lumière épileptique, à se faire démon de minuit. cogne les tympans, au rythme des basses ,, joues rosées par les champagnes, à s'en faire rubis presque délicat. d'une taille toujours bien trop ciselée, à laisser les jambes bouger sur les rythmes perfides ,, envie de vivre : de s'éloigner de tout. quand la tête devait à venir se vider, des poids imposés sur les épaules. cravate délaissée pour en laisser les figures loin des bureaux. et personne ne pourrait deviner, qu'il en était avocat d'un cabinet presque trop réputé. d'un nom à ne pas devoir être sali, il s'en moquait, Renji.
gamin impétueux ,,
à risquer :
réputations.
d'un amusement personnel à se déjouer de ses libertés, simple impression d'arrogance qu'il venait à offrir : quand venaient à supplier ceux dont il avait brisé le cœur de retourner à leurs côtés. d'un visage qui en avait pourfendu la foule pour le faire grimacer, coup d'un soir qui en avait vu plus qu'un simple jeu de draps ,, il pourrait en faire toute une liste, Renji, de ceux qu'il avait laissé s'apitoyer dans la chaleur de ces lits vides au réveil. à trouver ces attachements presque trop dérisoires, quand l'affection n'en était qu'illusoire. car ces obsessions n'en étaient pas de l'amour.

de soupirs, à repousser tout doucement les épaules pour en quitter la piste de danse, main à passer entre ses mèches pour en faire passer les agacements de ces soirées presque paisibles : on l'avait suivi, pourtant ! là où il aurait pensé pouvoir être un peu tranquille, à l'abris des regards. extérieur rejoint, pour en subir les airs frais contre les peaux, il y avait eu les pas derrière lui à se faire rapides. et ça lui apprendra, à jouer avec les cœurs. quand les bras s'en étaient entichés de sa fine taille pour venir le supplier du regard, à finalement en écraser le pied délicatement pour venir en saisir un.e inconnu.e dans la foule. d'une foutaise, à simplement vouloir en jouer comédie sur le moment. à tenter de se débarrasser, de ceux qui y voyaient possibilité de le conquérir. — désolé, mais je suis déjà accompagné ce soir, n'est-ce pas ? c'est qu'il n'en avait laissé aucun choix, à celle.celui qu'il avait attrapé, par le bras pour y glisser ses doigts autour de ses épaules. sourire vil ,, mépris constant : il n'y avait que le visage, pour en satisfaire les regards. d'un charme à se faire poison, d'un caractère à se faire piètre romantique. et ce soir, il avait de décidé de jouer sur scène.
à espérer ,,
que l'acteur choisi :
coopérerait aussi.

à chercher le diable, parmi la foule, fuir les regards trop obstinés, de ces quelques risibles collés au visage. Renji, fauteur de troubles, à en agacer tant de personnes pour les en rendre capables de lui sauter au cou. d'un corps à trancher entre les figures dansantes, à soupirer ,, poser les pieds à l'extérieur pour en fuir les agitations : il y en avait les têtes reconnues pourtant. alors d'un manège presque trop connu, à venir tenter d'en semer celui qui ne semblait pas l'avoir oublié, il agrippa délicatement le bras de son ami ((Hyuk Jae)) à servir de faux-semblants.
d'un sourire vipère ,,
à briller :
d'espiègleries.
car personne n'en révèlerait leur petit mensonge. comédie charmante, à en faire piège tout autour du jeune homme sans pour autant vouloir l'achever de ces comédies affligeantes pour lui. — Oui...Il veut pas comprendre que j'ai déjà quelqu'un d'autre... d'une fausse moue, à s'en faire presque bien trop convainquant, il se rapprocha tout doucement, laissant le bras du plus grand l'envelopper d'un sourire presque fier. — Aller...Tu veux pas nous laisser ? On a d'autres trucs à faire nous. d'une main à s'élever, à lancer un regard presque noir à la figure qui n'avait fait qu'essayé de l'attraper, il glissa sa paume autour de la nuque de Hyuk Jae comme pour l'attirer à lui.

d'un spectacle :
à offrir au monde.

et Renji en était d'une finesse bien élégante. d'un corps fin, d'une taille marquée, quand d'un sors son ami viendrait sans doute le maudire pendant quelques jours de ce à qu'il s'apprêtait à faire. à le faire s'abaisser pour en déposer baiser presque trop virtuose, à jouer de la situation : quand il savait pertinemment bien embrasser. et ça ne le dérangeait pas personnellement, lui, de venir se jeter sur les lèvres de n'importe qui. d'un ami à se faire bien trop crédible, quand à s'écarter de son visage il tapota tout doucement son épaule presque pour s'excuser avec un grand sourire. d'une victime qui était partie en s'énervant, à les voir jouer de quelques étreintes et baisers bien trop factices. — C'est pas trop tôt. Je te remercie, il voulait pas me lâcher purée. qu'il soupira, de ses doigts à passer entre ses mèches noiraudes sans ne même s'offusquer de cette attaque soudaine. car Renji n'en faisait qu'à sa tête, sans réellement se préoccuper de ce qu'il se passait tout autour de lui.