Innocence envolée, plus jamais retrouvée. Quand les comportements enfantins n’en démontrent que combien sa vie a toujours été faite de captivité. Oisillon ayant toujours rêvé de prendre son envol, quand pourtant sa vie n’en a été vécue que derrière des barreaux d’acier.

Et Jian en nourrit ses frustrations, son sauveur qui en répète qu’elle doit rester en sécurité quand lui s’en jette au devant de la mort avec trop de facilité. Alors petit oisillon veut s’en faire grande comme son aîné, à vouloir marcher dans les traces de celui dont les pas ne mènent qu’au plus profond des ténèbres. Mais à tenter de le pourchasser dans les pénombres, elle s’en perd dans le dédale de ces rues, labyrinthe d’immensité pour celle n’ayant toujours connu que de minuscules cellules où exister.

Et trop vite, elle en est stoppée. Couvre-feu non respecté, c’est sans difficulté que deux policiers viennent la cueillir, à l’asséner de questions sur sa présence au dehors aux heures interdites. Lèvres scellées, quand les iris sombres en cherchent une échappatoire plutôt que d’affronter les figures menaçantes.

”Qu’est-ce que tu fais là toute seule dehors ?”
“C’est quoi ton nom ?”
“D’où tu viens ?”
“C’est interdit d’être dehors à cette heure-là !”
“Hé, pourquoi tu réponds pas ?!”
“Allez on a pas de temps à perdre, on l’emmène en détention, on peut pas la laisser là.”

Les mots qui en réveillent les terreurs de Jill, à ne plus jamais vouloir s’en trouver prisonnière. Mouvement de recul quand ses jambes menacent pourtant de flancher, à ne pas y trouver d’issue de secours. Prise au piège, comme un animal acculé. Et pourtant elle ne voulait qu’en accompagner Jian au cœur des ténèbres pour l’empêcher d’y succomber.

et dans la nuit, valsent les poussières. pieds à faire virevolter les graviers, bitume à brûler les semelles : quand ici, tout n'en était que désillusions. de poings abîmés, à venir éclater les rêves de quelques gamins, sourires à se faufiler ,, comme acteur si grandiose à monter sur les scènes. silence maudit, à braver les interdits ! car il n'y avait jamais de repos, pour ceux à en vouloir faire don de justice.

simple nourriture :
à l'avoir appelé.

car d'un sac à la main, pour en déguster les soirées dans les solitudes, il s'en était égaré dans les rues ! comme par peur d'en rentrer chez lui. passage obligé : dans ces rues aux allures de prison. menaces permanentes, à venir assaillir les douceurs des astres ,, ils étaient là, à guetter les moindres mouvements de ceux à venir en effleurer les douceurs de minuits.

d'interdits :
à emprisonner.  

figure à se relever, sur l'une de ces fines allures à reculer face à l'ordre, il soupira ! presque agacé : que ceux en uniforme viennent en faire subir ces règles de terreurs. silhouette à vaciller, au loin ,, à tout voir, Ryunosuke, quand chaque geste n'en était que vision d'horreur, pour lui ; il s'approcha tout doucement, quand dos à la jeune fille, il en posa délicatement sa main sur son épaule !

et la scène : pouvait commencer.

— J'ai pas arrêté de t'appeler ! d'un visage presque inquiet, à en faire quelques salutations ,, comme de politesses bien trop ridicules. à en prendre figure fatiguée, comme si le corps en avait couru à sa recherche, il détailla la jeune fille de haut en bas ,, à faire mine : de vérifier qu'elle allait bien. — Je suis désolé, c'est ma petite sœur., qu'il soupira !  à en jouer comédie si parfaite, quand les doigts vinrent en ébouriffer bien trop délicatement la tête de la plus petite. — Elle vient de revenir en ville après un long voyage et...et elle m'a pas laissé le temps de lui expliquer la situation...Elle est pas au courant pour le couvre-feu, alors j'ai essayé de la rattraper..., qu'il s'en montrait presque désolé !
pour cette inconnue :
à vouloir ,,
en donner ses aides.
— Tu m'écoutes vraiment jamais hein ! qu'il s'en énerva presque ! comme si tout n'en était que trop facile, pour en falsifier ce qu'il était. carcasse vide : de toute personnalité. il n'en était que persona ,, à jouer de sa figure. — Evidemment je la ramène...Veuillez nous excuser...! à forcer les excuses, corps à s'incliner comme repentance. d'une police à vouloir berner ,, il s'en ferait maître des innocences, là, à accompagner cette figure qui s'en faisait jeunesse incarnée.

Et les barreaux qui l’emprisonnent s’en voient disparaître. Rappel sous certains aspects du jour béni où Jian l’en a sacrée de sa liberté. A en voir dans les ténèbres une autre âme se pencher sur sa destinée. Quand elle se rêve d’un exil, à n’en compter que sur les aléas, occurrence à venir la cueillir pour en valider sa bonne étoile, à finir par en croire que l’univers en a peut-être quelque chose à faire d’elle, après ses longues années de tourments et de captivité.

Incompréhensions à saisir l’innocence, quand un aigle en apparaît, majestueux sous son plumage, à s’en faire protecteur de ses ailes déployées. Sourcils qui se froncent sous les comportements trop familiers, Jill à toujours en craindre les mains tendues, surtout quand elles viennent de sombres inconnus. Mais à en saisir que les événements vont la libérer de ses geôliers, désir de jouer le jeu pour s’en libérer, quand pourtant elle en doute des bonnes intentions de celui à l’intervention salvatrice.

A trop bien se rappeler la froideur et les sévices de ses longues années de captivité.

No. No please no... Please don't hurt me... please...

Réminiscences à lui glacer le sang, crispation instantanée, quand les policiers acceptent d’en disparaître. A la laisser seule avec cet autre qui en semble soudain être la porte de tous les cauchemars. Sursaut à l’éveiller, pour s’éloigner de l’inconnu. Silhouette jamais aperçue, à s’en demander pourquoi il en ferait geste amical pour lui venir en aide, quand le monde n’est qu’une succession d’abandons ou tous profitent toujours des gens trop faibles. “Pourquoi t’as fait ça ?” Les mots qui sortent comme des reproches, distance de sécurité installée pour permettre au petit animal apeuré de fuir au moindre signe de danger. “C’est quoi le prochain truc ? M’inviter à manger un bonbon dans ton camion ? J’ai pas quatre ans !” Les attaques qui se poursuivent, quand elle en ressent le besoin de sortir les griffes pour en sembler plus forte qu’elle ne l’est réellement. “Jian dit que je dois jamais faire confiance aux inconnus.” A en conclure par la plus implacable des lois, parole de Jian comme évangile le plus sacré, à toujours en suivre ses doctrines synonymes de survie. Pour en vivre, encore un jour de plus.

enfant des Empyrées, à lui faire face. petite créature à s'hérisser : fuir ceux inconnus ! à en être tous démons venus pour en dévorer les douceurs de ceux qui se faufilaient dans les rues, pour en charmer les innocences ! voler tous leurs joyaux, comme s'ils en étaient à portée de main. influence perfide, c'est qu'un jour ceux à en causer chaos viendraient à se noyer dans les tréfonds !
à haïr :
ces confiances ,,
empoisonnées.
car lui s'en voulait sauveur nocturne ! simple âme charitable à en tendre sa paume à n'importe qui. grand, à s'imposer sans ne jamais en n'obliger pourtant les présences : c'était les jeux qui venaient à se révéler ! comme pour en effrayer les autorités subtilement. regards volés, il en avait fait fuir cerbère de simples sourires. quand les rues venaient à brûler ,, et que face à lui : repentance à s'offrir de tous ces péchés qu'il venait à commettre. honneur bafoué, dans les secrets, à n'en être que calvaire qu'il venait à traîner avec lui. et au final, il n'en était pas mieux que ces voleurs de minuit qu'il venait à haïr.

prisonnier :
de ces carnages !

et c'est qu'elle s'en éloignait, la douce ! de celui presque trop soudain. à raison : quand il en était mal interdit sous ces airs de héros. triomphe pourtant réussi, à ne rien vouloir en tirer ,, il en était altruiste désabusé de ces contes dans lesquels son personnage en était toujours oublié. celui qui souriait, celui que l'on effaçait, comme simple souvenir qui n'en avait que trop peu de valeur. — Parce que...t'avais l'air d'avoir besoin d'aide ? qu'il ne s'approcha pas ! comme pour ne pas l'effrayer plus. de mains à se lever, innocence à se proclamer !

ô accusations ,,
à réfuter.

de maux à lui reprocher, de crimes à en faire se tendre les épaules : il n'y avait là qu'images impossibles ! pour celui qui en veillait aux douceur d'été. violence d'un dicté ô bien trop réaliste : car le monde n'en tournait pas comme lui l'aurait sans doute souhaité. — Jian...? d'interrogation, quand lui n'en connaissait aucunement les syllabes, à les balayer d'une main, pourtant ! sans ne rien discréditer. — Et il a raison...! C'est dangereux, et encore plus à cette heure. Pour ça que tu devrais pas traîner dehors à cette heure là. presque inquiet, innocente conviction à venir en offrir à tous ses attentions bienfaisantes. — Dans tous les cas, je pensais à rien d'autre, juste te débarrasser des flics pour éviter que tu finisses en cellule ce soir...Rien de plus. honnêteté fracassante ! de mots simples, de buts réels : c'était sa réalité, à lui. — Alors promis je vais rien te faire ! Je peux juste te raccompagner ? sourire à se tracer, à en être presque trop doux ! les yeux pétillaient, la nuit les embrassait, comme si dans ces rues : ils en étaient seuls au monde.
bercés,
par les lueurs :
d'espoir !

Confiance à ne jamais être donnée, âme à l’innocence volée qui sait toujours s’en parer de sa méfiance, les réticences qu’elle brandit comme un bouclier pour toujours se protéger. Elle le sait, les autres en sont si souvent mauvais, et ceux les plus avenants savent s’en montrer les plus prompts à vous précipiter au fond de l’abîme. Craintes à en faire frémir l’épiderme, quand les souvenirs des blessures en sont trop aisément réveillés. Cicatrices psychologiques impossibles à effacer, quand le regard s’en fait dur, incapacité à croire au moindre de ces inconnus, à tous ne les voir que comme autant de menaces.

Mais il en prend précautions démesurées, comme à en côtoyer un animal apeuré. Et les mots se font sages, douceur à en calmer les esprits, quand pourtant Jill n’en voit jamais ses barrières s’abaisser. Et elle s’en méfie tant de ces vendeurs de joie, charlatans du bonheur qui en prétendent vouloir votre bien, quand ils n’en sont que pourvoyeurs des âmes perdues, dans ce monde où les orphelins n’en sont qu’abandonnés déchus. Les sourcils froncés devant ses tentatives de l’apaiser, petit oisillon à s’en demander si une quelconque confiance peut lui être accordée.

Pas en arrière pour en sécuriser distance entre leurs deux êtres, à toujours en privilégier les options de fuite. Le regard fuyant, à pourtant ne jamais en perdre la silhouette des yeux. ”Bien, tu peux me raccompagner si tu veux… Mais tu t’approches pas de moi.” Les ordres qu’elle jette pour s’en assurer qu’il saura se montrer digne de l’escorter, à n’en vouloir que de son soutien s’il est prêt à en accepter la moindre de ses demandes. ”Moi je marche ici sur le trottoir, et toi tu marches là-bas.” A en désigner du doigt le milieu de la route pour s’en rassurer, certitude qu’il devra en accepter ses décisions s’il veut pouvoir l’accompagner. Les quelques pas qu’elle fait en avant avant de se figer, regard posé sur lui à en attendre qu’il avance à son tour, même si aucun mot ne franchit ses lèvres. A lui en offrir l’occasion de montrer qu’il est prêt à assumer les conséquences de ce qu’il a lui-même réclamé.

doucement, à petits pas ,, figure à reculer, s'avancer, freiner, courir : à veiller à toutes ses réactions ! quand il s'en faisait prudence nocturne, douceur des gestes quand les voix venaient à chanter les offrandes sans intentions subtiles. simples envies d'en délivrer quelques poussières de fée, qu'il avait récolté sur son chemin de quelques pas dans les nuits infâmes. et après tout, sans doute n'y avait-il aucun mal à disséminer ici et là quelques gentillesses trop rares !

Hélios a l'avoir nommé ,,
pour en transporter :
les Soleils !

alors il court, vient en tendre ses doigts comme s'il pouvait en réparer l'univers tout entier. comme si tout pourrait en réparer les maux invisibles à le hanter. et il vient l'observer ! cette petite figure à se faire craintive des inconnus. à raison ! qu'elle en était bien informée : qu'ici, tout pouvait arriver. les confiances devaient s'en mériter, les étrangers devaient être gardés à l'écart ! jusqu'à ce que les preuves des sincérités en soient suffisamment convaincantes.

et à ce moment là ,,
les joies reviendraient !

quelques pas en arrière, pour apaiser les craintes. coopération radicale ,, à ne rien laisser en suspend. — Je ne m'approche pas, promis ! qu'il en hocha la tête, à rester alors à bonne distance sans réellement s'éloigner pour autant. ordre à venir respecter, demandes prises comme demandes sacrées, il s'en faisait sagesse si calme ! celle à obéir comme si chaque mot en étaient garants d'une chance éternelle. regard à glisser le long du doigt si fin de la plus jeune, à cligner tout doucement des yeux, il en laissa échapper un léger rire ! presque amusé, de ces exigences si précises et délicates. — La route ? Si y'a que ça vraiment... épaules à se hausser, il s'avança alors contre les asphaltes ! d'un sourire aux lèvres, quand il tourna sur lui-même pour en demander validation de la position. — Ici ça te va ? seuls, parmi les lumières factices.
vide des crépuscules ,,
mort dans la ville :
silence désolant.
à ne faire que régner les éclats ! douceur solaire à veiller sur la petite silhouette qu'il voulait accompagner de ses présences discrètes. — Moi c'est Ryunosuke ! voix à s'élancer, comme pour en disséminer là informations sur lui. goutte à goutte ,, à ne rien obliger du petit ange en retour. à simplement en donner là repères, pour ne pas en paraître trop étrange. — T'es pas obligée de me dire pour toi...! C'est juste pour...que tu saches. regard à se faire depuis la route, à se sentir sans doute un peu bête ! d'en garder distance aussi éloignée ,, mais ô tout cela pouvait en devenir jeu : de regards, de gestes, de voix à porter plus loin. comédie dissimulée, dans la vision d'une fleur à s'épanouir, il en obéirait à tous ses mots ! si cela pouvait la faire rentrer chez elle. — Si c'est tout bon pour toi...Alors je te suis !

à en commencer :
les voyages incandescents.

Inquiétudes éternelles, on s’en fait prudence, toujours à vouloir s’en protéger de l’inconnu. Jill si habituée à en avancer dans le noir, à pourtant en avoir trop bien appris que ce n’est pas là qu’il faut y suivre silhouettes affichant sympathie. Car les sourires en sont trop souvent trompeurs, et qu’elle s’en refuse à disparaître quand elle en sait combien son existence est un peu de bonheur pour celui qui l’a sauvée.

Mais l’autre silhouette à s’en faire des plus amicales. Tentatives désespérées d’en prouver sa bonne volonté, à en suivre toutes les directives de la fragile. Et elle l’en observe marcher sur la route au mépris du danger, à en froncer les sourcils quand elle s’en demande s’il est trop naïf, trop gentil, ou fin manipulateur. Mais de ses gestes et de ses mots, il en titille ses sourires, à presque en illuminer Jill quand il semble en être si maladroit.

Secondes d’hésitation quand elle se demande si elle peut lui en révéler son véritable nom, avant de s’en satisfaire de penser que s’il vient à devenir méchant, Jian le tuera tout simplement. ”... moi c’est Jill.” Les mots empreints de simplicité alors qu’elle en écarquille les yeux. Prunelles à en observer Ryunosuke pour ne pas lui permettre de disparaître de son champ de vision pour la surprendre. ”Mais c’est pas parce que je t’ai dit mon nom que ça veut dire qu’on est copains hein…” A une nouvelle fois s’arrêter, doigt levé comme pour s’en faire porteuse d'avertissement.

Mais la curiosité en est si grande dans une âme si jeune. A vouloir en obtenir réponses sur la présence de lui-ci pour tenter de s’en rassurer un peu plus de sa présence. ”Ryu-machin là… tu fais quoi dehors à cette heure là toi ? Tu fais des trucs louches et bizarres, c’est ça ?” A en prononcer cela sans pour autant s’en départir de son avancée, à presque en faire comme si ses questions en étaient banalités, quand pourtant elle en guette toujours l’autre, yeux plissés pour en attendre ses explications.

et quand viennent à sombrer les nuages, à en emporter le soleil pour recolorer les cieux : ô noir à faire succomber chaque instant dans les nuits toujours plus infâmes, à ronger les âmes ! dévorer les esprits ! pour en rendre fou ceux à vouloir s'épandre des nocturnes. mais douces lumières à venir éclairer les rues, pas à se faire discrets contre les bitumes amochés. c'en est symphonies perturbées, qui viennent sonner aux oreilles : à vouloir veiller, lui, sur l'une de ces petites fées qui en épousait les dangers des routes.
à voltiger ,,
là :
au creux des limbes !
à en rendre les rues plus douces, de ses caractères si trempés. mots à se dévoiler, comme pour en briser les airs austères des journées infernales. ô Jill ,, petite créature ! à s'en faire destinée de quelques instants. c'est qu'il viendrait à rire : quand les interdictions venaient à s'ajouter une à une comme pour en limiter les bourgeons de fleurir. — Oh ne t'en fais pas...Je n'essaie pas de devenir ton ami, Jill. Je te raccompagne juste, et après ouste, tu me verras plus. qu'il s'en amusait ! venait à rire à éclat : de méfiances qu'il viendrait à saluer ! car car personne ne viendrait lui dire suffisamment ô combien il fallait toujours redouter chaque humain à en croiser son chemin. de son petit doigt, à en noter là chaque doléance, que lui viendrait à mémoriser !

bien trop sage !
face à
chaque demande !

de ses sourires, à pourtant grandir. c'est que les phalanges abîmées n'en trahiraient personne ! à lever les doigts en l'air comme pour s'en justifier en permanence, c'est qu'il viendrait à tout faire pour ne pas en effrayer celle qui en semblait si suspicieuse du monde entier. — Ryunosuke...Appelle moi Ryu c'est...c'est plus simple...que Ryu-machin... Mais je m'entraînais. J'fais du sport de combat, t'sais, boxe, judo... à mimer alors quelques coups de poings un peu ridicules dans l'air : quand rien n'en était beau, les nuits où il venait à traîner. loin des obligations ridicules, elle lui en offrait enfance volée ! celle si légère, où dans les rues venaient à s'envoler les rires naïfs.

temps perdu : au creux des poumons !
car tout venait ,, à s'écorcher.

— Mais promis, rien de dangereux. J'fais ça en club, c'est purement sportif. quand les figures en étaient reconnues, à ne pas s'étaler, pourtant ! de quelques mensonges, ici et là : comme pour lui cacher, qu'il en était lui faucheuse dans le secret des pénombres. image publique ,, à cacher là les vices de toute une société. quand vient à pleurer, la nuit, les corbeaux assoiffés de sang. — Du coup je fais un bon garde du corps, alors t'as rien à craindre. à venir affirmer là, tout ce qu'il n'était pas ! — Et toi alors ? Avec le couvre feu, t'es pas censée être dehors, non ? 'fin j'vais rien dire je suis dehors aussi, je suis pas un exemple du coup. rire léger ! à faire fleurir les étoiles. ô douceur à scintiller ! quand ici, personne ne leur viendrait en aide. — Raison de plus de rentrer vite chez toi. En plus il fait frais. T'as pas trop froid ? Ah d'ailleurs ! J'ai de quoi grignoter, dans mon sac, si tu veux. Des snacks, c'est pas fou mais... qu'il en secoua son petit sac, du milieu de la rue : à presque en sembler fou !
là ,, à embrasser :
les demandes
et envies !

d'une créature ,,
à s'en faire :
si amusante.

enfant à ses yeux ,, à éclairer les nuits :
ô lueur d'espoir dans ces ravins miteux.