s'envolent les sourires ,,
brise d'été :
à ne noyer !
dans les pétales.

— de ces silhouettes ,, à venir danser au soleil. sourire à germer, de quelques bourgeons au bout de ses doigts de muse. et elle fleurit ! à chaque respiration ! poumons à en expulser fleurs presque toujours trop délicates, qu'elle finirait un jour par en renaître parmi elles. à en devenir, plus ravissante, encore ! douceurs à enivrer les regards, soleil aveuglé par chacun de ses regards ,, c'est qu'elle en captivait autant devant les écrans que dans les rues !

beauté fragile !
à s'épanouir ,,
de fébrilités.

quand les pas à la mener là où les âmes venaient à vivre ,, rendez-vous quotidien pour celle qui voulait en colorer les existences possédées : c'était sa manière à elle, de s'éloigner du monde, de tenter d'exister ! quand les comédies ne s'en faisaient plus naturel. alors elle en vient à épouser les natures ambiantes, à se contenter de simplicités inégalées ! tranquillités recherchées ; à en fuir les agitations de ceux à en poursuivre les silhouettes ,, elle viendrait en souffler sur les nuages ! pour en dégager les cieux de ceux à vouloir en entacher les regards d'innocences.
à s'accroupir !
sentir le parfum :
de quelques créatures.
boutique tant aimée, à en attirer tous ses regards comme trésors les plus précieuses : elles en étaient nymphes des lieux ! à faire sourire, de leurs simples existences. doigts à en saisir tiges une à une pour en composer bouquets qui viendraient en orner les quelques meubles de chez elle comme œuvres d'arts à part entière. figure à se redresser tout doucement, à en apercevoir silhouette tout près ! elle se redressa discrètement, avant d'en saisir une fleur du bout des doigts pour en tendre à celle qui en égaya son regard celle qui se faisait reine d'entre toutes ! — Si tu recherches des fleurs de saison...Je te conseille un dalhia ! et quelques dilles ! voix légère ! à s'en faire presque timide ! joie de vivre, à vouloir en être transmise ! simple remarque lancée dans les airs, de quelques étoiles à voltiger entre les iris.

doux rire :
à s'éprendre !
contre ses lippes.

et peut-être que ses remarques en seraient déplacées ! à s'en improviser conseillère des cœurs quand elle savait à peine tenir debout par elle-même quand elle n'en était pas observée. voyage d'été à se faire ! entre couleurs admirées et parfums à en parfaire les peaux. car ici, cocon crée de toute pièce entre les feuillages mystérieux ; elle en était un peu muse du du temps ! sylphe à se frayer un chemin parmi celles qui venaient à vivre pour mieux s'éteindre ensuite.

petites étoiles ,,
à leur manière !

Et le monde en tourne de façon détestable, rotation à s’en faire dans le sens inverse de sa vie, quand les astres ne s’en alignent jamais pour elle. Univers aux absences de teintes à toujours s’en montrer trop cruel, quand les joies en sont à lui échapper pour s’en offrir à ceux qui en possèdent déjà tout. Obsession nouvelle pour celle qui en côtoie trop souvent l’ombre qu’elle poursuit, à vouloir en découvrir les mystères cachés derrière cette silhouette à laquelle celui tant fantasmé donne une attention démesurée. A n’en effleurer que son prénom. Eiko. A l’entendre résonner contre les parois de sa tête perturbée.

Pas coupables à en suivre l’immaculée pour mieux en définir les contours de ce que Jian peut y trouver. Et elle en file Eiko jusque dans cette boutique. Moue à en prendre place sur les traits de Hari quand elle n’en a jamais compris l’intérêt pour les fleurs. Jian en serait-il à ce point passionné par une amoureuse des fleurs ? Masque de circonstance pour s’en faire trop quelconque, à en fouler le lieu rien que pour l’en observer. Et les fleurs n’en sont que plus déprimantes encore quand elles ne sont que teintes de gris à en frustrer son âme.

Mais de la suivre de trop près, elle en finit par se faire remarquer, et l’innocente en propose ses conseils avisés. A s’en muer en véritable vendeuse de ce lieu, quand Hari ne cherche pourtant qu’à en analyser son comportement. Et elle en propose ses recommandations, quand Hari n’en a que faire de plantes à l’utilité dérisoire, argent qu’elle ne dépense que pour en voir correctement.

Le sourire aux lèvres pour s’en faire parfaite, rôle à jouer pour en être l’inconnue insipide tant souhaitée. “M… Merci pour tes recommandations. Je m’appelle Lina.” Et les mensonges en sortent si aisément quand toute son identité en reste à protéger. “... Euh, dis… Tu… tu pourrais m’aider à trouver des fleurs pour la personne que j’aime ? … je sais pas si tu as de l’expérience en matière de relation amoureuse…” Sourires gênés pour en sortir fausses banalités, avant d’en finir par son besoin d’en obtenir réponses immédiates. A vouloir en cerner celle que Jian semble toujours rechercher. Parce qu’il n’y en avait de place que pour une.

éclats à exploser,
sourires à époustoufler :
se meurent les étoiles !
dans les regards émerveillés.

— car dans son monde, tout venait à voltiger. papillonner des regards : pour mieux se retrouver ! enfant à bénir de toutes les grâces du monde, pour en conserver les innocences presque enfantines. et elle rigole, comme si le monde venait à toujours lui en être trop gentil. offrir de ses doigts quelques demoiselles colorées, en sentir les parfums : comme si personne ne viendrait jamais rien lui redire.
à s'en faire :
miracle !
parmi les
Enfers.
sourire offert, à celle qui s'en faisait si douce à son regard, elle en laissa les opales s'illuminer ! comme enfant ayant trouvée nouvelle amie : pour en partager passions et indécisions. — Enchantée Lina ! Moi c'est Eiko ! cristallin à sortir des vocales : on lui avait tout offert ! de ces joies à ces chaos, de ces repentances à ces doutes. ô infertile réalité où les rêves ne s'en transformaient que trop souvent en cauchemars ! et Eiko, elle voulait vivre bloquée, dans ces illusions d'un monde trop parfait.

loin de tout :
loin des souffrances ,, et des mensonges.

— Oh ! Ce serait avec plaisir ? Je...Je suis pas forcément douée avec les relations, mais je m'y connais parfaitement en fleurs à offrir ! et à se redresser, à sautiller presque sur place de ses mains à se claquer entre elles : elle se faisait joie ultime ! de ces romances par procuration qu'elle venait à vouloir aider de quelques pétales. — C'est si mignon ! De vouloir donner des fleurs à la personne qu'on aime ! Ca fait longtemps ? Que tu es amoureuse ! qu'elle venait à demander ! y trouver là les moindres détails : pour en trouver fleurs parfaites. — Oh...si c'est indiscret pardonne moi ! Je veux juste t'aider au mieux ! On pourrait partir sur...hmm à en saisir du bout des doigts : roses éclatantes !

à rayonner ,,
dans ses yeux.

quand à venir la lui tendre, rire presque trop délicat : elle en laisserait innocence en reprendre le dessus à nouveau ! comme fragrance presque trop subtile. — Les roses rouges, y'a pas plus simple pour offrir un bouquet à celui qu'on aime ! Mais c'est peut-être un peu trop évident... regard à se faire plus attentif ! ô à se balader entre les étales : comme si elle était chez elle ! — Moi je te conseille quelques renoncules...et un peu de zinnias ! Et tu pourras mettre des dilles avec, ça fera plus champêtre ! à venir en faire petit bouquet, comme pour lui en montrer ce que pourrait donner le résultat ! — Tu penses que cette personne pourrait aimer ? Non j'ai mieux ! Toi, tu trouves ça comment ? Si toi tu aimes, je suis sûre que la personne à laquelle tu vas les offrir aimera aussi ! car les sentiments : venaient à se déposer comme petites perles, sur chaque objet chéri ! et peut-être qu'un jour, viendraient-elles en être récoltées, comme souvenirs à ne jamais devoir être oubliés !

quand les fleurs
n'en étaient que
messagères !

des mots :
imprononçables.