et dans les nuits ,,
viennent à fleurir :
les bourgeons.
d'une illégalité ! à jouer avec les couvres feu, Renji. chemin du retour, comme si valser n'en avait pas été suffisant ,, les rues en semblent si solitaires : à en être seule silhouette à dénoter. heure bientôt limite, quand retentirait le gong des temps fatidiques. le monde s'était détraqué ! chasse ouverte ,, à poursuivre ceux aux regards nécrosés ; d'un monochrome si délicat : ô jamais compris. et Renji, lui, se moquait des dangers ! à rire aux nez de ceux à se croire plus grands que lui, quand dans son petit monde, il en était unique roi à pouvoir en dicter le jeu. de pas à se faire délicats, contre les pavés, les têtes en étaient si hautes ! à n'avoir jamais honte, de ces yeux blasphèmes.

bruits ,,
et voix :
à se hausser.

car tout le monde en était cible, quand les couvres feux à se rapprocher, justiciers factices en venaient à tenter d'en semer leurs lois. violence inouïe, à soupirer de ces soirées gâchées par leur bouquant, c'était peu fier, pourtant, que la cadence s'en accéléra pour ne pas en croiser leur chemin. ventre éclaté : et si on le remarquait. c'est qu'il ne savait pas se taire, sous les provocations, Renji ! à préférer fuir que de devoir en dire mots de trop face à ceux armés de quelques battes et outils en tout genre. parfums élégants qui en recouvraient les nuques à se confondre dans les angoisses.

cache-toi ,,
avant qu'ils ne te voient.

de ruelles à joncher les rues principales, il en aperçu figure au loin : toute aussi seule que lui ! à se diriger dans le sens inverse. et pour eux, il en valait s'en doute mieux ne pas se faire prendre : car lui en perdrait ses ailes, s'il venait à se savoir que les yeux n'en étaient pas différents de ceux meurtriers apparaissant dans les journaux. d'une main à venir en saisir le bras, pour attirer l'inconnu.e avec lui dans les pénombres d'une rue, il posa son indexe contre ses propres lèvres, comme pour lui dire d'en garder le silence. — s'ils nous trouvent, on sera mal. murmuré presque trop stressé, quand les fiertés n'en prenaient que bien trop rarement des coups. car les gangs en avaient décidés que la ville en serait leur terrain de jeu, pour en assouvir leurs châtiments. à ne pas craindre, pour celui.celle qu'il avait décidé de cacher avec lui : à avoir peur, au contraire, qu'on ne vienne le dénoncer, au beau milieu de la nuit.