roue à venir illuminer son regard ,, enfant presque hypnotisée par les quartiers à charmer les palpitants. il y avait poésie, dans les lieux ; où les papillons venaient à se poser contre les joues : pour en faire rire les muses délicates. doigts à essayer d'en attraper le soleil, d'en faire vibrer les petits corps dissimulés sous les couches pastels ; elle voulait disparaître juste un peu, se faire si discrète ! qu'aucun regard ne pourrait la remarquer. de ses mèches à voltiger autour de son visage bien trop pâle ,, à déambuler de son gps à la main ((pour ne pas se perdre)) ; elle avait fait un arrêt ! là, devant les échoppes aux senteurs fabulatrices ! fleurs et parfums à en imprégner les narines, à la faire s'accroupir ,, pour en choisir simple tige presque trop solitaire.

regards :
à briller !
de quelques étoiles.

beauté sous les mains, à fleurir comme si les printemps en avaient décidé de revenir ,, ô elle venait à suivre les indications de son téléphones, à en lever les têtes : pour observer les bâtisses mystérieuses. modernité à changer de son okiya ,, petite maison de bois, à se faire plus tranquille ; il y avait les curiosités à naître contre son visage ! escalader escaliers, se nourrir des lieux ô trop peu visités, elle en aperçu pourtant au loin le petit café où les rendez-vous avaient été pris ! petite échoppe ,, où venaient à se mélanger vêtements d'occasions et sucreries : immersion fragile, dans les douceur de tant d'endroits. c'est qu'elle était bien trop habituée, à marcher délicatement. à laisser les accents du kansai transparaître entre ses lèvres peinturées.
à sourire :
de ses constellations ,,
contre les joues.
trottiner, courir, venir pousser les portes comme si les efforts en étaient presque surhumains : pour en apercevoir la figure toujours si élégante ,, presque impatiente de la rejoindre. "Mirena !", qu'elle secoua la main, comme une enfant, avant de venir la rejoindre pour en tendre sa pauvre fleur. "J'ai trouvé ça en venant ! Elle est belle non ?", qu'elle s'installa, prunelles à se cligner tout doucement, à tenter d'en redresser ses épaules. "Désolée... je me suis un peu perdue en chemin ... j'ai dû prendre mon gps et- je suis pas très douée pour comprendre où faut tourner...", d'un léger retard, sans doute : quand les joues en étaient presque embarrassées. c'est qu'elle l'admirait, Mirena. à en sembler si forte : quand elle n'en était que trop fragile. à se demander à quoi elle pouvait bien ressembler, finalement, si même en suivre un chemin en était si compliqué. de quelques pensées balayées, à se redresser pour sourire d'un coup : il n'y en aurait que les joies, à faire parler les mots !

rencontre opportune alors que deux regards féminins s'étaient croisé l'espace de quelques secondes, et les voilà, deux séraphines belles telles les brises du printemps, froides comme la neige et douce comme des pétales. ce n'était pas commun pour mirena de rester en chemin avec une douce maiko, elle qui n'avait jamais mis les pieds dans des lieux aussi sains et protégés, tradition n'était dans son sang que pour de rares raisons, fabrication douce et pourtant si longue de sucreries apprise par sa mère, service d'un thé fait dans la plus grande des traditions, autre que ses détails sur la belle femme, rien n'était traditionnelle. et pourtant un seul regard lui avait suffit pour voir une personne qu'elle voulait sortir de ce quotidien qui pouvait heurter autant que flatter. tout le monde ne voyait pas le monde comme mirena, la reine de ses lieux étaient bien trop confortable avec l'art d'être une femme, ce depuis qu'elle n'était qu'une enfant. beaucoup présentaient encore de la timidité, de la retenue, de l'élégance alors que la pivoine de matsue ne présentait qu'un caractère dur qu'ils aimaient tant, cette impression qu'elle pouvait les briser, les réduire à néant en un sourire, leur marcher dessus comme s'ils n'étaient que de pauvres insectes sur son chemin. elle doutait bien que ce soit le cas de toutes les femmes dans son domaine, cette image dominatrice qu'elle arborait, elle aimait voir les femmes fortes, celles en pouvoir, et son but n'était que de faire de ce monde une idylle pour ses femmes.
mais la douceur de leur caractère était un obstacle,
obstacle qu'elle briserait sans le moindre regret
they must bow down.
they will.

mion, l'expression de toute la pureté d'un enfant ébranlé par la perversion de ce monde. une trace de tant de bonté, d'enfance toujours présente en elle, tout ce que la cadette des deux voulaient non pas retirer mais affirmer. une femme était belle dans sa douceur d'après mirena, bien qu'elle n'en présente presque aucune elle-même. une femme était belle quand elle avait confiance en elle, assez pour décider de ceux qui auraient la chance de supporter leur grâce, leur délicatesse. il suffisait d'une étincelle, et tout serait si naturel. ce petit lieu n'était pour elle qu'un magasin parmi d'autres, d'un lieu de rencontre parfait pour ce qu'elle voulait faire, transformer une personne en quelques secondes, la rendre encore bien plus belle qu'elle ne put l'être, une beauté que les hommes ne comprendraient pas, une beauté qui ne nécessitait que le sourire de la belle pour briller. elle était si pure, si jeune, tant de chose qu'on aurait pu lui déchirer, un trésor à faire briller. “ cette fleur ? tu sais, tu es bien plus jolie de cette pauvre petite. ” les compliments étaient sa spécialité, même alors que son regard ne montrait pas la moindre amabilité, elle aimait couvrir de cadeau ses proches, bien que l'empathie n'était guère son fort. un rire qui s'échappa fortement de ses lippes en l'entendant expliquer son retard, elle aurait blâmé tant de personnes pour l'avoir fait attendre, elle, la reine de ces lieux, mais pas mion. “ les rues ont changé depuis qu'ils ont fait les programmations gps, la prochaine fois qu'on vient ici, dit toi que tu n'as qu'à arriver dans le quartier, suivre le port puis tourner quand tu verras une petite rue toute illuminée, et tu seras arrivée en quelques minutes ! ” mais encore une fois, tout le monde ne connaissait pas osaka comme elle. ce n'était pas son berceau mais c'était son royaume.

se redressant quelques secondes, le regard de la cadette se pencha sur les habits de la maiko, les poings se dressant sur ses hanches. “ on va devoir faire quelque chose à propos de ça, mais avant, thé. ” il y avait des choses qui ne changeaient pas, elle et les sucreries étaient un vrai crime. tant que la table qui se trouvait tout juste derrière elle était déjà remplie d'une théière ornée de fleur rosâtre, remplie d'un long thé vert pur, accompagné de plusieurs petites sucreries colorées pour combler les manques de sucre que n'importe qui pourrait avoir. “ assis-toi, j'invite, c'est plutôt rare. ”

c'est que quand les arbres venaient à fleurir, les doigts en venaient à récupérer les quelques fleurs à s'écraser contre les sols pour se les accrocher entre ses mèches. de rires cristallins, à s'envoler aux vents clairs, comme pour en émerveiller chaque horizon qui venait à lui faire face. délicatesse ,, à se faire maître dans ce petit corps qui si discret se faisait trop souvent oublié ,, ô elle en rejoignait pourtant les présences : qui en rassuraient les épaules ! de celles qui en redonnaient confiance, qui en donnaient les sourires ! à la rendre admirative, Mion, de ces courages qu'elle ne possédait pas. de gaietés à simplement se répandre partout où elle allait, à se faufiler jusqu'aux sommets des rues ! pour en déverser quelques uns de ses sourires.
car face à elle :
diamant brut !
à scintiller.
c'est qu'elle ne pourrait jamais lui en offrir autant que venait le faire Mirena ! à en avoir trop peu à donner, Mion. gamine à trouver tout ce qui l'entourait bien trop précieux, à vouloir en chérir chaque instant ,, quand il y en avait un peu de courage, à réussir à parler à celle qui en illuminait les regards à chaque rencontre. d'une fleur à en paraître sans doute ridicule pour certains, à elle la trouver si sublime. "H-Hein...?" de ses joues à se colorer tout doucement, cils à papillonner, quand la tête se secoua presque trop assurée, que la fleur l'était bien plus. "N-non non non ! Regarde la bien ! Elle est toute petite et mignonne !", fleur solitaire : à en signifier pourtant bien des mots ! quand elle en refuserait chacun des compliments comme si elle n'en méritait aucun.

d'une créature :
à s'en montrer ,,
si étrange !

d'excuses et d'explications, à gigoter sur sa chaise comme si chaque détail en avait son importance. il y en avait eu les rires, à s'échapper ! à la faire sourire bien plus, de ses airs lumineux. car les vocales à s'envoler en étaient sans doute le plus beau des compliments que l'on pouvait lui offrir. "Oh...Je vois...Je me disais bien que j'étais pas si bête ! Après tout parfois il me disait de tourner dans un mur...je comprenais pas trop...", de son nez à se plisser, à en mémoriser chaque indication : pour ne plus se tromper par la suite. "Je ferai ça ! J'arriverai à l'heure la prochaine fois ! Tu verras !" d'un enthousiasme bien trop éclatant ! car elle était en était persuadée, qu'elle pourrait se rattraper au prochain coup.

paroles à étonner, regard offert qui venait à en remettre en goût sa tenue des plus confortable, elle rigola timidement avant de pencher la tête. "A ce point ?" d'une invitation à la faire sourire, enfant à s'installer auprès de la belle avant d'en fixer des yeux toutes les gourmandises qui lui faisaient face. "Tu es sûre ? Je suis déjà contente rien que de pouvoir te voir tu sais !", qu'elle hésita tout doucement avant d'en tendre les doigts vers l'une de ces sucreries qui lui faisait de l'œil depuis son arrivée. petites mains à s'agiter bien étrangement, pourtant, elle se saisit de la théière pour venir en verser bien trop gracieusement sans doute les poisons sublimes dans la tasse de son vis-à-vis. "Tout à l'air si bon ! Même le thé à une bonne odeur...Tu as vraiment du goût ! E-Enfin j'en doutais pas...! C-C'est juste que...regarde moi tout ça...", quand elle venait à en pétiller devant tout ce qui se présentait devant elle, à briller toujours plus quand les onyx s'en posaient sur Mirena. "La prochaine fois c'est moi qui t'inviterai !" qu'elle lança d'un coup, presque trop heureuse, avant de regarder à nouveau la jeune femme. "Mais tu trouves vraiment...que c'est moche ?" à en cligner un peu des yeux ! quand elle regarda son sweat bien trop confortable ! loin des obi et obijime qui en venaient toujours à resserrer les tailles bien trop durement. à en embellir pourtant ces airs qui s'en voulaient trop innocents, et pourtant déjà bien trop ((abîmés)).

une chose très rare pour la jeune voleuse, alors qu'elle n'avait jamais vécu autrement qu'une enfant unique, celle ayant le droit à tous les cadeaux, les compliments, les amours, sans jamais devoir partager, et pourtant maintenant qu'elle avait mion à ses côtés, c'était si similaire que d'avoir une petite sœur d'après elle, ce qu'elle s'imaginait était le même sentiment, la même impression. peut-être était-ce tout juste le fait qu'elle l'avait bien senti, ce regard, ce respect qu'elle respirait envers la petite personne qu'était mirena, mais c'était avec le plus grand des plaisirs qu'elle continuait à nourrir cette admiration, nourrissant son ego et grandissant l'ego de la maiko en échange, enfin, c'était le but, aussi difficile soit-il. si les compliments ne suffisaient pas, si les esprits se devaient d'être des plus purs en sa présence, la cadette ferait de son mieux pour transformer cette relation douce en puissance féminine, un combo de feu et de sang, menant le cœur des bons jusqu'à la liberté. elle pensait ainsi, voulant être grande, fière aux côtés de la jeune maiko, mais pourtant son sourire ne quittait que rarement son visage, l'enfant ressortant lentement mais sûrement de sa cachette pour venir profiter des moindres moments. “ et toi tu es quoi ? toute petite et mignonne ! ” un rire rapide alors qu'elle était techniquement la plus petite des deux jeunes femmes, les talons venant tricher pour la rendre à la même taille que sa compatriote.

chaque manière qu'elle avait, façon de se tenir, de se balancer sur la chaise, de l'écouter, le seul enfant que mirena aime de toute sa vie sera mion, personne d'autres. et rien qu'en la voyant l'écouter, lui promettre de ne plus être en retard, l'envie de la serrer dans ses bras et ne plus la lâcher, de protéger chaque centimètre de son être, si jamais elle se devait de la voir pleurer, ou alors souffrir, elle n'était pas sûre de pouvoir le supporter. une âme aussi pure que la sienne, dans ce milieu, c'était bien trop rare, il fallait l'aimer, la protéger, l'endurcir, tout en ne changeant rien de ce qui fait de mion elle-même. “ tu vas arriver avant moi la prochaine fois, j'en suis sûre ! pas trop tôt quand même, je ne veux pas avoir à te faire attendre. ” la seule personne qu'elle ne ferait pas attendre, bien que parfois les retards étaient tentants, le petit visage de la maiko était bien plus que suffisant pour qu'elle ne veuille jamais arriver en retard. mais maintenant venait le point le plus important, que faire de son style vestimentaire, et surtout qui allait manger toutes ses sucreries en première ?

servant doucement une tasse de thé encore bien chaud à la maiko avant de se servir également, laissant les plats répartis sur la table, mirena plaça sa main sous sa tasse de thé, la tenant grâce à sa main libre, avant de sourire, sans boire directement. “ je suis contente de te voir aussi mais tu veux pas profiter de là où on est ? c'est tout mignon et en plus on a tous ce qui nous faut ! t'inquiètes pas pour les kilos, ça tombe juste où il faut. ” aucune idée si son aîné avait un régime à suivre, mirena n'en avait aucun et c'était bien visible chez elle en quelques secondes. elle aimait manger, mais pas le fast-food, les bons gros plats de famille, et les sucreries de chez elle. rire qui s'échappa de ses lippes à nouveau, voyant les yeux de sa douce collègue brillait comme ceux d'un enfant, promettant de lui rendre la pareille, avant de reposer son regard sur sa tenue. sa façon de se tenir était parfaite, comme le boulot lui avait appris, une femme qui se tenait droite, élégante malgré ce qu'elle portait, et c'était là le problème. “ moche non, j'ai des habits comme ça chez moi aussi ! mais je ne les mets pas pour sortir. tu voudrais pas savoir ce que ça fait de se sentir belle pour toi et non pour les autres ? ” après tout, les deux étaient vues comme des objets pour les hommes, des trophées que l'on montre au monde, des beautés éphémères, s'éteignant dès qu'ils les perdent de vue. mirena avait appris à s'aimer elle, au point où elle se faisait bien souvent plus belle pour elle que pour les autres, et voir ce petit morceau de prétention en mion serait bien compliqué à atteindre. “ imagine-toi dans une belle tenue, maquillée de façon moderne, tout en mettant ton corps en valeur sans jamais trop en montrer, tu voudrais pas essayer ? déjà rien que des talons t'iraient parfaitement, ça allongerait tes jambes ! oh, et sers toi, n'attend pas que j'attaque les sucreries, sinon je vais tout manger. ” un rire par ici, par là, essayant de la garder en sécurité, apaisée.

joie de vivre à s'accrocher au visage, quand fasse à elle s'en dessinait muse presque trop admirée, c'est que Mion avait du mal à en cacher les quelques étoiles dans son regard ! à être admirative, de ces forces de caractères quand elle en était effrayée du monde entier. bien trop idiot, sans doute, bien trop fragile, à pourtant vouloir en grandir un peu loin de ces prisons qui l'avaient recueillie. quand chaque invitation en était pour elle cadeau inouïe, car aux côtés de la jeune femme, elle se sentait libre de pouvoir faire ce qu'elle désirait sans avoir à réellement en surveiller ses mimiques. de délicatesses pourtant encrées de nature contre son épiderme, elle voulait lui en montrer ô combien elle était ravissante, Mirena. et pourtant, de quelques mots, joues à s'empourprer rapidement, elle balaya de nouveau l'air comme si les figures finiraient par exploser de ces simples compliments bien trop directs. "P-Pfff ! T-Tu m'as mal regardée !!!" qu'elle en viendrait à se cacher derrière sa manche bien trop grande.
impressionnée ,,
intimidée :
et si heureuse !
de ses petites épaules bien trop droites, à presque rire pourtant de ces instants dont elle voulait profiter : tout était écrit sur son visage ! de ces sourires à ne jamais faner en sa présence, à presque la glorifier de chaque regard qu'elle posait sur elle. car la plus jeune en était presque un modèle, à ses yeux. grande et pourtant si forte, à donner ces impressions de pouvoir tout supporter. et alors, peut-être pourrait-elle en devenir comme elle, un jour aussi. à voler de ses propres ailes, quand pour autant elle en aimait se savoir en sécurité auprès de celle qu'elle venait à placer sur un piédestal. d'une voix à venir entre en harmonie de quelques rires, à s'en camoufler les lippes de ses doigts, ô sans doute que la prochaine fois, les aiguilles viendraient à défiler bien moins vite qu'elles ne l'avaient fait aujourd'hui. "J'en suis sûre aussi ! Puis ça me permettra de...de trouver mieux qu'une simple fleur !" d'un petit nez à se froncer d'amusement, quand les étoiles sur son visage en venaient à bouger délicatement à chaque rire. bien trop à l'aise, à ne pas faire attention à ce qu'elle faisait, à juste profiter de ce moment si particulier avec elle.

thé à en colorer les regards, à venir tout doucement se saisir de sa tasse pour venir souffler tout doucement sur les liquides délicats, elle cligna tout doucement des yeux, face à l'invitation de nouveau lancée : par celle qui avait tout préparé. "Oh...Tu as raison ! De toute manière...je ne comptais pas laisser tout ce qu'il y a sur la table me passer sous le nez !" sourire plus léger, de cette silhouette qui lui servait d'outil de travail, et juste pour cette fois-ci, sans doute pouvait-elle en faire légère entorse au règlement, Mion. quelques gorgées à venir être bues, de ses petites mains à en reposer sa tasse, elle en laissa une légère moue sur son visage : quand elle ne savait pas réellement comment se tenir, dehors. "Hmm...Mais...j'ai pas envie qu'on me regarde, dehors. Les gens...", d'un regard à tout doucement se baisser ,, elle avait peur du monde, celle habituée aux salles étriquées et aux regards étranges.
à ne pas vouloir ,,
attirer :  
l'attention.
"Quand je sors...j'ai étrangement envie de me cacher ! Tu sais...comme dans un petit trou. P-Parce que...le regard des autres est effrayant. Alors j'ai que ce genre de vêtements, dans ma garde robe..." et peut-être ne lui avait-on jamais dit ,, que même sans les kimonos revêtis, elle avait le droit de vivre comme elle le désirait enfin. enfant enfermée dans ses cauchemars, à pourtant rêver un jour d'en suivre les pas de celle qui lui faisait face. "Mais si tu dis que ça m'irait bien...alors je te crois ! Je veux essayer !" d'un sourire à renaître tout doucement, elle rigola finalement, avant d'en précipiter ses fines mains sur les sucreries alentours comme pour s'en faire une petite réserve dans son assiette. "Si tu penses que je vais te laisser tout manger ! C'est mal me connaître !" car tout était si bon, ici, à en avoir les yeux pétillants de ces gourmandises. "Mais tu sais...je veux devenir aussi belle que toi. Pas que physiquement. Je te trouve vraiment incroyable ! A être aussi confiante et forte !" visage à finir par se poser tout doucement au creux de sa paume, à rêver tout doucement, de ces confiances qu'elle n'obtiendrait sans doute jamais. "Je veux apprendre...à être comme toi ! Même si ... ça risque d'être compliqué. Je suis peut-être un cas désespéré après tout ! Parce que tu sais, la dernière fois où j'ai marché avec des talons, je me suis cassé la figure ! J'y arrive mieux avec les geta, étrangement..." à ne pas réellement comprendre ce qui venait à la bloquer, quand sans doute Mion appartenait à un univers un peu trop particulier. et pourtant, plus elle venait à admirer Mirena, plus les yeux venaient à en briller. loin de tout ce qui les entourait : il n'y avait qu'elle, pour elle, à ce moment précis.

pluie de compliments qui devenait si habituelle à ses yeux, les jours où elle n'en recevait pas le moindre étaient plus rares, cependant, malgré son ego probablement  bien trop grand, elle ne gardait pas cette capacité de les prendre comme une tasse de thé à la légère, s'amusant parfois à renvoyer les compliments ou complimenter sans être prévenu, tout simplement parce qu'elle le pouvait, parce que c'était si simple, naturel à ses yeux. si les compliments étaient la façon d'arriver aux cœurs de certaines personnes, elle briserait leur bouclier si rapidement. rougeurs et timidité devenant si rares sur sa personne, elle appréciait de les voir en quelqu'un qu'elle appréciait vraiment, une personne à laquelle elle tenait, une âme aussi pure que celle de la douce mion. il était compliqué pour mirena de pourtant pas voir les difficultés à cette timidité, à cette réaction face aux compliments, mais jamais elle ne lui dirait de la façon dont elle les pensait. ceci sera une chose dont elle se chargera plus tardivement dans leurs relations, le plus important était aujourd'hui, son sens d'amour de soi, s'il était déjà présent, ou s'il fallait le créer de toute pièce.

beauté dans la simplicité était une chose que beaucoup de personnes voulaient cultiver, mirena ne croyait pas aux choses si simples, le surplus, toujours plus, et enfin elle était complète. mais tout le monde n'était pas comme elle, une jeune femme fière d'elle-même aux tendances kleptomane, elle préférait que ses histoires de bijoux appartenant à un tel ou un tel reste derrière elle quand elle était en présence de mion, le plus important aujourd'hui n'était pas la cadette, mais l'aînée, et elle sera couverte de fleurs autant physiquement que mentalement avant de partir aujourd'hui, ou mirena n'aura pas fait son job. les couleurs n'étaient pas un problème, elle ayant bien pris tout ce dont elle avait besoin avant de venir ici, et si jamais celles-ci partaient plus vite que prévu, elle avait ce qu'il fallait sur elle, des "médicaments" en poche, prête au relooking d'une vie, ou plutôt un début de relooking. après tout, le but était juste de faire briller ce petit bourdon de joie, et non de le changer. “ mais c'est déjà très bien une fleur ! qu'est-ce qu'il y a d'autres les parages ? probablement des pièces perdues, mais c'est pas très mignon. ” argent et encore de l'argent, un jour elle arrêtera d'y penser, promis.

écoutant alors la douce avouer son envie de s'enfermer, retirer du regard son corps, la cadette posa sa tasse de thé sans même en reprendre une gorgée, lâchant un léger soupire. c'était un sentiment qu'elle comprenait, l'envie de ne plus subir ce regard, cette persistance désagréable par moment, elle était comme ça avant, quand elle n'était pas encore adulte. mais aujourd'hui, l'attention aussi positive que négative était bonne à ses yeux, car une seule personne pouvait la contrôler, elle-même. “ je vois oui mais... ça ne te fait pas de la peine de te dire que même pour toi tu ne tentes pas des petites choses ? tu voudrais pas voir si une jupe te va bien ou alors un beau petit smoking de femme ? tu restes couverte avec le smoking tout en pouvant te donner un peu de classe, de grandeur ! et avant tout te sentir agréable tout en te faisant plaisir ! ” car ici était le plus important, se sentir bien, confortable dans son cœur, en portant ce que l'on souhaite. peut-être était-ce important pour mirena car elle avait toujours été vue comme un objet, au point de presque en provoquer une obsession, ou alors juste l'envie de voir une femme de fierté, une femme de pouvoir, une femme forte devant elle. et alors que la jeune maiko lui avoua l'envie d'être, si maladroitement dit "comme toi", mirena prit une petite sucrerie entre ses lèvres, sourire se posant sur les douces rougeâtres lippes, avant de se lever de son siège, regardant autour d'elle. “ je peux t'aider tu sais ! mais pour ça, lève toi deux petites secondes, que je regarde ce qui pourrait aller à ta morphologie ! ” devenue une vraie professionnelle de mode en quelques secondes, peut-être était-ce le fait qu'elle était si habituée à mentir qu'elle vendait les impressions facilement, ou alors la passion de transformer une petite timide en une bombe de confiance en soi. “ tu n'es pas un cas perdu, tu sais j'ai passé beaucoup d'années à m'enfermer, ne pas parler, rester dans l'ombre parce que c'est ce qu'on demandait de moi, puis un jour j'ai décidé de prendre le pouvoir, en décidant des choses pour moi petit à petit. et si on commençait aujourd'hui par des petites choses, des habits, des habitudes, un peu de prestance ? ” un réel cours de femme qui se formait dans le petit magasin, alors que la jeune brunette s'attarda seulement quelques secondes sur le corps de la maiko avant de se diriger vers les vêtements, tout en gardant sa sucrerie entre ses lèvres. “ dis-moi alors ! pantalon ? jupe ? robe ? chemise ? qu'est-ce qui te paraît le plus confortable ! qu'est-ce que tu aimes voir chez une femme peut-être ? ”  

diamant brut à briller devant ses yeux, d'une beauté sans égale, à attirer les douceurs de quelques mots. et c'était bien plus que cela ! pour Mion. d'admiration presque éternelle, à se faire si petite, face à celle qui en était si grande. air pur à s'insérer dans les poumons, à en faire fleurir quelques espoirs, et si Mirena l'appréciait, peut-être s'en sentait-elle toujours un peu plus heureuse ! à combler les myocardes abimés, à se vouloir elle aussi être douée de talent, quand elle ne parvenait pourtant déjà pas en faire pas droits et confiants. pétales arrachés, aux timidités bafouées, à se répandre tout doucement pour en tapisser les sols de quelques couleurs. de ses doigts, à en ramasser chaque fleur éteinte, pour en rallumer les vies presque trop aimée. c'est que d'une force, elle venait à se laisser bercer par les chaleurs de la jeune femme qui lui faisait face.

à lui en offrir :
tous ses sourires !

c'est qu'elle la trouvait inspirante, presque rayonnante, à en faire briller ses yeux de quelques lueurs, à en entendre les caractères affirmés. puissance bien trop belle à admirer, à en inspirer envies de grandeurs ! quand de ses fragilités, elle n'en parvenait qu'à n'être que simple marionnette de tout un monde. petite créature presque ridicule, face à Mirena : qui devait l'en trouver bien trop ignorante, sans doute. pourtant les lippes s'en étiraient ! s'en réjouissaient ! de ces simples instants partagés. à hocher la tête, approuver chacun de ses mots, comme miracle presque inatteignables. "Oui...Mais les pièces, c'est nul comme cadeau, non ? Tu mérites mieux !" d'un sourire innocent, à tenter de s'en imaginer les trouvailles qu'elle pourrait alors lui ramener, un jour.
de roses ,,
aux perles :
aux joies.
elle voulait tout lui en offrir : de ces petits courages qu'elle possédait tout de même, sauf quand elle s'en dévoilait au monde entier. d'un camouflage revêtit, pour s'en dissimuler ; disparaître de la vue du soleil, pour en attendre les lunes plus discrètes. c'était tout un univers, qu'elle venait à dessiner là, comme si les regards ne devaient jamais s'en poser sur elle : au risque qu'elle ne s'en transforme en poussière d'étoile. alors de quelques confidences, à lui en susurrer ses propres vérités, elle en était bien trop douce avec elle, Mirena. "Hmm...Je...Je ne sais pas trop...? J'ai jamais vraiment essayé...Comme je suis presque toujours en kimono ! Mais...un smoking...ça peut être mignon...non ?" , qu'elle réfléchit alors tout doucement avant de cligner des yeux, un peu perdue. elle ne savait pas, si elle pourrait en assumer là les costumes comme le pourrait celle qui la conseillait.

et pourquoi pas ?

car les gens changeaient, évoluaient ! pour en éclore finalement à leur paroxysme. de ses doigts à venir en piocher sucreries presque discrètement, à les enchaîner, les camoufler sous ses paumes, comme pour en faire réserve dans son assiette. elle en était enfantine ! en paraissait plus jeune que celle qui était déjà bien plus mature qu'elle, à se camoufler, derrière ses innocences presque apeurées. grignotage presque incessant, à en regarder la silhouette admirée se lever, elle tressauta légèrement, Mion, avant de s'en lever également, camouflant les quelques sucreries qu'elle avait pu voler derrière sa serviette. "Ma...morphologie...? J'ai pas beaucoup de formes..." qu'elle se tint presque trop droite, bras à s'écarter un peu de ses hanches pour tourner sur elle-même presque amusée par ce petit jeu. "V-Vraiment ...? Tu es encore plus incroyables que je ne le pensais alors !" que les mots en étaient emplis d'affection, de ses pas à venir la suivre tout près, sans ne jamais vouloir s'éloigner d'elle.
curiosité,
à la démanger :
éternellement.
"Je trouve...les chemises très jolies ! sur une femme...le tissus léger, élégant tout en étant confortable...!" qu'elle laissa les paroles sortir tout doucement, sans doute bien trop rapidement. "Tu aimes porter quoi, toi ?" d'un regard à se porter sur les tissus qui leur faisait face, à se dire que tout lui irait, à Mirena. "Et j'aime bien les pantalon...mais j'en porte pas souvent non plus... Je mets souvent des longues jupes !" figure à se retourner vers la belle, quand les sourires s'en faisaient sans doute bien trop légers et honnêtes, face à elle. "Mais tout ce que tu choisiras me plaira je pense !" à en saisir robe un peu trop légère au hasard, pour se la mettre devant la figure, avant de rire tout doucement, sous les images qu'elle devait en refléter. "Alors ? J'aurai l'air d'une dame dans ça ?" qu'elle s'amusait ! venait à jouer avec ce qui l'entourait, de mimiques bien trop élégantes. à se perdre sur les étagères, en remarquer quelques accessoires bien trop mignons, d'une simple barrette ornée de quelques fleurs en perles : à tendre sa main ! pour l'accrocher dans les cheveux de la plus jeune. "Je prends ça ! Ca te va bien !" d'étoiles à sourire, contre ses joues, à toujours en penser aux autres ,, quand elle voulait en remercier perpétuellement celle qui lui en offrait tant de chaleur. à vouloir lui en montrer ses affections à sa manière, timidement et hasardeusement : de quelques babioles sans doute sans valeur.

et Mirena en était :
toujours ,,
magnifique.

la pureté des actes de chacun n'était jamais gratuite, c'était une chose qu'on lui avait très bien appris dans son vécu. rien n'est gratuit et rien ne le sera, tout a un prix qu'il soit abordable ou non. et pourtant avec mion, elle pourrait lui décrocher la lune juste pour la voir sourire, pour lui faire plaisir. comme si c'était un enfant plein de vie, plein de joie, tout ceci refoulé en une petite adulte qui ne cherchait qu'une façon de se redécouvrir. et la voilà dans la place, la belle mirena, en position de professionnelle de mode comme si elle en avait les crédits, pour trouver le meilleure moyen de faire briller la jeune mion. c'était peut-être très cliché, une jeune femme qui veut donner plus de pouvoir à d'autres femmes, féministe certains diraient, et ils avaient peut-être raison, mais mirena pensait qu'il était normal, dans un monde comme le sien, que chaque personne soit sur le même pied d'estalle, que ce soit un homme, une femme, ou tout ce que l'on peut être entre. l'important était la personne, non pas son genre, mais elle devait l'avouer, le genre était sa spécialité. elle aimait les grandes femmes, les voir fleurir, grandir, ce qu'elle a réussi à faire dans la saleté, elles l'auraient dans la brillance.

des rires placés ici, là, simplement, sans la moindre retenu, chacun plus vrai que d'autre, c'était simple de voir qu'elles étaient confortables l'une avec l'autre, et pourtant de façon bien différente. « oh j'accepte aussi les pièces en cadeau mais pas de la part de tous mes amis, il y a des personnes fait pour tout ça. » pas plus de détail, il n'y en avait pas besoin. elle acceptait tous les cadeaux qui pouvaient lui être fait, même si elle n'en avait aucune utilité, même si elle ne le mettrait jamais, la jeune mirena était humble dans ce sens, rien n'était trop bon ou trop mauvais pour elle, tout lui allait. peut-être était-ce son travail qui l'avait forcé à cette façon de penser, ou alors tout simplement le fait qu'elle avoir plus, encore plus à tout moment. un secret, un doute, une énigme dont personne n'a la réponse. et pourtant elle écoutait chaque réplique de la jeune maiko, toutes les idées qu'elle avait serait bonne, il suffisait de trouver la perle pour elle : smoking, pantalon, chemise, et pourquoi pas juste une jupe avec une chemise, tout était si beau dans son imagination, il suffisait de commencer.

mirena ignora le petit compliment de la maiko, ne pensant pas grand chose de l'idée qu'elle soit sortie d'un problème comme son passé. à la place, elle cherchait tout ce qu'elle pouvait trouver d'attirant dans la boutique, un pantalon bleu long mais léger, une chemise blanche légère, oh et pourquoi pas une petite jupe longue avec la chemise ? tellement d'idée, tellement de possibilité qu'elle en avait le bras rempli de vêtements ! « je mets de tout ! j'ai une préférence pour les choses près du corps après je dois l'avouer mais c'est pas pour tout le monde alors je vais pas te sortir ça ! quelque chose de libre, de fluide, ça t'irait mieux et ça serait confortable je pense ! tu veux bien voir pour essayer cette chemise avec ce pantalon en premier ? » s'arrêtant quelques secondes pour regarder la robe qu'elle avait prise, observant de haut en bas avec un sourire, avant de retourner chercher ce qui pourrait aller parfaitement avec la robe en question, une petite ceinture, et un petit sac à main. « avec ça, ça serait parfait sur toi ! une vraie jolie dame ! si c'était mon genre je t'aurais proposé un petit verre et une conversation à deux si je te voyais dans la rue comme ça ! » menteuse qu'elle pouvait être, c'était son genre, elle ne voulait juste pas la mettre trop inconfortable. quant au généreux cadeau de la barrette fleurie, mirena observa le résultat dans le miroir, la déplaçant légèrement sur sa chevelure, avant de sourire et de la garder ainsi. « t'es très mignonne mais c'est pas ma journée aujourd'hui c'est la tienne ! je vais rechercher si je trouve un smoking qui est bien coupé mais j'ai pris tout ça pour que tu essaies aussi ! on sortira avec plein de nouveaux habits pour toi tu verras ! » une journée shopping des plus normales pour mirena, bien qu'elle n'achetait pas grand chose elle-même la plupart du temps. l'amour des autres lui achetait tout ce qu'elle avait, l'amour qu'elle avait pour mion pouvait être partager par quelques dépenses en échange non ? après tout, elle était souriante, brillante, comment lui dire non ?   

de ces douceurs, à faire s'envoler les parfums d'élégances : petit papillon, à virevolter autour de celle à resplendir chaque regard sur son passage ! c'est qu'elle captivait ses opales, à hypnotiser les sourires ,, confiances qui en émanait de la douce comme pour se transmettre à toutes celles qui venaient à l'entourer. force incroyable, à sublimer chacun de ses pas, elle en laissait perles de nacre derrière elle ! comme pour en faire remarquer son passage : à en être bijou à elle seule. et Mion, elle, n'en n'irradiait que de douceurs permanentes ! pour en plaire aux regards des autres. à n'avoir aucune force, à ne s'en faire que trop discrète, de ces caractères trop dociles.
et on l'oubliait :
si facilement !
au quotidien.
à elle ne pas en marquer les iris, à n'en être que trop délicate : pour que l'on s'intéresse réellement à elle. rire délicat à s'effiler d'entrer ses lippes, à ne pas réellement en comprendre toute l'ampleur des mots : qu'importe ! quand elle en profitait de ces instants presque trop légers. à en hocher tout doucement la tête, se livrer à quelques idées farfelues qui venaient à la changer de d'habitude, elle n'en était que trop habituée à ces habits épais et en soie ! à camoufler les corps, embellir les grâces : épouser les motifs comme pour en créer joyaux emballé de quelques couleurs. Mirena ,, muse des lieux : aux bras emplis de trouvailles. "Oh...Je vois...! du fluide et léger...!" qu'elle réfléchit tout doucement, venant saisir entre ses mains la chemise et le pantalon désignés. "Je vais les essayer !" d'un sourire : à pourtant en regarder à nouveau ce que venait à lui proposer la jeune femme.

de quelques rougeurs !
timidité : à la prendre.

"Pff. Je suis sûre que personne se retournerait ! Il faut l'allure qui va avec....!" qu'elle plissa des yeux, à en saisir la deuxième sélection que pouvait lui proposer la plus grande. c'est qu'elle n'en pensait les charmes que trop peu existants, à ne pas penser une seconde : qu'elle pouvait en attirer les regards des autres, Mion. sourire délicat ! à s'éprendre de sa figure, elle en observa les cadeaux presque ridicules fleurir sur la chevelure de la jeune femme : à vouloir elle aussi, en offrir quelques trouvailles. "Ca n'empêche pas que je puisse t'offrir quelque chose !" et de quelques prunelles à s'illuminer, à venir s'enfuir les bras emplis de vêtements, elle s'empressa de tester ce que Mirena avait trouvé pour elle ! à en essayer chemise et pantalon, ajustés de ses petits doigts, presque trop contente !
à trottiner :
hors des
cabines !
"A-Alors...?" qu'elle fixa tout doucement ses jambes élancées, avant d'en tirer un peu sur ses manches. "J'ai pas l'habitude...de porter des pantalons...Mais c'est hyper confortable...! Je prends !" à ne pas réellement attendre ! quand de joies à se lire sur son visage, elle en trouvait confort dans chaque tissus qu'était venu lui tendre la douce. "Je reviens !" regain d'énergie à venir la prendre, quand de ses doigts à en attacher ses longues mèches noiraudes, elle repartie en cabine pour essayer la seconde combinaison idéalisée par sa compagne d'un jour. à se demander ,, si l'effet produit en serait comme imaginé par de lointains mots. robe enfilée ! à tenter d'en ceinturer correctement sa taille, elle sortit de nouveau discrètement de derrière les rideaux, presque embarrassée ! de devoir en demander l'avis de celle qui l'accompagnait bien trop généreusement. "E-Et comme ça...?" qu'elle cligna tout doucement des yeux, à en tendre délicatement les pans de ses vêtements, elle tourna tout doucement sur elle-même comme pour en donner mouvement au tissus, avant de rire délicatement !


"C'est vraiment différent...de d'habitude ! J'ai l'impression d'être bien habillée, d'un coup ! Mais venant de tes choix, ce n'est pas étonnant !" et elle venait à s'amuser, finalement ! loin d'avoir peur de ses regards à elle. "Peut-être que finalement...quelqu'un viendra m'inviter à boire un verre !" d'innocences arborées comme naturel, à ne pas vraiment y croire : quand elle en était bloquée dans ces arts qui venaient à la dévorer. "T'en fais déjà beaucoup...pour moi ! A-Alors ne te casse pas trop la tête...si y'a pas de smoking...! J'ai encore pleins de trucs à essayer...", qu'elle pencha timidement sa tête, avant de se rediriger vers leur table pour en saisir quelques gâteaux et venir en emplir les doigts de Mirena. "Faut que tu profites aussi !"  et alors elle pourrait rayonner : si elle aussi, venait à s'amuser !