dans le précipice des obscurités. à s'en noyer jusqu'au raz de marée. aux fondements oubliés. persécution emportée. de ce monde égorgé ; ô beauté asphyxiée.

ça l'fait marrer, le con.
ce couvre feu insignifiant.
cette pagaille qu'a retourné la ville.
osaka sans dessus-dessous ; à feu et à sang.
de ces veines qui pulsent contre les tempes. de ces démons qui sifflent contre les tympans. rues engorgées d'un mal profond. et lui, il sait d'où il vient.
mono qui polluent.
mono qui empoisonnent.
tout est de leur faute.
il le sait. n'a pas besoin de le dire à voix haute. il le comprend. l'entend. de ces cris de rage qui grondent dans le noir. de ces orages qui tonnent dans les lointains. ilkwon en est le maitre. à les voir le suivre. s'accumuler dans leur nombre au fur et à mesure.
ce meurtre n'a pas aidé leur cas.
la haine se fait plus vorace.
à n'en épargner aucune sauvagerie. ils en paieront le prix.
de leur vie. qui n'a aucune valeur à leurs yeux ahuris. lui s'en moque bien. il veut les voir souffrir. vivre l'enfer qu'ils leur imposent au quotidien. de ces peurs tordantes venant gangréner les boyaux. il veut les éradiquer. retrouver ces vies d'antan où tout était normal. où l'angoisse n'abritait pas les battants.

alors il s'en branle, le con.
de ces règles instaurées pour leur bien.
celui de qui? de ceux qui continueront à tuer sans merci.
à continuer ces sorties nocturnes. à bafouer les lois comme s'il était roi de ce monde. imbécile fini. il terminerait sa course dans les fossés. à être donné en pâture. n'être qu'une carcasse sanglante.
on finirait par le tuer,
lui aussi assassiner.
parce qu'il est précieux.
de ses onyx qui font naitre les couleurs.
(( à ne pas l'avoir oublié ; le détenteur de ce pouvoir ))
quand il n'en avait pas recroisé sa route. à ne pas l'avoir rappelé. harcelé de messages pour en obtenir son dû. il était passé outre. en avait tourné la page. i'm just disgust by him qu'il s'était remémoré quand sur la langue, les souvenirs des mesquineries perduraient.

à en fuir les hasards.
destin cheminement des bazars.
à quelle probabilité pourrait-il s'apparenter.
corps à la dérive. coeur à s'arracher ; cruor à s'effondrer.
il viendrait à en lire les astres. à s'en décocher flèche pour crever sur l'asphalte. quand collision fait éclat. à se heurter au passé souvenir.
de ses lippes qui s'agrippent.
à se maudire d'en concevoir volonté.
c'est la violence qui l'anime.
quand les jambes lâchent. silhouette s'écroule.
de ce coup survenu par derrière. nuque assommée.
il s'en rappelait. de ces infâmes qu'il avait fait fuir pour en sauver princesse désespoir. il ne s'attendait pas à les revoir. il ne pensait pas qu'ils viendraient lui faire face. (( à le prendre en traitre )) dos visé pour en percuter le crâne.
sang à s'écouler.
goût acrylique à sustenter.
de ces yeux à se clore lentement.

— fu...ck!

d'un susurre donné au vent.
et personne ne viendra te sauver.

et dans le noir ,,
les étoiles en hurlent :
leurs solitudes
amères.

“à danser ,, pour en toucher les cieux : corps abîmé, figure à s'en faire royale ! maître des ombres, se dessinent sur le sol ces figures bien trop légères ,, de quelques sauts, de quelques pas, et peut-être arriverait-il à s'en faire remarquer, un jour. à s'en faire muse, ce soir : d'un don immaculé qu'il venait à offrir aux dieux ! Terpsichore comme effigie ,, où viennent à brûler tout autour de lui précipices divins. là, loin des regards vitreux de ceux à en jalouser les passions mortelles.  regardez-moi ! qu'il murmurait, quand les souffles esseulés s'en faisaient seule compagnie, les soirs où le monde venaient à fuir les pleines lunes.
rue interdite :
escapades ,,
permises !
c'est qu'il en fuyait les ordres ,, à savoir que personne n'irait le chercher :  car sous les nocturnes, les monstres venaient à en ronger les esprits ! à en créer démences là où fleurissaient pourtant autrefois fleurs et roses si blanches : à n'en laisser que ronces mortes, comme seules barrières.

et de pas ,,
à en briser :
les règles !

il en épouserait le diable s'il le fallait, pour en fuir les carnages d'un monde qui le révoltait. à se moquer des couleurs, n'en vivre que pour en maltraiter les corps : et ô valse les arpèges ! à chaque mètres parcourus ! quand des entraînements affabulateurs délaissés pour finalement en braver les nuits infâmes. à ne pas se cacher ,, car il viendrait à payer : charmer ,, pour se faire raccompagner.

car l'argent :
en était seule réalité.

watch me ,,
I'm more than :
just a monochrome
one winged-angel.

quand les tréfonds des pavés venaient à en aspirer les attentions : bruits sourds, vacarmes à s'en faire abyssaux ,, et là, à la vue de tous : violence à paralyser. soupir à le contredire, à hésiter : avant d'en sortir son téléphone comme arme à toute épreuve. — hey you fucking bastards, go away from my view or I'll call the cops. de ses airs désabusés, presque trop blasés ,, haut parleur mis comme pour s'en faire la justicier : tout n'en était que mascarade pour en faire danser les carmins ! d'une mâchoire à claquer, regards à en fixer les silhouettes s'enfuir comme prise dans les craintes d'en finir les soirées loin des étoiles de minuit : c'est son regard ! qui s'en stoppa ,, sur les figures de celui ,, à en rappeler cauchemars ambiants.

immobile :
rose à en perdre ses derniers
pétales.

à tout doucement en toucher du bout du pied le bras du plus grand, à s'accroupir face à lui comme ironie à tomber des cieux. les regards s'en faisaient froids ! ô Psychée ,, à venir le hanter de quelques miséricordes : quand il aimerait que tout n'en soit que réalité factice. lui. chasseur de sourire, tueurs de constellations, à en avoir craint chacune de ses rencontres dans le plus grand des silences. — you're dead ? voix à murmurer, de ses doigts à venir en constater les dégâts, ce soir : il s'en ferait roi du monde ! à flirter avec Satan comme pour se détruire un peu plus. — I guess you could thank me for being there. I bet lots of guys want your head. Maybe I shouldn't have stepped in ?  

regard à valser,
tragédies à le tuer :
et Renji ,, n'en était que nébuleuse.

— how sad you had such a pretty face last time, but now you're just all bloody. sarcasme à s'en faire prudent : car de ses courages ,, il n'en restait que proie facile, pour ceux à pouvoir le dévorer. — that's funny. you couldn't even kill me before your death. may you rest in peace. à chercher toujours plus : à le haïr ! comme s'il en attendait supplications pour en demander là quelconque aide. d'une fierté trop grande ,, à n'en être pour autant : pas un meurtrier, lui. de son pull retiré, sacrifice offert comme simple offrande factice, il en cala sa laine derrière sa tête pour en stopper le saignement. — get up, I'm not your mom. and call a fucking ambulance. de ses doigts à pourtant en caler le bout de tissus trop soigneusement ! à se gorger, sous ses yeux : de ces précieux rubis écarlates.

à s'en faire piégé :
déjà prisonnier ,,
de ces enfers.

seul sauveur :
d'un monstre
de minuit.

imbécile
regarde-toi.
apprend de tes erreurs.
t'es qu'un abruti, kwon
placarder sur le dos du crâne.
ça siffle et ça résonne.
mais l'écho ne s'entend pas.

temps à s'arrêter.
dans la volée des précipices.
il aura fallut d'une simple minute. soixante secondes. pour que tout bascule. tout vrille. comme un sentiment d'impuissance. culpabilité à venir ronger les sangs. à haïr ces émotions trépassées. et pourquoi maintenant? pourquoi en cet instant?
lui qui ne faisait que rire.
p'tit con fier de foutre son bordel.
mal enraciné qui répandait sa gangrène partout où il allait. à ne pas se demander ; what wrong did i do? parce que ça ne l'a jamais concerné. ou alors, c'est ce qu'il prétendait.
pour ne pas en voir les oubliés.
pour ne pas repenser à lui.
dévastation de l'âme. cachot à l'emprisonner.
frère qu'il aurait aimé défendre différemment.
à lui rendre parfois hommage. d'un pas mort à se rendre sur sa tombe.
this world is so fucked up. (( à s'en remercier qu'il ne le voit pas )) qu'il ne réalise pas. à quel point cet univers a fini par s'écrouler.

quand il faudrait tout recommencer.
rewind. reset. start again.
peut-être que ça serait mieux. plus simple.
d'en faire pavaner les existences de ces hommes. ne jamais en découvrir secret de ces différences. mono et probe unis. ils n'en formeraient qu'un. à en défaire vision des couleurs. en parfaire, harmonie des arc-en-ciel.
mais si seulement il n'y avait que ça.
de ces violences qui n'existent pas.
le monde s'en porterait mieux?
ça l'fait marrer, le con.
d'en voir ces hommes tissaient leur toile.
vautour rapace. araignée prédatrice.
et lui, n'est qu'un énième pion sans l'entrevoir.
massue à assommer le crâne. d'un corps parti à la renverse.
dérive des pensées quand les yeux se ferment.
et le trou noir l'envahi. chaleur qui l'englobe.
il se sent lentement... — partir.

danse les lumières. sous les auspices des étoiles solitaires. regard d'un monde salutaire. et sous le vacarme des silence. c'est de ton chant que je me nourris.

symphonie délicate à se susurrer dans les tympans.
de ces touchers élégants à en faire frissonner échine.
d'un instant à s'arrêter. temps à ne plus valser. c'est qu'il a du mal encore à tout réaliser. d'onyx à venir s'entrouvrir. quand tout cogne. tempe à hurler au désespoir. de ces rages sacrilèges qui vont ravage. maux imprégnés sur sa chair. quand d'une main à s'agripper à ce bras inconnu. il n'en consume plus que les débris des secousses.
à tenter d'en relever les corps.
échec cuisant — lamentable carcasse.
à en entendre rire moqueur. à en reconnaitre voix joueuse.
ô là n'était pas le tableau qu'il osait espérer griffonner. jamais.
quand d'un coup trop sec à se tirer. c'est d'une collision de regard qui s'active à faire prendre vie (( color rush détestable )) quand il vient à le rejeter. l'éloigner pour qu'il n'en subisse pas les calomnies.

— fuck... i'm sorry. i didn't meant to.

car tout est encore flou.
monde à l'apogée des aurores.
et lui n'est que cadavre ambulant.

— argh this shit hurts.

à ne plus y prêter attention. de sa main à venir s'étreindre dans sa chevelure. rouge carmin à en subjuguer les paumes.

— fuck! those assholes didn't miss their shot.

ou peut-être,, presque. quand il en vient à relever son dos. jambes assises alors que tout tangue autour. et il l'observe. en esquisse fin rictus. tragédie de leur destin. ironie de ces vies maintenues à un fil invisible.

— should i thank you for coming to rescue me? didn't thought you will act like a prince charming.

à se moquer. ouvertement. quand la douleur se propageait au sommet. à venir en recracher cruor du creux des lèvres. entachant les habits. laissant le bitume prendre un tout autre coloris. maybe he's lucky to not see colors. de cette vue à le mettre à mal. de ces relents qui brûle l'oesophage. il n'a jamais aimé la vue du sang. encore moins sa teinte écarlate.
souvenir cauchemardesque,,
d'une perte trop soudaine.
quand il vient à vouloir se mettre debout. corps à ne pas obéir. d'un tremblement à le faire vaciller. retrouver l'asphalte contre la peau abîmée.

— fuck it! where's my phone.

de mouvements mal agencés à en rechercher le précieux. à le trouver en piteux état. fendu. incapable à venir l'en rallumer. FUCK à s'égosiller. y a plus rien à faire. juste à se laisser aller.
— et mourir.
pour leur mieux à tous.
ironie tragique incontestée.
car il n'oserait pas le lui demander.
help me. i need your help.
de ces regards à l'éviter. à ne pas vouloir en croiser iris maudites.
il ne s'abaisserait pas à un tel coup du sort.
il feindrait l'ignorance. haine anémique.
il n'en évoquerait pas empathie échouée.
encore moins de ces pensées qui viennent tout brouiller.
car le sang le fait paniquer. respiration à s'alarmer. mais silence à s'inhiber. il ne doit pas savoir. ne doit pas en connaitre — sa plus grande faiblesse.

regard néant ,,
à se moquer :
du diable !
pour mieux ,,
se noyer.

“quand dans son regard, venaient à s'y détruire les étoiles. à les voir imploser : une à une, pour en laisser ecchymoses contre les peaux. c'est qu'il en aurait aimé, au fond : en être celui destructeur de cette silhouette qui n'en possédait qu'une seule aile. démon à ronger son être, à en dévorer ses moindres joies ! et maintenant qui viendrait à rire ?
misérable :
à en être ,,
sous ses paumes !
comme simple marionnette qu'il viendrait à désarticuler lui-même pour en faire danser avec lui les cauchemars sous les nuits insolentes. alors il venait à rire ! s'émerveiller de ces visions d'horreur ! à pourtant laisser les doigts vagabonder, dessiner son front, effleurer sa peau ,, éponger les crimes passés : comme pitiés presque naissantes. et Renji, il n'en était pas sauveur inné ! simple âme brisée à tenter d'en réparer de ses caractères immondes les quelques corps brisés qu'il venait à croiser.

et peut-être :
que tout irait mieux, ensuite.

de mouvements presque brusques ! quand regards à se croiser bien trop furtivement, mains à trembler légèrement, il se laissa presque tomber en arrière pour en éviter chutes plus violentes encore. tête à voltiger : à se vouloir fort, pourtant, quand il en cacherait là tous les effets du monde, pour lui en camoufler ses faiblesses. — stop apologizing. it doesn't suit you. à ne pas savoir ce qu'il venait à penser !

à le détester ,,
lui :
et ces inconnus.

de ces regards à le dégouter, à en éviter alors les iris comme peste complète : les grâces divines en avaient déserté celui qui en était muse des danses ! Terpsichore à l'avoir condamné lui et lui seul, à valser au milieu des lumières jusqu'à ce que viennent s'en écrouler les jambes toujours trop fragiles. alors de ces poisons, à couler au fond ces iris, à en éviter soigneusement ceux de celui qui venait encore à trop parler ,, il soupira ! à presque vouloir l'assommer pour ne plus avoir à l'entendre. — they did miss it, their shot. you're not dead sadly. que les mots en semblaient si sanglant entre ses lippes ! à n'avoir jamais réellement autant haït quelqu'un d'autre que sa propre ombre ,, lui à hanter ses cauchemars : Ilkwon n'en était que simple amusement, à côté.

— joke all you want, you'll soon understand I'm not here to play your dumb game. so shut the fuck up, I'm not your fucking prince or whatever you creep. alors qu'il en était celui qui en avait prêté les tissus ! à en avoir les mains : à se teinter de carmins comme funeste présage. quand d'un corps trop têtu,, à immortaliser les instants de ses piètres idées ,, ô il en contemplerait les naufrages certains ! de celui à tenter de s'élever dans les cieux pour ne pas s'apitoyer devant l'ange de la mort.

et peut-être :
qu'il viendrait à en étreindre ,,
les moroses réalités !

à en élancer les bras !
pour amortir vaguement
les chutes.

d'une douceur presque nouvelle, Renji à ne pas être réellement méchant ! quand il viendrait dans ses pensées l'étrangler pour tous les maux et pleurs causés. colère à sonner ! réalité à le frapper ,, corps à se détacher presque immédiatement : c'en était chaos à régner, dans les tréfonds du monde. à ne rien voir ! si ce n'en était que tons et nuances à s'assombrir encore et encore. mains à en arracher de celles plus grandes l'appareil brisé en mille morceaux, il le rangea dans son sac pour  se relever face à lui. — who cares about your stupid phone. get up. let's forget the ambulance. If we stay here and they come back, you won't be the only one getting caught up. qu'il s'en saisit du bras de celui à l'allure presque ridicule ! frêle créature à vouloir en soulever des montagnes, quand il venait à regarder tout sauf son visage : pour ne pas en sombrer à son tour. car si l'on venait à l'attraper avec lui, c'est sa propre tête, qu'il verrait se voir couper. et l'on viendrait à comprendre ,, qu'il ne pourrait jamais en sauver personne. ni même lui.

carnages miraculés :
à en créer somptueux
tableaux !

là où les anges viendraient à leur en arracher leurs dernières plumes pour les renier finalement de ces terres célestes ! quand Renji n'en avait déjà plus rien de radieux depuis trop longtemps. — I'll help you just for tonight. 'cause you're just too pitiful. so hold on me and make some efforts, I'm not as strong as you are. à tenter de le redresser ! de l'aider à se tenir debout ! quand attention pourtant presque trop soigneuse du bout de ses doigts à en faire transparaître les peurs innocentes de quelques tremblements, il viendrait pourtant à s'allier avec cette chimère dépecée. d'une respiration remarquée que bien trop tard : car  ici, il ne pourrait rien faire, pour l'aider plus. ô douceur de quelques touchers contre ses épaules, pour en glisser ses avant-bras autour de lui ; tout en semblait de loin comme une terrible tragédie où les pas en mèneraient tout le monde à leurs fins. — where do you live ? can you walk ? I'm not going to carry you so hang on there or you'll fall down. qu'il tira tout doucement sur sa main pour l'interpeller, tenter d'en rassurer ces poumons détraqués ! sans en comprendre réellement les airs à manquer sous les paniques : qu'il connaissait ô pourtant si bien.

à se tracer derrière eux :
traînées contre les pavés !
nightmares to become real.