Et sous les yeux, joies à venir se faire beauté fragile ! c'est que l'odeur d'encre venait encore à en imprégner ses doigts. artiste de minuit, à aimer les arts si mal vus : ô pourtant à porter sur ses épaules tous les honneurs du monde ! quand un jour comme celui-ci en était d'une rareté si soudaine. car avant, elle en aurait été celle à courir de ses treillis, celle si petite que l'on ne viendrait jamais l'imaginer gradée. ô rêve ancien, quand elle venait à tout oublier, de quelques verres souhaités.

à marcher,
loin de tout :
loin de ses cauchemars.

quand talons à claquer sur les bitumes, à venir s'installer dans l'un de ces bars animés de nuit, ô tout n'en était que trop agréable ! quand elle n'avait pas à penser à tous ses problèmes quotidien. solitude appréciée, quand les journées en étaient si bruyantes : bonheur évident ! de ses regards éclatants. fines figures à venir se glisser contre les comptoirs, à en croiser ses délicates jambes, elle tapota tout doucement des doigts contre la surface qui lui faisait face, elle observa un instant les personnes alentours avant de venir finalement commander. — La même chose que lui, s'il vous plait., et à se pencher tout doucement vers le jeune homme ,, comme pour en faire inquisition !
sociable :
à sourire ,,
à la vie !
— C'est bon ? iris à se plisser, moue amusée à venir faire questions presque trop familières, elle hocha légèrement la tête comme convaincue par un seul regard. — Je sais jamais quoi commander alors je me permets de te copier....! rire léger, presque trop frivole,  elle se moquait des politesses, venait à vivre comme si le monde n'en était que terrain de jeu complet. car à quoi bon se retenir : si tout était voué à prendre fin, un jour.

et elle voulait :
profiter de chaque instant.

— T'es tout seul ? C'est pas trop ennuyeux ? à presque en proposer sa compagnie, quand elle en semblait déjà trop bavarde. à ne pas s'imposer, pourtant. demoiselle presque trop légère face aux manquements de tout un univers. bonne compagnie qu'elle en était, à être divertissement à elle toute seule, comme pour en détendre tous ceux qui l'entouraient. simple demoiselle haute en couleur ! de ses cheveux pastels, de ses vêtements joyeux : instant de douceur, pour les soirées à se faire délicieuses.

Tous occupés. Voilà la réponse de ses amis. Un soupir s’échappe des lèvres de Kinta. Est-ce que ça va l’empêcher de sortir ce soir? Certainement pas! S’il a envie de sortir ce soir, ce n’est sûrement pas le fait d’être seul qui va l’empêcher de se rendre dans un bar. Lui qui aime faire de nouvelles rencontres, c’est l’occasion après tout. Posant son portable sur son bureau, il se prépare à sortir, bien décidé à profiter de cette soirée et à s’amuser, même sans ses amis. Qui sait, peut être pourrait-il faire une rencontre intéressante… A bien y penser, sa dernière conquête remonte à plusieurs semaines et il ne serait pas forcément contre passer du bon temps. L’amour? Il a déjà eu plusieurs petits amis mais ça n’a jamais vraiment duré, il les aimait mais peut être pas autant qu’il aurait aimé. Depuis il enchaîne les coups d’un soir, voir plus si le feeling passe. Mais les sentiments ne sont que rarement présents. Qui sait, peut être qu’il trouvera un jour le bon. Attrapant de nouveaux vêtements, il se prépare avant de sortir direction l’un de ses bars favoris. Arrivé, il s’installe au bar et commande son cocktail favori.

A peine une dizaine de minutes plus tard, le siège voisin au sien se retrouve occupé. Une jeune femme commande alors en précisant la même chose que lui, pour au final s’adresser à lui comme s’ils se connaissaient. La jeune femme lui semble sympathique, désirant visiblement simplement faire la discussion. Elle ne ressemble en rien aux femmes qui ont déjà tenté de le draguer, en vain. Certaines se montraient bien trop insistantes d’ailleurs même lorsqu’ils leur mettaient un stop en dévoilant être gay. Alors il se levait et les plantait là, il n’avait aucun moyen de le prouver à moins d’embrasser n’importe quel mec. Mais il préférait éviter, d’ici à ce qu’il tombe sur un hétéro qui n’apprécierait guère ou un mec en couple… Parfois il avait la chance de tomber sur une de ses anciennes conquêtes et alors il n’hésitait pas. Mais cette jeune femme ne leur ressemblait en rien.

-C’est mon cocktail préféré,

Il lui sourit tout en portant le verre à ses lèvres. Il hausse les épaules lorsqu’elle lui demande si ce n’est pas trop ennuyeux d’être seul.

-Je ne reste jamais seul bien longtemps, j’aime faire de nouvelles rencontres et c’est l’endroit idéal pour ça.

Que ce soit juste amical ou plus, Kinta est ce qu’on appelle un “social butterfly” si bien qu’il va facilement vers les autres et aime se faire de nouveaux amis. Bien qu’il ait tout de même son petit cercle d’amis proche.

-Et toi? Tu ne sembles pas plus accompagnée que moi.

A moins que ses amis ne l’ait déjà déserté.

Gamine éhontée à venir rire de tout ! sourire toujours accroché aux lippes quand les printemps et les étés en étaient pour elle inspiration fugace. douceur des mots, énergie dévorante à tout épreuve, ô le monde en semblait tourner toujours trop de travers pour ne pas tenter d'en égayer quelques minutes de parfaits étrangers. et elle en était entrée dans les bar sans intention précise ! jamais vraiment pour en repartir accompagnée, à juste se satisfaire d'en suivre les mouvements et les ambiances qui s'en offraient à elle. elle se plaisait, entourée d'humains !

océan :
à se faire
si vague !

et elle se moquait des regards, venait délivrer ses danses les plus insolites ! bonne humeur somptueuse à revêtir chacun de ses mouvements ! quand au bar, elle n'en était que jeune femme d'un naturel bien trop léger. à aborder les gens, sourire et s'infiltrer comme si tout le monde venait déjà à se connaître. et qu'importe : car bien souvent, ce n'en étaient qu'inconnus venant passer sous son regard et qui repartiraient comme si elle n'en était que trop banal. rencontres et départs, à arriver et repartir : sans que personne n'en trouve là trésor à protéger. mais pour elle, tout en était à conserver dans les mémoires !
éternels
souvenirs :
anodins !
— Oh ! Ton préféré alors...! J'ai bien fait de prendre la même chose ! qu'elle rifola tout doucement, laissant ses pieds gigoter tout doucement dans le vide du haut de son tabouret. —Je vois...T'as bien raison ! Puis c'est toujours plus amusant... qu'elle venait à approuver d'un mouvement de tête affirmé, à en voir son verre arriver devant elle pendant qu'elle en souriait gracieusement au barman. — Les gens sont souvent sympas ici ! Tu fais bien d'y venir, c'est hyper chaleureux ! ou peut-être n'était-ce qu'elle, qui en réchauffait les lieux de ses sourires solaires.

simple :
et efficace.

tête à en faire fausse moue sous les remarques du jeune homme, emme en soupira ! presque comédienne dans l'âme  à se jouer de tout un univers. — Et bien oui...je suis seule...! c'est ça d'être trop énergique...les gens sont trop fatigués pour sortir ! simple excuse : à n'avoir tout simplement pas grand monde à inviter, la douce. — Mais si tu veux je peux boire avec toi ! Je suis de bonne compagnie...Enfin je crois ? yeux à se plisser, à tenter de se jauger, elle souleva tout doucement ses épaules ! comme si la question en restait encore à être jugée ! à lui laisser alors là, sous les yeux, le plaisir d'en juger chacun de ses gestes. — Oh mais si tu préférais être seul je comprendrais aussi ! Parfois c'est reposant...! et je suis pas très reposante....
évidence des mots !
affichés ,,
comme sincérité.

La jeune femme répond alors qu’elle a bien fait de choisir celui ci étant donné que c’est son préféré. Kinta acquiesce d’un sourire tandis que la jeune femme l’interroge, avant de se montrer d’accord avec lui. Kinta a bien conscience de l’ambiance chaleureuse des lieux pour y venir régulièrement. C’est l’un de ses bars favoris et d’ici, même quel, il en ressort rarement seul. Lorsque ça arrive, c’est souvent qu’il n’a pas fait la rencontre espérée ou bien qu’il a été abordé par une femme. Celles qui n’insistent pas lorsqu’il avoue préféré la gente masculine, il passe parfois la soirée à discuter avec elles, à faire connaissance et parfois, ils restent en contact. Mais quand elles sont trop insistantes malgré qu’il ait bien indiqué être gay, alors il les plante tout simplement, se perdant dans la foule pour s’assurer de ne pas à nouveau se retrouver importuner.

-Je viens souvent ici, c’est un de mes bars préférés, l’ambiance y est sympa et je fais souvent d’intéressantes rencontres. J’ai beau venir seul, c’est rare que ce soit le cas lorsque je quitte l’endroit.

Même si ça peut arriver, pour les raisons déjà expliquées. Mais il n’en ressent aucune frustration, si vraiment il ressent le besoin de… et bien de prendre du plaisir, il sait parfaitement qui appeler s’il ne trouve pas chaussure à son pied au bar. La jeune femme admet être seule également, Kinta esquisse un sourire lorsqu’elle explique que c’est comme ça quand on est trop énergiques. C’est vrai qu’elle semble plein d’énergie. Et très bavarde également, ce qui ne dérange pas particulièrement Kinta. Ce n’est pas au point que ça puisse être fatiguant, juste amusant. Il la trouve rafraichissante, ça le change un peu.

-Tu pourrais peut être commencer par me dire ton nom?

Effectivement, la jeune femme ne s’est pas présenté malgré la familiarité avec laquelle elle s’adresse à lui, ce qui l’amuse beaucoup. Elle ne semble pas vraiment s’en soucier d’ailleurs.

Fragilité dissimulée ,, sous ses airs angéliques. les rires en effluves, les chaleurs à se dégager : rayon de soleil, à cramer les peaux. car Kaede n'en était que façade lointaine ! à ne jamais en aimer son propre prénom, quand à en entendre les syllabes les visions en devenaient cauchemars. réalités alternées qu'elle aimerait pouvoir vivre, sans avoir à se maltraiter l'esprit.
tout n'était
que trop
factice !
quand les sourires s'en faisaient pourtant d'un naturel éclatant, à n'en chercher aucune romance d'un soir ! simples verres pour en détendre ces corps fatigués par le temps. délicate créature, à se faire si bruyante dans les lieux d'amusement, elle en était pourtant si petite ! allure si frêle que l'on pourrait presque venir la faire tomber d'un seul coup de main : foutaise !

à être bien plus :
que de simples apparences.

— Ca se comprend ! Mais alors j'espère que je ne dérange pas tes recherches pour la soirée...! à se faire malicieuse ! quand elle se moquait bien de repartir accompagnée ou non. simple euphémisme, à en préférer parfois les tranquillités complètes à celle des compagnies trop artificielles. car les gens en étaient bien souvent trop faux, pour en être dignes de réelles confiances. — Ah ... ! Oui. J'ai oublié de commencer par le début...! Tu peux m'appeler Poppy ! sourire délicat, à en détester réel prénom qu'elle ne voulait plus entendre. souvenirs d'un temps, où les cris et pleurs venaient à renaître dans les têtes. alors pour briller à nouveau, elle s'en était créée surnom à son effigie.
resplendissante :
comme les rouges ,,
des coquelicots.
colorée ! pétillante ! vivante ! loin des horreurs des explosions malicieuses. — Et toi ? léger rire dégagé, à en croiser finalement les jambes pour se tourner vers lui, elle bu quelques gorgées de sa boisson servie : comme pour en tester les goûts d'un inconnu. — Oh ! effectivement...! c'est plutôt bon ! qu'elle venait à approuver, douceur des mots, quand tout aurait pu en être différent. — Et tu fais quoi dans la vie ? qu'elle demanda de but en blanc, aucune prouesse de prose ! à n'en offrir que familiarités amicales. — Oh désolée...c'était peut-être un peu trop direct ! Moi je suis tatoueuse ! et elle n'hésitait pas à venir s'ouvrir comme si plus rien ne comptait réellement. à n'avoir rien à cacher ! quand ce n'en était que rencontre d'une soirée.

Kinta secoue doucement la tête, un léger sourire sur les lèvres, tandis qu’elle lui répond espérer ne pas gâcher ses recherches de la soirée. La nuit est encore jeune après tout, si vraiment il désirait trouver quelqu’un, il saurait facilement trouver une excuse pour se libérer. Mais pour l’instant, ce n’est pas le cas et puis cette jeune femme lui semble intéressante, à lui parler de façon si familière alors qu’ils ne se connaissent pas. Certains en seraient sans doute dérangés mais pas Kinta, au contraire, ça l’amuse. Après tout, il reste quelqu’un de sociable et ouvert aux nouvelles rencontres.

-Ne t’inquiètes pas, la soirée ne fait que commencer, si vraiment je cherchais je ne serais sans doute pas assit au comptoir.

Il lui fait alors remarquer qu’il ignore toujours son nom. Le prénom qu’elle lui donne sonne très peu japonais mais il ne fait aucune remarque. Après tout il y a de plus en plus d’étrangers qui s’installent ici, non pas que cela le dérange. Au contraire, il aime bien en apprendre plus sur le reste du monde.

-Moi c’est Kintaro, mais tout le monde m’appelle Kinta, c’est plus court.

D’une syllabe seulement mais ça ne le dérange pas. Certains vont jusqu’à l’appeler Kin, lui ça l’importe peu. Poppy commente alors la boisson, celle que Kinta vient tout juste de finir et ce dernier lui sourit tandis qu’il en commande un deuxième. Il tient plutôt bien l’alcool même s’il évite d’en abuser. La jeune femme l’interroge alors à propos de son travail avant de s’excuser, pensant que c’était peut être trop direct. Elle ajoute qu’elle même est tatoueuse.

-Tatoueuse? Un métier intéressant! Moi je suis mécano, pas très glamour mais ça me plait bien.

Même si au fond, c’est un tout autre métier qu’il aurait souhaité faire, il n’est juste pas encore assez confiant pour oser se lancer vraiment, se contentant de poster sur son blog sous un pseudo. Il a d’ailleurs beaucoup de fans, peut être finira-t-il par se lancer bientôt…

Douceur estivale, à n'en faire là preuve que de manières amicales ! elle n'en aimait pas, toutes ces politesses que venaient à leur imposer une culture bien trop stricte. à vouloir rire, sourire, pleurer, sans avoir à s'en retenir, comme pour en faire refleurir les alentours emplis de maux ! gamine à en être bien trop bruyante, enfant solaire à en faire comme si le monde n'en était que vaste jeu : c'est qu'elle voulait profiter ! de ces instants toujours tous un peu particulier, aux nouvelles rencontres qui venaient à en donner là raison de vagabonder dans les nocturnes sans fin !

et Kaede ,,
elle voulait :
tout oublier !

de ces passés, de ces enfers, à se parjurer alors ! en jurer que tout irait bien à présent, quand tout ne faisait que commencer. — Tant mieux alors ! Même si...parfois rester au comptoir ça fonctionne, tu sais. de ses épaules à se hocher, quand présentations finalement échangées : elle n'en remettrait jamais ses prénoms comme offrande. à en détester les syllabes, à en renier l'existence : car tout faisait mal, quand les prénoms en étaient entendus ! mirage du temps, à venir la hanter, comme si rien ne pourrait jamais en réparer les blessures causées.

— Va pour Kinta alors ! qu'elle s'élança presque trop joyeusement, de son sourire à toujours rayonner. doigts à en tapoter contre le bar, à en basculer tout doucement la tête de droite à gauche en fonction du rythme de la musique, elle hocha la tête avant de presque s'offusquer sous les dires du jeune homme. — Pas très glamour ? Ca a beaucoup de charme, tu sais ! Mécano...ça fait fantasmer certains ! Puis si tu t'y plais... d'une motivation sans faille, à rire tout doucement de ses mots ! c'est qu'elle y trouvait là certaine beauté ! à en voir d'autres personnes s'amuser dans ce qu'elles faisaient.
délicates pensées !
à s'en faire
reines d'une nuit.
— Mais oui ! Je suis tatoueuse. C'est un peu moins mécanique que toi...Ca doit être dur, non ? Les voitures...les motos.... à s'en imaginer là tout ce qu'il avait sans doute dû apprendre ! quand les techniques et savoirs s'en faisaient tous différents selon les domaines. — J'y connais rien...J'ai juste un vélo...  et de ses remarques presque innocentes, à venir en croiser ses jambes, elle le regarda un instant, avant de rire tout doucement.  — Je t'offre un verre ? En échange de celui que j'ai pu goûter grâce à toi ! sourire à resplendir son visage ! comme si la soirée n'en faisait que commencer.

Kinta esquisse un sourire lorsqu’elle lui répond que parfois, rester au comptoir ça fonctionne. Certes, il en a bien conscience. Combien de fois il n’a pas cherché qu’il trouvait sans rien faire si ce n’est d’être assit à boire son verre. Beaucoup de femmes, plus ou moins insistantes. Malheureusement pour elle, il n’est pas à même de les contenter, il préfère de loin la gente masculine. Certaines ont eu du mal à comprendre mais il a toujours réussi à s’en débarrasser.

-Effectivement, je n’irai pas pas démentir, j’ai trouvé de nombreuses sans rien faire de spécial. Malheureusement, souvent des femmes un peu trop insistantes. Même si je me montrais cash en déclarant que je n’étais pas intéressé.

Il hausse les épaules, l’air de dire qu’il avait l’habitude. Poppy décide de l’appeler Kinta avant de le détromper concernant son métier. Elle n’a pas totalement tort, même s’il n’a jamais compris ça. En quoi être couvert de camboui est glamour ou sexy? Allez savoir…

-Possible. J’avoue ne jamais avoir compris mais bon, si ça plaît à certains. J’admets que ça plaisait à certains des mecs avec qui j’ai été.

Comme quoi ça ne plaît pas qu’aux femmes. Elle l’interroge sur son métier, déclarant que ça doit être difficile. Un peu au début, le temps de se familiariser avec les voitures, leur constitution, comment les réparer… Mais à force c’est plus une question d’expérience qu’autre chose.

-Pas tant que ça, c’est juste une question d’expérience. C’est comme pour tout. Alors que tatoueuse, il faut savoir dessiner déjà non? Ce n’est pas donné à tout le monde même s’il y a des cours pour ça.

Il n’a jamais pris de cours même s’il s’en sort très bien. Il n’est juste pas encore assez confiant pour se lancer en dehors de son site. La jeune femme lui propose de lui payer un verre, en échange de celui qu’elle a pu goûter grâce à lui. Kinta n’y est pour rien mais il accepte.

-Tatouer ça doit être difficile non? Ce n’est pas comme un simple dessin, on ne peut pas effacer si on se trompe.

Il ne sait pas s’il en serait capable, il préfère le dessin basique plutôt que sur les gens.

miroir des âmes à en refléter ses douceurs si prenantes ! joies à transparaître sur le visage comme de simples étoiles à apparaître et disparaître derrière quelques nuages trop présents. mais ô sous les néons de couleurs, elle semblait en briller un peu ! quand de sourires offerts à celui qui s'en faisait délicatesse d'une soirée, elle se moquait bien finalement de savoir si elle finirait accompagnée ou non : à en préférer les chaleurs d'un échange des plus banal. — Hmm je comprends...Après faut se dire qu'ici c'est juste pour faire des rencontres et que y'a des gens d'un peu tous les types. Mais c'est vrai que ça doit être pénible ! de sa tête à se hocher, elle n'en faisait que rembarrer les gens de ses sourires si facilement !

car personne :
ne viendrait ,,
la chercher !

à en avoir parcouru épopées ! celle qui savait se défendre malgré sa petite taille. force de vie qui venait à en fatiguer plus d'un, elle en était à elle-même bombe à retardement. rire à s'envoler, regard à en former croissants de lune, elle s'en faisait formelle : dans ces compliments qu'elle venait à offrir sur sa profession.  — Tu vois ? J'imagine que c'est tout l'aspect cambouis...effort...muscles...ce genre de trucs ? qu'elle s'amusa, à s'en imaginer la scène ! pour tenter d'en avoir là avis le plus objectif. simples remarques qui n'en faisaient pourtant aucun jugement, à l'écouter discrètement presque intriguée.  — C'est vrai, t'as pas faux ! Mais je trouve que tous les métiers techniques c'est plus compliqué...peut-être parce que j'ai un côté plus créatif ?

à s'interroger !
d'innocences.

et sous l'approbation, à en commander boisson à son effigie : aux couleurs roses ! spritzer à s'en faire de quelques douceurs florales ,, elle retourna son attention sur le jeune homme avant de se mettre à réfléchir.   — Le tout est d'avoir confiance en soi ... ! Les tatouages, c'est souvent quelque chose de personnel...Même si on peut tenter de les effacer avec des laser ? Ou alors en retraçant par dessus pour en refaire quelque chose de nouveau !  art qu'elle aimait, pour s'en épanouir au monde : elle en donnait un peu d'elle-même, à chaque encrage.   — Après...je pense que se faire un tatouage c'est pas si ordinaire que ça ? Enfin y'en a qui les perçoivent hyper mal...Moi je suis de ceux à dire que c'est des œuvres d'arts ! Non ? Après tout on dirait des tableaux, quand ils sont bien faits... et passionnée, elle pourrait en parler pendant des heures ! de nouvelles boissons arrivées , rose à faire effusion, elle observa tout doucement son nouvel ami pour en guetter les réactions.

Certes, on rencontre tout style de personne ici, Kinta n’ira pas dire le contraire. Mais c’est vite agaçant quand on exprime clairement qu’on est pas intéressés mais que la personne insiste. Devoir prouver à ces femmes que oui, c’est les hommes qui l’attirent, ça devient vite lassant. Heureusement, ce n’est qu’une minorité des femmes qu’il a rencontré, les autres sont bien plus agréables et il a même gardé le contact avec certaines qui sont devenues des amies.

-C’est vrai mais c’est agaçant de devoir prouver ce qu’on dit comme si j’utilisais ça comme excuse.

Il hausse les épaules. Peu importe, il finit toujours par se débarrasser d’elles, que ce soit en les plantant là ou tout simplement en se trouvant une vraie conquête. Il est d’ailleurs souvent amusé lorsqu’il embrasse un mec devant elles et qu’elles en restent bouche bée, comme si c’était la seule façon pour elles de comprendre le message. Kinta sourit lorsque la jeune femme explique ce qui peut faire fantasmer chez un mécano. Sans doute effectivement, lui c’est pas forcément son truc même s’il n’a pas forcément de type précis au final.

-Sans doute, je suppose que je dois parfois en jouer.

Il sourit, amusé. Il doit bien admettre que c’est arrivé une ou deux fois qu’il sorte avec un client du garage mais ça n’a jamais été plus loin. Ca fait bien longtemps qu’il n’a pas eu de relation stable même si, au fond, il ne serait pas contre cette idée. Ils parlent ensuite de son métier à elle. Même si Kinta sait très bien dessiner, il ne se voit pas le faire sur la peau des gens, il aurait bien trop peur de se rater. Non il préfère le papier ou la tablette graphique.

-J’imagine, je ne pense pas que j’en serai capable en tout cas, même en aimant dessiner.

Et puis se faire tatouer, ça fait mal, surtout certains endroits, il n’est pas sûr qu’il pourrait endurer si des personnes avaient du mal à le supporter. Elle aborde ensuite l’avis concernant les tatouages. A vrai dire, Kinta n’y a jamais vraiment songé mais s’il devait choisir, il pencherait pour. Il ne voit pas où est le mal et certains sont vraiment beau. Il est juste un peu moins fan lorsque c’est de la tête au pied, souvent tout s’entremêle et il est moins fan mais il n’ira pas juger pour autant.

-Je trouve aussi que c’est une forme d’art, certains tatouages sont vraiment magnifiques.

Même s’il n’en a pas, du moins pour l’instant. Qui sait, peut être que l’envie lui prendra un jour.

et dans ces lieux, fleurissent les rencontres peu banales ! de personnes à défiler comme pour en montrer là diversité de toute une espèce : de ceux plus charmants, d'autres plus agaçants, défilé de personnalités à découvrir comme orées d'une journée. et à ses yeux, tout en était si divertissant ! car elle aimait pouvoir en analyser tous ceux qui s'en présentaient à elle, observer leurs faits et gestes comme si chacun d'entre eux en étaient des plus intéressants !
et elle :
s'en faisait
regard méticuleux !
— Je comprends ! Y'en a vraiment certains qui sont insistants... c'est que à elle aussi, il lui arrivait d'en croiser figures désagréables ! à savoir se montrer stricte et ferme, d'une froideur avec laquelle on ne l'imaginait pas. soleil à savoir se déguiser parfois en lune, pour ne plus avoir à en être embêtée par le monde qui l'entourait. sourire à en éclairer son visage, léger rire à s'envoler sous la remarque du jeune homme, elle se doutait bien, que cette technique devait fonctionner pour en attirer quelques regards ! — Et bien et bien ... Je suis sûre que ça doit marcher.

à en être :
si sûre !

et de passions à s'exprimer à travers les mots, joie affichée de pouvoir en parler de ces arts qui en faisaient eux-mêmes polémiques : beaucoup venaient à les apercevoir comme symboles dangereux ! yakuzas qu'elle fréquentait sans ne jamais en être effrayée : car ils en étaient ,, pièces des plus incroyables ! à l'impressionner, le plus souvent. — Tu dessines ? regard à s'illuminer, sourire à s'épanouir de nouveau, elle s'en faisait curieuse ! celle qui en aimait les arts comme enfant à s'en éblouir devant chaque pièce. — Tout n'est question que d'entraînement selon moi .... ! Mais certains tatouages comme tu le dis sont vraiment incroyables...!
et elle aimerait :
réaliser ,,
d'aussi belles créations !
de ses doigts, à en faire glisser tout doucement la boisson rose sous les yeux du jeune homme, elle se pencha légèrement vers lui pour en guetter sa réaction. —Goûte moi ça ! colorée comme elle, à en laisser parfum de rose et de vin ,, c'en était délicatesse au sein d'un seul verre ! à elle, en être boisson préférée et de loin.

CAh ça c’est sûr, des insistants il en a eu beaucoup, principalement des femmes bien qu’il ait eu quelques hommes. Il a beau préféré la gente masculine, si le feeling ne passe pas, ce n’est même pas la peine d’essayer. Il n’est pas vraiment des mecs un peu trop “brute” par exemple, surtout lorsqu’il passe la nuit avec. Son but est de prendre son pied, pas de finir complètement cassé et douloureux après tout. La jeune semble amusée de sa réponse mais Kinta ne va pas s’en cacher. Même si c’est rare qu’il aborde le sujet de son métier lorsqu’il fait des rencontres dans un bar. Disons qu’ils passent rarement du temps à discuter, si le feeling passe, c’est largement suffisant. Ce n’est pas comme si Kinta comptait les revoir par la suite. Certes, plus le temps passe et plus il se dit qu’il aimerait bien se poser, au final, pour l’instant il n’a pas trouvé la personne qui fasse réellement battre son coeur.

-La plupart du temps mais je l’utilise rarement en soirée, disons qu’on ne prend pas trop la peine de parler.

Et ça lui convient très bien. Mais qui sait, peut être qu’un jour il rencontrera celui qui lui donnera envie de plus qu’une simple soirée. Alors qu’ils parlent du métier de Poppy, Kinta laisse échapper son amour du dessin sans vraiment s’en rendre compte. Même s’il n’en dit pas énorme, c’est suffisant pour que la jeune femme l’interroge, lui demandant s’il dessine. Il hausse les épaules avant de répondre.

-Un peu.

Plus qu’un peu mais il est toujours aussi réticent à en parler, peu sûr de son talent malgré ses nombreux abonnés. Sans doute qu’il craint d’abandonner si un jour il trouvait le courage de tenter sa chance et se la voir refuser. Il préfère revenir sur le sujet du tatouage. Il acquiesce aux paroles de la jeune femme.

-Je suppose mais ça doit tout de même être difficile et puis certaines personnes sont plus sensibles à la douleur que d’autre, ça doit être compliqué à gérer parfois non?

Même si les personnes sont censées être au courant mais bon, certains sont plus sensibles que d’autre et ils n’y peuvent rien. La jeune femme lui tend son verre, l’incitant à goûter et il s’éxecute. Le cocktail est tout aussi bon que le précédent et il acquiesce d’un signe de tête.

-Délicieux!

Parfait pour un dernier verre. Il a beau bien tenir l’alcool en général, il préfère ne pas en abuser.

figure attentive, à en rêver d'espoirs incertains ,, et elle s'imaginait : un jour, que les bars n'en seraient plus utiles. à en préférer les romances de plein air ! sourire au vent comme si le temps n'en était que jeu complet ! simple envie d'en effleurer les jouvences encore un peu comme pour ne plus se noyer dans les cauchemars infernaux. rire léger à pourtant s'envoler, sourcil à se hausser, parfois elle se demandait pourquoi les gens ne venaient pas en chercher plus loin sur la personne qu'ils avaient en face. que cela soit d'une nuit ou de plusieurs jours : elle n'en n'aimait pas, fréquenter de simples inconnus pour le plaisir des chairs. incompréhension ,, à en penser presque trop différemment, elle pouvait cependant comprendre malgré tout : sans pour autant l'approuver. — Je me doute bien.

et alors :
elle en serait
différente !

à elle bien se moquer, d'en attirer les regards, à ne pas s'habiller pour les autres, ne pas se maquiller pour en capter les attentions : à juste en décrire son univers, pour en afficher là qui elle était vraiment. alors elle s'intéresse ! se faire curiosité dans un monde où les paroles ne venaient à jamais s'échanger. — Un peu ? sourire à s'afficher, menton à se poser au creux de sa paume pour l'observer un instant, elle pencha légèrement la tête presque encore plus intriguée. — Quel genre de dessins ? à toujours en demander plus ! à ne pas savoir s'arrêter : mais elle venait à tout admirer, de ces arts si peu croisés.

— Ca dépend vraiment je dirais, pareil pour la douleur. Mais ça permet de bien discuter, et d'en découvrir plus sur la personne, alors je ne dirai pas que ce soit réellement un inconvénient ? car il y avait forcément des hauts et des bas ! à elle n'en garder que les sourires en tête. verre finalement dégusté, à sourire bien plus encore, elle leva son pouce en l'air presque enfantinement avant de n'en prendre elle-même une gorgée. — Les gens jugent souvent mes goûts...parce que c'est rose....! mais en goûtant finalement ! C'est à la rose, justement. La fleur. à rire légèrement ! de ces quelques envies de plein air soudain. — Je vais pas tarder mais, contente d'avoir pu discuter !
à en saluer :
ses patiences !
envers elle.

Kinta regrette presque d’avoir laissé échapper cette information, lui qui ne se pense pas si doué que ça malgré que ses abonnés lui disent le contraire. Il a toujours cette crainte de l’échec, peur que ça puisse le démotiver au point d’abandonner. Il ne veut pas que sa passion devienne une pression pour lui. C’est sans doute aussi ça qui l’effraie, que ça en devienne une obligation et non plus un plaisir. La jeune femme l’interroge sur son style de dessin. Maintenant qu’il a parlé, il n’a pas le choix, il ne peut pas changer de sujet subitement et il ne tient pas à devoir exprimer ses craintes à voix haute.

-De style webtoon, manga.

Certains font plusieurs pages, plusieurs planches et racontent des histoires qu’il invente. D’autre sont juste des ébauches de personnages, de décor. Mais jamais assez pour en faire une histoire complète, il garde celles là pour lui même, il n’est pas encore prêt à les partager. Elles sont bien gardés dans un dossier. Le sujet revient finalement sur son métier. Elle a sans doute raison, après tout c’est son métier, elle s’y connaît forcément. Mais Kinta ne pense pas pour autant qu’il en serait capable, gérer la douleur des gens, non ça serait trop compliqué pour lui.

-Je suppose mais je ne pense pas que je serais capable de gérer. En tout cas je serai curieux de voir ton travail!

Chaque tatoueur a son propre style, il serait curieux de voir certains de ses dessins. Ils parlent ensuite de la boisson qu’elle a choisit et Kinta acquiesce. Ne jamais se fier aux apparences, ça faut également pour les êtres humains après tout.

-J’ai toujours trouvé que la rose est une saveur difficile à doser. Trop peu et on ne la sent pas, trop et ça devient écœurant.

Enfin c’est son avis. Une boisson ou même tout aliment à la rose peut être délicieux tant que c’est justement dosé. La jeune femme déclare finalement qu’elle ne va pas tarder, ajoutant qu’elle est ravi d’avoir pu discuter avec lui.

-Pas de soucis, c’était une rencontre intéressante.

Du genre qui change de d’habitude, effectivement.

Intérêt à venir fleurir toujours plus ! de ces prunelles à s'illuminer, douceur de vie à en aimer bien trop les arts pour venir en fuir les informations offertes ! elle s'accrocherait, viendrait à tenter d'en obtenir plus de détails sur ce qu'il avait laissé échapper d'entrer ses lippes. de dessins à souvent en représenter âmes et souvenirs ,, avenir à prédire : et peut-être que certains y voyaient là passions puériles ! quand elle en aimait bien trop, pouvoir en découvrir une personne à travers quelques traits de crayon.
tracé,
à se faire :
présent des cieux.
— Oh vraiment ? c'est trop bien ! Tu dois savoir dessiner pleins de choses alors...! d'un travail qui en demandait tant de temps, de ces proportions à devoir en égaler les perspectives : ô tout n'était que question de pratique et d'entraînement ! quand l'art n'en était jamais parfait. à en demander tant d'exigences et de critiques personnelles ! pour que son propre regard en devienne parfait. et elle avait beaucoup travaillé, pour en dévoiler personnalité à travers quelques traits apposés contre les peaux ! s'en donner airs incroyables : quand ses clients venaient à en représenter mythes vivants.

à ne rien : cacher !

— Je peux te montrer ! j'ai quelques photos. Mais c'est des clients assez particuliers...Je fais beaucoup tout ce qui est fleurs ... qu'elle vint à en montrer photos plus traditionnelles : avant de glisser ses doigts sur son téléphone pour en dévoiler ceux qui en recouvraient tout les corps ! de ces dos encrés ,, aux symboles si forts ! serpents et dragons : écailles à en recouvrir les peaux ! comme synonymes de rebellions. — Je fais aussi quelques...tatouages plus traditionnels, comme ceux des yakuzas.... quand les visages en étaient tous masqués ! pour n'en dévoiler aucun secret. de son style assez détaillé et sombre ,, aux douceur pourtant réfléchies dans chaque pétales animés sous ses piqures : tout paraissait si beau, représenté par ses yeu. épaules à se hausser, à elle n'y voir que banalités, elle en rangea finalement son petit écran : pour se concentrer sur sa boisson.

— C'est vrai que la rose est un parfum compliqué ! Mais c'est pourquoi ça rend cette boisson encore plus incroyable...y'a toujours la bonne dose ! presque ravie, d'en avoir présenté sa trouvaille à celui rencontré comme pour en égayer une soirée. car d'habitude, à s'en faire moins intéressante aux envies d'en connaître les autres : elle avait laissé échappé quelques sourires ! à s'en faire lumineux. à se relever tout doucement de son siège, d'un rire léger à en emplir les poumons : peut-être que les hasards en faisaient bien les choses ! — De même, c'était très amusant ! A une prochaine fois peut-être ? En tout cas, merci pour cette soirée ! qu'elle lui en offrit sourire léger, à venir déposer quelques billets sur la table pour en payer leurs boissons à tous les deux ! d'une générosité à ne laisser place à aucune hésitation, quand elle s'en faisait joie de vivre permanente, pour partir vers de nouveaux horizons.

à lui en souhaiter :
bonne continuation !
de rencontres à s'en faire ,,
si appréciées.