une bouteille et s’en remplissant le goulot sans rajouter une parole.
Pas le temps de souffler, à peine, essuyait-il la mousse de ses lèvres qu’elle le regardait déjà, une idée derrière la tête, ça il pouvait facilement le voir. Il n’était pas doué pour décrypter les gens, mais il reconnaissait le regard de quelqu’un qui avait envie de pimenter une soirée.
Une nouvelle grimace prit place sur le visage du jeune homme. Une gifle, c’était ça, une gifle bien placée et il la ramenait chez elle ni vue ni connue. Non il ne pouvait pas se le permettre ça allait lui retomber dessus sinon… et en même temps … ce qu’elle lui proposait risquait pas de le mettre dans les bonnes faveurs non plus. Sauf qu’allez savoir pourquoi, ça frétillait là où elle avait posé ses lèvres. Et la sensation ne voulait pas le lâcher.
« tsss … utilises pas ce surnom débile » pestiférât-il entre ses lèvres.
Il leva alors le bras vers le barman et posa deux billets sur le comptoir.
« Quatre shots de vodka, avec du sirop. C’est pas avec une bière et ton cocktail de gonzesse que tu vas m’impressionner Fujiwara. » fustigeât-il en approchant son visage avec véhémence, si près d’elle qu’il aurait pu compter le nombre de cils qu’elle avait.
Le barman semblât hésiter une seconde à les servir avant qu’il ne se redresse et qu’il enlève sa veste. Laissant sa chemise pourpre à vue, il remonta ses manches jusqu’au coude, laissant apparaitre un bout de ses tatouages en formes complexes de feuilles de lotus vert et bleu. Comme le souhaite la tradition. Il ne savait pas à quoi le bleu et le vert correspondait, mais il faisait confiance au tatoueur du clan pour faire son boulot correctement après tout. C’était pas tant son problème au fond.
Le barman demandât quel sirop il souhaitait et Akihiro demanda la grenadine. Oui, le sucre, sa véritable seule addiction, et tant pis si ça le faisait passer pour un faible devant Aria, il descendrait pas en enfer sans sirop.
Avec la pointe de sa chaussure, le yakouz’ attrapât l’une des barres transversal du tabouret de comptoir sur lequel était assise la demoiselle et il l’a tira vers lui afin qu’elle se retrouve face aux shots.
Le tabouret glissât, provoquant un léger mouvement de la demoiselle et Akihiro la rattrapât par la hanche. Elle voulait jouer. Ils allaient jouer.
« T’aura le droit de siroter ton cocktail après tes deux shots Fujiwara. Si tu gagnes je deviens ton clebs pendant une semaine, tant pis pour toi tu seras prévenue, t’aura jamais vu personne te coller au cul comme je le ferais. » lui dit-il en faisant cogner son shot au sien avant de l’avaler cul sec.  



unicolore

Fujiwara Aria
catching fire in summer

Fujiwara Aria
Gif profil :
dismissable ((ft* Aria)) Sa

dismissable ((ft* Aria)) 200w.gif?cid=6c09b952y7pslbatv7g5ey8e1k2c8wcwfebwdin4iykyp76a&rid=200w

. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 5a44d89401a49fdd044111f3992e8693 dismissable ((ft* Aria)) 379b8508949b94a51a5659114d859c02
A R I A

❝ ☼ Scorpio ; ↑ Pisces ; ☽ Capricorn ❞

❛ ❜ 24 yo ❛ ❜ 164cm ❛ ❜ 47kg ❛ ❜


Family are like a branche on a tree

we grow in differents directions

yet our roots remain the same.


. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 2f0a16d87a257311135c43889ae73230_w200


violence ; manipulation ; crimes ; blood ; vulgarities ; fire obsession ;
Pseudo :
MARION.
Messages :
133
avatar + crédits :
Minatozaki Sana ; KELLY.
¥¥¥ :
643
Date d'inscription :
19/12/2022
Âge :
vingt-quatre ans.



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Satoshi Akihiro



Aria jouait avec le feu. Elle en avait conscience et malgré tout, elle continuait de provoquer le pauvre Akihiro. Pensait-elle que son statut d’héritière lui donnait tous les droits ? Pas réellement. C’était simplement parce qu’elle en avait marre qu’on ne la remarque que parce qu’elle était une femme et pas quelqu’un capable de faire aussi bien voire mieux qu’un homme. Ça l’énervait et cette colère ressortait contre le jeune homme qui n’avait rien demandé. Il n’avait sûrement pas prévu de suivre à la trace la Fujiwara et devait avoir organisé sa soirée autrement, mais il était là de son plein gré. Aria n’avait rien fait pour qu’il le fasse. Alors, s’il se plaignait c’était sa faute, pas la sienne. La jeune femme poursuivait donc ses provocations, montant bien trop près du soleil. Elle allait se brûler les ailes à l’instar de Icare, mais elle s’en moquait totalement. Dans l’état dans lequel elle était, elle ne pouvait pas s’empêcher de réagir comme la peste pourrie gâtée qu’elle était peut-être vraiment. Mais ce soir, tandis qu’elle aurait aimé simplement oublier ce qui l’agaçait, tout ce que Akihiro représentait lui renvoyait à la gueule ce qu’elle semblait fuir.
Aria mit ainsi fin à leur échange après ce baiser sur sa joue. Elle sentit ses joues prendre une légère teinte rouge et s’enfuit presque à l’intérieur du bar. Les regards sur son corps ne la gênaient plus, parce qu’ils n’étaient que des regards. Elle se savait belle, en jouait même. Mais tant que ça restait dans le domaine des œillades, elle n’était pas gênée par l’attention et si attention il y avait, tant qu’elle ne devenait pas trop tactile sans son consentement, alors, elle pouvait accepter. Autrement, c’était une autre histoire. Pourtant, d’un coup, la brûlure des regards s’évanouit et Aria sourit légèrement en sentant Satoshi prendre place à ses côtés. Il avait sûrement du les tuer du regard pour éviter qu’ils ne posent leurs yeux sur elle. Était-ce dans un but de protection ou simplement parce qu’il était jaloux ? L’idée que ce ne soit pas lié aux Fujiwara la fit sourire légèrement avant qu’elle ne décide de jouer un peu plus. Sa vie se résumait à ça : jouer pour se prouver qu’elle pouvait faire comme les autres. Mais tomberait-elle sur plus fort qu’elle ? Peut-être pas. Mais Aria ne pouvait pas s’empêcher d’être excitée et utilisa même le surnom débile du jeune homme, surnom qu’elle savait qu’il n'appréciait pas.

Elle le regarda lever le bras et commander des shots de vodka. Un sourire éclatant s’empara de ses lippes qu’elle lécha en le voyant s’approcher d’elle. Il était en colère et pourtant, elle ne recula pas quand son visage se retrouva trop près d’elle. Elle rougit même mais à part le rouge qui lui donnait un blush naturel, elle ne montra aucun changement dans son comportement. « La vodka c’est parfait Satoshi ! Mais appelle moi Aria. On est pas chez moi Kiki. » La jeune femme continua d’appuyer sur ses boutons, espérant le faire sortir de ses gonds plus rapidement. Pourquoi faisait-elle ça, alors qu’elle pouvait simplement l’ignorer ? Parce qu’il était l’un des seuls qui la remettait à sa place quand elle allait trop loin et l’adrénaline liée à l’anticipation de ce moment à venir la rendait bien trop excitante pour qu’elle se stoppe en si bon chemin. Son regard toujours posé sur Akihiro, elle ne se gêna pas pour mater ses bras qu’il dénuda, passant sa langue sur ses lèvres, tandis que ses yeux étudiaient les tatouages qu’elle pouvait y voir. Cependant, sa contemplation s’arrêta quand le mot grenadine fut soufflé dans la conversation. Son regard remonta vers le visage du jeune homme et elle rit. « T’as peur de t’étouffer avec la vodka pure ? C’est pour ça que tu rajoutes du sirop mon chou ? » Nouveau sourire qu’elle lui donna, un sourire insolent aux lèvres. Sourire qui disparut quand elle se sentit partir en arrière tandis qu’il ramenait son tabouret près de lui. Aria frissonna de sentir la paume chaude de Akihiro contre son corps. Elle tenta de ne rien montrer, mais c’était compliqué. Elle n’avait jamais caché le fait qu’il lui plaisait, mais jusqu’à présent, leurs échanges étaient restés verbaux. Il n’y avait jamais eu de contact si direct entre eux et Aria ne voulait pas qu’il se rende compte qu’elle était peut-être affectée par ce dernier.
La jeune femme l’écouta et l’observa boire son shot avant que sa main ne se pose sur sa joue, caressant tendrement cette peau tuméfiée. Aria se rapprocha même de lui, bien trop près de lui, encore une fois. Elle humidifia ses lèvres et sourit. « T’arrêtes pas de parler de mon joli cul Akihiro. Je vais finir par croire que t’en as envie. » Sans même détourner le regard de lui, ou même enlever sa main de sa joue, elle attrapa de celle libre son shot qu’elle but cul sec, une légère grimace déformant son visage à la brûlure de l’alcool dans son oesophage. Elle récupéra même le second et le finit en quelques secondes également. Aria se rapprocha à nouveau de lui, ses yeux dans les siens. « Je vais adorer t’avoir une semaine que pour moi Kiki. Vraiment adorer ça. » répéta-t-elle un sourire sincère sur les lèvres.




unicolore

Invité
Invité

Anonymous



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Fujiwara Aria


Elle avait une manière de se mouvoir et de le regarder Aria, c’était comme regarder la flamme d’une bougie. Il ne savait pas quoi penser le yakouz’, il avait l’impression que ce qu’il craignait arriverait dans tous les cas. Elle était douée pour se mettre dans les pires situations la Fujiwara et ca ne lui plaisait pas. Le Satoshi aurait certainement du la laisser faire ce qu’elle voulait, mentir et prétendre qu’il n’avait rien vu ni entendu. Qu’il n’était déjà plus là quand elle était sortie de la demeure du clan. Mais voilà, il ne savait pas mentir et au fond il s’inquiétait pour elle. Elle lui tapait sur le système, il lui tapait sur le système aussi visiblement, mais quelque chose d’autre avait dû mettre la demoiselle dans cette humeur furax. Ce n’était pas son problème à lui, son problème à lui c’était qu’elle rentre entière chez elle et qu’elle ne finisse pas avec le premier mec un éméché venu qui ne serait pas complétement abattu face au vocabulaire de poissonnière de la jeune femme.
Elle devait bien avoir un certain nombre de droits sur lui, après tout, si une hiérarchie existait elle devait tout de même être légèrement au-dessus de lui. Elle n’arrêtait pas de se plaindre qu’on ne la laissait pas participer aux affaires du clan, mais en elle-même elle était une affaire du clan. Aussi nombreux qu’ils soient, les kyodai et shatei avaient toujours eu des femmes près d’eux, ne serait-ce que pour donner des successions ou forger des alliances, voir même pour rapporter de l’argent sous quelque forme que ce soit. Aria avait une valeur en elle-même, c’était aussi pour ça que son joli minois valait plus que les phalanges d’Akihiro.
« Je t’ai déjà dit de ne pas m’appeler Kiki. » grommelât-il. A croire qu’elle ne voyait en lui qu’un interchangeable gosse des rues. C’était ce qu’il était sans doute.
« J’aime le sirop, j’ai le droit non ! » l’attaquer sur le sucre, Akihiro li lança le regard le plus noir qu’il eut jamais eu avec elle. Autant la traiter de chien ça passait, mais le sucre, les petits plaisirs de la vie, il n’y avait pas le droit ? C’était pas comme si c’était mauvais pour la santé en plus, quoi que … il aimait le sucre et Aria lui riait au visage. Sauf que voilà, son visage se retrouva bien trop près du sien et il sentit sa main sur sa joue. Elle était pas ivre, elle était juste … en train de le draguer ouvertement. Akihiro écarquillât les yeux un instant se demandant ce qu’elle cherchait. Au début il avait cru que le pari c’était histoire de le faire dégager d’ici, mais ce qu’elle lui envoyait comme signal réveillait quelque chose de tout à fait différent en lui.
Elle descendit son deuxième shot tandis qu’Akihiro finissait son premier et elle se retourna à nouveau vers lui. Toujours ce pseudonyme à la con. Serrant les dents il attrapât son deuxième shot et le fini cul sec avant de tremper ses lèvres dans sa bière pour calmer la chaleur de l’alcool et aussi pour refroidir ses pensées.
Le Satoshi avait presque oublié que sa main se trouvait sur la hanche de la jeune femme et d’un seul coup, ce rappel lui brulant l’épiderme. Mais au lieu de retirer sa main il accentua sa pression et, dans un élan de folie, certainement pour tenir tête à la Fujiwara dans toute son inconscience, Akihiro caressa le dos d’Aria en remontant sa main vers sa nuque pour la lui saisir. Ses doigts se logèrent dans ses mèches de cheveux à la base de son cou et il maintient sa pression.
Ils étaient là, l’un face à l’autre, leurs visages à quelques centimètres l’un de l’autre. Ils n’avaient pas assez bu pour être ivre, mais ils étaient assez fous l’un comme l’autre pour comprendre qu’ils étaient déjà allez bien trop loin pour leur propre bien.
« Qu’est ce que tu cherches Aria ? Tu veux vraiment faire de moi ton chien ? » Ses yeux se plongèrent, sérieux, dans ceux de la jeune femme. Elle avait des yeux en amande qui lorsqu’ils n’étaient pas furibonds pouvaient être beaux à s’en damner. Elle lui faisait de l’effet, en cet instant précis, il avait presque oublié tous ce qu’il risquait.
Au fond de lui, il se rassurait, il était pas gay. C’était une chose certaine. Il avait devant lui une peste renommée et pourtant, il était à deux doigts de l’emmener dans le premier love hôtel qui croiserait leur chemin.
Mais ils avaient parié, elle irait certainement jusqu’au bout. Lui aussi, juste pour se prouver à lui-même qu’il était un homme. Foutu fierté. Continuant de soutenir le regard d’Aria, il sorti de sa veste deux nouveaux billets et fit geste au barman.
« La même chose. » dit-il, son regard scrutant la Fujiwara, essayant de ne pas se laisser attendrir par son bien trop joli faciès.


unicolore

Fujiwara Aria
catching fire in summer

Fujiwara Aria
Gif profil :
dismissable ((ft* Aria)) Sa

dismissable ((ft* Aria)) 200w.gif?cid=6c09b952y7pslbatv7g5ey8e1k2c8wcwfebwdin4iykyp76a&rid=200w

. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 5a44d89401a49fdd044111f3992e8693 dismissable ((ft* Aria)) 379b8508949b94a51a5659114d859c02
A R I A

❝ ☼ Scorpio ; ↑ Pisces ; ☽ Capricorn ❞

❛ ❜ 24 yo ❛ ❜ 164cm ❛ ❜ 47kg ❛ ❜


Family are like a branche on a tree

we grow in differents directions

yet our roots remain the same.


. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 2f0a16d87a257311135c43889ae73230_w200


violence ; manipulation ; crimes ; blood ; vulgarities ; fire obsession ;
Pseudo :
MARION.
Messages :
133
avatar + crédits :
Minatozaki Sana ; KELLY.
¥¥¥ :
643
Date d'inscription :
19/12/2022
Âge :
vingt-quatre ans.



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Satoshi Akihiro



Le jeu commençait à être intéressant et Aria ressentait l’excitation au plus profond de son être. Elle était heureuse de le voir débarquer à sa suite dans le bar même si elle avait pensé l’espace d’un instant qu’il ne le ferait pas, qu’il en aurait marre et la laisserait en plan. Cependant, elle ne pouvait pas avouer que ça la rendait heureuse que finalement il ne soit pas parti et qu’il soit resté avec elle. Elle avait besoin de cette distraction et même si la colère faisait encore vibrer le sang dans ses veines, la présence de Akihiro l’apaisait un peu, même si elle le nierait si jamais on venait à lui poser la question. Il l’énervait aussi, mais comme elle s’était éloignée de chez elle et qu’il rentrait dans son jeu, ce n’était plus autant le cas que lorsqu’elle l’avait trouvé devant chez elle. « Sinon quoi Kiki ? Tu vas faire quoi ? » Aria se savait presque intouchable. Il ne lui ferait rien, pas tant qu’il y avait des témoins et encore moins si près de la maison familiale. Alors, dans un sens, elle ne risquait rien et c’était pour ça qu’elle faisait en sorte de le pousser dans ses derniers retranchements.
Elle tiqua légèrement quand Satoshi la reprit sur le sirop et fronça les sourcils. Bien sûr qu’il avait le droit d’aimer le sucre, mais pourquoi se montrait-il si irritable parce qu’elle l’avait mentionné ? Peut-être avait-il pensé qu’elle se moquait de lui ? Mais ce n’était pas le cas. Elle avait juste fait une observation, comme elle aurait pu le faire avec le chewing-gum qu’il avait eu en bouche et qui sentait la pêche et la framboise. Aria décida de hausser les épaules et de ne rien dire. Après tout, ils n’étaient pas là pour parler de sucre, mais pour boire. Du moins, elle, elle était là pour ça. La jeune femme avait juste appater Akihiro avec un pari à la con.
La jeune femme n’avait pas besoin de ça pour boire mais il avait sauté les deux pieds à l’intérieur et tandis qu’elle finit son deuxième shot, ne laissant aucun répit au jeune homme, elle se lécha les lèvres pour récupérer les dernières gouttes d’alcool qui imprégnaient ses lèvres. Elle eut un petit rire moqueur en le voyant prendre sa bière, sûrement pour effacer le goût de la vodka, chose qu’elle ne fit pas. Ce n'étaient pas deux shots qui la feraient grimacer et lui donneraient envie de chasser le goût de sa bouche.
Un frisson s’empara de son corps quand elle sentit la main de Akihiro raffermir sa prise et un hoquet de surprise s’échappa de ses lèvres quand elle remonta jusqu’à sa nuque. Elle sentit son épiderme réagir à ce mouvement et à l'effleurement des doigts du mafieux contre son dos. Elle avait pu sentir les aspérités de ces derniers et elle rosit légèrement en imaginant d’autres endroits où ils pourraient la toucher. Elle était folle, c’était définitif ! Ils allaient se faire tuer si jamais ils n’arrêtaient pas ce jeu qui était devenu dangereux. Pourtant, aucun des deux ne semblaient vouloir se reculer et s’avouer perdu, leur fierté les empêchant de déclarer forfait. Elle sourit narquoisement en l’entendant. « Pas ma faute si tu en fais un bon à la botte de mon père… Mais avoue que je suis plus attirante que lui non ? » Sa langue lécha à nouveau ses lèvres à la mention d’un autre verre tandis qu’elle espérait que la réponse à sa question ne soit pas positive. Aria n’avait aucune envie d’apprendre que Akihiro était attiré par son père. Ça ne lui plairait clairement pas.
Alors, pour voir si sa théorie était vraie, elle se rapprocha encore un peu plus de lui, sa main quittant le visage de Akihiro pour se poser sur sa cuisse qu’elle agrippa doucement le tissu de son pantalon et sa peau. Elle espérait réellement lui faire autant d’effet qu’il lui en faisait. Cependant, son regard se tourna vers le barman qui leur amenait encore des shots. Elle sourit en attrapant un et le tendit à Akihiro, attendant qu’il le boive comme l’homme qu’il était et Aria se doutait qu’il souhaitait lui montrer sa dominance ou une autre connerie dans le genre sexiste. La jeune femme attendit patiemment qu’il le finisse et quand il le reposa, elle s’approcha encore plus de lui et cette fois-ci, sa langue caressa les lèvres du mafieux. « T’avais encore une goutte de vodka… » dit-elle, un sourire enjôleur sur les lèvres.





unicolore

Invité
Invité

Anonymous



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Fujiwara Aria


Akihiro laissa Aria se rapprocher de lui. Fronçant toujours plus ses sourcils sur ses prunelles sombres à mesure que le visage de la demoiselle se jouait se de ses propres sens. Elle avait l’air encore plus aguicheuse à l’instant qu’elle ne l’avait jamais été, et depuis combien de temps ces lèvres là avaient un pouvoir pareil sur lui ?
En réalité le Satoshi n’était pas du genre à vraiment regarder les filles, il avait trop à faire, un travail qui ne lui permettait pas de s’attarder sur les courbes féminines des demoiselles qui l’entourait, car son rôle à lui c’était avant tout que les gros pervers qui venaient pour se rincer l’œil le temps d’une soirée, ne repartent pas en ayant laisser leurs mains se balader n’importe où. Oh pas qu’il ne sache pas jouer à ce petit jeu, Akihiro aimait se laisser séduire aussi, mais il en avait rarement l’occasion bien que son côté joueur ne laisse personne indifférent.
Elle voulait jouer la Fujiwara ? Ils allaient jouer. Il n’était pas le prince charmant mais elle devait le savoir depuis le temps alors tant pis pour elle. En cet instant précis il hésitait toujours entre la ramener par les cheveux à son domicile ou virer tous le monde de ce foutu bar pour la prendre là sur comptoir sans plus de ménagement.
Deux nouveaux shots arrivèrent et Akihiro s’empara du sien et le bu en gardant son regard dardé sur le visage de la jeune fille. Elle avait un cran qu’il devait bien lui reconnaître. Peut-être qu’elle savait qu’elle risquait moins que lui à jouer à ce petit jeu.
Aria aurait pu être n’importe qui, mais il fallait qu’elle soit une des filles Fujiwara, et on ne touchait pas à ces filles-là. Tant pis, Akihiro avait déjà sa main sur sa nuque et elle s’approchait dangereusement de lui. Il sentait sa main sur sa cuisse, instantanément sa propre prise se raffermi sur elle tendis qu’elle s’approchait toujours plus dangereusement de lui après qu’il avait vidé son shot d’une seule traite, laissant de côté le sirop cette fois ci. Il sentit l’alcool brulant couler et se reprendre dans son torse, c’est à ce moment là que la langue de la demoiselle toucha ses lèvres.
Akihiro agrippa son visage de sa main libre qui venait de reposer le verre sur le comptoir en enserrant le menton d’Aria entre ses doigts.
« Je ne suis pas à la botte des Fujiwara. Je respect juste la hiérarchie. » lui répondit-il à quelques centimètres de ses lèvres, laissant leur souffle se mêler un instant.
Puis il lâchât la jeune femme, sorti trois billets de la poche de sa veste en faisant signe au barman tout en montrant la porte du fond. Akihiro ne connaissait que trop bien ce genre d’endroit. Le barman acquiesça et Akihiro commanda « Du saké chaud et du whisky ». Puis il attrapa le poigné d’Aria et la força à le suivre jusqu’à la salle privatise qui devait servir parfois pour des séminaire ou des karaokés. Il y avait une longue table noire au centre de la pièce, entouré de de deux grands canapés molletonné en velours rouge.
Sans ménagement Akihiro fit entrer la jeune felle dans la pièce, referma la porte et la plaquât contre le mur en l’embrassant, sa main allant se loger dans la tignasse de la jeune femme pour y emmêler ses doigts tandis que son autre main restait agrippée autour du poignet mince de la fille de yakouza. Il manquait de douceur, de délicatesse et même de décence parfois, car on ne lui avait pas appris tout cela à lui, le yakouz’ des bas-fonds qui servait de chien de garde.
Les bleus sur son propre visage le démangeait, les endroits de sa peau touchant Aria le brûlait. Une part de lui-même était soulagé de sentir son désire monter pour cette fille, mais pourquoi fallait-il que ce soit elle justement… de toutes celles qu’il côtoyait c’était certainement le plus mauvais choix.


unicolore

Fujiwara Aria
catching fire in summer

Fujiwara Aria
Gif profil :
dismissable ((ft* Aria)) Sa

dismissable ((ft* Aria)) 200w.gif?cid=6c09b952y7pslbatv7g5ey8e1k2c8wcwfebwdin4iykyp76a&rid=200w

. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 5a44d89401a49fdd044111f3992e8693 dismissable ((ft* Aria)) 379b8508949b94a51a5659114d859c02
A R I A

❝ ☼ Scorpio ; ↑ Pisces ; ☽ Capricorn ❞

❛ ❜ 24 yo ❛ ❜ 164cm ❛ ❜ 47kg ❛ ❜


Family are like a branche on a tree

we grow in differents directions

yet our roots remain the same.


. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 2f0a16d87a257311135c43889ae73230_w200


violence ; manipulation ; crimes ; blood ; vulgarities ; fire obsession ;
Pseudo :
MARION.
Messages :
133
avatar + crédits :
Minatozaki Sana ; KELLY.
¥¥¥ :
643
Date d'inscription :
19/12/2022
Âge :
vingt-quatre ans.



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Satoshi Akihiro



Jouer avec Akihiro était presque aussi exaltant pour Aria que de jouer avec le feu. Elle adorait voir les bâtiments où elle foutait le feu se retrouver lécher par les flammes. Comme elle adorait voir le jeune homme petit à petit se laisser aller avec elle. Il rentrait dans son jeu et ça lui plaisait énormément, elle ne pouvait pas le nier. Puis, encore une fois, elle ne pouvait pas mentir sur le fait que le Satoshi lui plaisait. Elle avait toujours été attirée par les mauvais garçons. Elle ne cherchait pas le prince charmant, mais plutôt le vilain de l’histoire et Akihiro entrait, à son sens, dans la deuxième catégorie. Alors, elle le cherchait, testant ses limites et sa résistance. Lui résisterait-il pendant longtemps ? Devrait-elle user de tous ses charmes pour le faire tomber dans ses filets ? Aria n’en avait aucune idée mais elle frémit quand elle le sentit serrer sa nuque. Elle aimait bien cette petite dominance qu’il essayait d’instaurer. Mais serait-il assez fort pour apprivoiser la Fujiwara ? Ça, c’était une autre question. Elle se laissa cependant faire, prête à voir jusqu’où il irait, tout en continuant de le provoquer. Elle sourit en sentant son autre main sur elle. « Et pourtant, tu restes quand même à notre botte. A mes pieds… » Sa langue passa une nouvelle fois sur ses lèvres tandis qu’elle imaginait le jeune homme à genoux devant elle. Petit à petit, le désir qu’elle ressentait pour lui prit plus de place dans ses yeux. S’il y prêtait attention, Akihiro pourrait presque voir tout ce qui se passait dans la tête de la jeune femme.
Aria grimaça presque quand la chaleur des mains de Kiki la lâcha et elle tourna la tête dans la direction qu’il indiquait, un léger sourire s’emparant de ses lèvres. Il allait passer à la vitesse supérieure, la commande d’alcool qu’il passa en était le témoin. La jeune femme se laissa guider, anticipant avec excitation la suite. Elle n’eut pas à attendre longtemps qu’elle se retrouva plaquée contre le mur de la pièce, les lèvres de Akihiro sur les siennes. La Fujiwara retint difficilement un gémissement tandis que sa main libre passa dans la nuque du jeune homme pour agripper ses cheveux. Elle n’était pas encore prête à le laisser prendre totalement le contrôle. Elle voulait jouer un peu plus, le provoquer encore plus. Mais elle ne pouvait pas faire taire le désir qui la brûlait et lui donnait envie de se coller encore plus à ce corps. Il agit d’ailleurs d’instinct, tout seul, tentant de fusionner avec celui du jeune homme.
La jeune femme dégagea son poignet de sa prise et comme pour se venger, elle mordilla la lèvre inférieure de Akihiro avant de tirer légèrement sur ses cheveux pour reprendre son souffle. Ses joues étaient rouges et son regard ainsi que son corps brûlaient de désir pour lui. « Je te le savais… Tu voulais un morceau. T’aurais dû le dire plus tôt… J’ai toujours voulu un morceau de toi. » Un sourire triomphant s’afficha sur ses lèvres avant qu’elle ne fonde à nouveau sur celles de Akihiro, ne lui laissant pas le temps de répondre. Aria avait avoué à demi-mots qu’il lui plaisait. Elle n’en avait jamais eu honte, mais elle n’était pas le genre à courir après quelqu’un qui ne voulait pas d’elle. Heureusement pour elle, elle savait plus ou moins comment arriver à ses fins sans passer pour la demoiselle obsédée par un mec.



unicolore

Invité
Invité

Anonymous



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Fujiwara Aria


C’était certainement la pire des conneries qu’un Kazunari boys pouvait bien faire. Séduire l’une des précieuses filles du clan Fujiwara-rengo. De quoi se retrouver avec des phalanges en moins au mieux. Du plomb dans le bide au pire. Mais que dire, il n’y avait pas mille moyens de faire taire à la fois Aria et le désire qu’il sentît monter en lui. Il n’était pas le plus aventureux des gars de sa bande, il pouvait se montrer le plus bruyant voir le plus agressif, mais jamais il n’allait à l’encontre des ordres. Or il existait des ordres implicites dans cette hiérarchie. Alors que faire ?
Akihiro sentit la main d’Aria monter jusqu’à ses cheveux tendis qu’elle gémissait contre ses lèvres, lui arrachant un petit sourire satisfait, le yakouz’ se colla un peu plus à son corps qui ondulait comme une anguille. Mais avant qu’il ne puisse se moquer de l’impatience qui semblait naître de la jeune femme, elle lui mordit la lèvre et lui tira les cheveux à l’arrière.
Arrogante dans son regard et son attitude, Aki ne flanchât pas et resta ses pupilles plantées dans ceux de la demoiselle tandis qu’elle se moquait de lui. En cette instant ils se toisaient presque d’égale à égale, mais les mots valent parfois plus que les paroles et ce fut elle qui avoua par des mots la première son désir pour lui. Il pourrait toujours dire que l’instant passait avant quelconque autre préoccupation. Mais voilà, elle le lui a dit qu’elle avait envie de lui, et depuis longtemps.
Akihiro ne peut pas s’empêcher un sourire et lui rend son baiser avec fougue, sa main passant dans le creux des reins d’Aria pour la rapprocher de lui tout en lui rendant son baiser.
C’est alors que le serveur frappât et Akihiro repoussa violemment la Fujiwara contre le mur en s’éloignant d’elle, passant le dessus de sa main sur ses lèvres pour tenter de retirer les quelques traces de rouge à lèvre qui devaient d’y trouver, tandis qu’il autorisait en un mot, le serveur à entrer. Une main sur ses hanches, le yakuza faisait de grands pas de longs en large de son pas un peu arqué tendis que l’homme en costume de pingouin tentait de se faire le plus petit possible en posant le plateau sur la table en bois noir laqué qui trônait au milieu de la pièce.
Une fois parti en quelques courbettes, Akihiro se précipita sur un verre et se servit un whisky sec ainsi qu’un autre à Aria et bu le sien d’une traite avant de s’en resservir un et de tendre en même temps le verre à Aria.
Dans sa tête, plusieurs images confuses trônaient et au-dessus de toutes se trouvaient cette de sa main pleine de bagues et de bracelets, disloquée.
« J’vais finir par me faire buter avec tes conneries Aria. » grommelât-il en essayant de ne surtout pas la regarder dans les yeux.
« arg … le whisky ça manque de sucre… »
Il s’était attendu à à peu près toutes les réactions de la part de la demoiselle, mais certainement pas qu’elle entre complétement dans son jeu, ni même qu’elle lui avoue que s’il le voulait, en cet instant précis, ils pourraient … Akihiro soupira en fermant les yeux et fini son deuxième verre cul sec. Cherchant par tous les moyens à ne pas recroiser le regard de diablesse de la demoiselle.
Il savait bien que le jeu de la demoiselle était loin d’être terminé et qu’elle devait prendre un malin plaisir de le voir réagir soudainement comme ça, mais il fallait l’avouer… la chair était bien faible.

unicolore

Fujiwara Aria
catching fire in summer

Fujiwara Aria
Gif profil :
dismissable ((ft* Aria)) Sa

dismissable ((ft* Aria)) 200w.gif?cid=6c09b952y7pslbatv7g5ey8e1k2c8wcwfebwdin4iykyp76a&rid=200w

. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 5a44d89401a49fdd044111f3992e8693 dismissable ((ft* Aria)) 379b8508949b94a51a5659114d859c02
A R I A

❝ ☼ Scorpio ; ↑ Pisces ; ☽ Capricorn ❞

❛ ❜ 24 yo ❛ ❜ 164cm ❛ ❜ 47kg ❛ ❜


Family are like a branche on a tree

we grow in differents directions

yet our roots remain the same.


. ⋅ ˚̣- : ✧ : – ⭒ ⊹ ⭒ – : ✧ : -˚̣⋅ .

dismissable ((ft* Aria)) 2f0a16d87a257311135c43889ae73230_w200


violence ; manipulation ; crimes ; blood ; vulgarities ; fire obsession ;
Pseudo :
MARION.
Messages :
133
avatar + crédits :
Minatozaki Sana ; KELLY.
¥¥¥ :
643
Date d'inscription :
19/12/2022
Âge :
vingt-quatre ans.



   




dismissable
début de soirée
ft.  @Satoshi Akihiro



Dans l’intimité de cette pièce, ils se laissèrent enfin aller l’un contre l’autre. Leurs lèvres se cherchaient et se trouvaient tandis que leurs corps se collaient un peu plus, Aria gémit de plaisir en demandant toujours plus. Elle ne serait pas satisfaite que de ce seul baiser et l’impatience se faisait ressentir. La patience n’était pas la plus grande des vertus de la princesse Fujiwara et son comportement avec Akihiro le montrait totalement. Aria se montra même arrogante quand elle énonça le fait qu’il la désirait et qu’elle le savait, parce que c’était réciproque. Oui, ils jouaient au chat et à la souris quand ils se voyaient mais c’était certainement pour cacher cette attirance qu’ils ressentaient l’un ou pour l’autre. La jeune femme ne tentait même plus de dissimuler ce fait maintenant qu’elle était dans ses bras et que le yakuza lui rendait son baiser avec la même ferveur. Elle se sentait bien, prête à aller plus loin.
C’était sans compter le retour à la réalité et le serveur qui brisa ce moment. Violemment, Aria se retrouva projetée contre le mur et son souffle se coupa quelques instants plus sous la surprise que la douleur. Elle ne la ressentait pas, du moins pas celle physique à cause de sa maladie. Par contre, celle mentale, elle était bien présente et marqua au fer rouge dans son cerveau le rejet violent qu’elle venait de prendre. Serrant les dents, elle garda le silence, n’accordant aucun regard au pauvre homme qui faisait son travail, sa rage et frustration dirigée vers Akihiro qu’elle ne lâcha pas du regard, le fusillant de ses pupilles noires. Si un regard pouvait tuer, le jeune homme serait mort dans d’atroces souffrances parce que la jeune femme prévoyait de lui faire regretter son geste.
Quand le serveur quitta enfin la pièce, remplie de tension qu’elle soit sexuelle comme meurtrière, la jeune femme continua de garder le silence et observa Satoshi prendre un verre et le boire cul sec tout en lui tendant un autre verre. Aria le laissa tendre le bras, n’esquissant aucun mouvement dans sa direction pour l’alléger de ce poids. Au contraire, elle voulait qu’il reste ainsi et que son bras devienne douloureux à cause de la position. Parce que si elle, elle n’avait aucune notion de la douleur, ce n’était pas le cas du jeune homme. Quand il reprit la parole, elle laissa le silence lui répondre et croisa les bras sous sa poitrine. Il refusait de la regarder, très bien. Elle était blessée et vexée qu’il l’ait rejeté de la sorte. Aria n’irait pas de main morte avec Akihiro. « Pourquoi tu m’as fait venir dans cette pièce si c’est pour faire ta poule mouillée ? » Après le chien, elle le comparait à une poule mais c’était ce qu’il était : un lâche. « Je t’avais prévenu que ce que je voulais c’était trouver quelqu’un pour me faire soulever. Alors, si tu n’es pas cette personne… Dégage. » Aria se déplaça jusqu’à la porte qu’elle désigna d’un signe de tête. « J’ai pas de temps à perdre avec toi. Donc soit on reprend où on s’est arrêté, soit tu dégages et je me trouve quelqu’un d’autre… Quelqu’un avec des couilles… Pas un lâche comme toi. » Y allait-elle trop fort ? Peut-être, mais elle s’en moquait. Il avait blessé son égo, à elle de faire la même chose, si ça fonctionnait.




unicolore

Contenu sponsorisé