will you color my world ?



yes ?
no ?

colorimétrie

humide et orageux, d'une chaleur époustouflante. profitez d'un doux turquoise et de nuances de saumon !

newsletter

venez découvrir la douxième version du forum juste ICI ! ainsi que de participer à la cinquième intrigue du forum ICI. et n'hésitez pas à rejoindre discord par LA
-45%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go /1 To
1099.99 € 1999.99 €
Voir le deal


⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil
2 participants
Mun Ilkwon
falling into autumn

Mun Ilkwon
Gif profil :
⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 560651054pills-tablets-prescription-drugs-animated-gif-image-15


⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 6c917ec6ec2d525cdfb3a2a050d213ec34907c02 ⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 05edcd0cd0ebbde4dceec35f6a5b506d9089a429

FINE MAKE ME
YOUR V I L L A I N





tw:

Pseudo :
lauriz(aulait)
Messages :
178
avatar + crédits :
song kang | (av) asachat.
¥¥¥ :
1034
Date d'inscription :
26/03/2023
Âge :
⇢ ˗ˏˋྂ horloge tournante. tic tac retentit. vingt-huit années soutirées. (24/10)
Occupation :
⇢ ˗ˏˋྂ chef d'orchestre de cette infamie. leader aux allures fracassées. anti-mono sous sa coupe. black pills dealeur. pour mieux les étriper.
plumes :

RPS EN COURS

— renji #1 #2
— madee #1



   


arrogant boy
from a little spark may burst a flame


hasard ( nom masc. )
— cas, évènement fortuit ; concours de circonstances inattendu et inexplicable.
synonyme : coïncidence

hasard.
accident.
de ces aléas que la vie ramène à nous. comme un jeu de dés. lancer dans une course effrénée. on ne sait jamais ; sur quel numéro l'on va tomber. à prier que la chance soit de notre côté. demander pardon à dieu pour tous nos péchés. juste cette fois. laisse-moi gagner pour une fois. sans faire marche arrière. le regard rivé sur le futur. horizon funèbre. ténèbres qui voguent tout autour. et quand l'ultime chiffre tombe. c'est d'instinct que l'on sait. défaite providentielle. il n'y aura aucun retour possible.
destinée.
coïncidence.
il n'y croit pas. ne s'arrête pas à ces machinations frivoles. le karma n'est que pâle figure qui se joue des êtres humains qui osent dévier les cieux. ceux qui prétendent que leur avenir n'en sera que meilleur, s'il est créé de toutes pièces en amont. c'est leur excuse. foutue psyché qui fait croire tout et n'importe quoi. mais le monde n'est pas ainsi fait. la vie n'a rien d'aléatoire. elle ne choisit pas qui sera sa prochaine victime. balance d'un monde qui ne maitrise que les basiques. chaos et harmonie. il n'y a rien de plus rationnel.

alors pourquoi?
pourquoi?

comme si l'univers venait à le haïr. patience teintée de rouge qui n'est plus à tester. il les déteste. tous autant qu'ils sont. cette population qui lui donne la nausée. l'envie de prendre une arme et tirer dans la foule. qu'importe les victimes. qu'importe le nombre d'innocents qui périront. dommages collatéraux. ils ne seront jamais sa pénitence.
soupir bruyant.
il déteste attendre.
devoir être derrière ces autres. indécis. incertains.
à ne jamais être capable de faire un choix. d'apposer paroles sur les actes. il les déteste. un peu plus chaque jour passant.
excuse me, but can you fucking take a decision. i'm in a hurry, i don't have my whole day to wait for someone to choose what coffee she's going to order.
puérilité.
agacement.
c'est que l'arrogance sue par-dessus la chair. s'extirpe de chacun de ses pores. regard noir. fiévreux. il a horreur de devoir courir quand la montre joue contre lui. rendez-vous important auquel il est attendu. et la dose de caféine non-présente dans son organisme, à tendance à pousser au vice sa crispation. à le forcer à être mauvais ( bien trop ) sans jamais pouvoir redescendre. tour qui vient, à quémander les double shot d'ice americano pour geler son cerveau. faire taire les pensées intrusives. à se maudire. quand les précipitations sont enchevêtrées. ô le destin a de drôle de façon de jouer.
karma qui vient se moquer de lui.
l'enfoncer dans cette humeur massacrante.
à perdre tous ses sens. car le corps percute un autre.
boisson qui implose sous la pression. tenue recouverte de ce coloris marron. à en faire échapper les jurons. F U C K c'est qu'il n'avait pas le temps. pas l'envie surtout. de devoir affronter les culpabilités. de se morfondre dans les excuses non voulues. il n'avait rien envie d'entendre. il ne voulait pas savoir.
god for fuck sake! can't you look where you going?
onyx qui s'agrippent.
accrochent les mouvements.
et c'est terrible à entendre. à concevoir.
y a le disjoncteur qui part en vrille dans l'esprit.
comme si le signal n'était pas suffisant. comme si cette journée ne pouvait pas mieux périr. il en souhaiterait mille morts pour une simple salissure. à laisser les poings se serrer.

pourquoi?
pourquoi maintenant?

il ne voulait pas réellement savoir. il n'avait pas l'envie d'en apprendre davantage. c'était trop risqué. c'était courir vers le danger. se morfondre dans les nuissances. il y perdrait pieds. il s'y noierait. ne va pas sur cette pente là. quand on en susurrerait au creux des tympans, que le hasard ne fait jamais rien au hasard. piège se refermant sur sa carcasse. il est bien trop tard pour tout oublier.
i swear god if you're going to make me pay for what i say earlier...
à s'en parler à lui-même.
ne pas prêter attention à celui qu'il a renversé.
où était-ce lui le coupable de leur bousculade?
est-ce que cela a-t-il encore la moindre importance? il veut juste se barrer d'ici. s'enfuir loin. de ce foutu brouhaha. de cette humanité poison. il veut l'anéantir. la rendre muette. please just shut up comme si le venin se répandait bien trop vite dans les veines.

u n i c o l o r e

Amano Renji aime

Amano Renji
catching fire in summer

Amano Renji
Gif profil :
⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil Ryusei-yokohama

⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 244584aae331f5f60170d93958c43498 ⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 8f150cfaee9194b59e0521664430dcba

❛ 28REASONS
decanting catch me falling for you


tw:

Pseudo :
Hanatsuki
Messages :
1112
avatar + crédits :
Yokohama Ryusei ((@everdosis)) ,, sign ((@cano))
¥¥¥ :
4931
Multicomptes :
Eiri ,, Hotaru
Date d'inscription :
03/11/2022
Âge :
26歳 ,, miracle sur les paumes : à en parsemer les visages d'étoiles.
Occupation :
踊り子 ,, ballerine et étudiant en droit : à en vouer ses passions dans les ombres.
plumes :
Ren/#1 ,, Romi#1 ,, Ilkwon#1 ,, Yuise#1 ,, Hyukjae#1 ,, Minki#1 ,, Anya#1 ,, Ilkwon#2 ,,



   


arrogant boy
from a little spark may burst a flame


hasard ( nom masc. )
— cas, évènement fortuit ; concours de circonstances inattendu et inexplicable.
synonyme : coïncidence

de quelques syllabes, à en jouer tous les sors du monde. mot tentateur : à laisser les mystères se jouer. de ces dés que l'on pouvait tourner entre ses doigts ,, de ces pétales que l'on pouvait arracher ! sans ne jamais en connaître les probabilités d'en obtenir chacun de ses désirs. jeu malsain, où venaient à s'adonner les chants des muses ! ceux ensorcelant, qui se voulaient corrompus de toute malice : celle d'un monde, où les vices en étaient permis. et Renji, il viendrait jouer de tous ces maux, séduire même les nymphes les plus intouchables pour en détruire chaque sourire et tendresse. gamin intrépide aux allures parfaites, figure à se faire maître du monde quand les mots qui venaient à sortir d'entre ses lippes n'en étaient que poisons à dévorer les âmes.

et lui en était ,,
maître :
de son petit royaume.

à n'obéir qu'à ceux dont les violences faisaient offices d'affection, à toujours chercher, s'amuser d'en pousser les colères jusqu'à leurs paroxysmes pour en obtenir l'impensable. à vouloir savoir ce qu'il venait à rester ,, quand il en brisait les dés pour laisser les h a s a r d s mourir en silence. à vouloir tout contrôler, à vouloir régner : comme s'il en avait le pouvoir. quand pourtant les couronnes en avaient été arrachées depuis si longtemps. d'un corps à vouloir hurler, de sourires à s'asphyxier sous les oxygènes ,, les yeux mentaient à tous, de ce monde duquel il voulait se jouer à son tour.
de doigts,
à effleurer :
chaque peau.
épiderme aux chaleurs morbides, à cacher les cauchemars de ces cœurs volés dès la naissance. il y avait les pieds, à orner les pavés de quelques peintures d'or, à laisser son chemin se tracer : jusqu'aux candeurs des caféines.  illusion qu'il offrait, à déambuler de ces politesses et charmes qui s'en voulaient perfides. à brûler les myocardes des vis-à-vis, à venir les hanter : pour en devenir ce qu'il redoutait le plus.

agitation ,,
d'un voix agacée.

café agrippé du bout des doigts, à relever le regard vers les figures aux politesses absentes ; le corps s'immobilisa !  ô d'un chaos à le prendre, quand il en avait croisé les figures brièvement. face-à-face à se faire, boissons à s'éclater contre les hauts pour en revêtir teintes miraculées. propre main à en lâcher les contenants sur le sol ,, à faire éclater les couleurs inconnues contre les pieds de celui à se dévoiler. à n'y voir lui : que chaos sans merveille. paroles à l'assommer, quand le corps si fragile venait à vaciller, main à se retenir au bras de celui qui ne savait pas marcher en faisant attention à ses alentours.
et les pupilles,
s'en étaient arrêtées :
sur son regard.
à le haïr ,,
le détester ,,
le faire taire.
longues minutes , à le faire se perdre dans les méandres : quand les têtes ne viendraient plus en taper contre les tympans. — you're the one not knowing how to look around and you dare put the blame on me ? come on, if you're so impatient and noisy, at least watch where YOU are going. qu'il soutint sa figure, à resserrer sa prise presque trop nonchalamment, d'un sourire à s'en faire ironique. — how come it's always the pretty faces that are the most useless one. à lâcher les vipères ! de ces tissus qui n'en avaient pas de prix. à pourtant se noyer ,, de pigments à venir l'attaquer toujours plus, jusqu'à ce que les carmins s'en mêlent aux figures bien trop pâles.  — fuck. you're really a pain in the ass.

à mourir :
de ces peurs à le prendre.

d'une main à en essuyer le nez incessant ,, à repeindre les blancheurs contre sa peau ! il en laissa sourire s'esquisser presque trop arrogant : à le fixer de toutes ces colères immesurables. — first your fucking coffee, and now that. you own me a shirt and a vest. how will you repay that ? de ses doigts à finir par se décrocher de lui pour s'en tenir à une table, crispés : tête à valser ! prestance pourtant conservée, à s'en faire trop élégante, pour laisser les maux le prendre au piège. ((car il en était celui qui devait les faire s'abattre.)) quand de ces peintures à se dévoiler : il préférait faire comme si le monde ne s'en était pas dévoilé de nouveau à lui.

à préférer oublier.
o u b l i e r

全部忘れて。


f̴̨̦͎̥̰̬̋̂͐̈́o̷̩̞̗̔̉͌̒͌r̴̙̂̎g̶̡͎͉͍̞̰̠͉͆̓̃͌̓e̴̡̳̱̪̽̚͘͠t̸͖̙̤̀̂̅͐͂


et de ces mondes ci, il aurait aimé ne jamais les revoir ! danger dans les iris à venir danser comme si chaque pas venaient à faire attention : aux mines posées sur le sol pour venir lui en arracher ses ailes. et de ces sors lancés ,, hasards à s'en faire comme malédiction. car ô jamais il ne viendrait danser avec l'un de ses probes. c'est que les figures s'en faisaient maltraitées, que les corps viendraient s'en repeindre de ces teintes dont il n'en connaissait plus les noms : à avoir tout effacé. de ces couleurs à son nom, de son visage à son odeur.
à tout
maudire !

Other dancers may be on the floor
Dear, but my eyes will see only you

and I hate you.



u n i c o l o r e

Mun Ilkwon aime

Mun Ilkwon
falling into autumn

Mun Ilkwon
Gif profil :
⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 560651054pills-tablets-prescription-drugs-animated-gif-image-15


⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 6c917ec6ec2d525cdfb3a2a050d213ec34907c02 ⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 05edcd0cd0ebbde4dceec35f6a5b506d9089a429

FINE MAKE ME
YOUR V I L L A I N





tw:

Pseudo :
lauriz(aulait)
Messages :
178
avatar + crédits :
song kang | (av) asachat.
¥¥¥ :
1034
Date d'inscription :
26/03/2023
Âge :
⇢ ˗ˏˋྂ horloge tournante. tic tac retentit. vingt-huit années soutirées. (24/10)
Occupation :
⇢ ˗ˏˋྂ chef d'orchestre de cette infamie. leader aux allures fracassées. anti-mono sous sa coupe. black pills dealeur. pour mieux les étriper.
plumes :

RPS EN COURS

— renji #1 #2
— madee #1



   


arrogant boy
from a little spark may burst a flame


this world is going to hate you. when they'll see your real face. they'll turn their back on you. you'll be all alone. once again. losing your mind over some stupid problems. and slowly. step by step. you'll become the angel of apocalypse.

déchirure. à en perforer le battant. instant qui aurait du se suspendre dans les airs. peut-être bien même ne jamais exister. à vouloir emprunter les routes de travers. faire marche arrière.
peux-tu? seulement espérer un oubli.
quand le monde se tient à son apogée.
dérisoire entre les mains bafouées. il y a tout un univers qui s'étend ; s'épanche dans une cacophonie infernale. il est là. à se tenir droit. le regard hagard et le corps blafard. il y a comme un jeu de symphonie qui se joue des harmonies. mirage prétentieux qui ne croit plus en dieu. demain n'a jamais été l'unique possibilité envisagée. pourtant, il sait, que le jour finira par se lever. par apporter son lot de fatalité. à se moquer de lui. le forcer à tomber dans la corruption. gangrène qui s'est cramponnée à ses poignets. de cette simple haine qui le maintient éveillé. souffle coupé qui ne fait que s'empoisonner. il aurait du tout arrêter ; quand le temps n'était pas compté. pourtant il a voulu continuer. à s'obstiner. se dire qu'il finirait par trouver une solution. tout détruire. ça lui importait guère. de voir ce monde être mis à feu et à sang. se noyer dans l'anarchie. à finir par en être pris par parti.
ça le faisait rire.
à former rictus sur les lippes.
arc de cercle tracé sur le coeur.
(( qu'ils tirent des flèches ))
ils n'en comprendraient jamais sa souffrance.

simple jeu d'arrogance.
à prétendre être roi du monde.
à les juger, de leur misérable existence. les toiser.
de ce regard froid. narquois. à les traiter comme moins que rien.
mais qui es-tu, ilkwon? pour croire que cette terre t'appartient. quand il n'est qu'à son tour qu'un rat. à n'être qu'horreur pestilentielle. un monstre en demi-teinte. animé par la rage et la folie. à en avoir perdu toute once d'humanité. c'est que pourtant il avait bon coeur, autrefois. quand les joues étaient rosées. quand le palpitant se faisait apprivoisé. il était douceur incarnée. bonté et pureté métamorphosées. aujourd'hui, c'est des cendres brûlantes d'un cadavre. perdu dans le flux des rancoeurs. à tenter d'en comprendre vainement les sens. pourquoi dieu leur avait permis d'exister. eux qui n'ont rien de similaire. de ces regards vides de tout sentiments.
pourtant des deux factions,
c'était lui le plus cruel. impétueux.

and i've buried myself
far away from this ruined life.

comme s'il pourrait à nouveau respirer. sortir vivant de ces catacombes. ténèbres dans lesquels il a plongé tête la première. à ne pas avoir voulu les écouter. ils ont essayé pourtant. de lui faire entendre raison. de lui dire qu'il se méprenait. que c'était qu'un foutu accident. il leur a rit au nez. en leur disant de se regarder. de voir où ça les avait mené.
au fond du trou.
six pieds sous terre.
à s'asphyxier dans les liqueurs.
trembler sous les terreurs de ces autres.
look what they did to you. and you still think it was an accident? just a fucking accident? lui se refusait d'y croire. ne voulait pas le voir. c'était voulu. prémédité. il savait parfaitement ce qu'il faisait ce soir là. quand la balle est partie. quand le coup a retenti.
et sa haine n'a fait que croître.
jusqu'à ce qu'il se retrouve face à lui.
à laisser les poings fermés. ongles plantés dans la chair.
il ne lui donnerait que du dédain. que du venin craché en plein visage. à imploser ses poumons jusqu'à ce qu'il n'en reste plus d'air à l'intérieur.
oh just shut up! i was perfectly looking were i was going! you're the stupid one that can't walk straight!
dégueulis d'arrogance. il ne lui donnerait aucun crédit. ne se prendre pas la responsabilité de ces conneries. il se refusait de perdre davantage de son temps sur des stupidités enfantines.
fuck will you let me go! what did you took me for? a fucking pole?
quand il le voyait s'agripper à lui. le maintenir dans une posture où il ne tomberait pas. mais ilkwon n'en avait que faire. qu'il se retrouve au sol s'il le fallait. il se refusait d'en être maintenu prisonnier d'un parfait inconnu. de son rire à venir résonner. à laisser les onyx le scruter davantage.
well i guess i can't say the same for you! annoying and ugly! you won the jackpot at life.
libération savourée. quand les pieds se reculent. silhouette qui s'éloigne de celle maintenue en suspension. de ce cruor à venir se perdre à profusion. mâchoire qui se crispe. c'est toute une frustration qui s'invite à danser sur son corps. il n'est pas dupe. son précieux temps va se voir envoler. à lancer les yeux sur sa montre. se dire qu'il aura définitivement accumulé trop de retard pour le rendez-vous. maudit soit-il, cet inconnu. il le gardera tracé en rouge dans sa liste noire.
me? a pain in the ass? you could've just avoid me but you went straight hitting on my body! look the mess you've made huh?
bulle appauvrie autour d'eux. quand la foule s'agite. les gens s'amassent et que d'une main dans ses cheveux, c'est vers ces autres qu'il se tourne. claquant la langue contre son palais, laissant sa voix se faire porter.
what are you all looking at? do you want my picture? get lost!
à venir reporter son attention sur lui. le voir perdre pieds comme un enfant. nez qui ne cesse de délivrer sang sur le par terre. à soupirer. avoir perdu tout ce qui faisait sa sérénité. pourtant, demeure encore un semblant d'altruisme. tissus sorti de la poche avant d'en coller fermement le papier contre les narines.
like i'm responsible for your nose bleed. not my fault if you're fucking weak... and i don't owe you anything. looking at your clothes you're pretty loaded, right? nothing you can't afford a second time!
rictus malin.
à le contempler.
c'est peine perdue dans ces échanges.
il ne lui cédera pas la main. ne lui offrira rien.
plus, you also need to repay me for what you've done? i'm running pretty late now because of you. so, not like i will care about your jacket or else.
et il pourrait tourner des talons.
s'extirper de cette situation dès à présent.
mais son corps le pousse à rester. à l'observer.
voir jusqu'où cela va aller — perfide obsession.
il veut savoir, s'il lui tiendra tête. s'il fait le poids face à sa détermination.
alors que choisiras-tu? pile ou face. d'un côté à l'autre. il n'y aura aucune issue. aucune parade possible. esquiver n'est plus permis désormais. le compte à rebours vient de commencer.

u n i c o l o r e

Amano Renji aime

Amano Renji
catching fire in summer

Amano Renji
Gif profil :
⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil Ryusei-yokohama

⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 244584aae331f5f60170d93958c43498 ⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 8f150cfaee9194b59e0521664430dcba

❛ 28REASONS
decanting catch me falling for you


tw:

Pseudo :
Hanatsuki
Messages :
1112
avatar + crédits :
Yokohama Ryusei ((@everdosis)) ,, sign ((@cano))
¥¥¥ :
4931
Multicomptes :
Eiri ,, Hotaru
Date d'inscription :
03/11/2022
Âge :
26歳 ,, miracle sur les paumes : à en parsemer les visages d'étoiles.
Occupation :
踊り子 ,, ballerine et étudiant en droit : à en vouer ses passions dans les ombres.
plumes :
Ren/#1 ,, Romi#1 ,, Ilkwon#1 ,, Yuise#1 ,, Hyukjae#1 ,, Minki#1 ,, Anya#1 ,, Ilkwon#2 ,,



   


arrogant boy
from a little spark may burst a flame




Sorrow made you,
In the bottom of the dark dead sea
and I'm lost in a maze :
where I cannot be freed.

myocarde à se déchiqueter, à s'arracher, de ces poitrines bien trop futiles. d'un corps bien trop fin, aux allures de poupée désarticulée ; pieds abîmés, de ces pas à s'adonner dans les silences perfides.  ailes brisées, et on lui en avait arraché plume par plume, de quelques carmins à venir glisser contre les dos nus pour en épouser le sol. destin à s'acharner, à le maltraiter, de ses arrogances bien trop risibles.

et tu verras,
un jour :
on te prendrait tout.

de ces chemins qu'on lui avait tracé, à venir le torturer de dons incongrus dont il ne voulait pas. lui voulait valser, jusqu'à s'effondrer. valser seul, jusqu'à ce qu'on le remarquer. briller comme petite étoile solitaire : à n'avoir besoin de personne, pour vivre dans les tréfonds. quand sous les yeux, tyrans aux allures d'allégresses. beauté à cacher les horreurs, quand les lippes ne savaient en dégainer que paroles sans aucun distinction. c'est qu'il en aurait ri, Renji : de ces calomnies à venir enlaidir les figures inconnues. il en était monstre que l'on avait libéré de sa cage, à s'en faire chimère où tout venait à lui manquer. à pourtant ne sourire que d'outrage ! quand corps à se perdre sur ses jambes, force disparue, bien trop frêle.
bien trop mort :
pour en quitter ,,
visage des yeux.

car les minutes venaient à le tuer, à lui susurrer à l'oreille ô combien il n'en serait toujours que trop misérable. et d'un regard ,, tu peux en perdre ton trône. d'ongle à se rentrer dans les paumes si délicates, à vouloir s'enterrer de ces bras saisis : lui en arracher les yeux, comme il venait de lui en voler une partie de son âme. d'un pacte non-souhaité, d'une coïncidence à venir le maltraiter. à en hurler qu'il viendrait en rejeter chaque contrainte. et qu'importe, car il ne le reverrait jamais. maudire les rencontres ,, comme si chaque secondes venaient à en étouffer les poumons.

à faire pousser
ronces ,,
et roses dégarnies.

— Yeah yeah. How sad to be such an idiot really. You're kinda boring, little boy. de ses pupilles à se soulever comme si les insolences n'en étaient que plus vicieuses. car inconnu en avait fait dégats irréparables ,, au prix presque trop élevés pour en être raccommodé. ((à lui avoir volé ,, ses sourires)) main à se retirer de ces bras nonchalant, à grimacer de ces inconforts presque insurmontables, la tête tournait ! ((l'obnubilait)) presque à se fracasser contre le sol. à en éviter de croiser son regard quand il venait tout de même en soutenir les figures dédaigneuses. — Totally. But don't worry you're not my type at all. Your mouth is way too...noisy, brat. car les langues ne savaient en délier que mots insurgés, pour celui à venir lui éclater les tympans.

et je viendrais faire t a i r e ,,
les têtes à divaguer ;
songeuses : de paysages
déjà en ruines.

— I don't care, it's not like I asked your opinion. épaules à se hausser, à perdre le sens de la réalité, à éponger les horreurs : quand il s'en retiendrait de tomber au sol. de doigts à trembler comme si le sorts s'abattait sur lui, il en avait l'air bien trop idiot ! à s'énerver lui même, à ignorer la tempête qui venait à s'insurger contre les simples regards des passants. amusements pourtant accolés au visage ! avant d'en cligner des yeux, grincer des dents, sous les mouchoirs balancés à la figure comme s'il n'en était que créature trop ridicule. regard noir lancé : c'est qu'il aurait préféré ne pas avoir à en recevoir aide de sa part. encre noire à se graver sur la peau : à lui en devoir tissus de chiffons. — It's sad to see how dumb you are really. et il ne viendrait pas lui dire.

— qu'il en avait ruiné :
sa vie.

— Yeah, and ? Should I give you some money like a beggar ? Oh come on I thought a big mouth like you would be kinda different. It doesn't mean you don't have to pay me back. ton aux sarcasmes détonants. jolie figure à laisser les élégances s'éclater au sol. à se détacher de sa table, venir se tenir droit de son nez finalement à se stopper. tissus jetés, à sourire de nouveau comme si le monde lui appartenait, quand les jambes venaient à peine à le soutenir, d'un poids pourtant si léger : à bercer les noyaux du monde de quelques arts divins. — Sorry to learn that you're late. How should I repay you hmm ?  Your poor t-shirt is surely costing less than I can even think of. qu'il observa la matière en la tirant doucement du bout de ses doigts pour le chercher un peu plus.

c'est qu'il se livrerait :
aux pires vices.

ceux à se faire ,,
terreurs.

— Oh I know. I could offer you some of my precious time, you know, but you said my face was not pretty, so I kinda don't wanna., à s'approcher d'une sensualité sublimée, à venir en relever le menton de son index sans réellement le regarder dans les yeux. à juste vouloir l'agacer, s'amuser, petit papillon à tourner tout autour de lui. de sous entendus presque trop déguisés, quand pourtant tout semblaient l'écraser sous les  céphalées silencieuses. car ô jamais il ne lui en dirait mot sur ces couleurs révélées. à les détester : le craindre silencieusement sans ne jamais en perdre ses fiertés et dos droits. — Could have been fun to spend a poor night with you but, I'll just buy you a coffee in exchange. Or I can buy you some new pants and shoes. That's where my debt to you stop. 'Cause your tastes are horrible anyway and it hurts my eyes.
à s'écarter,
taper sa paume ,,
sur son épaule.
car il pensait pouvoir tout acheter, d'un peu d'argent. — Hurry up, I've got plenty of things to do instead of being with you. Moreover I don't fucking care of your appointment. à ne pas lui laisser le temps ! d'en prendre décision. car dans les intérieurs il en venait à suffoquer, Renji. à sortir dans la rue, venir s'adosser contre un mur, comme pour en soutenir les genoux chaotiques. — And you, how will you repay me ? If not with a new shirt. I don't think you have anything to offer anyway. Ah, yeah, first, don't look at me. You're making me sick. But that doesn't resolve your problem. à ne pas vouloir en affronter les vérités. fuir là où il ne l'avait jamais fait, comme si chaque calomnie venaient à se graver contre sa peau. alors il ne fuirait pas, viendrait attendre contre ces murs ce qu'il avait à lui en offrir. car d'un pacte avec le diable, lui voulait en être celui à tout contrôler.

quitte à mourir ,,
à préférer : en poser chacune de ses règles.
à jouer,, à celui qui en poignarderait l'autre le
premier.

u n i c o l o r e

Mun Ilkwon
falling into autumn

Mun Ilkwon
Gif profil :
⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 560651054pills-tablets-prescription-drugs-animated-gif-image-15


⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 6c917ec6ec2d525cdfb3a2a050d213ec34907c02 ⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 05edcd0cd0ebbde4dceec35f6a5b506d9089a429

FINE MAKE ME
YOUR V I L L A I N





tw:

Pseudo :
lauriz(aulait)
Messages :
178
avatar + crédits :
song kang | (av) asachat.
¥¥¥ :
1034
Date d'inscription :
26/03/2023
Âge :
⇢ ˗ˏˋྂ horloge tournante. tic tac retentit. vingt-huit années soutirées. (24/10)
Occupation :
⇢ ˗ˏˋྂ chef d'orchestre de cette infamie. leader aux allures fracassées. anti-mono sous sa coupe. black pills dealeur. pour mieux les étriper.
plumes :

RPS EN COURS

— renji #1 #2
— madee #1



   


arrogant boy
from a little spark may burst a flame


slowly, they all faded away.
in the darkness of the night,
waiting for the purest light to shine upon them.

mirage des valses.
à se tenir face au glace.
désarroi désordonné. d'un chaos ordonné.
à initier les perfidies. à se perdre dans les tromperies. il y aurait un semblant d'accalmie. à se poser là où les questions ne demeurent jamais. vile comédie. à se jouer en dehors des projecteurs. comme une valse à trois temps. succube des firmaments. parcelle d'un bonheur extatique qui n'a jamais existé. violence inouïe. à se perdre sur les encéphales. il ne répondrait plus de rien. quand les coeurs s'en verraient arracher. quand les corps en seraient déposséder. n'en resterait que les chairs saccagées. à venir se fracasser contre le macadam. à se laisser emporter par les vagues. le vent soufflerait. et dans une ronde d'éternité ; il s'éteindrait.
ultime cri,
comme un appel à l'aide.
sans jamais s'en retourner.
de ces regards traitres.
de ces palabres mensongères.
il en jouerait que davantage avant que les paumes se desserrent. que le battant s'oxygène. échec et mat. la victoire irait à celui qui ne cède pas. celui qui se laisse surprendre jusqu'au bout. à engager les silhouettes sur un terrain glissant. quand rondement menés, les plans s'enchevêtreraient.

d'un regard à l'observer. tenter d'en comprendre les primaires réactions. de ces moqueries ultimatums. il s'en amusait que de trop. ilkwon était d'une cruauté imperceptible. imprévisible. à torturer son prochain. se laisser être malin d'une avidité carnassière. c'est qu'il pourrait en susurrer mille mots écorchés. à l'empoisonner. laisser le venin lentement se répandre dans le carmin. à faire de lui jouet de premier choix. pourtant, il n'en avait que faire. de ce temps qu'il se devait de récupérer. à ne pas en manquer les appels.
d'une connivence foudroyante.
quand les phrasés venaient à l'emporter.
de sa langue à se saisir de tous les poignards.
little boy? damn look at you before you speak!
à venir le toiser de sa hauteur.
de toute son infine grandeur.
i don't fucking care if i'm boring. not like i'm here to entertain your ass!
onyx délicatement déposés sur lui. comme pour en comprendre les apitoiement déplorables. à le trouver que trop pitoyable. comme s'il ne savait plus se tenir droit. ni comment rester de marbre. lui viendrait à en feindre les rictus. à en rire en silence, d'un revers de la main. à le voir détourner le regard. quand il tentait de s'en montrer digne salutaire d'une figure à la dérive.
thanks god! i was scared you just fell for me and that's why you can't stand properly! or maybe you're just drunk? early in the morning? that's a bad habit!
à tout ignorer.
ne pas en comprendre les réactions.
de ces color rush impitoyables. détestables.
c'est qu'il finirait bien par venir à l'entrevoir ; que trop tard. quand il ne faisait que rire. et s'agacer. à laisser les aiguilles de la montre défiler. d'une main dans sa poche, à ne pas répondre aux provocations. car ce n'était là que des mensonges. l'homme face à lui était irrésistiblement attrayant. d'une beauté glaciale et presque irréelle. mais à quoi bon s'arrêter sur un physique sulfureux. il n'en tirerait aucun parti à prendre plaisir dans son lit. quand il voulait faire fuir la foule observatrice. à simplement reporter toute attention sur lui. le monde ne s'arrêterait pas de tourner. il continuerait à avancer. et eux, ils seraient simples pions d'un échiquier.

de ces passions éventrées.
à tenter de ne pas se déconcentrer.
il survolait les paroles qu'il pouvait lui déverser.
de sa stupidité à l'agacement mutuel. il en ignorait les conséquences. les circonstances. ce n'était pas lui qui avait laissé les couleurs entrer dans son univers. quand son frère lui avait expliqué les cheminements. chaque être avait sa propre différence. comment pouvait-il savoir. que le cruor qui s'écoulait, n'était qu'une conclusion de ce lien qui les forcer à ne faire qu'un.
yeah, whatever suits you to say! not like i'd give a shit about a random person that i won't ever see again.
à vouloir s'en débarrasser. partir le plus vite possible. semer sa route. perdre sa trace. ne plus avoir dans l'horizon sa silhouette. à venir hérisser son échine. frisson longeant l'épiderme. quand il aurait besoin d'en fuir les dommages causés. pourquoi faudrait-il qu'il le paye pour de simples tâches de café.
hm yeah? like a compensation for my precious time all wasted by your bullshit.
à soupirer.
d'un regard irrité.
you're so annoying. how much do you want for your suits, hm?
à réaliser.
plus vite il paye.
plus vite il s'échappe.
de sa main à venir se saisir de la sienne.
le forcer à lâcher prise quand il l'éloigne de sa personne.
don't touch me!
à siffler entre les dents.
valser contre les tympans.
i won't be sorry for not wearing channel and scream to the whole world that i'm a rich bastard like you!
de cette insolence qui s'infiltre sous la langue. à en lancer des éclairs dans le creux des iris. quand il s'approche ( trop près ) à le toucher. relever les visages. forcer les contacts. à vouloir vomir sur les mots employés. sans ne rien faire. le laisser prendre son pied dans ce malin plaisir employé. de ses lèvres retroussées. à continuer à l'observer. délicatement s'en demander — why are you avoiding my eyes quand ça tilt lentement dans le cerveau. esprit de circonstance. ardeur retrouvée. à rire. ô si fort qu'il en perdrait l'idée de respirer.
and who said i wanted your time? who said i'll just put myself in the same bed as you? i didn't know you were a whore.
de sa tête à se pencher.
à en offrir sourire carnassier.
il pourrait le dévorer ( l'embrocher )
lui faire ravaler toute sa petite fierté.
you can keep your money to you! and with that your ass in fire! i don't sleep with people wheeling to give themselves just like this! mostly in public!
d'un ricanement jaunâtre.
à l'écouter une ultime fois.
le contempler quitter les lieux.
quand d'un souffle exténué, il vient à en reprendre respiration. à clore les yeux et soupirer. se demander comment il réussira à lui échapper. de ces mains à se lever dans les airs avant de regarder la foule oubliée. à rire pour lui même — well that's my lucky day! i've found a whole bitch out here. à laisser le corps le suivre. le retrouver là, adossé contre ces murs. à se questionner s'il n'en perdrait pas lentement pieds. rendez-vous délaissé. il n'y serait jamais en temps et en heure. de ce message envoyé pour en signaler les importunités.
what tells you i have nothing to offer? well, for sure i'm not giving you my body! sorry if you're a slut, and you want to take your shot! but i'm definitely not a whore like you. but name your prize.
à en retenir ultime phrase.
lentement venir s'en rapprocher.
de ce corps à délicatement le frôler.
phalanges venant à se saisir de son facies.
l'obliger à affronter les vérités. réalité imprévue.
quand le regard se noie dans le sien. teinte à venir danser dans les pupilles.
am i making you sick? or are you trying to hide something horrendous?
soufflé contre le creux de l'oreille.
à se détacher de lui d'un geste rapide.
you're more interesting than i thought. maybe i could change my mind about your previous offer.
à venir rire au nez du karma.
à le défier de sa plus belle façon.
ô le monde n'est point prêt pour ce qui l'attend.

i wanted to be the prettiest
to dance with the devil.

u n i c o l o r e

Amano Renji aime

Amano Renji
catching fire in summer

Amano Renji
Gif profil :
⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil Ryusei-yokohama

⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 244584aae331f5f60170d93958c43498 ⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 8f150cfaee9194b59e0521664430dcba

❛ 28REASONS
decanting catch me falling for you


tw:

Pseudo :
Hanatsuki
Messages :
1112
avatar + crédits :
Yokohama Ryusei ((@everdosis)) ,, sign ((@cano))
¥¥¥ :
4931
Multicomptes :
Eiri ,, Hotaru
Date d'inscription :
03/11/2022
Âge :
26歳 ,, miracle sur les paumes : à en parsemer les visages d'étoiles.
Occupation :
踊り子 ,, ballerine et étudiant en droit : à en vouer ses passions dans les ombres.
plumes :
Ren/#1 ,, Romi#1 ,, Ilkwon#1 ,, Yuise#1 ,, Hyukjae#1 ,, Minki#1 ,, Anya#1 ,, Ilkwon#2 ,,



   


arrogant boy
from a little spark may burst a flame




I'm in love with a fairytale
Even though it hurts
'Cause I don't care if I lose my mind
I'm already cursed

et tous les jours,,
il danserait !
jusqu'à ce que les rêves :
se réalisent.
car chaque mouvements venaient à s'épouser. créer ondine dans les regards, combats à s'acharner, déchiqueter les quelques humanités qu'il lui restait. il n'avait qu'à bouger pour se sentir vivant ((mentir ,, honte)) aux joues de ces carnages qu'il venait à créer. pas à résumer chacun de ses sourires : tous faux. à supplier les cieux de l'épargner quand lui ne voulait qu'en devenir muse. (de personne : juste de lui-même) cataclysme enchanté à s'abattre sur lui comme si tout n'était que rigolade ,, à vouloir poser ses mains sur les corps comme pour à son tour en montrer qu'il en était plus que simple figure longiligne. poser ses paumes sur les peaux, en transmettre quelques chaleurs, et peut-être en comprendrait-on qu'il n'en était pas simple poupée de chiffon. à le jeter comme déchet : à le faire aux autres en bien pire. car les rancœurs en avaient envahies les amours propres. c'est qu'il viendrait tous les faire hurler !

d'horreurs ,,
imagées :
myocarde ,,
éclaté.  

cœur en peine, recouvert d'épines, de sourires à en maudire tous ceux qui en étaient trop sincères ,, comme redondance d'un sors à venir en dessiner ronde au creux des salles de bal. il n'était que trop enfantin, Renji, à défouler les intimes surnoms comme brimades ridicules. et qu'importe, car lui se moquait bien du regard qu'on venait à lui offrir. loin des lumières, il ne fleurissait plus.  déjà enterrés, étaient les espoirs d'en voir un peu de joie contre son visage sans avoir à en recueillir les colères des autres.
de mal-être :
à rire
de tout.

— I didn't said I wasn't a little boy, tho. I'm just saying you are. Why are you feeling so damn hurt hmm ? à vouloir humilier ces figures qui s'en montraient bien trop téméraires. de dents à grincer, de poings à se fermer comme pour en contenir chaque once de douleur. — Sorry to say it, but you ARE actually entertaining me at the moment... d'un sourire presque délicat, à s'amuser de la situation, celui qui n'y voyait là que simple jeu malsain. à voir jusqu'à où les agacements iraient ! quand lui n'avait que trop peu de patience pour ceux qui en manquaient de manières.

à ne pas vouloir être pardonné :
juste détesté.


encore et encore ,, calvaires à se répéter comme si démon s'en était accroché à son épaule. créature à se nourrir des miasmes ! à se nourrir de son énergie ,, à le faire dépérir. et Renji n'était que carcasse sans sentiment. vérités prononcées comme si les honnêtetés s'en faisaient persistantes : il ne mentait pas Renji, cachait les vérités, dissimulaient ce qu'il voulait montrer à ceux qui ne savaient pas observer. de ces yeux ,, à en être chaotiques. à laisser les rires s'éclipser dans les airs, quand les opales inconnues s'en faisaient aveugles à tout ce qui l'entourait. — You're not my type, first. Because I don't care how fucking handsome you can be, you're just fucking annoying. And that's a no for me. And whatever. Think I'm drunk if you prefer. I don't mind. car il y avait parfois les liqueurs, à nécroser les peines.

se moquer de lui ,,
comme si ses jugements :
n'en étaient rien.
misérable créature bien trop idiote, à vouloir en bousculer les quelques conclusions risibles, quand l'espace temps stoppé, lui ne se préoccupait que des quelques mimiques agaçantes. à vouloir en arracher chaque fiertés, envie destructrice à venir se prononcer comme si le corps pouvaient encore résister aux songes des maux qui le hantait. à voguer ,, là où personne ne pourrait le récupérer. à peindre de cramoisi les figures pourtant bien trop merveilleuses, à laisser les lippes s'étirer à chacune de ses paroles. c'est que les ironies en amusait les plus braves des chimères, comme pour l'attirer avec elles dans les cataclysmes. — Be careful, others might think you're the one who hurt me. So my bullsshit...you should be careful of your words, really. car de quelques paroles, il pourrait en briser réputation.

d'un cri :
à se faire comme naufrage.

car les gens :
n'en voyaient ,,
que ce qu'ils voulaient.

mains en mouvements, à danser autour des visages, se faire repousser, presque trop heureux : de ne pas avoir à continuer d'en jouer comédies ridicules. ignorer les mots quand les têtes venaient à cogner presque trop fort. à ne plus entendre, ne plus écouter, brûler de l'intérieur de ces morts déjà atteinte. car il préférait mourir que d'en voir couleurs à nouveau. — I'm a whore, yeah. But at least I don't lie about it. à frapper où tout faisait mal : à ne pas avoir honte. quand de tout ce qu'il parvenait à entendre, il n'y en avait qu'injure plus malhonnêtes les unes que les autres.

car il n'y avait rien de mal :
à coucher ,,
par simple plaisir.


— And whatever, I won't sleep with someone as uptight like you. Gosh you're really the most boring person I've ever met. car il pourrait rire : lui ne ferait que regarder les extérieurs, à presque l'ignorer, à présent, se désintéresser de lui si rapidement, quand regard évité, corps à se mouvoir vers les airs, il se laissa apaiser de quelques airs frais. et qu'est-ce que ça peut bien te faire ,, que les vices s'en accrochent à moi ? chaires à être aimées, comme détestées. à en partager quelques chaleurs pour les délaisser ,, car il jouait avec les sentiments, Renji, ne s'attachait jamais : venait à tout détruire sur son passage.

rue ouverte sur le monde, à parfois vouloir disparaître des yeux des autres pour en devenir banal : il y en avait pourtant un dont l'attention venait à en animer les figures si blafardes. à s'amuser de ces montres qui venaient à courir après le temps : crime commis, où les minutes n'en seraient jamais récupérées. — Oh gosh here you go again. How much innocent you are to talk so bad about something that seems so dirty to you really. à soupirer ! de ces désespoirs dont il se moquait bien. car le corps n'en était plus aux fêtes. de ces mots à en sembler presque saints : à se demander même si celui qui lui en éclatait la tête n'en avait ne serait-ce que déjà touché la peau d'un autre.
d'un visage ,,
à fixer :
les alentours !
fuir les figures, retrouver les grisailles du monde : c'était là qu'il voulait se réfugier, Renji. loin, loin de ces pigments qui venaient à en torturer l'esprit. car à chaque rencontre, ils venaient à lui en couper le souffle : le faire se détester un peu plus encore. d'une figure aux charme à le démanger, à se rapprocher comme simple tentation du diable. pupilles à s'écarquiller, pourtant, de doigts à en tourner son visage, à forcer les contacts entre les opales ,, comme si dans les siens viendraient à s'en affronter déités pour en contrôler les douleurs. paumes à tressauter, couleurs à faire vriller la tête ,, il en repoussa violemment les corps de ses paumes à s'abattre contre son torse ! à en lever la main presque prêt à en attaquer les joues, quand cette dernière se rabattit pourtant contre le mur qui lui faisait dos pour se maintenir debout. — You're really- souffle hachuré, voix à hurler les douleurs quand la poitrine en venait à se bloquer : d'une respiration presque hérétique. paysage à se déformer, se colorer, comme pour le faire haïr un peu plus ces magies aux secrets infernaux.

et regarde donc :
ce que tu me fais.

— I fucking told you... visage à se décomposer, nez à venir à nouveau laisser quelques carmins s'abattre essuyé pourtant rapidement : quand tout venait à s'enchaîner trop vite pour son corps trop faible. — Yeah you're totally making me sick you fucking probe. So don't come near me, if you don't want me to punch you. de mots à lui échapper, à être submergé, de ces colères qui ne feraient que s'abattre à nouveau. figure qu'il releva alors, sourire frénétique à se tracer contre ses lippes, il s'approcha pour en saisir le col du plus grand, presque pour le mettre en garde. faciès à s'en faire presque comme beauté courageuse, désillusion d'un regard à en montrer chaque once de haîne qu'il possédait, il ne venait plus à jouer, lui. — You see, you're ruining much more than just my suits. How will you repay that huh ? d'une détermination dans le regard à renaître ,, à secrètement s'en retenir au corps de celui qui lui faisait face pour ne pas tomber. car qu'importe si les visages en étaient à son goûts, il en venait à trouver infâme n'en serait-ce que le son de sa voix. — And my offer...is not standing anymore. Time is up. rien n'en était plus caché, pourtant ! quand à d'un vertige, il laissa la figure se poser contre son épaule, de sa main à s'accrocher à son bras presque trop violemment, sans pourtant le vouloir. à vouloir attendre, de pouvoir s'en redresser correctement. — Don't fucking dare say something, or I swear...I'm gonna make you regret it. d'un murmure : comme menace.

c'est qu'il en préférerait ,,
pouvoir tomber :
ailleurs que dans les précipices.





u n i c o l o r e

Mun Ilkwon aime

Mun Ilkwon
falling into autumn

Mun Ilkwon
Gif profil :
⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 560651054pills-tablets-prescription-drugs-animated-gif-image-15


⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 6c917ec6ec2d525cdfb3a2a050d213ec34907c02 ⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 05edcd0cd0ebbde4dceec35f6a5b506d9089a429

FINE MAKE ME
YOUR V I L L A I N





tw:

Pseudo :
lauriz(aulait)
Messages :
178
avatar + crédits :
song kang | (av) asachat.
¥¥¥ :
1034
Date d'inscription :
26/03/2023
Âge :
⇢ ˗ˏˋྂ horloge tournante. tic tac retentit. vingt-huit années soutirées. (24/10)
Occupation :
⇢ ˗ˏˋྂ chef d'orchestre de cette infamie. leader aux allures fracassées. anti-mono sous sa coupe. black pills dealeur. pour mieux les étriper.
plumes :

RPS EN COURS

— renji #1 #2
— madee #1



   


arrogant boy
from a little spark may burst a flame


let me tell you a story, a sad one.
a story where the beginning begins with the end.
there's no once upon a time because it's not a good one.
it's a really sad sad story.

et il y aurait les danses endiablées,
à venir osciller entre les corps enchevêtrés.
les mouvement saccadés, lentement désarticulés.
c'est qu'il y aurait des milliers de façons de tromper le destin. diverses variations pour empoisonner un chemin qui semble tout tracé. i didn't choose this path quand les regards s'enlacent. à croiser le fer comme si la brûlure n'était pas vive. à tenter de ne pas avoir à la suivre. cette route parsemée d'embûches. à venir éviter de se perdre sur cette voie qui n'a jamais été celle souhaitée. âme vagabonde. perdue dans un néant horripilant.
comme à se questionner ;
qu'il y a t-il s'il saute dans le vide?
se trouvera-t-il face aux abîmes?
à ne pas en chercher pour autant les réponses.
désespoir au sommet d'une gloire. tout est éphémère.
quand claque les mots. palabres vénéneuses. à venir souiller les épidermes. quand à son tour il n'en démord pas. à cracher venin qui ne fait que croître.
argh you're annoying! just shut up if it's just to speak non sense.
à refuser de croire qu'il n'est qu'un enfant. âme traitre à ses propres actions. il n'a rien d'un gamin. quand les caprices ont cessé. quand l'esprit a dû vieillir davantage. à contempler ces autres qui ont eu des enfances doucereuses. où est passée la sienne? brisée. anéantie. par ceux qui ont décidé d'en quémander que de trop à un système contaminé.
quand il ne viendrait pas répondre aux provocations.
à détourner simplement le regard dans un soupir lassé.
il pourrait tout arrêter ici et maintenant
fuir les horizons.
alors pourquoi il restait. à maintenir ce jeu des plus malsains. à se contenter d'en être sauvagerie perfide sur les creux des langues suspendus. à en pousser les vices. onyx perçantes à venir foudroyer les faciès. de ces agonies insoutenable. c'est que ça l'amusait de le voir agir comme une marionnette. ou un funambule. à ne plus tenir sur ses jambes. à s'affaiblir au moindre chance ratée. à venir l'en écouter tout chambouler. et lui, ô il n'en avait que faire. de ne pas accrocher les regards. de ne pas envahir les pensées.
well at least i'm handsome! that's all i'll remember from what you just said.
prétexter les compliments.
savourer les bouts de victoire.
il n'y avait rien de glorieux dans ces triomphes.
pourtant ilkwon en dégustait chaque miette s'offrant à lui. car tout cela n'était qu'un jeu. désordonné. immoral. déplacé. ce n'était qu'une partie d'échec qui se jouait entre deux partis prêts à tout pour voir le roi de l'autre tomber. chacun n'était qu'une pièce d'un puzzle. articulation désossée sur un échiquier. de ces rictus qui n'appartenaient qu'à eux. à faire voix mielleuse quand les mots étaient tranchants. crus.
mais où était le mal dans tout ça.
quand le serpent venait à se mordre la queue.
un peu trop fort. un peu trop vite.
yeah yeah. whatever. people won't believe a bad word you say.
confiance ardue.
à venir tout sublimer.
pourriture jusqu'à la moelle.
à laisser rire teinter les palabres.
ah damn, it must be easy to sleep with the first that comes. maybe that because you don't have much of a choice? i'm not boring! i just don't sleep with rats.
langue à claquer contre le palais.
mots à susurrer contre les tympans.
de ces observations à l'en voir s'éloigner.
fraicheur des extérieurs à venir frapper de plein fouet.
quand les palabres se dansent. c'est qu'il se joue de lui.
se moque bien que les corps soient gaspillés si aisément. après tout il en était loin d'être meilleur. à cacher aisément que les attirances étaient frivoles. que le coeur n'était que cage dorée. il y aurait les pardons injustifiés. sorry god, forgive me for my sins. car il ne faudrait en avouer avoir péché. bien trop de fois. des milliers. peut-être bien plus. car il n'en avouerait jamais se délaisser de ces cieux trop sacrés.
i'm not! i'm just pretending because it's fun!
de ces épaules haussées. à en clamer les rapprochements. s'aventurer vers les fossés. c'est qu'il prenait le risque de tout détruire.
de s'annihiler à son tour.
quand d'un simple regard
c'est que tout devient épave.
car la lumière vient à se faire.
de cette grâce dans ses yeux ; beauté subterfuge.
d'un vertige soudain. à se rattraper au bord des précipices. peut-il encore simplement s'en vouloir d'avoir forcé un destin. à lentement le sentir le repousser, le voir perdre pieds. de cette voix qui s'impose. vient à résonner. quand de sa main il vient en recouvrir les lippes. le faire taire. lui souffler un silence mortifère. ils ne doivent pas savoir ; ce qu'il est. ce qu'ils sont. quand le karma joue contre lui. amenant sur un plateau d'argent, tout ce qu'il a toujours détesté. à lui servir moyen de nuire.
if i was you, i wouldn't be so loud about your condition!
car ce n'est pas lui qui serait pointé du doigt.
et ils viendraient à comprendre, d'un simple mot employé.
si lui est le probe, alors forcément en face — mono.
à le tirer contre lui. sans réellement savoir pourquoi.
protection amoindrie. il le sent qui s'enfonce.
well i wasn't aware about the nose bleed ok? i'm learning!!
vérité à demi-voilée.
il était le premier à qui il faisait voir les couleurs.
ok, i'm... sorry... i just wanted to confirm why you were avoiding my eyes...
d'une naïveté impure.
à laisser les pensées sulfures,
curiosité malsaine — obscène.
too bad... i mean i may have said you're ugly. but that doesn't mean i was thinking it's true. nevermind! we should find a calmer place. until the colors fade away...

à venir se coller à lui,
murmure placé au creux de l'oreille.
oops. maybe i say too many things. are you going to make me regret it?
provocation létale. tension fatale.
à saisir les corps, de ses tissus placés sur les narines. à maintenir sa tête penchée en arrière. le faire prétendre que le cruor n'a cessé de couler. quand il le déplace, l'emmène à sa suite. ruelle maitrisée, à en trouver parfait endroit où se cacher. laisser les phalanges avides de ces touchers. à tenter d'en maintenir silhouette disgracieuse en vie. quand enfin seuls, il n'a plus besoin d'en jouer la comédie. à l'éjecter contre le mur. lâcher prise. et laisser sa respiration reprendre son court.
damn i didn't know that playing someone who cares will be this hard.
à en reporter son attention sur lui,
de ce vil rictus qui revient à la charge.
well, mister mono didn't wanted to be found. when i say i was lucky to have a whore! i didn't know it would turned this way.
à ne pas en mâcher ses mots.
laisser la peur retrousser les entrailles.
quand de ce corps il se maintenait au-dessus.
à revenir à la charge. phalanges agrippées à sa mâchoire.
now look at me! you thought you could avoid it? run away from your disgusting nature? how bad for you, karma is a bitch and choose to ruin your day more than expected!
à laisser rire éclater dans les airs.
à contempler sa pale figure. le relâcher.
l'observer s'il finirait par s'effondrer — tombe plus bas encore.
ilkwon en connaissait un jour de chance. à voir allégresse tournée à son aise. peut-être que le destin faisait mieux son travail qu'il ne le pensait. à ranimer les envies fracassantes. à se demander ; l'épargner aujourd'hui pour mieux se jouer de lui. quand les rages voraces étaient prétentieuses. à vouloir y mettre un terme dans l'instant même. ne pas lui laisser davantage savourer ce monde coloré. should i kill you now? quand il n'en commençait que les tortures. à déjà bien trop s'amuser.
il ne pourrait pas y mettre fin maintenant.
même s'il le voulait — passion volcanique.
il se refusait de voir une telle ardeur s'annihiler de la sorte.
so! what am i going to do with you, huh? it's not like you can escape me forever?
de ces doigts à se passer dans la chevelure.
à en placarder rictus de victoire sur le visage.
lippes retroussées. à se mordre entre elles. que faire.
il voudrait pouvoir le détruire. l'enfoncer dans cette haine boulimique. lui montrer qu'ils n'ont rien à faire sur la surface de cette terre. qu'ils ne sont que nuisibles. à vouloir s'en débarrasser au plus vite.
do you still see the colors? or are you finally back to your sad black and white little world? want me to do it again?
provocation crépitante.
à se rapprocher de lui.
le toucher. l'intoxiquer.
you'll never have enough.
il le sait. ils en deviennent addicts. on besoin de plus après le premier color rush. car ils n'en ont jamais assez. ils leur en faut toujours plus. beaucoup plus.
so what are you going to do? murder me? like your species does to mine? or maybe you'll kidnap me and lock me in your basement forever? argh what am i going to do with you really.
à lentement laisser les phalanges se glisser dans ses cheveux. à venir en saisir une poignée pour lui relever le visage. à l'observer. de ce sourire carnassier. effrayant.
i guess too bad you fell upon me.
car ilkwon n'est pas de ces faibles,
qui se laisseront prendre aisément.
ilkwon est la petite mort. lente et douloureuse.

u n i c o l o r e

Amano Renji et amano romi pleurent

Amano Renji
catching fire in summer

Amano Renji
Gif profil :
⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil Ryusei-yokohama

⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 244584aae331f5f60170d93958c43498 ⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 8f150cfaee9194b59e0521664430dcba

❛ 28REASONS
decanting catch me falling for you


tw:

Pseudo :
Hanatsuki
Messages :
1112
avatar + crédits :
Yokohama Ryusei ((@everdosis)) ,, sign ((@cano))
¥¥¥ :
4931
Multicomptes :
Eiri ,, Hotaru
Date d'inscription :
03/11/2022
Âge :
26歳 ,, miracle sur les paumes : à en parsemer les visages d'étoiles.
Occupation :
踊り子 ,, ballerine et étudiant en droit : à en vouer ses passions dans les ombres.
plumes :
Ren/#1 ,, Romi#1 ,, Ilkwon#1 ,, Yuise#1 ,, Hyukjae#1 ,, Minki#1 ,, Anya#1 ,, Ilkwon#2 ,,



   


arrogant boy
from a little spark may burst a flame




Wouldn't it be nice to take a walk
on some pure white sand
Gaze at the horizon
Without living in fear ?


et les regards n'étaient jamais effrayés, pourtant. à vivre au jour le jour, à jouer, comme si les lendemains n'en étaient qu'illusions. car il n'en avait jamais été la proie, Renji. de ces iris à ne jamais briller, bien trop morts, en réalité, pour que ne vienne s'y éveiller que les démons à danser avec lui. ceux qui de leurs mains et bras fantasmagoriques venaient à l'agripper tout entier, lui en arracher chaires et joies à chaque mouvement, à chaque pieds touchant le sol.
d'un jeu vicieux
où les cauchemars :
étaient rois.
à se fourvoyer ! quand les sourires n'en étaient que barricades aux maux extérieurs. car de quelques secondes : il n'avait pas eu à réfléchir pour comprendre, que face à lui s'en trouvait pire monstre que lui encore. prunelles à ne jamais mentir, quand s'abat la foudre sur les peaux pour venir en tuer les instants de tranquillités.

et qu'y avait-il,
au fond des poitrines,
si l'on venait à y plonger les doigts ?

n é a n t
trou béant

quand à l'écouter, il en semblait insupportable, quand à chaque parole lancée, il n'en était que moisissure à se répandre. et c'est comme ça que tu as toujours vécu. que murmurent les voix, entre ses oreilles : c'est qu'il valse, sans en avoir envie. à ne plus en maîtriser le rythme, à ne plus en maîtriser quoi que ce soit. car les ailes avaient été brûlées il y a bien trop longtemps, pour ne plus à avoir à s'embourber dans les miasmes terrestres. — I'll shut up if you do it first. d'un désintérêt presque immédiat, car viennent à lui crier, tous les vices du monde. ceux à lui agripper les pieds, pour le faire tomber, le faire s'écraser, jusqu'à ce que les corps délicats ne s'en relèvent plus jamais. et il n'était qu'un enfant pourtant, aux yeux des autres. un peu trop gâté, un peu trop riche : un peu trop de tous ce que les gens venaient à convoiter.
car les pensées en étaient emplies ,,
de son visage :
à maudire.

cataclysme inévitable.
explosion.
tyrannie.

d'un corps qui n'en avait pas choisi, de s'effondrer pour un simple regard. d'une peur à venir s'enfouir dans son ventre, à en retourner tout son monde ,, car les couleurs : n'en étaient qu'affabulations. et d'un monde réel, il ne voulait pas en voir celui faux offert par les yeux d'un pauvre inconnu aussi dément. — Yeah, I said it. You are. But gosh you're even more stupid. quand les compliments en étaient d'une honnêtetés frappantes. à ne jamais mentir : ne pas en cacher les intérêts, car cela ne ferait qu'à le faire se cacher un peu plus derrière ces barrières imposées. à balancer, toute la société, de ses maux.
d'une vie :
qu'il voulait ,,
contrôler.
décor à se mouvoir, s'estomper, devenir flou. estompe à se dessiner, quand les coups de fusains en étaient étrangement fades. et les couleurs, il les connaissait. de ces pinceaux éclatés contre les toiles, à en déduire les formes de son corps bien trop souvent dessinés, dans ces salles froides. et il l'avait rendu ainsi, de ses crayons aiguisés. monstre en noir et blanc : dépeint comme œuvre d'art. et de ses mots il viendrait à l'ignorer de nouveau, ne pas les entendre, à vouloir se convaincre que tout ce qui l'entourait n'en était que son petit royaume ,, à pouvoir tout briser, de son argent. — Yeah, yeah. Whatever. Actually, if you would try, it's quite fun, sleeping with a unknown face. And I'm not hurt being called a rats. At least, they scare away idiots like you.

car son corps :
en était
décharné.


alors de ses commentaires, à se moquer de son avis, il savait pertinemment, que les visages en attiraient. d'une conviction innée, de mèches à virevolter, sous les fraîcheurs du jour. à bannir, chaque regard qui venait à le dévisager. et Renji n'en étaient que péchés permanent. à jurer, sur ce qui pour lui n'existait pas : que les chaos en dévoreraient les âmes. perfidies à se répandre, car frappent les mélodies comme glas ultimes. c'est qu'il n'en cacherait jamais sa différence aux autres, celui aux provocations avouées ! malédiction assumée. quand coupée dans son élan, voix à se faire muette, sous les paumes abattues contre les lippes, qui en venaient à se courber doucement. et de quoi à tu peur, Ilkwon ? derrière ces iris différents, à s'en montrer presque acharnés, sans ne jamais en craindre quiconque.

de ces mains à s'accrocher, de son souffle à s'échouer contre ses épidermes, il y avait les parfums, à se faufiler. entêtants, presque enivrants : à le dévisager, perdu. et ô les comédies en étaient si satisfaisantes ! de celles à en changer les visages, faire se transformer les pires démons en ce que l'on ne croyait pas. à vouloir y croire, sans doute, quand Renji n'en était pas si idiot que cela. car les yeux, eux, ne mentaient pas.

ah, I fucked up again.
And you're full of lies, you too.

à en voir défiler devant lui excuses sans goût, mots hasardeux, douceur empoisonnées. tête bousculée ; idées à se retourner. à ne rien comprendre. de ces figures à se faire scène à elles-mêmes, sérénade manipulatrice, pour que les regards s'en adoucissent jusqu'à se décomposer sous les réalités. palpitant à s'esclaffer, opales à scintiller légèrement, de ces jeux arrogants. à y avoir cru, sans doute, quelques secondes, à ces douceurs d'antan. mais le monde n'était pas aussi beau que cela, quand on en était rationnel. d'un sourire léger à se fondre dans les abysses : à saigner, à chaque mot. — What the fuck are you doing you punk - et où en était passé cet inconnu aux paroles incendiaires ? — Come on, who are you trying to lure by becoming all sweet like that ? de ses doigts à s'enfoncer contre ses bras, à venir fixer l'horizon presque muet, quand voix à susurrer à ses oreilles, ô à quel point son monde viendrait à s'en écrouler. et au fond, les têtes voulaient y croire,  à ces fausses paroles prononcées. et peut-être n'était-il pas si horrible que cela, Renji. — I'm going to. 'Cause you're just a fucking bad actor. even tho...the act was making you quite cute. d'un murmure : car les espoirs en étaient déjà morts.


 

 嘘だらけの言葉。

quand de corps bien trop près, regard à fuser, il viendrait à le tuer de ses propres mains, si possible. emmené, de ses pas trop faibles, sans ne savoir où il venait à le tirer, quand les pavés à s'assombrir : venaient à en dessiner secrets et non-dits. d'un corps maltraité, à pourtant résister presque passivement, les gestes trop violents : à en effacer les candeurs entrevues. ((factices)) — You fucking- d'un dos à se cogner contre les murs, poumons à en chanter symphonies essoufflées, il laissa son visage se redresser pour venir le toiser, comme si chaque pas fait ne faisait que le rapprocher un peu plus d'un châtiment certain. — Did you even tried ? Darling, you were pitiful... trying so hard., soufflé d'un léger rictus, comme si tout avait déjà sombré, autour de lui. — I didn't try to hide it. I was just...avoiding a monster like you. car il les connaissait, ceux avides ,, aux pouvoirs grandioses, à vouloir tout détruire sur leur passage.

phalanges à s'enfoncer dans la mâchoire, à en soutenir regard : folie à s'immiscer, de ces couleurs, qu'il détestait à s'en rendre malade. corps à tout refuser, à venir en rejeter chacune des molécules comme aversion complexe. quand les mains tentaient d'en décrocher les corps imposants, de ces mains bien trop fines, pour en défendre quoi que ce soit. et chez Renji, il n'y en avait que les mots, comme arme : à taillader, les égos. — What are you...even so angry for ? Yeah, I'm a mono. But you're worse : you're a probe. à sourire presque trop innocemment, de ces douleurs à l'envahir, quand tout venait à le lâcher. muscles immobiles, tête : à imploser. — And guess what ? Without probes, we wouldn't have any problem. Guess it's your fault, too, for being my complementary part.
quand les rires,
s'en faisaient :
carnages.
épaules à se tenir contre les bétons, à venir s'affaisser quand le corps relâché n'en demandait qu'à s'effondrer sur les sols, les genoux en vrillaient ! de ses regards à se perdre sur les alentours pour en analyser les fuites possibles. oisillon pris au piège, capturé : prêt à se faire étouffer entre les paumes d'un grand dévoreur. et pourtant, rage à se faire éclat d'un visage, arrogance à n'en craindre aucunement les sacrifices demandés, il laissa les mains venir se soutenir contre son mur porteur, à en subir toutes les peines du monde quand les mots en étaient bien trop lointains, à présent. — I can't...hear you. car les maux sifflaient, car les yeux larmoyaient : non pas de crainte, mais de douleur. de ces doigts à en accrocher les cheveux, visage à se relever en face du sien de force : pour craquer finalement. main à partir, à s'élancer de ses maigres forces contre la joue du plus grand par réflexe. éclater les phalanges, de ces haines viscérales, quand à le regarder de son visage fiévreux, il n'en voyait que els limbes à rejoindre. jambe à se soulever, pour venir s'abattre sur une proie facile : entre les siennes, à vouloir le ruiner, comme il venait d'en détruire toutes ses joies. d'une violence désespérée, pour en tuer les chaos internes. — Don't...fucking touch me....with your gross fingers. dégoût expulsé, c'est qu'il en perdait toute raison, à se retrouver face à un monstre plus grand que lui. à bien faire la paire, sans doute.

que chantait l'oisillon :
à ne jamais en faire taire,
les voix.


d'un corps à se laisser emporter sous les tourments, à se rapprocher de celui qui s'en montrait ironie à lui même : car sans moi, tu n'es rien non plus. à en saisir de nouveau son col pour en planter son regard dans le sien. mains à se glisser sur les joues de sa faucheuse, avant d'en esquisser sourire presque fier. c'est qu'il en murmurerait ses dernières paroles ,, celles à se faire vengeresses de tout un monde. douceur d'un ton emplis d'agonies : comme pour en expulser les morts, à venir enrouler ses bras à son cou pour s'élever à son niveau. atteindre les tympans, pour en effectuer les sortilèges.  — I despise you. I despise you so freaking much. So yeah ? What are you going to do with me ? I'm all ears. Not like I would be able to do anything more. After all I'm just...a whore and a mono. provoquer les saluts, quand il en creusait sa propre tombe, Renji. — I don't want your fucking colors. I prefer my...little world, you know, the one... you're so much afraid of. et il se tenait à lui, pour ne pas s'en montrer si faible, à effleurer sa nuque du bout des doigts pour le révulser, avant de le repousser, de s'en laisser tomber au sol, sous les forces disparues. épuisé, à ne pas en perdre ces poisons collés aux langues pour autant. — So what ? You're so much afraid of what I am that you wanna kill me ? Come on. I can't even stay up. You're already a jerk and a fucking disaster. que les corps en étaient effrayés : ô pitié, n'en brise pas les articulations, car il y avait quelque chose d'encore plus effrayant à ses yeux que la mort. — If you wanna hit me go ahead. I'll just ask you to not broke my legs. if you do I might want to kidnap you and murder you actually. But go fast, really, you're not as enternaing as I thought you would be.
abandons signés,
résignés :
de ces visages satisfaits.


u n i c o l o r e

.

Mun Ilkwon pleure

Mun Ilkwon
falling into autumn

Mun Ilkwon
Gif profil :
⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 560651054pills-tablets-prescription-drugs-animated-gif-image-15


⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 6c917ec6ec2d525cdfb3a2a050d213ec34907c02 ⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 05edcd0cd0ebbde4dceec35f6a5b506d9089a429

FINE MAKE ME
YOUR V I L L A I N





tw:

Pseudo :
lauriz(aulait)
Messages :
178
avatar + crédits :
song kang | (av) asachat.
¥¥¥ :
1034
Date d'inscription :
26/03/2023
Âge :
⇢ ˗ˏˋྂ horloge tournante. tic tac retentit. vingt-huit années soutirées. (24/10)
Occupation :
⇢ ˗ˏˋྂ chef d'orchestre de cette infamie. leader aux allures fracassées. anti-mono sous sa coupe. black pills dealeur. pour mieux les étriper.
plumes :

RPS EN COURS

— renji #1 #2
— madee #1



   


arrogant boy
from a little spark may burst a flame


immorality ( noun. )
— the state or quality of being immoral; wickedness.
synonyms : badness, evil, vileness

laideur cabossée.
de ce monde infecté.
qu'adviendra-t-il quand demain ne sera qu'un tas de cendres fumantes. amas de débris transcendés. à ne plus savoir comment respirer. il y aurait tout un monde à ne plus tourner. à s'effondrer. lentement. quand il ne viendrait pas à tendre la main. il les regarderait tous un par un. s'annihiler. se désintégrer. d'un sourire moqueur. rictus à s'esquisser sur les lippes carmins. d'un geste anodin ; à tout retourner. destruction fatale. corruption totale.
il ne le dirait jamais assez,
quand à s'époumoner il en finirait,
par avouer qu'il n'a rien d'un saint.
à toiser dieux de l'olympe. se rire d'eux constamment.
quand la religion ne porterait jamais ses fruits. why would i believe in them, when they left us. à se demander encore pourquoi personne n'ouvrait les yeux sur une réalité fortuite. dieu ne leur viendrait jamais en aide. à se contre carrer que l'homme puisse crever la gueule ouverte.

à se délecter dans les souffrances,
en voir le mal s'imprégner de ses offenses.
chair putréfiée. organes altérés. à se décomposer.
et peut-être que d'un simple regard, les dés s'en verraient jeter. à venir acheminer un destin qui n'a rien d'angélique. quand sur les routes barrées, viendraient s'en jeter les silhouettes sulfureuses. de ces tintements qui en résonneraient dans les airs. à en jouer le jeu, se perdre sous les palabres. de ces doigts à virevoltaient dans les airs. à en faire le malin. comme s'il était en prise de pouvoir. à le faire victime entre ses doigts.
well then, make me.
à en périr s'il ne provoquait pas.
à en mourir s'il ne répondait pas.
il en cherchait là, les attentions les plus funestes. à se demander quand craquerait les derniers instants. à en comprendre les intentions. il faudrait bien plus pour qu'ilkwon se taise. cesse d'importuner les pauvres âmes esseulées. celles qui n'ont jamais rien demandé. celles qui étaient là en plein milieu de son passage. à se faire roi. à se couronner maitre des lieux. quand il en contemplerait les visions s'offrant à lui. à en entrevoir les faiblesses. en jouer de ces cartes princières. à se rire de lui. encore un peu plus. quand les affirmations glissent sur la langue. se délectent à ses tympans. à venir chanter les louanges comme s'il en oubliait les contradictions.
i know i'm handsome, thank you.
à en ignorer aisément les reproches.
à faire en sorte que son arrogance triomphe.
il n'en avait que faire — call me idiot, if that please you.
quand il n'en viendrait jamais à s'écrouler comme lui. à tomber plus bas que terre, face à ces moins que rien qui ne valent que quelques pécules. de ces florilèges qu'il compterait sur le creux de sa paume. combien encore. à se demander si ce n'était pas là sa simple curiosité qui le poussait à poursuivre le vice. à se doper à l'adrénaline. sensation létale venant s'empourprer dans ses veines. à procurer frisson sur l'échine. quand il en écouterait ce qu'il a à dire.
sans jamais réagir.
lasse de tout ce qu'il pouvait dire.
à se rire de lui et de ces mots enchainés.
who said i call you a rat. qu'il pourrait avancer. à le laisser sous-entendre qu'il n'a jamais omis l'idée. mais les circonstances n'étaient que trop intéressantes. à le voir s'égosiller. quand il pensait que ça le ferait prendre la fuite. mais c'était mal le connaître. car il pouvait s'avérer aisément obsédé. à se noyer dans les poisons de ces nuits où les corps n'étaient que perdition. il ne lutterait pas pour ses pulsions. c'était tout donner ou tout prendre. jamais ne rien laisser.

quand lentement,
il s'aventurait sur des pentes glissantes.
à s'accrocher à lui ( se coller ) d'une main poser sur les lèvres. et peut-être qu'il ne cherchait pas qu'à le faire taire. quand les regards étaient comme attirés. à se forcer à ne pas subir les collisions. car c'était lui qui en subirait les conséquences. d'un jeu à se jouer de lui. tourmente d'une passion qui ne ferait que croître. ô il n'était pas prêt à s'élancer dans les précipices. quand de ce pulsant fracassé, il y en aurait battements manqués. à prétexter les inepties ; ( fausse inquiétude ) quand il en jouerait les prix à payer.
à lentement se faire surprendre.
palabre crue mordant la chair impure.
eh i'm trying to be nice here!
mensonge,
mensonge,
mensonge.
il n'essayait aucunement. ne prétendait pas savoir comment. car il voyait clair dans son jeu. à en détecter dans les iris, les intentions altérées. ilkwon n'était jamais accroché au bon. ça se sentait. ça se dessinait sur son visage carbonisé.
i'm not sweet! i'm worried! that's different!
de ces paniques créées pour mieux l'appréhender. mais il n'avait rien de docile. ne se laissait pas prendre. à venir tout tenter. essayer d'en infecter les émotions. à vouloir en contrôler les sentiments.
d'un étouffement non maîtrisé.
d'une surprise inattendue.
did you just said i'm cute?
d'un regard anodin.
à tout bousculer subitement.
ô peut-être était-il plus malin qu'il n'en paraissait pour surprendre le prédateur. ne pas devenir sa proie. ilkwon tentait de se ressaisir. à quitter les lieux pour en garder les calmes apaisants. il faudrait l'emmener quelque part où personne ne les trouveraient.
où il pourrait révéler sa nature.
ne plus se faire prendre au piège de la sorte.
à finalement le lâcher. lâcher prise à son tour.
de ces ingratitudes parsemées. à le voir se rebeller ;
mais il savait. il avait compris depuis le début.
tout ceci n'était qu'une simple mascarade. mise en scène à laquelle il n'avait pas pris. ilkwon avait quelque peu échoué. mais la satisfaction dominait dans son regard. triomphe d'une gloire éclatante.
oh just shut up! i didn't try to act for you. i was acting so no one will come and fuck my plan.
pourtant il n'avait aucun plan.
aucune idée de ce qu'il faisait.
il jouait — avec le feu.
à se battre contre ses propres démons.
et lui l'avait compris. l'avait aperçu, légèrement.
yeah sure! like you knew i was a monster. you doesn't seems better than me.
car ça se voyait. ça se ressentait. quand deux entités endommagées se rencontraient. que leur chemin se faisait éclair pour les mettre sur la même voie sans issue. il n'y aurait aucun résultat positif possible dans cette rencontre. à les faire se mouvoir comme des pions. à le contempler,
fusion maladive.
c'était donc ça qu'il créait.
d'un simple regard échangé.
il en étouffait les auras — désastre naissant.
ça l'amusait. peut-être de trop. que de voir son monde se faire piétiner de la sorte. car d'un simple fracas d'onyx. il en faisait naitre ce color rush. quand d'une telle arme, une telle faiblesse s'agitait.
you don't need to know. but mono are worst than probe. we never asked for what you all do to us!
à en inverser les rôles.
ne plus savoir qui se faisait persécuter.
mono ou probe. c'était la même histoire.
chacun finissait par mourir ; d'une manière ou d'une autre.
destin glissant jusqu'à eux, où la faucheuse finirait par s'abattre sur leur âme. ce n'était pas tant une distinction de grâce. mais lui, en venait à les haïr pour ce qu'ils les poussaient à parfois agir. d'une simple façon à en entrevoir les couleurs. ils pouvaient devenir violents, absurdes. abruptes.
yeah well i've never wanted to be your probe ok? i've never asked to be a probe in the first place. and no wait! but the world would be better without your species? because you're the abnormal one here. not me!
à tenter de s'en convaincre.
s'en défendre comme il peut.
pourtant mono ou probe, quelles différences cela faisait.
ce monde n'était qu'une poussière ardente où le soleil viendrait tout faire brûler. à crépiter trop près de la terre. icare s'en cramerait les ailes. et peut-être que lui finirait par mettre le feu aux siennes. à jouer avec la flamme. la faire danser dans son regard. à s'éloigner pour en faire échouer les rires. avant de s'en rapprocher pour mieux précipiter les fins.
sans s'y attendre.
sans le voir venir.
coup venant à le surprendre. parti d'un seul impact. à se loger dans sa mâchoire. avant qu'un second ne vienne s'encastrer dans l'entrejambe. quand il ne s'attendait à plus rien. qu'un simple silence mort de sa part. à le voir réagir. repousser toujours plus les limites.
de ce sourire monstrueux se dérobant sur les lippes. quand de sa main gauche il vient essuyer le cruor perlant. à mouvoir sa bouche pour voir si les sensations sont revenues.
i didn't know you could hit back.
à laisser rire éclater sous les empyrées.
de cette folie si aisément détectable dans ses iris.
à le laisser faire. se rapprocher. s'accrocher. tenter de ses maigres forces de le détruire à son tour. oh but what can you do? quand il suffirait d'un doigt pour qu'il le repousse. l'oblige à se mettre à genoux. il ferait tout ce qu'il lui susurre. quand les palabres viennent s'agripper aux oreilles. à le laisser faire grandir ce rictus imperceptible. presque trop petit. jusqu'à ce que le croissant de lune placarde son faciès. à se réjouir que de le voir prendre fin dans cette lutte.
ah you're so pathetic! i thought you'd be more fun! it's like you bite hard but actually it doesn't even hurt? there's so many things i could do to you! because i still have all my strength when you... well look at you.
une épave.
voilà ce qu'il était.
un décombres de décadence.
une perdition sans fin qui périrait tôt ou tard.
et ilkwon serait là pour en être témoin — such a waste.
à l'écouter débiter des mots sans sens. à se demander si ce monde en noir et blanc était si attrayant à ses yeux. ou s'il cachait juste que trop bien son jeu. peut-être avait-il peur de celui en couleurs. ou l'addiction l'obligerait à devenir dépendant. et ilkwon en serait le seul détendeur. l'unique à pouvoir lui offrir ce bout de paradis ( empoisonné ) d'un unique jet d'iris.
à se laisser rire.
ne pas répondre à ses attentes.
ce n'était pas la peur qui le maintenait éveillé. c'était la haine. à vouloir tous leur faire payer. le prix que d'avoir pris ce qu'il chérissait le plus.
i may be a jerk! but the disaster here, is definitely you! not me!
à l'observer. s'effondrer. essoufflé. à bout de force.
peut-être en est-il finalement venu à bout. peut-être qu'il n'y a plus rien d'amusant à torturer une âme qui a déjà hissé le drapeau blanc. à se laisser piquer par les curiosités ( encore une fois ) à tenter d'en comprendre. quelles sortes de secrets cache-t-il? pour avoir si peur qu'on touche à ses jambes. qu'on détruise cette partie de son corps. à s'épancher près de lui. de ses jambes accroupies, à laisser onyx balayés la silhouette amoindrie.
so if i broke your legs. you may want to kidnap and kill me? hm that's interesting.
quand d'un block de pierre saisit sur le côté, il vient lentement tapoter contre la peau de ses mollets. à se demander quelle réaction il en tirerait. admirerait-il un visage près à se raviser. obtiendrait-il plate excuses d'une bouche qui ne sait que parjurer. what will you do, if i'm a real monster. quand il pourrait l'anéantir. ici et maintenant.
tout briser.
d'un simple coup.
à faire pivoter le corps.
d'un mouvement de bras s'élançant.
à dessiner les vitesses venimeuses — comme s'il allait frapper.
avant de s'arrêter d'un simple essai. à relâcher la pierre et tapoter l'épaule du perdant. d'un sourire fin qui se trace sur les traits assoupis. lui aussi est fatigué.
there's no fun to play with someone who's already broken. so i won't hit you today.
pourtant cela n'implique pas qu'il n'y aura pas de lendemain.
que les prochaines fois ne seront pas plus doucereuses. peut-être qu'il quémandera autre chose. une intimité plus vorace. un rapprochement plus sulfureux. à déposer délicatesse d'un poison contre l'épiderme. quand la tête se rapproche de l'oreille. à se laisser perdre sous les mots envoûtés.
maybe i should try what you said. you know. having sex with a total stranger. an unknown face like you specifically mentioned.
à se relever.
le laisser là.
pantin. hagard.
quand le souffle se reprend. soupir voguant au travers ses lippes. et s'il le brisait davantage. s'il venait à le détruire ne serais-ce qu'une infime partie de plus. quand il pourrait venir à en prendre l'ascendant. à le forcer à se rappeler.
chaque toucher.
chaque murmure.
comme une punition ultime.
sleep with me!
d'une intonation précise.
bien trop rigoureuse.
il en deviendrait son cauchemar.
l'enfermerait entre ses bras. dans ses draps.
il le forcerait à se rappeler. que ce n'est pas lui qui mène la danse.
car ilkwon a déjà deux coups d'avance. à chaque pas orchestré. il serait juste là. derrière. à lui remémorer la nuit partagée. car il n'aurait d'autre choix. que d'accepter.
if you refuse to do it! i'll break both of your legs. since it seems really important to you. i won't kill you. i'll just let you agonize, here. without anyone being able to help you or save you.
et l'enfer n'est qu'à un pas.
à ne pouvoir le fuir. il devrait se résigner.
you won't win. neither today or the next day.

u n i c o l o r e

Amano Renji aime

Amano Renji
catching fire in summer

Amano Renji
Gif profil :
⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil Ryusei-yokohama

⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 244584aae331f5f60170d93958c43498 ⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 8f150cfaee9194b59e0521664430dcba

❛ 28REASONS
decanting catch me falling for you


tw:

Pseudo :
Hanatsuki
Messages :
1112
avatar + crédits :
Yokohama Ryusei ((@everdosis)) ,, sign ((@cano))
¥¥¥ :
4931
Multicomptes :
Eiri ,, Hotaru
Date d'inscription :
03/11/2022
Âge :
26歳 ,, miracle sur les paumes : à en parsemer les visages d'étoiles.
Occupation :
踊り子 ,, ballerine et étudiant en droit : à en vouer ses passions dans les ombres.
plumes :
Ren/#1 ,, Romi#1 ,, Ilkwon#1 ,, Yuise#1 ,, Hyukjae#1 ,, Minki#1 ,, Anya#1 ,, Ilkwon#2 ,,



   


arrogant boy
from a little spark may burst a flame




et il n'y avait jamais eu plus brûlant ,,
que le soleil.
de sa vivacité, à cramer les regards, faire s'enflammer les peaux : comme si tout n'était plus que dérisoire. et finalement, peut-être en était-il déjà en enfer ! à brûler tout doucement, lui aussi. partir en fumée, à chaque fois que les iris venaient à danser. vacarme insoutenable, prisonnier de ces carrousels qui ne voulaient pas s'arrêter de tourner. à s'accrocher, se tenir, là, comme enfant abandonné : car on ne lui avait pas dit, à quelle heure il faudrait partir. de ces visages à ne jamais le récupérer, à tous les ignorer. qu'importe. car tout est toujours plus sûr, quand on est seul. à être un simple débris, délaissé sur les pavés, Renji. ruines dont les vestiges n'en attiraient aucun regard pur, à s'effriter à chaque jour passant ,, à chaque regard planté dans le sien.
petit monstre ,,
à se cacher :
derrière ses arrogances.
à en avoir fait trou, là où personne ne pourrait venir le récupérer. recroquevillé, tout au fond, à embrasser ses agonies comme seules compagnies. et pourtant, de ces quotidiens blafards, à venir le sortir tout doucement de sa torpeur : agacement ! à naître comme poison. car chaque invitation ne faisait que les rapprocher un peu plus de ces châtiments infernaux. quand de provocations ,, les gestes s'en feraient absents ,, quand les envies d'en faire taire les lippes bien trop bavardes venaient à en passer par l'esprit des moins innocents. de sourires à persister, de vipère à se faufiler autour des cous, pour en étouffer les moindres pulsions irrationnelles. — One day maybe.

à jouer :
les funambules !
ironies
somptueuses.

quand de ses airs grandioses, il venait à bien se moquer de ces couronnes que venaient à lui voler le plus grand. car les prétentions s'en voulaient si peu charmantes ((mensonge)) : à en aimer les assurances ,, comme il venait à le détester lui. de prunelles à se rouler comme si chacune de ses paroles en étaient hérésies ,, il en aurait sur les épaules poids à se faire trop lourd ! jusqu'à ce que ne vienne s'en écrouler un jour ces audaces calomnieuses. quand Renji n'était que disque rayé, épuisé, terni : car peut-être que son monde de gris avait un peu déteint sur lui. à en mélanger les tons de son épiderme, à effacer ceux de ses iris, pour tout en remplacer par une palette chaotique.
à n'être jamais admirée :
bien trop emplie
d'élégances.
et si les idées ne faisaient que se déformer sous les quelques illuminations ,, les doigts voulaient s'en tendre pour en saisir les moindres douceurs à portée de main. à les saisir entre ses doigts, les enlacer comme si sa vie s'en résumait à ces petites lueurs malsaines, avant de les voir éclater contre ses paumes pour en laisser quelques carmins se vider. peinture monochrome : où les écarlates en hantaient les réalités. car de ces gentillesses, à n'y voir qu'étoiles dans les yeux s'éteindre tout doucement : il savait, que tout n'était que trop faux. car Renji en jouait aussi les comédies au quotidien ,, à ne pardonner que ses propres actions, tout en maudissant les autres.

d'impuretés :
Ilkwon en était
au paroxysme.

— You're just...a liar. d'un conte à en avoir provoqué les sourires presque trop discrets, à se transformer en dystopie d'un clignement de cil. what a fool. à avoir cru ,, à ces quelques manèges. et pourtant il savait : que rien n'en était aussi simple. — Worried my ass. de ces murmures presque douloureux : c'est qu'il l'avait bien vu, se moquer de ces figures à se peindre d'horreurs. mots à lui échapper, à ne pas pouvoir s'en empêcher : de vouloir en dominer les minces réalités dans lesquelles il tentait de survivre. — Maybe. épaules à se hausser, ironie collée au visage, de ses doigts à s'enfoncer, comme pour tenter de rester à la surface. car d'un prédateur : il voulait ne pas s'en faire dévorer.
quand chaque respiration ,,
en était :
supplice.
froideur du soleil oublié, il ne brillait plus pour lui, à l'ignorer, comme simple tâche noire qu'il avait toujours été. témérité, ô sombre visage, à dévisager les démons des rues ,, seule arme pour en défendre ces quelques corps aussi précieux qu'il viendrait en idolâtrer figure de plâtre. car il en était statue taillée de marbre. trop fragile, trop impuissant : déjà fissuré. — Only because you don't wanna be seen with a Mono. What a shame. comme de ses propres jugements, à venir se déverser comme derniers verdicts. — I never said... I wasn't a monster.... But you know, I don't hide it, too. Actually it was quite fun...seeing you play. et d'un inconnu, à en dégager funeste présage. oiseau noir, à en perdre ses plumes sur son passage.

c'est que les parfums ,,
en sentaient :
le désastre complet.
and you know,
you're just ,,
as pitiful as I am.

supplice vénéré par certain, renié par d'autres, il n'en serait pas son cataclysme à lui. à l'avoir décidé, comme si les couleurs n'en étaient que maigre souffrance pour lui échapper. c'est qu'il s'en tenait au creux de sa main, près à valser comme poupée de chiffon : à pouvoir en être brûlée, à chaque soupir magnanime.  — Oh come on. Poor little thing. True, we are only psychopaths. You know us so well. You deserve a medal for being so clever. à se moquer de lui, quand à se montrer si grand : il n'en faisait que généralité. et Renji en était peut-être exception, à vouloir s'en arracher les yeux, pour ne pas en garder pigments dans ses iris. et peut-être n'en était-il qu'aberration chromatique, créature imparfaite ô jamais désirée : mais les mots n'en étaient pas si violents, comparés à un quotidien rempli de torpeurs.

— If you wanna hurt my feelings you should do better. 'Cause you might be good with your tongue, but there are even worse than you.

et les corps s'en souvenaient, de ces coups jetés. flèches à le transpercer, comme simple éponyme de toute une vie. c'est qu'il y avait déjà longtemps, que Renji s'en était noyé dans le Styx. simple rêve éveillé en permanence, celui de remonter à la surface, d'y sortir les doigts : comme si quelqu'un pourrait le réveiller de son sommeil. car d'un monstre, il y en avait ceux pire encore, qui régnaient sur les Enfers. d'un courage à le surprendre quand allégresse à se faire tentatrice, coups à s'offrir comme pour en dégager les figures d'en face de la sienne ,, il n'y en avait que salve presque trop légère, pour en épargner les myocardes. visage à se mouvoir, à en fixer haine palpable sur lui, il laissa un léger rictus naître contre ses commissures. dernier espoir presque risible : à se faire dévorer de simples mots.

— What did you think. That I could only use my mouth ? Well that's indeed true. auto-dérision avouée : affirmée. à savoir ce qu'il valait, celui aux paroles dorées. quand de rires provoqués, peut-être venait-il à en paraître encore plus misérable à ses yeux. perdu pour perdu ,, à ne rien regretter. pathétique, à s'accrocher à lui comme si les charmes pouvaient en jouer, idiot, à croire quoi que ce soit pouvant venir de lui. car d'un monstre, il en était ravageur ,, Ilkwon. à piétiner les fleurs, leur arracher les pétales, pour en conserver pourtant les tiges pour les faire renaître ,, et en continuer ainsi les sordides sorts. — I do bite hard, but maybe you're just too much of a masochist to even feel it. Many things ? when all you're doing is talking. bla bla bla ,, arrogance amochée. à tenter d'en rester éloquant ,, quand les mots peinaient à sortir.

what a mess I am.

mots à sonner bien trop vrais, quand carcasse abandonnée contre les sols, à rire lui-même de son sors, il n'en était plus que colonne à s'écrouler. dégradée par le temps, quand autrefois décorées de somptueuses fleurs et enchantements, il venait à mourir sous les chaos. d'addiction qu'il avait toujours réfuté : à toujours avoir réussi à vivre sans. car Renji n'en aimait pas les compagnies ,, même quand les bras à l'enlacer, les peaux en semblaient si précieuses. ou en était-ce simplement parce que les coups en avaient remplacés les affections factices, contre ces épidermes si froids.
à vriller,
relever la tête :
supplier !
sous les menaces.
car les jambes en étaient tout ce qui lui restait. — Don't even try you psycho. qu'il en camoufla ses jambes tremblantes de ses mains bien trop fines. bloc à être saisi, à en avoir le regard à s'écarquiller, il l'observa presque muet, à surveiller chacun de ses gestes, repousser sa main qui de sa pierre en effleurait les peau comme simple détritus. — What are you- quand le corps à se mouvoir rapidement, pivoter : l'effrayer ! à le faire se recroqueviller rapidement pour en clore les yeux bien trop brusquement. et la colère viendrait à tonner ! plus que les peurs. ô je t'en supplie, n'en brise pas mes derniers rêves. de joues à s'humidifier, prestance perdue, sous les ailes prêtes à en être arrachées un peu plus. douleur attendue : à ne jamais pourtant s'en abattre sur le corps. épaule effleurée, défaite avouée ,, ventre à se retourner, de ces nausées à le prendre bien trop soudainement, quand la tête s'en releva simplement pour en lancer maux et miasmes en sa direction. — You're just a fucking asshole. That's all you are.

et les lendemains,
en seraient :
absents.

à se le jurer, qu'il ne viendrait jamais à le recroiser, quand de sa manche, à en essuyer le visage presque trop honteux, il fixa tout doucement le vide avant d'en entendre inepties. hérésies ! fatalités injurieuses ! à le faire alors tout doucement rire nerveusement, de ses épaules à se soulever.  —What's that really. à finalement rire ! presque soulagé ! pourtant écœuré : d'en être tenu comme simple marionnette sans valeur. — You're threating me now ? et tu en étais descendu bien bas, pour succomber aux vices des agonies. à en redresser son dos, tenter de se relever presque passivement sans ne même réussir. à soupirer, abandonner, croiser les bras, comme pour en garder figures presque admirables.  — You're disgusting. No one would even sleep with you. Oh but maybe you're such in need that you must ask a whore. Am I right ? et de son seul talent, à lancer les mots, il viendrait à l'y noyer lui-même, dans les tombes qu'il avait creusé. — I'm going to puke just by seeing your face and you would like me to sleep with you ? You're making me laugh.

et les prix :
en étaient pourtant trop grands ,,
pour refuser.

à succomber, laisser les silences s'imposer, yeux à se fermer légèrement pour en cogner sa tête contre le mur. mâchoire à se claquer, raison à se perdre : ô il n'en avait vraiment que les visages, à s'en faire désirables. abrutis ,, à vouloir le faire taire. main à balayer les airs, il en subirait tous les châtiments du monde si cela voulait dire qu'il pourrait en danser le lendemain. — ...But okay.  murmuré comme sacrifice presque à le faire frissonner, à entrouvrir les paupières, pour en fixer les doigts de celui qui lui faisait face. — Okay. I'll do it. I'll sleep with you. But don't touch my legs. et il viendrait à se haïr lui-même d'en être si faible. — I hope you're good in bed, otherwise I don't even think I'll be able to do anything with someone that grosses me out so much. à avouer : qu'il n'en voulait aucunement en partager moment avec lui. — So, what now ? You're gonna still my number to harass me ? confidence reprise, à venir se pencher pour en tirer son bras vers lui. le faire se retrouver à son niveau, sans en craindre les regards répugnants de couleurs. à lui mettre au creux de sa main son téléphone, comme pour en prévoir les chaos soudains. le devancer, en reprendre un peu contrôles. — Here. But be careful. I don't kiss, and you will have to look away from me. I don't wanna pass out because of your fucking eyes. sourire à se tracer de nouveau, comme provocation : quand les doigts en étaient pourtant bien trop tremblants.
agacés,
énervés :
haineux.
— At least I believe you'll be able to do that. Even tho I feel I won't feel anything since you're such a talkative one. à ne savoir que parler, encore et encore : d'un corps qu'il maîtrisait bien trop. à se servir de ses épaules abaissées pour se soulever debout, à s'appuyer sans lui en demander son avis, avant de se recoller au mur, d'en frotter les jambes paralysées, comme déjà abattu. crédibilités perdues ,, à en être devenu : ce qu'il ne voulait pas.
et ce soir, encore.
il ne dormirait pas :
sous les fantasmes nocturnes.

à vouloir se détruire ,,
comme lui :
l'avait détruit.

 

u n i c o l o r e

.

Mun Ilkwon aime

Mun Ilkwon
falling into autumn

Mun Ilkwon
Gif profil :
⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 560651054pills-tablets-prescription-drugs-animated-gif-image-15


⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 6c917ec6ec2d525cdfb3a2a050d213ec34907c02 ⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 05edcd0cd0ebbde4dceec35f6a5b506d9089a429

FINE MAKE ME
YOUR V I L L A I N





tw:

Pseudo :
lauriz(aulait)
Messages :
178
avatar + crédits :
song kang | (av) asachat.
¥¥¥ :
1034
Date d'inscription :
26/03/2023
Âge :
⇢ ˗ˏˋྂ horloge tournante. tic tac retentit. vingt-huit années soutirées. (24/10)
Occupation :
⇢ ˗ˏˋྂ chef d'orchestre de cette infamie. leader aux allures fracassées. anti-mono sous sa coupe. black pills dealeur. pour mieux les étriper.
plumes :

RPS EN COURS

— renji #1 #2
— madee #1



   


arrogant boy
from a little spark may burst a flame


it's like a black hole. right in the middle of the chest. a dark damn fucking empty pit. no one can fulfill it. nobody will never be able to completed it. because there's nothing good left in him. all the joy, all the smiles. they're all gone. forever. the only thing left — is the madness.

réminiscences oubliées.
à ne plus s'en faire pardonner.
il y a eu les calamités, dépourvues de sens. les instants éphémères. mis en pièces. délaissés dans des boites cadenassées. de ces moments où il pensait encore pouvoir briller. sans jamais en avoir à souffrir. à faire affront à un monde obnubilé par des éclats luisants ; couleurs virus.
de cette haine qui ne s'est jamais calmée.
à n'avoir cessé de gronder en guise de réponse.
elle a tout fait valsé, quand il a renoncé à qui il était — teinte miroir.
cendres éparpillées.
dans les firmaments importunés.
de ces résidus jamais réellement affirmés.
il ne reste rien ; juste du vide creusé. creux des paumes abîmés. à n'avoir espérer qu'en tenir les phalanges encore innocentes. il aurait aimé, ilkwon. que ce monde ne soit pas si vorace. qu'il ne vienne pas tout briser sur son passage. il aurait voulu, que tout s'efface. faire table rase sur un passé empoisonné.
mais les lippes scellées,
ont fini par prononcer les mots infortunés.
à tenter d'en faire figure maudite. diable émérite.
c'est qu'ils l'ont eu. dans sa rage. dans son animosité. dans ses vices. à venir en corrompre battant qui semblait si étincelant.

à en faire rire les vipères. toiser les silhouettes comme s'il suffirait qu'il crame tout d'un simple coup du destin. à le forcer aux provocations. à l'empoissonner de ses palabres. faiblesse inappropriée. quand il en dévoile mince sourire sur les pulpeuses. à l'entendre presque chuchoter contre les siennes. quand il en imaginerait les scénarios catastrophes. one day maybe et à vouloir l'attendre. ce jour du jugement dernier. où il viendra tout engloutir sur son passage. à le forcer à ployer genoux. the world ain't ready for what's next. et lui aussi. sans le savoir. sans réellement y croire.
à ne pas s'attendre au déluge,
qui s'écroulera sur ses épaules.
quand il prétexterait aux inquiétudes. à ne pas prétendre vouloir le voir sombrer. emporter sous les décombres. et peut-être, que dans un ultime souffle. il en griffonnerait vérité déchue. à pourfendre les rires. rictus toxique élogieux glissé sur les lippes. s'en voir percé à jour. il était malin le gamin. à en comprendre les attentes. en connaitre les schémas funèbres. ilkwon ne pouvait rien cacher dans ses manches. cartes faibles sur laquelle l'adversaire venait prendre la main.
ah why can't you pretend i really care. it's annoying.
d'une main à venir froisser la chevelure. il devait trouver meilleur atout. à devoir le faire plier. l'obliger à rendre les armes. il n'avait pas le choix, ilkwon. s'il voulait que ce petit manège devienne suffisant. à le pousser dans ses retranchements. quand des affirmations validées, il pourrait vainement tenter d'en utiliser les charmes.
hm, do you have a crush on me or?
qu'il en rirait presque jaune.
à demi fataliste sous les apothéoses.
d'en avoir haut-le-coeur de ces dégoûts mortifères.
only because he's a fucking mono. and i'm his probe. car il le sait, ilkwon. il se ment à lui-même. car dans une toute autre réalité. il aurait été irrémédiablement attiré vers lui. à vouloir le posséder. l'enfermer entre ses phalanges d'aciers. ne plus jamais le laisser lui échapper. mais le karma se moquait de lui. un peu plus. un peu moins. il n'en sortirait pas indemne.
there's no shame to have for avoiding people like you. you're the plague. and i don't want to be associate with such people. sure you don't hide it huh! yeah never mind, just forget about it!
oublier tout ce qui s'est passé.
ce que les yeux ont pu voir.
ce que les tympans ont pu entendre.
oublier jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien.
même dans les souvenirs. que la mémoire soit reprogrammée. pourtant il voudrait appuyer sur le bouton off pour lui-même. ne plus rien ressentir. ne plus rien avoir à subir. ne pas continuer à voir ce monde se décomposer. il voudrait tout stopper. revenir en arrière. empêcher l'inévitable. avouer chaque péché qu'il a omis d'énoncer.
à s'épancher contre les commissures,
à les faire blasphémer sur sa dépouille.
cruor putride. d'une silhouette cadavérique.
il voudrait que tout ceci ne soit que mascarade. qu'on lui rende son innocence. son insouciance. qu'il ne soit pas conscient de cet univers est tout est moisi jusqu'au plus profond des entrailles. où les limbes n'attendent pas qu'on les remplissent.
à se maitriser,
pour ne pas le martyriser.
il se connait ilkwon. il pourrait faire pire.
si l'envie lui chante. si les coups démangent. tout pourrait partir. si vite.
i do know you well! you're all the same! oh just shut up already! i don't want your medal or whatever. i just know what's your true nature! i'm not blind like half of the population thinking you're nice and won't hurt us just because you can see the colors thanks to us. it's straight the opposite actually.
sang bouillonnant.
à vouloir frapper les chairs.
de ces poings fermement serrés.
flot d'exaspération pour à imploser.
quand le regard est noir, les lèvres pincées. à se demander quand sera le prochain coup bas. à ne plus savoir comment se défendre. que doit-il faire d'autre pour qu'il se taise à jamais. qu'il implore simple pardon pour son existence. car il n'aurait jamais du voir le jour. il n'aurait jamais du être fait ainsi.
i don't fucking give a shit about that! hurting your feelings is not my top priority! i just want to see your dead body on the floor.
à ne plus mentir.
ne plus détourner le regard.
il faudrait qu'il le supplie. le conjure d'arrêter.
de ne pas aller jusqu'au bout des choses.
car ilkwon avait cette fièvre intense. cette folie dévastatrice.
de ces rapprochements forcés. à vouloir en observer onyx perdre pieds. couleurs à affluer dans les pupilles. à faire tourner les têtes. envenimer les esprits. il ne lâcherait pas sa proie. sans imaginer qu'elle puisse se battre en retour. à en être sonné par les coups. à reprendre bien vite contrôle sur une situation qui semble lui échapper.
argh, it's annoying!
car c'est la démence qui s'installe.
à peu à peu venir prendre le pas.
il ne sait pas ce dont il est capable.
il ne connait pas les précédents fracas.
commis sous sa coupe. à n'être qu'hérésie.
à venir en trouver là point faible. quand il le voit alors devenir livide. à en faire couler perles de pluie. à clore les paupières pour ne pas en vivre cauchemar. de son sourire à revenir à l'assaut. à presque ne pas s'en vouloir de le torturer ainsi. le forcer à craindre le pire. car il reste clément, ilkwon. l'épargne. quand il revient sur ses propres palabres. affronte un rejet de sentiments. il le veut. de la pire des manières qu'il soit. à menacer. forcer. obliger jusqu'à ce que le souffle ne soit que simple fil suspendu d'une vie désossée.
haha i thought i was just all talkative and no actions! well at least, you know what i am capable of now!
quand bien même il n'est pas allé au bout des choses. qu'il en est venu à gracier sa misérable existence. la prochaine fois pourrait en être toute différente. car il sait. ce dont il a peur. il connait sa plus grande frayeur. et ça ne pourra que jouer en sa défaveur.
well you can say it like that. yes. what, is there a problem about it? i can still broke your legs, you know.
à en rire.
si fort. si violemment.
à savoir qu'il le dégoûte.
qu'il en fait naitre haine et rage.
c'est tout ce qu'il souhaitait. vouloir être sa némésis.
le forcer à ne jamais l'oublier. quand il voulait en éradiquer sa mémoire.
pourtant les émotions ont changé. elles ont valsé dans les airs comme si de rien n'était. elles sont devenues plus avides. plus téméraires. comme si le destin en dépendait. comme si à présent, il y avait un jeu à la clé.
oh no i'm not in such a need. i do have sex pretty often actually.
à en teinter les rictus,
en faire frémir les fierté.
il n'avait pas besoin de lui.
pourtant, il en laisserait les fantasmes s'égosiller.
juste pour cette fois. rien qu'une nuit pour tourner la page.
but i know i'm disgusting you. so if we do sleep together. you'll never be able to forget me. i'll be stuck in your mind. all day. all night. and you'll just become a mad man and probably kill yourself. and like this, my hands will stays clean.
à en avouer les plans.
esprit des plus tordus.
à en imaginer les fins.
suicide sur le fil — you have to disappear.
sans devoir en coller son sang sale sur ses mains argentées.
et finalement. l'entendre céder. avouer sa défaite. se laisser convaincre. pour de misérables jambes. à être prêt à tout lui donner. ô ilkwon n'en a que satisfaction accrochée au faciès. à avoir entre les paumes, un moyen de le voir se noyer. de le consumer dans sa totalité. à ne pas répondre. simplement acquiescer. d'un signe de la tête. à en rire. encore et encore. ô il est donc bien misérable. si désespéré, qu'il s'offre sans sourciller.
oh you have no idea how good am i! but you'll discover it soon enough.
à se vanter.
se pavaner.
tel le paon faisant sa cour.
à le voir reprendre couleurs. vivacité.
ô et il ne sait pas pourquoi, ça lui plait davantage. ça l'excite. à en écouter les palabres. sourire médiocrement quand il le tire jusqu'à lui. l'oblige à s'agenouiller pour l'observer. de ces regards croisés. à en faire tanguer les palettes dans les iris. du téléphone saisit, à en entrer son contact et s'appeler. d'une sonnerie qui retentit pour en être sur qu'il ne puisse pas s'évader. il est à présent son prisonnier.
hm you won't have to look me in the eyes don't worry. and i don't kiss either. so like this everything's fine. thanks for the number. i'll be sure to send you the address and the date. because you're definitely in no shape to do it today.
et il devra le revoir.
encore et encore.
jusqu'à ce qu'il trépasse.
well we'll see that. who knows maybe you're the talkative one and don't do much in bed. but that would be sad. for a whore, right?
quand il le laisse se relever.
à en faire de même quelque instants après.
et le regarder. trembler. épuisé. maudit.
à laisser soupir s'effriter entre les lippes. se demander ce qu'il pourrait bien faire de lui. l'aider? l'assommer? le ramener chez lui? appeler un taxi? les possibilités étaient infinies. et ses idées n'étaient pas des plus appropriées. quand il savait, qu'il le haïssait. mais son état était à se dégrader. à en avoir amoindri chaque chance d'espoir. quand les jambes n'étaient que feuilles tremblantes. quand le corps n'était que rage flamboyante. il viendrait à s'appuyer contre le mur. d'une cigarette à se sortir de sa poche pour venir la caler entre les lippes.
so, do you have any way to go back home? or are you to mortified to do it by yourself?
d'une ultime aide
à venir lui en offrir sa main.
de son paquet tendu vers lui.
you can make a choice.
c'est à prendre ou à laisser.
mais ilkwon n'est pas dupe. s'il ne part pas maintenant. il ne pourra plus jamais lui échapper.

u n i c o l o r e

Amano Renji aime

Amano Renji
catching fire in summer

Amano Renji
Gif profil :
⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil Ryusei-yokohama

⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 244584aae331f5f60170d93958c43498 ⇢ ˗ˏˋྂ chapter one ( hatred ) | renil 8f150cfaee9194b59e0521664430dcba

❛ 28REASONS
decanting catch me falling for you


tw:

Pseudo :
Hanatsuki
Messages :
1112
avatar + crédits :
Yokohama Ryusei ((@everdosis)) ,, sign ((@cano))
¥¥¥ :
4931
Multicomptes :
Eiri ,, Hotaru
Date d'inscription :
03/11/2022
Âge :
26歳 ,, miracle sur les paumes : à en parsemer les visages d'étoiles.
Occupation :
踊り子 ,, ballerine et étudiant en droit : à en vouer ses passions dans les ombres.
plumes :
Ren/#1 ,, Romi#1 ,, Ilkwon#1 ,, Yuise#1 ,, Hyukjae#1 ,, Minki#1 ,, Anya#1 ,, Ilkwon#2 ,,



   


arrogant boy
from a little spark may burst a flame



Oh I’m drowning
It’s raining all day
I can’t breathe

and death will finally ,,
find him.

car Pandore n'en avait jamais récupéré ses monstres. ceux aux visages effrayants, aux calamités dans les têtes : à vouloir tout faire imploser, un peu comme lui. et sans doute que l'inconnu en était pure création onirique, que de quelques coups contre les joues, il viendrait s'en réveiller finalement de ces cauchemars.
à ne faire ,,
que sombrer :
comme misère.
car venait à se teindre de gris les paumes éventrées, venaient à se colorer de noir les visions qu'il détestait. et tant mieux : car il ne voulait pas vivre de ces luxures affolantes. quand les dieux en gronderaient dans les cieux obligations infernales, à commander son corps telle marionnette. Renji ,, pantin désarticulé à ne plus pouvoir voler, valser, s'enivrer de quelques pas. cassé : depuis l'origine. car si à ses côtés en vivait une chimère perdue, lui n'en était que malédiction vivante ,, à s'abattre pour imploser.

d'un météore ,,
comme désolation.

petite étoile à n'avoir jamais brillé, à n'être que somnambule, dans des rêves de royaumes éteints. et un jour, il viendrait à ne plus jamais se réveiller de ces songes, à vouloir danser jusqu'à s'éteindre, de ses paupières paralysées. de rires empoisonnés, d'innocences à n'avoir jamais existé : et il ne croyait plus en rien Renji, savait lui aussi jouer la comédie, comme si sa vie en était rythmée par les tirades. de regards à se croiser, se percuter, souffles à se heurter, se dissiper ,, figures presque trop proches aux irrésistibles envies primaires : à ne rien offrir, pourtant. de colères, à n'en laisser aucun vices venir en corrompre les raisons. car les mensonges, veulent te détruire.
à ne rien attendre
de ces belles
paroles.
car personne ne s'inquiétait jamais pour lui. à prétendre être fort, pour ne pas en être proie facile ,, simple déguisement, affabulations : à ne pas tenir sous les regards des vipères. — Because you're not convincing enough. à le détester, à vouloir brûler mensonges. honnêtetés recherchées ,, comme simple joyaux à devoir être protégé. lui qui n'en voulait que tout faire brûler, en créer étincelles, de quelques couleurs qu'il n'apercevrait jamais. feux d'artifices, pour en cramer ses iris. — Only in your dreams, maybe. que les sourires s'en faisaient grimaces, de ces violences au cœur des abîmes, pour ne jamais le laisser respirer correctement. il ne noyait, à pourtant s'accrocher à ces obscurs phénomènes comme si les requiem sonnaient déjà au creux des tympans.

d'attirances
mortifères
pour la faucheuse.

car de ces visages il n'en avait que dégoût pour les monstres ,, d'une nébuleuse dans les opales, à scintiller de ces colères presque nécrosées. et les mots s'en faisaient comme condamnations presque trop sûre : quand lui viendrait à sourire de démence presque trop apparentes. — I'm the plague, but you're still near me. I thought you would just go away like the poor probe you are. à chercher, de ces figures épuisées. c'est qu'il voudrait s'écrouler, c'est que les épaules en étaient chaotiques : d'un dos muré dans les douleurs, de chevilles à ne plus jamais le voir se soulever. affame réalité dans laquelle il avait sombré comme tragédie ; meurt les lueurs comme lucioles ,, à s'éclater au sol comme il le faisait si bien. et les sourires viraient aux cramoisis, à avoir laissé les lippes s'empourprer de quelques couleurs, quand de rictus presque défaitistes, s'en faisaient bien trop provocateurs pour sa propre survie.
rit ,, Renji ;
pour en fuir :
les pertes sublimes.
— You don't know me. You know nothing. qu'il s'en faisait sagesse, à juste vouloir le voir partir, loin, loin de tout : loin de lui. quand les fiertés écrasées, les mots à ne plus le blesser ,, ô on le lui avait déjà bien trop dit qu'il n'aurait jamais dû exister ainsi. créature infâme, à juste avoir voulu vivre à sa manière, quand tout venait à l'enchaîner. alors les poisons n'en prendraient pas racine cette fois-ci, car il en avait déjà arraché toutes les fleurs qui pouvaient pousser sur les myocardes pour en garder simplement les ronces aiguisée.  — Yeah yeah, sorry for you but I'm fully alive, and not ready to stop being so fucking annoying. car malgré tout, il n'en était pas si désespéré, avait encore bien trop de choses à faire pour en laisser un imbécile lui en dicter ce qu'il devait faire.

et il comptait bien :
respirer.

d'une vision à en devenir floue, ruelle à en être peut-être tombeau, il y en aurait les impardonnables, ce que lui viendrait pourfendre de quelques protections. peur sacrée dévoilée, à en être menace facile : d'un respect pourtant mort, à ses yeux. car la peur n'en était qu'arme pour contrôler ce qu'on ne parvenait pas à garder sous les doigts. d'un visage décomposé sous les pommettes désabusées, d'un corps presque trop petit sous les amusements apparents. perfidies à leur paroxysme, il en frapperait les divins de venir le détruire ,, les muses de lui en retirer ces mots bien trop bavards. — Capable of violence...but not capable to earn any respect from anyone. car il n'en dompterait jamais les figures : fragiles, mais tranchantes. à savoir jouer, Renji aussi, à ne simplement pas être sur un terrain qui lui en était favorable pour en gagner quoi que ce soit. de ces visages écœurés, sous les rires gras, à venir en laisser regard le toiser comme s'il pourrait lui en lancer sortilège.
à percer des trous ,,
contre sa peau
nécrosées.
de ses phalanges à trembler d'énervement, il voulait en frapper les silhouettes, y faire s'abattre tout ce qu'il ne pouvait pas lui dire. le tuer aussi ,, de quelques espiègleries. et pourtant il n'en avait jamais été doué, Renji ; d'un physique trop menu, d'une voix à porter bien plus loin que l'on ne pouvait le penser. il en lancerait les dés, ceux du hasards, ceux du destin, jouerait à son tour, parierai sur celui qui s'effondrerait le premier. car si les poumons en étaient déjà emplis d'eau à venir en expulser les derniers oxygènes, il en aspirerait celui de ceux qui ne voulaient que l'enfoncer un peu plus.

I'm drowning

but I'm not dead, yet.


d'efforts vains, à se faire courage comme adrénaline, à rire doucement de ces malheurs : car rien ne pouvait en être pire, de toute manière. — And I don't care, it's not like I wanted to know. d'iris fatigués à en trouver la force de se rouler, soupir presque las quand les egos en semblaient démesurés. à croire qu'il n'avait besoin que d'en entendre belles et jolies paroles à son égard pour en retrouver un peu de fiertés horripilantes. — I'll forget you. Because you're disgusting, and I don't keep in mind things that I dislike. So I might just go wash myself, and do it with someone more...enjoyable. vicieux, à n'en cacher aucunement les dépravations ,, de ces châtiments que lui en avait offert les déités. il en était symphonie à lui-même, l'une de celle qui s'envenimait au cours des mouvements, à battre le tempo, changer de mesure : finir par hurler à la mort quand sur les partitions les portées et les notes en venaient à s'effacer.
et comment faire ,,
pour continuer à :
balayer les sols ?
quand les plans en semblaient en être trop avantageux pour celui aux idées chaotiques, à vouloir tout faire exploser ,, en dicter ses propres règles pour en garder quelques unes des pièces de l'échiquier entre ses mains. c'est qu'il viendrait à s'éteindre, dès le soleil levé, à en abandonner les silhouettes qui en auraient salies les corps comme pour lui en rendre quelques uns de ses poisons. et sans doute viendrait-il à lui en crever les yeux ,, sous les chuchotements des étoiles comme seules témoins de leurs actes. à rire, rire et rire, de ces funestes présages, de ces maux presque gravés dans les peaux. — Oh stop being so confident, I'm sure you're not on the level. à en lancer défis comme si sa survie en dépendait, à ne savoir que jouer des mots ,, celui qui 'en était que grande gueule à savoir l'ouvrir sans ne jamais riposter autrement.

échoué,
à s'effriter ,,
pierre par pierre.

de manèges à en attirer les corps, s'éprendre de romances infertiles, quand face à lui roi à s'en brûler les ailes. car à vouloir toucher le soleil, Icare, viendrait à en perdre ses plumes de cire. et c'est lui qui viendrait y approcher les flammes pour venir le mettre à terre. se soulever, se jouer de lui, quand c'en était là les seuls courages qu'il possédait encore. numéro enregistré, sourire presque satisfait, quand tout n'en était que façade bien trop persistante ,, sueur à couler au creux de sa nuque, à en représenter tous les maux qui le tourmentaient, il en récupéra son appareil : à lire les numéros, comme noms interdits. — Very well, then. At least we're on the same page for this. And because of who. car les tortures avaient assez duré. à jouer sur son téléphone pour en changer immédiatement les surnoms donnés à ces simples chiffres, à se venger contre les écrans comme s'il pouvait en ébranler quoi que ce soit.

d'un regard
à se relever :
vers les échos.

sourcil à se hausser, à se montrer si droit : car il y avait bien des choses dont il était capable. comme d'en toucher les astres du bout de ses doigts rien qu'en se mettant sur la pointe de ses pieds ,, ou encore d'en graver constellations sur les peaux qui n'en demandaient qu'affections factices. — Maybe ? Who knows ? Maybe I'll just find it fun to be a real bad shot just for you. quand les paroles en étaient aussi langoureuses que les touchers, à jouer des mots comme il en jouait des corps, brûler les épidermes de quelques chaleurs ((à n'en posséder aucune)). à juste vouloir en écrire histoire dans les regards, en foutre en l'air les rationalités : car il n'en était que simple prostituée de riches, à choisir ses amants pour mieux les assassiner en silence.
se tuer ,,
sous les arts ,,
insolents.
genoux à s'entrechoquer, d'un dos collé contre le mur pour en paraître plus grand, il laissa les figures se poser sur celui aux soupirs persistants. alors qu'il en avait fait de lui peinture décharnée depuis le début de tout. à en avoir gratter les quelques couleurs miraculées, les avoir éclater au sol, pour mieux le piétiner. l'ignorer en était meilleur résultat possible pour celui aux ardeurs merveilleuses. cils à cligner légèrement, à en laisser les visages se déformer sous les demandes presque douloureuses à entendre, il se redressa, croisa ses bras ,, à se faire d'insolences ultimes. — What ? Did I hit you that hard ? You wanna carry me maybe on your back ? qu'il en laissa sourire se former, quand il en retira tout doucement sa veste tachée de cruor divins. — I don't need your fucking help. I'll just walk. mensonges ,, à lui en briser la tête. — So stop pitying me, it doesn't look good on you. And smoke away, I don't wanna smell your cigarette. qu'il en venait à le dévisager sans en croiser son regard, à le haïr de sombres artifices pour en cacher les supplices venimeux. — You've got a car ? d'un déni presque partiel quand les jambes en étaient infernales. c'est qu'il pourrait en appeler conducteur ,, à en être épié de tous ; et il viendrait en subir pire si tout venait à se savoir. — Whatever. Don't follow me. I can't stand seeing your face. I'll just walk by myself. obstiné, à ne pas vouloir s'effondrer devant lui, quand les voix seules en étourdissaient les têtes. et de pas hasardeux, d'une tête à l'assommer, il laissa les doigts en serrer sa veste, à tenter de partir : comme si la lumière du jour pourrait en rassurer les esprits. quand les corps n'en étaient toujours que simple marionnette à se détériorer, souffrir en silence : comme depuis toujours.
mais Renji n'en était que dépouille.
sans âme, sans cœur.
emprisonné : dans des pièges de cristal.

car Ilkwon ,,
en avait capturé :
les libertés déjà bafouées.
à mourir ,,
tracer les pas :
comme pour le voir
disparaître de sa vision.

lui échapper :
s'échapper.


u n i c o l o r e

.

Mun Ilkwon aime

Contenu sponsorisé