brillent les innocences volées ,, à se faufiler dans le regard : comme poisons à s'immiscer. il en était Ares : impulsif à se vouloir chevalier ,, combats à prendre vie : quand les justices n'en étaient pas faites. abandonné, dans ces orphelinats aux allures d'épopées, il s'en était crée son histoire ! celle où les héros n'en mourraient jamais. bonne figure, d'un comportement toujours parfait ,, il en était celui qui en grandissant, venait à s'occuper des plus jeunes : à gérer les conflits, en hausser la voix quand il le fallait.

à affronter :
les têtes plus dures ,,
aux désaccords certains.

et les dieux lui en avaient offert ce pouvoir, celui de savoir en manier les langues comme proses si délicates. à faire la fierté des professeurs, quand il savait qu'ici, il n'en était que gamin parmi d'autre. à n'être doué que pour mener, que pour motiver, ô jamais pour en rester dans l'ombre. et on le voit, lui, comme sauveur d'un monde dont les corruptions n'en étaient que poisons à éradiquer.

et les larmes ,,
pleurées la nuit :
n'en seraient que mélodies
à éclater.

comble des orées, à se faire couleurs merveilles au loin de la ville. c'est que le soleil se reflète, contre les océans ,, et lui disparaît, dans les classes sublimes. Ryunosuke : à ne briller, que dans les sports ! c'est que les matières en venaient à l'ennuyer ,, mathématiques à chérir contre les doigts les équations toujours trop parfaites. il brillait ((toujours)) comme symbiose parfaite dans ces lieux où les rires venaient à fleurir.

encore et encore.

trop parfait, comme illusion, à ne vivre que pour sourire aux autres : il brûle, à l'intérieur, de ces solitudes infernales. car quand il rentre le soir, personne ne l'attend. défouloir à se faire, à hurler dans les appartements, et tout n'en était que catastrophes ! quand les myocardes à s'éclater, il n'en faisait que feintes devant les autres que tout allait bien.

「笑って、微が痛くなるまで。」

comme théâtre où il en prenait le rôle maudit : Roméo à mourir ,, pour un amour inventé. et si l'univers devait s'en retourner contre lui, il préférait en mener ces danses macabres dans lesquelles il viendrait à tout réduire en cendre ! vengeance d'une vie aux allures si parfaites ,, quand brûlait en lui ces haines aux destinataires inconnus.

et les points à frapper, corps à danser : sur les arènes, dans les salles, à venir s'entraîner et briller de ses furtivités et précisions. c'est que tout avait commencé : par un simple club de boxe ! rejoint comme pour en expier les pêchés, pour en combler les manques. romances inégalées, il n'en était que sauveur imparfait. de ses faux sourires, pour en promouvoir les salles à grandir : à en apprendre de trop nombreux arts entre martiaux et libertés.

et un jour ,,
il en serait :
grand !

de ces combats qu'il venait à gagner, médailles remarquables : trop souvent premier. d'un nom à se faire, champion de l'Olympe ,, il était celui remarqué ! et les sponsors venaient à se faire nombreux, carrière à briller. c'est les hymnes que venaient à lui offrir quand de son corps à se parer de bleus et hématomes, c'étaient les sourires qui en faisaient oublier toute la violence du sport tant aimé. à tout expulser, sur le ring, quand le mma en avait sauvé ces quelques horizons qu'il n'avait fait que voir bien trop loin.
honnêteté :
droiture !
à montrer le chemin.
et le japonais se faisait maître du monde. à guider les nouvelles recrues qui voulaient en devenir comme lui. mentor à briller de ses talents, argent à venir tout doucement recouvrir les blessures. il en reste humble ! quand pourtant idolâtré par tout un univers.

météor à frapper, et c'est les caméras, qui en viennent à le capturer. quand des matchs à s'enchaîner, il en attirait les regards ! prestige fabuleux ,, à ensorceler les imaginaires. explose les astres contre sa peau, à en faire chavirer les cœurs de tous, il souriait ! à ces quelques fans qui en venaient à le croiser dans la rue. presque enjoleur, à leur en offrir ces services qu'ils désiraient. il s'en moquait ! il n'en possédait que cette image ! sincérité gardée pour le ring, quand dans la réalité il n'en était que fantôme sans personnalité. alors les gestes s'en faisaient chaleureux, délicats, à effleurer les peaux, en offrir spectacles presque trop irréels.

qu'importe :
car rien ne durerait
éternellement.

d'un appartement luxueux, à venir faire briller les modernités désinvoltes. il n'avait pas à s'inquiéter, de ce monde dans lequel il vivait. car après tout, tout n'en était que jeu ridicule pour tenter d'en vivre le plus normalement possible. se construire, quand dans la poitrine en résonnait cœur absent.

mort,
comme tragédie ,,
théâtrale !

et les rideaux,
pouvaient s'en fermer.

世界中が劇場なんだ。そして、皆は演劇者だ。

et chaque étoile, doit mourir un jour. quand de ses honnêtetés conservées, il en avait pourtant plongé. sous les menaces ,, à faire vriller la tête. gamin à hurler : et lui n'en était qu'acteur minable. quand l'on venait à faire jouer le seul lieu qu'il aimait : ces gamins tant appréciés ! qui comme lui venait à en trouver une voie dans les sports miraculés.

et ils veulent ,,
tout brûler.

d'une famille qu'il s'était inventé, c'était ici qu'il en ferait son tombeau. à protéger amis et gamins perdus : en se sacrifiant comme d'habitude. et de quelques mots il accourait : dans ces arènes illégales. à essayer d'en éviter le même destin à ceux qu'il choyait. se battre ou crever, frapper ou s'effondre, tout n'était que pile ou face ! tout ou rien. illégalité frappante, à n'avoir aucune règle. et ici, de ses talents, il brillait également pour en faire empocher sommes interdites à ces figures corrompues. laisse autour du cou, simple chien des enfers : à en écouter presque trop dégouté toutes ces manigances infernales.

et ici, tu dois perdre.
et ici, tu dois gagner.

les paris en décident : à ta place.
pour en laisser un seul vainqueur.

et de quelques poudres à devoir être prises ,, forcées d'être ingurgitées : pour éblouir, il n'en était plus que simple marionnette, quand hors des éclats, dans l'ombre, il en venait à n'être que ridicule.

and look what you've became.
化け物だけだよ、竜之介。

journée passée dans les entraînement, à s'acharner comme pour rester en forme : il vie par le sport ! quand à courir par moment il en passait toute ses heures à frapper dans de pauvres sacs. et dans les lieux, il en servait parfois de professeur ! venait faire le médiateur, quand les problèmes en surgissaient même en dehors de la salle.

à espérer ,,
en créer :
meilleur monde.

juste pour eux ! ceux qui n'avaient jamais eu de chance, à se faire jeter de là où ils allaient. reflux d'une société chaotique, il leur en servirait d'éclairage : pour les mener sur la bonne voie. ne pas les laisser en devenir aussi corrompu qu'il l'était alors ! comme référence trompeuse, à en déchirer les honnêtetés.

passion subtile : exercée dans le secret. et quand les phalanges n'en sont pas trop éclatées, c'est les guitares qui viennent à vibrer entre les murs de chez lui. morceaux à s'enchaîner, voix à s'envoler, pour en détendre les esprits trafiqués. car la tête ne pensait plus comme elle le devrait, entre les coups et les substances à s'insinuer dans ses droitures. chaos sublimes : on l'avait crée de toute pièce.

catastrophe ,,
ignorée.

car il tentait d'en garder pied ! d'en garder ces prestances ! là où aucun média n'en verrait ses failles. secret trop bien gardé, à le rendre fou ! quand les faux sourires en reprenaient : comme jeu à massacrer les esprits.
et il était déjà mort ,,
dans ses musiques :
à chanter ses requiem.

perte de toute sincérité, il en charme tous ceux qu'il croise ! de ses figures cabossées souvent camouflées par ses sourires. rédemption trouvée, à ne jamais céder, pourtant : quand de flirts et d'imaginations salaces, il en conservait ces douces relations comme si les noms n'intéressaient jamais. ((mensonges)). et il se laisse tenter, par la douceur des bras. à ne pas chercher, pas forcer, se laisser émouvoir de quelques romances écrites à l'avance.
et dans leurs regards ,,
il sait :
que tout est factice.
car il en est démon. et quand finalement l'on venait à découvrir que tous ses sourires charmeurs n'en étaient que factices, l'on venait à le déclarer d'insensible ! d'infernal ! de monstre. car son ombre en dévorait toutes les joies ressenties ,, comme miasme à s'échapper derrière son dos. effrayante figure ! à pourtant en faire chavirer les regards : car Ryunosuke, en était bien trop poli !

élégances ,,
à côté ,,
du diable.