((ootd)) Le regard se pose naturellement sur son reflet à l'intérieur du véhicule qui l'emmène sur le lieu du rendez-vous, à observer les teintes monochromes de sa tenue, en essayant de se souvenir de ce que sa grande sœur lui avait dis dessus. Elle était vêtue de rose et de blanc, ce qui ressortait pourtant en du gris et blanc à ses yeux, à lui imposer la pensée que Moon pourrait peut-être s'être moquée d'elle pour que son rendez-vous se passe mal, comme souvent. Il faut dire que sa grande sœur n'appréciait pas l'idée que Madee se perde entre les bras des premières personnes venues. Cela était pourtant différent, aujourd'hui. Car si elle venait à se perdre entre les bras de son partenaire du jour, cela serait simplement pour danser et, peut-être, s'embrasser si tout cela se passe bien. Mais la jeune femme voulait que tout se déroule correctement de façon à ce qu'elle puisse se dire que c'était peut-être enfin celui qu'elle attendait. Un sac tenue fermement entre les mains, contenant quelques boissons fraiches mais aussi de la nourriture, elle ne pense qu'à la bonne journée qu'elle doit passer aujourd'hui.

Finissant par arriver aux abords du parc, elle observe quelques peu autour d'elle, habituée à se rendre ici quand les cerisiers sont en fleurs et que ces dernières peuplent le sol de milliers de teintes agréables à voir, accompagnées d'une odeur exquise. Elle ne s'attarde pourtant pas sur ce détail, le téléphone vibrant pour lui rappeler que l'heure du rendez-vous approchait à grand pas. Alors, le sourire aux lèvres, elle s'avance à travers les allées du parc, à finalement trouver celui qu'elle doit rejoindre. ⎨Salut !⎬ Elle s'approche encore un peu, assez pour pouvoir lui faire face. ⎨Je ne t'aies pas trop fais attendre, j'espère ?⎬ L'inquiétude lisible sur le visage, elle le détaille discrètement du regard avant de poser le sac à ses pieds.

((ootd)) et dans le regard des autres ,, astre à briller, Renji : il attirait les prunelles, venaient à tout briser ! chaos à résonner en lui comme espièglerie à se faire piégeuse. car de ses figures radieuses aux élégances attirantes : il n'en était que monstre endormi à attendre de pouvoir tout détruire.
à imposer :
ces quelques jeux ,,
sordides.
alors comme une journée un peu banale, à s'être préparé pour venir en donner ces illusions de romances ,, tout n'était qu'éphémère, avec lui. avenir inutile, quand sans ne jamais l'avouer, sans ne jamais le dire ,, il en préférait en briser les coeurs plutôt que de s'attacher. simple amusement pour les charnels, à l'avoir invité comme passe-temps d'une journée ,, ô il en était fréquentation à éviter ! de ces regards trop souvent dédaigneux.

repas préparés, à avoir emporter divers encas à partager, c'est les pieds à effleurer les chemins de graviers qui l'en menèrent aux lieux de rendez-vous. figure recherchée ,, comme proie d'aujourd'hui ! eros en laisserait les charmes fonctionner, juste pour en offrir murages insupportables. et d'une silhouette, au loin, à s'approcher : sourire revêtit contre ses lippes ! il s'approcha à son tour ! pour en commencer les théâtres futiles. — Je viens juste d'arriver alors non, ne t'en fais pas. regard pétillant ! quand à savoir en manipuler ses gestes : il s'en ferait prince avant d'en être cauchemar.
comme :
habitude !
à se répéter.
— On va s'installer ? Y'a un endroit un peu à l'ombre, là bas. Y'a des fleurs aussi. à lui prendre son sac avant de lui en tendre son bras libre comme pour l'inviter à le saisir ! simple politesse pour celui qui en côtoyait ces univers où les apparences en étaient plus importantes que tout. — Tu es ravissante d'ailleurs. J'aurai sans doute dû faire plus d'effort. qu'il murmura presque d'une voix légère ! simple remarque pour en détendre sa compagnie, comme si les compliments pourraient en effacer tous les maux du monde. à n'y voir aucune couleur, simples nuances de gris ici et là ! à faire pourtant comme si de rien n'était, bien qu'il pourrait venir à crier : qu'il n'y voyait rien. honte absente ! à en être bien trop fier. — J'espère que l'endroit te convient ? J'me suis dit que ça serait plus agréable en plein air. et dans son sac ,, d'une nappe préparée ; à n'attendre que celle aux allures de muse en vienne à le suivre délicatement !

((ootd)) C'est une boule au ventre que la jeune femme s'avance dans les allées, à espérer pouvoir enfin trouver celui qui fera battre son cœur même si ce n'est que pour quelques heures, ou pour toute la vie. Elle espère toujours, la jeune femme. Elle espère toujours parce que c'est si beau, d'être aimé, quand on l'est. À s'approcher de lui, le sourire plus timide quand elle le salue et s'excuse presque d'un retard imaginaire quand elle est pourtant en avance. ⎨Ouf, alors, j'avais peur !⎬ Si le sac entre ses mains disparaît, c'est seulement pour qu'elle puisse attraper le bras de Renji, le suivant avec tendresse. ⎨Tu as pensé à tout, alors ?⎬ À se faire princesse parmi les fleurs qui brillent presque autant qu'elle.

Les joues se teintent d'une légère couleur rosée quand elle se fait complimenter par son compagnon du jour, à lui sourire un peu plus. ⎨Et tu es magnifique, toi aussi. Alors ne t'efforce pas à faire des efforts, d'accord ?⎬ Parce qu'elle s'en moque bien, l'étudiante, qu'il soit habillé ainsi ou autrement, quand elle se plaît déjà à ses côtés. Le regard se pose sur ce qu'il se passe autour d'eux, à observer les diverses teintes de gris avant de hocher la tête, à faire semblant. ⎨C'est magnifique, tu as choisi un endroit qui est parfait, tu sais ?⎬ L'aidant à installer la nappe, elle vient s'installer dessus, récupérant son propre sac pour en sortir les boissons sélectionnées avec soin. ⎨J'espère que tu n'as pas d'allergies ?⎬ Quand les sandwichs et sucreries sont déjà prêtes.

((ootd)) et brille tout en haut un astre bien particulier ,, à faire briller les regards, amuser les galeries. douceur d'été qui en faisaient scintiller tout doucement les visages : car il valait mieux devenir acteur sous le soleil, plutôt que sous les pluies. d'un rien qui ne viendrait le tromper ,, il en était fausses-honnêtetés ! à faire rêver comme si les romances venaient à l'inspirer quand à minuit, les charmes venaient à se briser comme maléfices.

desquels il faut :
se réveiller.

sourire élégant ,, presque charmeur ; c'en étaient pourtant des politesses réelles, qu'il venait à lui offrir. car élevé comme ça ,, à n'en avoir que la langue bien trop pendue : pour tout détruire. — Evidemment, après tout je voulais que la journée se passe bien., qu'il la regarda délicatement, commissures à s'élever de nouveau. petite princesse ,, à vivre là ,, pour une journée sublimement nécrosée. — Merci à toi. Mais je fais le minimum, là. à en laisser alors en suspens : que le meilleur était à venir !
quand d'un lieu :
il en avait choisi ,,
floraisons.
à tout doucement en installer leur petit endroit ,, nappe étalée de quelques aides à quelques paroles : il s'en sentait presque ravi ! que les lieux plaisent. — Si tu trouves que c'est beau ici...Alors j'ai tout gagné. à en rejoindre ses côtés ! observer tout doucement ce qu'elle venait à sortir : comme presque étonné, de toutes ces attentions offertes. — Je mange de tout...Et vu tout que tu as amené... à en sortir ses quelques préparations ! sans doute trop rustique, sans doute un peu trop simples : à s'émerveiller, sur les travaux de la jeune femme. — J'vois que toi aussi t'es venue bien préparée. Tout a l'air...vraiment bon ! qu'il s'en amusa à son tour ! car tout en semblait trop idyllique, à son goût. — Ah ! J'allais oublier. et de ses fins doigts, à en sortir de ses propres affaires une toute petite enceinte : il la déposa en face d'eux, comme promesse de valses si légères. — J'ai pas oublié, que je te devais une danse. de ce seul instant qu'il viendrait lui offrir ! où les regards en seraient réels et sincères.

vicieux :
à en resserrer
ses poisons.

— Je peux goûter...? C'est toi qui a tout préparé ? et peut-être y trouvait-il là un peu de douceur ,, à ne pas en laisser sortir d'entre ses lèvres les carnages quotidiens. —Je peux aussi te servir à boire ? J'ai ramené une bouteille, mais tout ce que tu as choisis à l'air excellent. d'un champagne qu'il avait choisi ! à pourtant laisser le regard balayer toutes les collations du monde : de banalités si soudaines, à venir en cacher derrière ses sourires trop doux ô combien tout venait déjà à l'agacer. de ces politesses, à ces subterfuges. premier instant ,, à n'en délivrer que songes trop irréalistes.