⌜ost ,,⌟

I've got a list of names,
yours is in red underline

airs majestueux ! sous les papiers de soie qui en avaient glissés sous les doigts. cachets aux couleurs miraculées, douceur d'une écriture comme invitation à des festivités bien trop prestigieuses : pour celle qu'elle était. de ses allures si peu raffinées, à ne pas savoir parler comme les poètes les plus doués ,, les proses n'étaient pas belles, les mots trop francs ! pour en épouser les royautés. à rester cette plèbe : à rêver de pouvoir en toucher quelques étoiles ici et là. alors de quelques paroles rédigées, à en avoir rendu si précieux la lettre comme cadeau ô jamais espéré, elle s'était préparée, celle à vivre en permanence dans ses laboratoires ! vie presque indésirable, entre les mains des plus puissants, elle n'est que cerveau, celle aux colombes qui lui sortaient des manches !

à réinventer :
tout un monde !

rapidités des pas ! quand d'une soirée il n'y avait que les bâtiments à festoyer au loin ,, ô elle en avait vêtu sans doute l'une de ses plus belles robes ! à ne jamais avoir l'occasion d'en porter, celle aux mèches venant orner sa nuque de quelques boucles. ô jamais admirée ! à se cacher derrière ses potions aux goûts fantabulesques, il n'y avait que les rues, pour venir l'observer, les bancs des écoles, à l'empoisonner. carmins à se pavaner contre ses joues si fragiles, à venir en pigmenter légèrement les lippes du bout de l'annulaire ; il y en avait quelques paillettes, à danser sur ses paupières : à vouloir se faire rayonnante, celle trop souvent invisible.
d'élégances ,,
à renaître :
sous l'inconnu.
horloge à se faire oubliée, quand le temps en était passé plus longtemps devant son miroir que sur la vitesse ,, elle s'était mise à paniquer ! à courir dans tous les sens, par peur d'être plus en retard. demoiselle qui ne voulait pas se faire attendre, quand sûrement serait-elle délaissée, de toutes ces formalités auxquelles elle n'en connaissait que superflus : à en connaître politesses des plus magnifiques. talons à cogner contre le sol, figure à se dépêcher entre les rues ! il y en avait presque là ironie ,, à de voir se retrouver dans le même endroit qu'elle.

taxi interpellé ,, pour se retrouver devant les bâtisses grandioses, elle se mit à courir légèrement, vers deux figures à se faire trop connue. léger sourire contre les lippes ; dos à finalement se tenir droit ,, les regards s'en laisseraient presque intimidés par l'apparence des lieux ! quand réconfort en était finalement trouvé, là, sur le visage de celle à se faire cruauté d'une telle vision. porte à presque se prendre dans la figure ,, papillons à s'écarter de la poignée,, elle rigola tout doucement, saluant du haut de sa tête ceux qui l'avaient invitée à se joindre à eux. ((spectacle à se donner : des plus infernal.)) de regards à se croiser ,, impassibilité à se lire sur son visage pour n'en donner aucun indice : à pourtant surveiller ,, que les corps n'en vacillent pas ,, elle écouta les sonorités inconnues, à en regarder à tout de rôle celui qui l'employait et sa fille ,, de quelques mélodies à s'échanger comme secrets infaillibles.

de sourire :
à se faire ,,
incompréhension !

quand son hôte en semblait des plus ravies ,, d'en accueillir celle qui en connaissait toutes les vérités. secret dévoilé, à la belle qui ne l'attendait pas ici. cils à venir se cligner, quand les mains s'en lièrent dans dans son dos comme enfant ne tenant pas en place, elle hocha alors la tête, d'une figure assurée. "Je vous remercie. C'est très aimable.", de remerciements à se faire ,, à finalement entrer dans les lieux : et se laisser capturer par les vastes pièces. monde qui lui était inconnu, d'une ambassade à se faire mystère, elle attendit d'être seule avec celle qui en était joies flagrantes ! pour en retourner les regards vers elle. "Ca va aller ? Vous feriez mieux...de vous rendre dans un endroit plus calme. Histoire de ne pas vous effondrer ici." murmures à se faire ! sans ne trop s'approcher d'elle. "Vous devez être ravie de me voir. Je vois que votre père ne vous a pas prévenu...!" d'un humour à se faire particulier ! aux lèvres de celle qui en jouait de subtilités !

et de ces lieux ,,
il n'y avaient que :
faux artifices.

"Par où commençons nous hmm ? En quête de trouver un lieu calme ? Il y a quoi en haut ? C'est grand ici !" , qu'elle s'avança tout doucement, à venir se faufiler loin de la foule, tout près des murs, à en jeter regards sur les hauts plafonds ! sur toutes les figures : qui en semblaient toutes trop bien habillées pour de simples réunions. "C'est toujours comme ça, ici ?" d'un monde à se faire ,, toujours trop faux !

⌜ost ,,⌟

I've got a list of names,
yours is in red underline

Les planètes semblent déréglées, pour celle qui se targue de cette renommée à ne point bafouer, Car Rain n'est pas fille de n'importe qui, mais même sous ses airs de fière se cache la simplicité d'un esprit qui peut parfois user de fragilités. Et tandis qu'on l'écarte volontairement des affaires ces jours-ci, elle ne peut que sentir l'impatience la gagner. Docteur use de cette même nonchalance qu'elle lui connaît, tête à se lever, les étoiles dansent dans ses prunelles tandis qu'elle découvre l'intérieur de ce bâtiment chargé d'histoire et d'importance. À fouler le sol carrelé chaque jour, Rain ne se fatigue plus à apprécier les architectures, elle n'a d'yeux que pour celle qui fait naître en elle des sentiments refoulés. À se montrer trop simplette, elle en énerve celle qui ne sait que faire preuve d'un sérieux résistant à toutes épreuves. La figure se penche, elle sourit faussement face aux mots peu pesés de celle qui n'en a jamais rien eu à faire de la couronne qui danse sur la tête de son interlocutrice. Venant lui rappeler ses faiblesses dans un soupire trop anodin, elle en irrite celle qui, à fleur de peau, se laisse envahir par le moindre sentiment négatif. « Je peux m'occuper de moi-même, merci. » Crache-t-elle en se décollant des portes closes. Le sarcasme danse sur les lèvres de la poupée, malheureusement Rain est trop en rage pour se montrer réceptive aux subtilités. Qu'elle déteste être laissée à la porte comme un outil dont on peut disposer, et même s'il n'y a que désir de protection dans les décisions de son père, Rain lui en veut.

Reine privé
D'un royaume sur lequel régner.

« Je n'ai pas de temps à perdre, allons-y. » Déclare-t-elle en écartant les propos énoncés comme on écarte les grains de riz sur une table. Elle lui passe devant, masque du mieux qu'elle peut l'inconfort de redécouvrir les murs de sa propre maison sous les éclats pigmentés. Les visages seraient presque agressifs, elle ne saurait nommer ce qu'elle voit, rouge, bleu, vert, jaune, c'est à se confondre dans un monde auquel on n'appartient pas. La tête de la plus vieille se met à tourner légèrement, elle s'engouffre dans un couloir afin de s'éloigner la plus possible de cet endroit trop peuplé. Le patio s'offre aux demoiselles comme un endroit de paix. Jardin japonais aux allures nobles, qui sépare la résidence traditionnelle et le bâtiment politique, bien plus moderne. La voix de la plus jeune continue d'être bien trop lunaire, Rain a les sens irrités, le corps engourdi, la patience limitée. Loin des regards, elle s'arrête, se tourne vers la scientifique en s'avançant dangereusement. D'une main qui vient rejoindre la façade du mur de pierre, elle la coince et vient planter son regard glacial dans celui de la probe, cherchant à se familiariser avec ce qu'elle ne peut décidément pas éviter. « C'est peut-être une simple promenade de fortune pour toi, mais c'est un calvaire pour moi. Je ne jouerais pas les hypocrites une seconde de plus, ta présence m'importune, je te fais faire le tour des lieux et je te demande de partir au plus vite, personne ne doit savoir qu'il y a une probe ici, encore moins une mono. Tu comprends ce que je dis ? » Vipère sort sa langue fourchue et la glisse autour de la gorge de l'impertinente, caressant la peau laiteuse de ses crochets empoisonnés, qu'elle pourrait l'avaler si on ne l'avait pas parfaitement éduquée.

D'un geste, elle se décolle, redresse son dos et arrange la veste de son costume qu'elle réajuste sur ses épaules. Le jardin lui paraît, lui, bien plus merveilleux ainsi décoré, au contraire de ces murs et visages qu'elle trouve agressifs, la couleur de dame nature lui apparaît bien apaisante. Comme hypnotisée par les buissons taillés, elle quitte les pavés du préau et s'engage sur les dalles de pierre noire. « Ce jardin a été conçu par mon grand-père lui-même, c'est un échantillon de celui qui se trouve derrière la résidence traditionnelle. Comme tu peux le constater, l'ambassade est grande, elle est séparée en deux ailes distinctes, une qui reprend l'architecture du Japon, une qui s'inspire de styles plus modernes. Il y a un troisième pavillon situé au fond du jardin, qui lui prend la forme des maisons traditionnelles coréennes. On y passera plus tard. Nous venons de quitter la salle de réception qui mène également aux bureaux de la chancellerie et de mon père, l'ambassadeur. Nous ne pouvons pas y aller pour l'instant, tu as vu toi-même qu'il y a du monde, c'est un meeting politique auquel j'aurais dû participer, si tu n'étais pas arrivée. » Elle fait l'effort de lui montrer son savoir, cette rigueur impeccable concernant l'histoire politique de ces lieux qu'elle aime plus que tout au monde. Discours pimentés de reproches assumés, elle sourit légèrement avant de pointer l'un des buisson devant lequel elles se sont arrêtés. « C'est quoi cette couleur ? » Et pour la première fois gamine demande à savoir ce qu'elle voit, à en redevenir enfant avide de connaissances, à dépeindre d'une curiosité qui l'a toujours caractérisée.

Car tes yeux seront les siens,
Artistes de ce monde qui vous appartient.

⌜ost ,,⌟

I've got a list of names,
yours is in red underline

ironies à se chanter, mensonges à tenter d'en camoufler les regards d'illusions si imparfaites. balades à en faire fleurir quelques fleurs, là, dans ces palaces aux allures divins. murs à s'orner d'or, chandeliers à en éblouir les regards ! quand extravagances venaient à en suinter de chaque meubles. de langages à se faire mistiques, beauté à pourtant venir s'épanouir dans les lieux divins ,, ô elle aimerait en découvrir chaque secret qui s'y cachait ,, comme labyrinthe où se perdre en reviendrait à gagner un peu de temps avec Reine des endroits. qu'elle en était glorieuse ! de ses humeurs décimées ,, à venir s'affairer : à les attiser un peu plus. car pour en marquer les mémoires, visage qu'elle devait graver ; à faire comme si ,, elle n'était que Rain.

et seulement :
elle-même.

"Je vois ça.", à rire légèrement ! face aux hostilités de la douce, à venir la suivre sans ne jamais la lâcher des yeux : amusements à se faire ! quand en réalité elle se moquait bien, d'en découvrir les bâtisses. à préférer simplement l'admirer elle ,, qui s'en croyait si forte ! murs à se dévoiler, tableaux et façades à en sembler si délicatement façonnées, ô il y en avait ici trésors si précieux ,, tout comme celle qui s'en faisait silhouette devant elle. jardin sublimé ,, à s'offrir aux regards, peut-être que ses visions à elle en était différentes ! à se demander si tout en était plus beau, d'en avoir couleurs contre les rétines. pieds à sauter tout doucement ; à trottiner ! là où les élégances se souhaitaient ,, il y en avait certain charme à se dégager, dans les natures à se faire si artificielles. rire à s'en dégager, à s'extasier sur toutes les plantes qu'elle pouvait admirer, il y en avait beauté : même sous les visages agacés. de pas à se faire brusques, d'un dos à se cogner contre quelques pierres bien trop fraîches. elle la dévisagea, à en cligner des yeux ! à venir sourire :
de ce spectacle ,,
à n'impressionner
que les innocents.
"Vous êtes bien téméraire, attention, je pourrai croire que vous m'appréciez, à me coincer contre un mur, Mademoiselle." rire à se faire si léger ! d'harmonie à se dessiner : sur le visage de celle ô jamais intimidée par les beautés d'une nymphe. "Un calvaire ? A ce point là ? Pourtant j'ai eu l'impression d'être l'une de vos invitées les plus aimable...", qu'elle en fit une fausse moue, avant de rire légèrement, à en laisser les regards se poser sur les visages de celle qui lui faisait face. à en rapprocher son visage ! comme pour la défier toujours plus. "Ce n'est pas toi qui m'a invitée, mais ton père. Je ne partirai que quand il me le demandera. Pendant ce temps...il va bien falloir que tu me supportes. Ca serait bête de me laisser approcher des diplomates." d'épaules à se hocher ,, de son index à venir en toucher le bout du nez de la jeune femme : juste pour l'agacer un peu plus.

à se décoller :
s'éloigner ,,
euphorie divine.

sourire à ne plus en lâcher les lippes colorées, à venir s'approcher des épaules de celle à en hausser les voix, quand elle préférait en observer les visages sérieux que les longs discours sur l'historique de ce joli jardin. c'est que les objectifs en étaient différents !  à n'avoir été invitée : que pour veiller sur elle. alors peut-être que les curiosités voulaient se nourrir de ces lieux ! à rester tout près d'elle en hochant vaguement la tête , face aux monologues infernaux. "Je vois je vois...Vous avez bien appris votre script !" à ne jamais pouvoir se retenir ,, d'en embêter la plus grande ! comme si les savoirs : viendraient l'en impressionner ((sans effet)).

doigt pourtant à se pointer vers quelques feuilles ,, ô question à la surprendre légèrement, elle la regarda presque étonnée, avant de ne se rapprocher du buisson en question,, d'en effleurer ses feuilles ! pour rayonner d'un coup. "Celle là ? C'est du vert.", à en tourner la tête, de ses yeux à s'illuminer. "Tu l'aimes ?" de politesses à venir s'échouer contre les sols ! à en laisser tomber les respects dû ,, quand elle voulait en comprendre les envies de la belle. "Je croyais que tu ne voulais pas voir les couleurs. Pourtant...Tu ne fais que vouloir me regarder dans les yeux. Tu ne serais pas un peu de mauvaise foi ?" d'un dos à se redresser, d'une figure à venir lui faire face ,, ô elle en jouerait les malices : loin des regards portés sur elles. "Il y a une autre couleur qui t'intrigue, ici ? Je peux toutes te les nommer, si tu le souhaites. Du vert des feuilles, au brun des arbres, tout comme le noir de tes cheveux, ou encore le rouge de ton maquillage.", qu'elle observa les alentours avant de ne se rapprocher un peu ,, à vouloir lui en compter : toutes les teintes du monde, si elle le lui demandait. "Et sinon...Tu n'es pas obligée de me traiter comme une touriste. Je préfèrerai amplement découvrir ton avis sur les pièces que des histoires passées apprises par cœur. Même si j'adore t'entendre parler ! Et que ce petit jardin est très beau...surtout pour admirer quelques couleurs.", ou l'admirer elle. de sa figure à se pencher ! comme pour simplement la fixer d'un peu plus près ,, à venir se faire démon de ces lieux. il y en aurait ,,  quelques étincelle : là où ne brillait jamais réellement les astres !

⌜ost ,,⌟

I've got a list of names,
yours is in red underline

Prunelles à s'épouser, discours à s'exploser, quand les lèvres s'articulent pour faire résonner les insolences, doc se joue d'elle, une lueur de malice dansant dans le fond de ses iris tandis qu'elles lui révèlent tout un monde, à celle qui refuse d'assumer cette envie de ne jamais détourner les yeux. Et dans sa beauté candide, elle rit, ôtant toute crédibilité à celle qui voulait paraître autoritaire. Désarmée face au tact de la jeune femme, Rain se sent presque idiote. Frustrations grignotent les cœurs, qu'elle voudrait resserrer sa main sur la nuque de la plus jeune pour ne plus l'entendre parler. Ô, que les pulsions sont mal venues, mais elle ne peut s'empêcher de repenser à sa sœur qui rigole dans son dos, cette ombre menaçante qui plane au-dessus d'elle et attend le bon moment pour lui trancher la gorge. Qu'elle aime donner à son anxiété le visage de Rael, car c'est plus simple de reporter ses névroses sur les autres, au lieu d'accepter le fait qu'elle est seule à s'infliger tant de mal.

Les mots de la Japonaise ont perdu leur candeur, elle lui fait front, les paroles fermes, elles ne lui laissent pas le choix d'argumenter. Certes, si la plus jeune veut tant rester à ses côtés, elle devra l'assumer. C'est une visite guidée des plus soporifiques que Rain lui offre pour lui donner envie de partir, et si ses explications révèlent sa passion, elle ne parvient pas à transmettre cette dernière, car le discours est monotone, dépourvu de cet éclat qui illumine pourtant son visage tandis qu'elle découvre la splendeur de ces lieux sous des nuances qu'elle ne lui connaissait pas. L'incorrigible ne manque pas de lui faire part de son ennui, usant de commentaires qui la vexeraient presque. « On m'a demandé de te faire la visite, alors je te fais la visite. » Tique-t-elle avant de reporter son attention sur les végétaux qui composent le jardin. « Mh, c'est du vert. » Répète-t-elle dans un murmure pour elle-même. Et derrière, le poussin continue de piailler, déblatérant des inepties qui viennent encore une fois titiller la patience de Rain. Ses yeux se posent à nouveau sur son visage qu'elle se met à fixer d'un air manquant d'enchantement. « J'imagine que tu ne te tairas pas si je te le demande... » Conclut-t-elle toute seule avant de détourner le regard tandis que l'autre se met à lui énoncer la palette de leur environnement. Elle se sent lésée, fatiguée, le color rush lui donne la nausée, mais elle doit se forcer à le supporter, car si elle ne peut pas éviter la plus jeune, elle doit au moins essayer de s'habituer à son regard miracle.

Son souffle se bloque tandis que l'autre se rapproche venant lui susurrer des mélodies qu'elle n'avait pas demandé. Grande et fière devient bien moins certaine, tandis que le battant se met à résonner, que le rouge lui monte aux joues, même si c'est une expression fermée qu'elle tente de conserver. D'un pas mal assuré, elle recule, cherche l'échappatoire de cette mise en scène grotesque. « Je ne vois pas pourquoi je devrais me plier à tes envies et te révéler mon avis. » Contre-t-elle par crainte de trop se révéler. Elle n'aime pas parler de ses sentiments, ni de ses émotions, elle aime l'ordre, ce qui est droit et austère, ce qui ne lui demande pas de se mettre à nu. « Continuons, veux-tu ? » Et elle tourne les talons, se remet à marcher d'un pas nerveux pour fuir les proximités. « N'attend pas de moi que je fasse amie-ami avec toi. Je veux bien supporter l'idée de t'avoir à mes côtés lorsque cela est nécessaire, mais j'aimerais que tu ne sortes pas de ton rôle, docteur. » Et elle se ferme avant même de s'ouvrir, coquillage gardant férocement la perle de ses sentiments.

⌜ost ,,⌟

I've got a list of names,
yours is in red underline

et d'une rose ,, sans doute que Rain n'en dévoilait que quelques une de ses couleurs ! dans ces lieux aux senteurs d'ailleurs. à en découvrir paysages aux allures oubliées ; d'un lieu presque inconnu. mais ô peut-être qu'à se balader dans ces allées fleuries au son de la voix d'une seule nymphe en ferait résonner quelques chants ici et là. cage qui en avait capturée jolie fée comme pour la prendre au piège, l'étouffer ici : quand dehors il y en avait encore de plus beaux endroits à explorer ! de paroles à venir l'endormir, à plus en poser ses yeux sur les divines plantes que sur celle qui en semblait faire monologue pour la faire fuir ,, ô mais malgré tout elle n'irait nul part, Hotaru ! bien trop occupée : à en agacer celle aux voix angéliques.
comme pour ,,
en empoisonner :
la soirée.
de saveur à ne se faire que de plus en plus fade, à se jouer de quelques jeux presque proscrits ,, elle se demandait ! comment les visages pouvaient en prendre couleurs pour lui en montrer : que ses yeux n'en étaient pas que malédictions. "Me faire la visite...Et si tu faisais un peu ce que tu voulais hmm ?", qu'elle en provoquait les limites, faisait comme si Rain n'en était que son égale ! à vouloir en créer fureur, sur les teints trop pales de la douce. "Tu aimes le vert donc." d'une remarque à se faire ; à venir sourire presque trop légèrement ! d'une innocence si fragile ,, aux envies de printemps pour en effleurer les joues si fragiles. à s'agiter, pourtant, comme enfant qui en avait révélé vérités là où personne ne s'y était réellement attendu : quand les fleurs en fleurissaient même, à chaque regard qu'elles venaient toutes deux à s'offrir.

rire à venir en créer harmonies, dans les lieux divins aux éponymes merveilles, elle s'avança aux devant d'elle en hochant vivement la tête, quand Rain en avait déjà tout percé : de ces personnages à s'être créer. "Effectivement ! Je n'obéis que très rarement à ce genre de requêtes...!" comme tourbillon à ne faire que voltiger les feuilles, à lui en montrer un nouveau monde sublime : comme pour se faire souveraine de quelques pigments sans vie. d'un visage à s'approcher comme pour en briller un plus, elle s'amusait de ses réactions ,, à se faire presque démon à en hanter les nuits imprévues. satisfaite, elle, d'en colorer les figures qui en venaient à reculer plus loin. "Peut-être pour en devenir un peu plus intéressante ? Mais oui, fais comme tu veux.", qu'elle haussa les épaules, moue au visage !

devant perle de nacre :
à se cacher !

à en suivre princesse d'Atlantis ,, à se balancer légèrement d'avant en arrière, rouler des yeux sous ses mots : comme discours à ne faire que se répéter. "Et qui a dit que je voulais être ton amie ? Moi, on m'a dit de venir. Je suis venue. Ce n'est pas pour entendre tes plaintes en permanence jeune fille. Puis, je ne sors pas de mon rôle, la preuve : je te surveille, et je ne fais que te regarder.", qu'elle la fixa intensément pour finir par la dépasser et n'en faire qu'à sa tête. "Puis pour être amie, il faudrait que tu arrêtes de me fixer dans les yeux ~ ! Je vais finir par me méprendre !" de rires sublimes ! à la devancer, venir circuler dans les couloirs comme si tout lui était permis ! observer les recoins, à ne pas vouloir en entendre les monologues historiques de la douce : à vouloir un peu l'embêter, quand elle n'en connaissait aucunement là où elle se dirigeait. à ne pas vouloir se perdre ,, pourtant ,, à rester aux devant de la Reine des lieux. "Y'a tellement de pièces ! Ca vous sert vraiment tout ça ?", qu'elle naviguait un peu à l'aveugle, avant de se retourner vers celle qui devait sans doute être derrière elle. "Et donc...Vous vivez là dedans ? Y'a encore un bâtiment ? Ou c'est que des bureaux ici...", qu'elle plissa un peu des yeux, à venir essayer d'en regarder discrètement derrière les portes qu'elle croisait. "D'ailleurs, il s'passe quoi, dans vos réunions ? vous buvez et vous dansez ? ou vous ne faites que parler boulot ?"
à en être
comme insolence :
dans les châteaux.

⌜ost ,,⌟

I've got a list of names,
yours is in red underline

Paroles balayées sous les dignités, elle se doit de faire preuve de patience, surtout lorsque leurs pieds foulent ainsi l'histoire de leur famille. C'est peut-être par problème de légitimité, qu'elle s'accroche tant à ces connaissances qui n'intéressent personne. Elle aime prouver qu'elle est investie chez les Im, car malgré les efforts de ses parents pour l'intégrer, elle ne pourra jamais oublier qu'elle vient d'ailleurs et que le sang qui coule dans ses veines n'est pas le même. Pourtant, personne ne pourrait s'y méprendre, Rain est le portrait craché de son père en termes de manières. Trop sérieuse pour prendre les choses aussi légèrement que sa compagnie, elle fronce les sourcils à la réponse de la plus jeune avant que cette dernière ne s'autorise à lui passer devant. Ses joues virent instantanément au cramoisie, elle prend un air furieux et double son allure pour la rattraper. « Je devrais te faire manger du savon afin de te laver de toutes ces inepties que tu débites. » Répond-elle sèchement en accélérant encore la cadence, ses talons martelant désormais les dalles du préau dont elles ont atteint le bout.

La brune disparaît alors dans l'antre du pavillon japonais, aile résidentielle de la famille Im. Entre tradition et modernité, les pièces du rez-de-chaussée sont agencées comme à l'ancienne, les tables embrassent presque le sol en tatamis, les portes en papier de riz séparent les pièces orientées vers le levé du soleil, des antiquités en porcelaine ou en papyrus ornent les étagères et les murs plus rigides. Tout, ici, est fragile. « Attend s'il te plaît ! Ne va pas n'importe où bon sang, on t'a jamais appris les règles de base de la politesse ?! » Crie Rain en attrapant l'épaule de l'intrépide, la forçant à se tourner vers elle. Un brin dramatique, la plus vieille se trouve un peu plus embarrassé maintenant qu'elle lui fait à nouveau face, mais comme toujours, rien ne traverse le masque de ce visage impassible.

Elle se sent soudainement bien essoufflée, le color rush la forçant à puiser dans les maigres ressources de son corps toujours aussi mal nourri. Elle garde ses mains sur les épaules de la Japonaise et baisse la tête, afin de reprendre son souffle. « S'il te plaît, reste tranquille... » Elle se redresse, mais les vertiges reprennent de plus belle, elle se recule et vient s'asseoir sur les marches de l'escalier qui conduit au premier étage. « C'est ici qu'on vit et qu'on reçoit nos proches. Je ne suis pas supposée t'amener là-haut, mais je crois que j'ai besoin d'un moment pour me remettre. » Souffle-t-elle en se prenant la tête dans les mains. Ici aussi, les couleurs lui fatiguent la rétine. Elle redresse alors la tête, un filet de sang lui coulant du nez. « Putain, aide-moi ! » Appelle-t-elle en se relevant précipitamment. Elle prend appui sur la jeune femme et la conduit en haut des escaliers, là où se trouvent leurs véritables quartiers. Cette partie de la maison est bien moins rustique qu'en dessous, l'architecte a su parfaitement mêler les genres, les pièces sont bien plus modernes et pourtant, la structure suit les traditions. Il est évident qu'elles se trouvent dans le lieu de vie de la famille. « Le couloir là-bas, ma chambre et celle de ma sœur. La mienne est sur la gauche. Emmène-moi, j'ai besoin de m'allonger. »

⌜ost ,,⌟

I've got a list of names,
yours is in red underline

sourire à en éblouir les visages ,, à venir briser les chaînes de ce châteaux aux allures bien trop sombres ; ô merveilles à en révéler là quelques secrets dont elle se moquait bien : Hotaru ,, corbeau déguisé en colombe. à apporter les présages maudits, à venir soutenir les quelques lucioles qui pouvaient en briller encore dans ces lieux si maudits. il y aurait les rires à se dégager d'entre sa gorge comme pour en égayer un peu les lieux trop moroses ,, il y aurait le voile de sa robe à valser à chacun de ses pas comme nouvelle valse. à se vouloir se soir comme danseuse de minuit. entraîner celle aux cheveux obsidiennes, beauté fragile qui en semblait si forte ! ((mais qui ne la tromperait pas)) alors Rain ,, à venir jouer de quelques étoiles ,, il y en aurait flammes aux bout des mains pour en tenter d'en impressionner les Reines des lieux. alors de ses réponses sensées en blesser les âmes :

elle rigola !
de ces repas proposés.

arrogante figure à se faufiler alors sous les paliers des lieux, à courir, trottiner, découvrir toutes ces allées où les pas se faisaient pourtant si faibles. quand derrière elle voix à se faire entendre, à la faire se retourner comme petit soleil bien trop enjoué, ô elle se jouait aventureuse ! d'une épaule à se faire prendre au piège des doigts de la douce ,, à alors s'arrêter ,, ne plus bouger : l'admirer un instant. "Tu n'as pas beaucoup d'endurance...! Mais comme tu le vois, je ne suis pas très adepte de ces politesses dont tu parles.", quand à vouloir avoir le dernier mot, elle en hausserait les épaules de ces insolences sans doute bien trop irritantes : à n'avoir pourtant rien abîmés, de sa présence dans ces musées.
de regards :
à s'enlacer ,,
de nouveau.
figure à en perdre de ses couleurs, à sembler dériver au loin, la japonaise en gardait tout proche de sa taille l'une de ses mains comme pour en prévenir la moindre chute. yeux à se cligner légèrement, à ne plus bouger comme si les demandes en semblaient être supplices, elle la regarda se poser contre les marches, à s'approcher alors quand les corps ne semblaient plus comment savoir réagir face aux vertiges. "Et toi arrête de bouger ! Ca ne fera qu'aggraver les choses de t'agiter et me hurler dessus !", qu'elle répondit alors tout doucement en s'agaçant avant de venir la soutenir en s'agrippant fermement à elle. Marches à alors monter tout doucement, pas après pas, à veiller sur celle aux mouvements bien trop hasardeux. murs qu'elle venait à ignorer, pour en rejoindre les pièces indiquées, elle la déposa tout doucement sur son lit, d'une main à venir dégager tout doucement sa nuque de son col par réflexe pour en faciliter la respiration.

"Essaie de t'allonger...et de respirer tout doucement. A partir de maintenant, c'est moi qui commande, Mademoiselle.", qu'elle murmura alors, à ne faire que river son regard sur celle qui en était patiente de tous ses maux. "Je ne pensais pas que tu m'emmènerais dans ta chambre si tôt~! Si j'avais su je serai venue plus vite !", à se vouloir joueuse, malgré les gestes précis pour en vérifier l'état, doigts à se glisser contre le poignet, à venir caler quelques oreillers derrière elle comme pour en faire se reposer de force les corps. "Comment tu te sens ? Tête qui tourne ? Tu devrais arrêter de me regarder dans les yeux pour le moment, surtout ce soir. Surtout si tu veux paraître aussi forte que tu ne le prétends." à presque s'inquiéter ! à venir dégager le visage de celle qui lui faisait face en venant tout doucement s'agenouiller auprès d'elle pour en garder œil sur elle. "Et ne t'en fais pas, je ne toucherai à rien. Alors tu peux te reposer. Après tout ton père m'a fait venir ici pour cela. J'irai te chercher un peu d'eau après.", qu'elle retrouva son sérieux, quand ici elle en avait l'impression d'en être bien trop ridicule. "Même si à tes yeux je suis impolie et que je n'ai pas ma place ici, tu vas devoir me supporter encore un peu.", qu'elle lui sourit alors tout doucement, à relever la tête vers elle presque trop doucement : pour venir en toucher son front du bout de ses doigts délicatement, pour lui en montrer ô à quel point elle n'en était pas si forte ,, Rain.

illusion :
qu'elle reflétait !

⌜ost ,,⌟

I've got a list of names,
yours is in red underline

Les chemins se font tous seuls jusqu'aux quartiers de la plus grande. Féline perd de sa noblesse tandis qu'elle se laisse guider par celles dont les intentions lui paraissent toujours aussi floues. Lèvres qu'elle rêve de coudre pour ne plus avoir à se heurter à tant d'impertinence, qu'elle préfère rester silencieuse en l'écoutant parler, car de toute manière, elle n'a pas la force de lui répondre. Elle se laisse choir sur le matelas, portant ses mains à sa tête pour masser ses tempes. « Tu es vraiment fatigante...  » Grogne Rain en entrouvrant un œil épuisé. « Ça t'arrive de parler sans surinterpréter les choses ? » Elle sert les poings, car elle n'apprécie pas du tout les certitudes de cette insignifiante qui pense tout savoir d'elle et de ce qu'elle pense. « Tu me prends pour une idiote qui veut passer pour ce qu'elle n'est pas depuis qu'on s'est rencontrées. » Commence-t-elle, avec l'intention de lui remettre les idées en place. « As-tu seulement idée du monde dans lequel je vis ? Toi, petite souris cachée dans le fond d'un laboratoire ? » Elle fronce les sourcils et se met à fixer le plafond. « Essaye donc de vivre au milieu d'hommes politiciens qui te sous-estiment et jugent chacune de tes décisions, sans compter ceux qui te voient comme un objet. Essaye seulement ! Tu viendras juger mes comportements ensuite. »

Les couleurs vibrent moins, mais elle ne se sent pas mieux pour autant, et les commentaires de la plus jeune n'arrangent rien à sa situation, si ce n'est que pour irriter ses nerfs déjà à vif. Rain en fait parfois trop, mais c'est ainsi qu'elle a grandi, dans le but de ne jamais avoir à courber l'échine, car elle se doit d'avoir assez de ressources pour diriger l'empire que son père lui réserve, et si cela ne plaît pas, grand bien lui fasse. Elle sent le bout des doigts de la plus jeune tracer leur chemin sur son visage, tendresse qu'elle reçoit sans trop rechigner, même si les proximités permises la rendent quelque peu perplexe. « Pourquoi tu tiens tant à rester avec moi ? Je suis curieuse, toi dont je ne connais même pas le prénom. » Elle tourne la tête vers elle alors que les couleurs commençaient à disparaître, sans comprendre qu'elle cherche à les retrouver. « Mon père, tu dis, je ne pense pas que cela soit nécessaire, même si mon père te le demande. » Elle s'essouffle vite, manque de clarté. « Toi à mon chevet, comme si j'étais sur le point de mourir, je veux dire. » Et encore une fois, elle rejette les affections démontrées, car elle n'aime pas être assistée de la sorte. « Tu n'as qu'à explorer le reste de la maison, je vais juste me reposer ici. » Elle lève alors le bras, attrape le poignet de la doc pour la retirer de son visage avant de lui tourner le dos. « C'est à cause de toi et de tes yeux que je suis comme ça, le mieux c'est que tu t'éloignes un peu, tu ne penses pas ? »

à repousser les soleils
qui gravitent trop près.

 

⌜ost ,,⌟

I've got a list of names,
yours is in red underline

c'est que les pas s'en faisaient presque hasardeux ,, jusqu'aux donjons de celle aux allures bien trop faibles. figure à devoir en calmer les caractère, à devoir arrêter de s'animer pour de simples enfantillages. ô Hotaru cherchait sans doute un peu trop à atteindre le joyau qu'elle avait devant elle : sans pourtant en perdre de vue sa place. à différencier ordre et agacements ,, épopées et aventures à s'en faire trop périlleuses, ici. grognements épuisants ,, à la faire rire. elle était petite fée ici, à s'agiter ,, virevolter : découvrir tous les recoins des palais comme s'il y en avait tant de secrets camouflés. de murs à tourner, d'escaliers à s'enrouler sur eux-mêmes, sans doute que les livres en cachaient pièces et trésors, quand pourtant elle n'en était pas là chasseuse de ces pierres en tout genre. ((juste d'une seule : onyx.)) d'un éclat si léger, à scintiller même dans la nuit ,, ô il y avait si peu de poèmes à lui attribuer ! pour celle qui en était pourtant des plus sublimes de ses poignards à s'enfoncer dans les poitrines.

encore
encore :
à tout faire saigner.

"As-tu fini ?", que les voix en restaient calmes : quand le humeurs festives s'en transformaient peu à peu en agacement. "Je ne te prends pas pour une idiote, j'essaie juste de détendre l'atmosphère que tu t'éperdues à rendre plus compliquée qu'elle n'est." à souffler ! là, devant celle pourtant qu'elle venait à toucher de douceur presque contradictoire. "Et toi ? As-tu seulement une idée de ce que c'est de vivre cachée et dans la peur ? Où tout peut t'arriver ? Dans un monde où tu n'as personne à qui faire confiance car tout le monde peut te poignarder dans le dos ?" à en décrire quotidien différent ,, car se cacher : n'en était pas comme simple fleuve léger et tranquille. "Tu ne sais rien de moi, toi non plus. Et je ne juge absolument pas, je ne constate que des faits. Je te dis juste que tu n'as pas à rester sur tes gardes auprès de moi, car comme tu le dis si bien, je ne suis qu'une souris. Qui pourtant connaît bien le monde."
car dans les têtes :
il y en avait tout un monde ,,
à se créer.
pour en fuir les réalités ! effacer les familles tant détestées pour peut-être réussir à s'épanouir dans le domaine qu'elle aimait. car les jugements, elle ne les connaissait que trop bien. du harcèlement de ces vipères aux langues bien trop aiguisées ,, de ces coups à devoir s'échapper des bouteilles de verre. ce n'en était pas réellement un refuge ,, les bras des rues et de ceux à l'avoir accueillie ,, mais presque seule famille qu'elle possédait. "Je m'appelle Hotaru. Je pensais qu'on t'aurait au moins informé. Et je ne fais que mon travail, c'est à dire veiller sur toi. Peut-être que pour toi c'est inutile, mais si c'était réellement le cas je ne serai pas là encore ici." logique des mots ! à n'être que poupée de cire à se figer devant celle qui en rejetait toutes les affections.

soupir las :
à la faire alors
sourire.

couverture dont elle se saisit pour venir recouvrir le visage de celle qu'elle assistait ,, elle en balança les bords sans réelle douceur pour recouvrir les yeux de celle qui n'en faisait que caprice. à venir s'asseoir sur l'une de ses chaises sans ne plus bouger. "tu es amusante, Rain. jamais d'accord, jamais de bonne humeur, toujours à râler. on dirait presque un chaton.", visage à se pencher, à la fixer comme s'il ne s'agissait que d'un jeu : quand elle en était pourtant des plus attentives. "Ce n'est pas drôle, si je ne suis pas accompagnée. Et je ne suis pas ici pour m'amuser, mais pour travailler. Alors tu peux en vouloir à mes yeux comme tu le souhaites, mais les tiens les ont choisi." ,, à ne pas se laisser faire, cette fois-ci. "Alors Mademoiselle Im, j'attendrai que vous vous réveillez de là où je suis. Mais vous avez intérêt à dormir. Car autrement je vais vous fixerai longuement et je serai obligée d'en faire un rapport à votre père." de politesses à refaire surface.

comme pour en poser ,,
elle-même :
les limites.

d'un soleil ,,
contrarié.

⌜ost ,,⌟

I've got a list of names,
yours is in red underline

Étincelles viennent allumer les mèches des contrariétés, et ça la fait sourire, étrangement, Rain, qui enfonce son visage un peu plus dans la fraîcheur de ses draps propres tandis que l'autre se pare d'airs bien plus officiels. Hotaru lui paraît comme un numéro, elle ne parvient pas encore à lui donner la crédibilité d'elle mérite, même après ses discours sur la difficulté de sa vie. « Si je veux rester sur mes gardes, c'est mon problème, tu ne crois pas ? » Car elle ne fait confiance à personne, surtout pas à elle. « Tes paroles sont contradictoires petite souris. » Et elle ne lui fera pas le plaisir de l'appeler par son prénom, pas encore. « On t'a invitée sans m'informer, privée d'une réunion importante et maintenant, j'ai l'impression qu'on m'a frappé la tête avec une pelle, rappelle-moi ce qui pourrait potentiellement me mettre de bonne humeur dans cette histoire ? » Répond-elle, le ton toujours plus sarcastique. Elle ferme les yeux et tente de se détendre, mais l'idée qu'on l'observe dormir en silence l'angoisse légèrement.

Elle finit pas retirer la couverture de son visage, se tourne vers la jeune doc et plante à nouveau ses iris dans les siens, le visage dépeignant d'une expression différente. « Je ne peux pas dormir comme ça, approche. » Lui ordonne-t-elle en tendant le bras. Elle attend que l'autre s'exécute avant d'attraper sa main pour la tirer avec elle sur le matelas. « Allonge-toi. » Elle s'écarte pour lui laisser la place de se glisser à son tour dans ses draps. « C'est moins douloureux, allongé. » Déclare-t-elle en parlant du color rush. Sans la quitter des yeux, elle se met à la détailler. Les premières couleurs qui lui ont été données de voir sont celles de son visage, qui lui apparaît ainsi plus familier. « J'ai besoin de m'habituer, je ne peux pas faire un malaise à chaque fois qu'on se croise. »  Se justifie-t-elle en faisant tomber son regard sur les lèvres de la demoiselle. Même sous ses airs squelettiques, Rain ne perd jamais de sa prestance, ni de son séduisant. Elle ne mange toujours pas comme elle le devrait, n'a même pas entamé de travail pour se sortir de son anorexie, la seule qui soit au courant sans que cela ne lui porte préjudice, c'est Hotaru, peut-être pourra-t-elle véritablement être sa porte de sortie.
 

⌜ost ,,⌟

I've got a list of names,
yours is in red underline

prunelles à virevolter, à s'empoisonner de quelques émotions contraires. les discours en semblaient bien trop fâcheux : quand elle n'en demandait qu'un peu de bonne entente ,, dans toutes ces mélodies désarticulées. fin d'une ère ; où les douceurs en étaient primordiales pour survivre dans tous ces chaos. car de ses mots, il y avait un peu de vrai, un peu de faux. à bien se moquer : de ce qu'on lui avait dit ou non, quand elle n'en faisait que ce qu'on lui disait. "Peut-être. Mais tu es bien compliquée alors.", d'un simple sourcil à se hausser ,, pour en rire légèrement. "Je ne sais pas....tu es en bonne compagnie, ce n'est pas suffisant peut-être ? Même si je dois dire, tu n'es pas très amusante. C'est peut-être moi qui suis malchanceuse ici." à l'embêter toujours plus !
celle qui ne brillait ,,
que dans les ombres :
de l'univers.
alors Hotaru finirait par jouer aussi ,, de ces airs presque trop ridicules. à se jouer des mots ,, des politesses : à bouder à sa manière ; d'en trouver là trop d'artifices qu'elle détestait tant. et pourtant les étonnements en étaient presque de trop ,, à l'entendre. surprise à la faire se lever et s'approcher tout doucement,  d'un regard un peu perdu, quand les mots en firent exploser nouveau rire contre les lippes. "Et c'est qui, qui est contradictoire ici au juste ?" quand douceur en avait attrapé sa main pour l'attirer contre les draps. à laisser ses mèches s'étaler contre les tissus, à la fixer : comme créature bien étrange finalement.

et Rain :
en avait donné
nouveau jeu.

"Vous habituer à quoi ? A mon visage ou aux couleurs ?", qu'elle venait à l'observer, suivre ses regards comme si ces derniers n'en étaient que trop courageux. "J'ose croire que vous ne regardez pas réellement mes yeux, Mademoiselle. Vous n'êtes pas très discrète. A moins que la couleur rouge ne vous intéresse ?" d'un ton à se jouer de tout ,, de son vis-à-vis, tout comme de ces politesses trop sarcastiques. "Mais est-ce réellement une bonne idée de jouer ainsi ? Car si vous voulez vous y habituer, je vais vous fixer à chaque fois qu'on se croise." de ses doigts, à venir recaler la couverture sur la Reine des lieux, il y en avait certaine tendresse ! là où pourtant elle ne faisait que jouer la comédie ,, d'animosités à en colorer doucement les joues. "Et donc...Comme ça vous arriverez mieux à dormir ? Dois-je comprendre que vous préférez que je vous fixe en étant à deux centimètres de vous ?", comme si les proximités ,, en étaient chaleurs rassurantes. "J'imagine que vous n'allez donc pas dormir, si vous voulez m'observer pendant des heures. Pas que ça me dérange réellement, mais est-ce bien ce que vous voulez ? Alors qu'il y a à peine quelques minutes vous vouliez que je disparaisse de votre vue." qu'elle vint tout doucement s'approcher de son visage ,, feinte sublime ! à en mimer baiser, pour simplement souffler contre son oreille un peu d'air chaud.
enfantillage !
à venir :
lui faire dos.
à se retourner ! car Hotaru n'en était qu'enfant à se faire désirer ,, à en rester dans son rôle pour ne pas laisser les tentations s'insinuer comme si elles n'en étaient que ricochet : à se créer ,, à chaque ouverture. parfums enivrant : auxquels elle ne devait pas se donner. "Dormez. Ca risque d'être long, autrement, de passer la soirée avec moi.", qu'elle jeta un simple coup d'œil derrière elle, presque trop amusée : pour battre en retraite.

⌜ost ,,⌟

I've got a list of names,
yours is in red underline

Et les paillettes viennent à disparaître, lorsque les lèvres s'entrouvrent et que les musiques résonnent, c'est à se demander si l'autre n'a pas la volonté de la tourmenter. Rain retient son souffle, elle fronce les sourcils, tente de garder son sang-froid tandis que la plus jeune fait preuve d'un manque drastique de tact. Sa voix ne devient qu'un bourdonnement lointain alors qu'elle se laisser absorber par la contemplation de ce qu'elle ne connaît pas. Le rouge ? Elle ne s'embarrasse pas pour si peu et continue de fixer les lèvres de la Japonaise, hypnotisée par les pigments de son maquillage. Elle a souvent entendu les autres lui dire que le rouge lui allait au teint, Rain se contentait de hocher la tête en remerciant ses interlocuteurs sans jamais savoir de quoi il en retournait. Stylistes, coiffeurs, maquilleurs, c'est une véritable équipe qui s'occupe de la pomponner presque tous les matins, telle une superstar, elle-même se trouvant bien incapable d'accorder quoi que ce soit.

Princesse maudite
Princesse chérie.

Démonstration d'une audace surprenante, Raine est ramenée à la réalité lorsque le visage d'Hotaru se rapproche, piquant la plus grande d'une curiosité intéressante. Elle ne bouge pas, néanmoins, redressant ses yeux dans le regard ténèbres de l'intrépide. Osera-t-elle s'emparer d'un baiser alors qu'elles se connaissent à peine ? Ce n'est pas le genre de chose qui déstabilise la plus grande, elle a l'habitude des expériences imprévues, ça ne la dérange pas non plus. Ses questionnements sont rapidement balayés tandis que la scientifique se contente de venir chatouiller son oreille avant de lui tourner le dos. Sourire qui se dessine sur le visage de l'aînée, Rain pourrait presque éclater de rire, face à un comportement si puéril, mais elle reste silencieuse, ne souhaitant pas offenser celle qui ne cesse de faire pleuvoir les allusions depuis le début, sans pourtant que Rain n'ait démenti de quoi que ce soit. « Tu es une espèce étrange, Saitô Hotaru. » Se contente-t-elle de dire avant de se retourner également. Si la demoiselle souhaite jouer les offensées, Rain ne tentera pas de la dissuader, car elle est de ces filles qui n'attendent rien des autres et qui ne s'occupent pas de savoir ce qu'ils peuvent bien penser.

Elle est de ces filles qu'on n'ose rarement toucher et qui se complaisent dans l'effet qu'elles renvoient, attisant les curiosités.

« Je vais dormir maintenant, alors tache de rester silencieuse, même si ça a l'air compliqué pour toi. » Et Rain se demande à qui elle peut bien parler lorsqu'elle est cloîtrée dans son entrepôt. Entrepôt ? Maintenant qu'elle y songe, pourquoi travaille-t-elle dans un endroit pareil ? Les médecins ne sont-ils pas supposés travailler dans des cabinets ? Pourquoi son père l'a-t-il choisie, elle, afin de lui confier la vie et le secret de sa fille ? Les questions se bousculent soudainement dans son esprit, compliquant l'endormissement. Les enchaînements des événements de sa vie l'ont propulsée d'une réalité à une autre sans qu'elle n'ait le temps de remettre quoi que ce soit en cause. Les yeux fermés, elle revoit cette soirée fatidique, la maltraitance de sa soeur, sa crise de boulimie, leur père qui les conduit toutes les deux face au terrible spectacle bestial d'un combat orchestré, les visage enragés des monos combattants, la jouissance de ceux des spectateurs, élite sociale se divertissant de la condition misérable du reste du monde. Rain se sent soudainement très mal à l'aise, elle tente de réprimer le sentiment, mais son corps se contracte sous les couvertures. Elle sent sa gorge se serrer, la chaleur qui l'envahie, rien à voir avec le color rush derrière lequel elle se cache depuis un moment, non, cette fois-ci, c'est la crise d'angoisse qui se déclare, la bonne vieille crise d'angoisse qui lui pourri tant l'existence. Son corps est soudainement pris de tremblements, elle serre ses dents, se mord la lèvre en essayant de masquer au mieux sa crise, sans réel succès.
 

⌜ost ,,⌟

I've got a list of names,
yours is in red underline

et il y avait les audaces : dans chacun de ses mots, dans chacun de ses gestes. à espérer en hypnotiser les reines pour en devenir simple valet ! sans n'en demander jamais trop ,, de ses paroles à s'enchainer comme pour en faire oublier tous les maux. ((à en éclater les têtes !)) de ces vivacités, de cette voix à se faire détester de tous. car Hotaru n'était jamais restreinte ,, à se faufiler dans les esprits pour en marquer les regards. le sien. à elle même se perdre sur les traits de son visage, rire de ceux à la fixer, comme si tout n'était que bien trop nouveau. d'un rouge à en attirer les regards contemplateurs, aux approches presque trop courageuses. univers qu'elle connaissait ,, à laisser parler les tentations comme pour les retenir. d'un baiser presque imité, à effleurer tympans de sa douce voix : elle se ferait enfant, ce soir !
à tourner son dos ,,
aux belles :
d'un soir.
léger rire à la prendre, de ses épaules à tressauter tout doucement, elle ferma les yeux, croisa les bras, à se demander quelle vision d'elle-même elle en offrait. spectacle étrange auquel elle s'adonnait, pour impressionner les fatigues de celle si patiente. "Hmm-hmm~", remarque qui ne la blessait pas, à presque s'amuser de cette imagine donnée ,, ô elle jeta un léger coup d'œil derrière elle d'une fine moue ! quand elle en aimait tant parler à ceux qui ne l'écoutaient pas. "Tss...Dors ! Au moins je n'entendrai plus tes commentaires !" d'un corps à apaiser ,, de quelques humours vaseux.

car les mots :
en étaient ,,
sa seule arme.

pour survivre ici, pour faire face aux gens. paroles dont elle était dotée et qu'elle venait à entraîner à chaque instant. c'est que Rain en était un peu cobaye ! à lui parler sans ne vraiment savoir quelle danse mener. des politesses pour le sarcasme au naturel pour les amusements. à lui tenir tête sans en perdre aucun respect. d'un parfum qu'elle avait capturé de ses rapprochements, à tenter d'en deviner chaque saveur en se les imaginant contre son épiderme : chaos subtile ! imprévus dans les harmonies reposantes. à en sentir agitation, derrière elle, discret petit être à vouloir n'en faire paraître que comédie. dos à alors se redresser, à venir glisser sa main contre l'épaule de la douce d'un regard à s'inquiéter. "Rain ?" murmure léger, main à en effleurer le visage, il y avait les sourcils, à se plisser ,, les angoisses : à apparaître comme fleur à s'épanouir.

cauchemar éveillé :
à traumatiser.

et alors les douceurs viendraient l'envelopper, à glisser ses bras tout autour d'elle, caler sa tête contre son cou quand les doigts s'en glissèrent entre les mèches noiraudes de la jeune femme. "Respire tout doucement. Compte jusqu'à 5 et prend une inspiration...cale toi sur mon rythme." qu'elle glissait au creux de son oreille, à essayer d'en détendre le dos du bout de ses doigts. caresses à se faire presque trop tendres, enfant qui avait disparue pour en laisser place à ce qu'elle savait faire de mieux. calmer les esprits, détendre les figures : à l'enrober toute entière ! de ces présences parfois trop imposantes. "Tout ira bien, Rain." à ne pas savoir ! à seulement imaginer ! de ces crises reconnaissables sans en connaître les causes. car Rain était complexe ,, car Rain était puzzle : à en découvrir les pièces une à une, seconde après seconde.
à vouloir ,,
tout connaître :
d'elle.

⌜ost ,,⌟

I've got a list of names,
yours is in red underline

Elle pourrait déclarer forfait Rain, se dire qu'elle ne parvient plus à contrôler une partie d'elle-même, s'en remettre aux expertises des professionnels, accepter les troubles et travailler dessus pour les surmonter. Elle pourrait simplement lâcher prise, se laisser porter par les bras de la plus jeune qui tente de lui apporter réconfort, quand elle ne fait que l'étouffer sous sa bienveillance. Elle voudrait la repousser, ou au contraire, la serrer contre elle, mais elle ne fait rien Rain, elle se contente de trembler et de grincer des dents, paralysées par des mécanismes d'appel à l'aide sans s'en rendre compte. Si la crise s'est déclarée ici, près d'elle, c'est certainement parce qu'elle est la seule en mesure de capter les signes de son mal-être, la seule capable de lui apporter l'aide nécessaire afin de la diriger vers des services plus spécialisés. Hotaru est devenue plus proche d'elle que le reste du monde en seulement deux rencontres, et c'est sûrement ce qui l'embête le plus, la brune, car elle a toujours cherché à dresser des remparts pour la protéger de l'adversité.

Elle écoute sa voix, son cœur, tente de faire ce qu'elle dit même si elle n'en a pas envie, car elle ne peut pas perdre le contrôle à chaque fois qu'elle se trouve avec elle. « Je vais bien... » Bégaye-t-elle sans y croire elle-même. Espace personnel qui n'existe plus, Hotaru lui colle à la peau, elle veut la voir comme un parasite, mais elle sait ce parasite bénéfique, et c'est pourquoi elle ne se dégage pas de son emprise et essaye de calmer son esprit en se concentrant sur son souffle qui lui caresse la peau. Elle tourne sa tête, enfonce son visage dans son oreiller à la recherche de sa coquille, ce petit sentiment de sécurité qui a de plus en plus de mal à se faire ressentir, même entre les murs de sa propre chambre, de sa propre maison. C'est le problème lorsqu'on grandit dans une famille qui, sur le papier, possède tout, mais qui emprisonne les esprits dans une conformité absolue. L'ambassade est un lieu de vie, mais avant tout de travail, les gens viennent et repartent au gré du vent, tandis que les Im, restent prisonniers de ces murs sans jamais complètement se détacher de leurs fonctions.
 
Le calme revient doucement sous la douceur de la plus jeune. Rain s'apaise et émerge petit à petit de ces états tétanisants. Elle respire à nouveau, mais tremble encore légèrement. « Tu peux te détacher s'il te plaît ? » Murmure-t-elle tandis qu'elle s'enfonce un peu plus dans son matelas, la fatigue jaillissant comme un contrecoup. Après tout, elles ne sont personne l'une pour l'autre, elles ne se connaissent pas et partagent simplement un secret. Rain est quelqu'un de solitaire, elle ne se livre pas simplement, il faudra du temps pour qu'elle se décide à accorder sa confiance à la Japonaise. « Merci. » Ajoute-t-elle simplement en fermant les yeux, se laissant doucement sombrer dans les jougs de l'épuisement.

⌜ost ,,⌟

I've got a list of names,
yours is in red underline

instinct presque trop factice ,, à se vouloir protectrice de tout ce qu'elle n'était pas. remonter le temps, essayer d'en donner quelques réconforts quand tout n'était que trop disproportionné. de fatigues à prendre le dessus, de figures à se rapprocher comme simple envie d'en calmer les esprits et les corps. Hotaru ,, elle n'en connaissait que les sciences corporelles : celles où les soins en étaient primordiaux. quand des têtes, elle ne pouvait pas en soigner les maux. inutile ! à simplement pouvoir les repérer, les détecter, sans pour autant savoir les traiter. elle n'était pas si douée, celle aux allures de scientifique. gamine à ne faire que suivre ce qu'on lui demandait sans ne réellement se soucier du monde autour.
à n'être :
que pantin ,,
désavoué.
quand les bras à l'entourer, elle la regarda un instant, s'éloignant du corps pour lui laisser un peu d'espace. figure à se redresser, à remettre la couverture contre elle,  elle se leva tout doucement de ses mots, sans réellement en rajouter. car après tout, elle n'était pas réellement ici pour sympathiser, ni même faire dans les sentiments. mains à se frotter tout doucement l'une contre l'autre pour en perdre les douceurs trouvées, elle haussa tout doucement les épaules d'un léger sourire.
"C'est rien.", qu'elle se retourna un instant en penchant la tête. "Repose toi maintenant. Je vais te laisser un peu d'air. Peut-être que de ne plus m'avoir dans ta chambre t'aidera à dormir.", qu'elle plissa des yeux ! à en faire supposition quand tout cela ne faisait que l'amuser tout doucement.

à devoir :
tout noter.

de ces rapports qu'elle devrait donner à son paternel ,, à lui en conseiller ce qu'il devrait faire pour que sa fille puisse guérir. magie à venir appliquer du bout des doigts, il y en aurait des mots plus agréables, encore : pour soigner les myocardes brisés. "Si jamais tu me cherches, je serai en bas. Mais il vaudrait mieux pour toi que tu ne quittes pas cette chambre et que tu te reposes. J'y veillerai, en tout cas." à se rapprocher juste un instant ! effleurer du bout de ses doigts le haut de ses mèches comme pour y laisser un dernier passage. là, sous ses yeux : lui montrer qu'elle ne serait jamais bien loin, et qu'elle pourrait venir lui faire la morale, si elle en mettait les pieds dehors. à se faire protectrice ! quand pourtant elle n'en était que maitre des sors : à pouvoir tout faire chavirer, d'une discussion qu'elle ne pouvait plus garder secrète.

car Rain :
n'en était plus
harmonie.

à tout doucement sortir de la chambre, refermer la porte avec délicatesse. Hotaru n'était pas dans son monde, ici. luxe et élégance qui ne la composait pas, à ne pas réellement savoir que faire de ces lieux où elle avait été invitée. à pourtant savoir : ce qu'elle devrait faire remonter, à celui qui l'avait nommée auprès d'une princesse enfermée dans son donjon.