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spark ((ft. Katashi))
Amano Renji
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— spark ft.  @Gotō Katashi


et voltigent quelques étincelles ! là, sous les regards, quand tout en semblait presque dérisoire. il y avait eu quelques verres, un peu trop pour pouvoir les compter. de ces bouteilles qui avaient afflué comme si les chiffres n'en étaient que factices. virgules, zéros, à s'aligner, à s'étendre, à devoir être payés comme s'il n'y avait que lui qui en possédait les cartes. gamin à s'en moquer : il sait, qu'il ne sert qu'à cela. à avoir vidé la bouteille seul, à avoir été lâché sur les routes. ô malédiction de ceux qui ne savaient pas comment sortir de ces torpeurs ,, lui ne faisait que valser, sur ces bouts de trottoirs ,, à être sorti seul, d'entre les salles remplies de rires et d'effluves à enivrer les corps.
comme un enfant :
à n'être ,,
que distraction.

pas à se faufiler contre les bitumes, à frapper le sol de tout son poids quand il en était pourtant d'une légèreté déconcertante ; il naviguait entre les gens et les bâtiments, de sa silhouette à ne faire que peiner à tenir debout. pourtant Renji en était maîtrisé ,, quand il le souhaitait. à n'être là que tâche dans le si beau portrait familial qui en ornait les entrées de là où tous habitaient. mais il en préférait être différent ,, lui. à avoir imposé ses passions ! de ces danses aux classiques beautés fébriles, à voltiger là où les regards se posaient sur lui. il était désagréable, bien trop sûrement, à n'en faire qu'à sa tête, à n'écouter personne : car seul son propre avis importait, à ses yeux. égo bien trop fort ,, à pourtant être si fragile : car il se sait dément de ces passions.

regards à se plisser vers les ruelles bruyantes, à mettre ses mains sur ses hanches quand d'une figure lointaine aperçue et confondue, il en imposa là familiarités ! à faire comme s'ils se connaissaient déjà quand en réalité il ne s'agissait que d'un parfait inconnu. "Ooh ! Mais t'es là ! Pourquoi t'es parti sans moi hein ?", qu'il tapota l'épaule du jeune homme, à venir en faire une moue de ses joues presque trop rouges. "C'est pas gentil d'être parti comme ça. La prochaine fois je vous ferai bouffer toutes les bouteilles et vous les ferait payer." d'un nez à se froncer ! à n'en être aucunement effrayant, quand Renji en avait perdu toute allure, de ces boissons qui ne faisait que le faire délirer. "Vous êtes vraiment que des emmerdeurs...Heureusement je t'ai rattrapé !" et d'un sourire à se faire presque doux, il en agrippa le bras de celui qui lui faisait face : sans ne rien chercher à comprendre !
persuadé :
que ce qu'il voyait
en étaient réalités.

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— spark ft. @Amano Renji


« Tu sais où il est, pas vrai ? demanda Katashi, la pointe de sa lame sur la joue de l’homme accolé devant lui. Gotō. Ça devrait te rafraîchir la mémoire, connard. »

Malgré ses menaces, il ne pouvait pas appuyer sur la peau, ne devant pas marqué celui qu’il menaçait. Il y avait des règles à respecter, une loyauté à conserver et Katashi la respectait comme le parfait petit soldat qu’ils avaient formé de lui. Il n’y dérogeait que pour son enquête, bien personnelle qu’il se gardait de raconter à d’autres du clan. Une vengeance douloureuse, qui allait sans doute lui coûter des phalanges. Mais qu’est-ce que quelques doigts de perdus pour voir agonir dans son propre sang son père ? Il vit l’homme déglutir devant lui, ouvrant la bouche en cherchant ses mots. Lui aussi avait une allure de toxico, de ceux qui se shoot aux médicaments pour le plaisir de voir des couleurs. C’était pathétique. Des sous-individus qui ne pouvaient même pas fonctionner dans la société. Le jeune homme rapprocha son visage de celui de l’autre, menaçant pour faire genre, de son regard rempli du venin de son tatouage de serpent.

Oui, il le connaissait. Un homme qui traînait parfois dans les quartiers sud de la ville. Il avait un boulot, et puis il venait parfois demander des pilules, regardant à peine la qualité. C’était un homme d’âge moyen. L’âge du père de Katashi. « Mais ça fait plusieurs semaines qu’il n’est pas venu. Il doit avoir trouver autre chose. » Evidemment. Alors qu’il se rapprochait de mettre la main sur le bonhomme, ce dernier se dérobait comme autant de fumée entre ses mains. Relâchant finalement l’homme, il le jugea un instant, tentant de détecter un mensonge dans son attitude. Impossible à dire en vérité, on lui avait appris très vite à ne rien savoir, à ne rien entendre. « Oublie et baisse la tête, gamin. » Avec une main à l’arrière du crâne pour l’obliger à ne pas regarder devant lui. Le respect, l’honneur, les règles. Une vie qu’il n’avait pas connue depuis la mort de sa mère. Même s’il voulait essayer de savoir ce qui pouvait bien se passer dans la tête de l’autre, cela lui était bien impossible. Pas assez sensible, pas assez attentif.

Mais une voix proche le fit réagir aussitôt. Rangeant son arme en la repliant dans la poche de sa veste, il tourna le visage vers un jeune homme, clairement saoule, qui se rapprochait. Il devait clairement le confondre avec un de ses amis. Katashi eut à peine le temps de regarder sur le côté, que son informateur avait pris ses jambes à son cou. Sauvé par le gong, comme on dit. Le poing fermé autour de l’objet dans sa poche, il tenta de légèrement s’écarter du fêtard, haussant un sourcil dans sa direction. Okay, c’est quoi ce dingue ? En vérité, il n’était pas vraiment touché par les injonctions ; elles n’étaient pas dans sa direction. Même s’il fronça fortement des sourcils en se faisant traîter d’emmerdeurs. Ça vraiment… Il n'avait rien fait, il se faisait insulter par un mec complètement bourré. (Il n’avait rien fait… Il venait quand même de menacer un junki avec son couteau, mais ça n’avait aucun rapport avec le très clairement homme en état d’ébriété accroché à lui.) Ses yeux se baissèrent sur la main de l’inconnu agrippant son bras. C’est qu’il était tactile en plus.

« Félicitation, dit-il, la voix éteinte. Tu m’as eu. Tu peux me lâcher maintenant. »

Si on oubliait qu’il était entré dans l’espace personnel de Katashi, qu’il avait fait fuir sa source d’informations principales, qu’il parlait avec la lourdeur d’un alcoolique, il était plutôt mignon, le saoulard. Katashi garda son regard sur lui, ne tentant aucun mouvement ou sourire.

« Je crois pas être la personne que tu cherches, mon gars. » lâcha-t-il, toujours aussi chaleureux.

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— spark ft.  @Gotō Katashi


rues à danser bien plus que lui ne le faisait ,, il y avait certaines scènes de cette ville que des yeux de simples passants ne devaient pas apercevoir. car ô tout n'était pas si merveilleux ,, ici ! d'un air marin qui pouvait en empoisonner les ruelles ; de quelques douceurs voltigeant là où les maux venaient à se faire entendre. mais Renji en était sans doute image un peu trop parfaite qu'on voulait lui donner : quand en dehors des familles il n'en était que calamité. à fuir les responsabilités ,, à simplement vouloir en cracher les lois et codes sur ceux qui voulaient lui en imposer des règles. quand dehors ,, il n'avait pas besoin de se cacher.
de ces visages :
à s'étouffer ,,
de liqueurs.

et il en avait attrapé la première personne qu'il avait trouvée ! l'une de celle qui ne voulait rien avoir à faire avec quelqu'un qui n'en discernait même plus les silhouette. d'un nez légèrement rouge ,, de prunelles à étinceler tout doucement, il en tirait légèrement sur le bras de celui plus grand ! quand les alentours en semblaient si calmes, plus personne à l'horizon, si ce n'était celui qu'il avait décidé de coller comme s'il n'y avait que lui pour le décider. yeux à se plisser ,, sous la voix de l'inconnu, à en faire moue boudeuse ! d'avoir cette impression de rester toujours derrière tout le monde, ô il ne lâcherait pas le morceau si facilement ! car après tout, ce n'était pas lui, qui était pris au piège. "Non. Car si je te lâche tu vas courir ailleurs ! Je suis pas bête.", de son nez à se froncer, mèches à lui tomber devant les yeux, tandis qu'il posa sa main libre contre sa hanche pour s'en donner des airs plus autoritaires.

à ne tromper :
personne.

cils à se cligner légèrement, à venir lui donner un léger coup contre le bras, il soupira alors, humour qu'il ne connaissait pas : même saoul. c'est que Renji ne était bien trop complexe et désagréable, pour en comprendre les subtilités autres que le sarcasme. "Mais bien sûr ! Très drôle ! Ecoute, je m'en fiche. En plus t'es hyper mal caché ! Regarde y'a personne...." qu'il s'écarta tout doucement en montrant la ruelle du doigt, avant d'en écarter les bras comme pour en montrer le vide présent. "Alors dépêche. Faut qu'on rentre maintenant. De toute manière je sais même pas où sont les autres...! Tu sais toi ?", qu'il se retourna vers lui en se frottant légèrement le visage. "Dans tous les cas...il gèle, alors vient. Si je me fais chopper mon daron va encore m'en foutre une." et d'une main, à tirer sur le bras du jeune homme pour l'entraîner dans la rue, il se croyait tout permis : à ne même pas différencier les visages !

quand on l'avait laissé :
derrière.

pas à se faire gracieux ; presque dansés contre les pavés ! car dans cet univers, c'en était sûrement la seule chose de correcte qu'il savait faire. quand contre les planchers, il y en avait toujours mélodie délicate à résonner ,, à se répandre dans les  tympans : comme simple chose qui pouvait en guérir les maux. pourtant ici ,, à en entraîner pur inconnu pour simplement chaparder et se faufiler dans l'ombre ; il n'y aurait que l'air frais contre les joues, que le vent à souffler comme malédiction : là où personne ne pouvait le trouver.

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— spark ft. @Amano Renji


U ne des règles les plus importantes du clan était qu’il ne fallait pas offenser les gens civils, les bonnes personnes, ceux que le crime n’a pas touché. Katashi y tenait, à ce règlement, plus encore que ses propres envies. Ce groupe l'avait sauvé d’une vie de misère, d’un enfer dans les rues à errer pour toujours sans but. Il avait un rôle maintenant, une position assez importante pour qu’il soit remarqué. Et même s’il agissait encore sous le coup de son impulsivité gagner à traîner entre les enfants sans cervelles des quartiers pauvres d’Osaka. Cela lui avait valu quelques coups sur la gueule dans les salles des jeunes recrues, mais il s’en était sorti. Et pour toutes ses raisons, il ne fit que lever un sourcil en direction du jeune saoulard qui le collait. Il parlait d’une manière incompréhensible, comme si Katashi était censé être dans l’histoire depuis longtemps. Malheureusement, il venait de le rencontrer. Cette ironie arracha un petit sourire au visage fermé du yakuza, qui relâcha sa main autour de son couteau dans sa poche. Son regard suivit ses mouvements de mains. Effectivement, il était très mal camouflé pour ses yeux. Ses épaules se détendirent alors qu’il secouait la tête, remuant sa frange devant ses yeux.

« J’sais pas où sont tes potes, mec, tenta-t-il, croyant qu’il allait peut-être tilter qu’il n’était pas le bon. Et tu devrais vraiment songer à refaire ton réseau de relation… »

Même si ses frères pouvaient être des pourritures imbéciles qui ne suivaient que les règles, un frère est un frère et jamais Katashi ne leur tournera le dos. Enfin, sauf pour une raison bien précise, mais quelle importance de le rappeler ? Il n’avait que ça en tête depuis son entrée chez les Kazunari. Pourtant, il ne rechigna pas lorsque l’autre l’entraîna par le bras, gardant pourtant fermement ses mains dans les poches de son vieux blouson. Si on le voyait en sa compagnie, le pauvre gamin risquait beaucoup et lui aussi. Mais quelle importance, il n’était pas celui qu’il cherchait et une fois à la lumière artificielle, il se rendra bien compte que Katashi était la silhouette d’un inconnu. La remarque sur son père l’avait aussi adoucie. Tous les pères japonais avaient des problèmes avec leur garçon ou ça se passait comment ? Il devait y avoir des traumatismes profonds ancrés dans l’histoire pour qu’ils en arrivent tous à ce point-là. Mais ce n’était pas Katashi qui allait creuser. Non, lui, il voulait l'éradiquer à la base, son problème. C’était le plus simple.

Une fois à découvert, il se tourna vers l’autre, l’obligeant à le regarder en retour. Il se sentait un peu con à se faire tenir le bras par un mec dans la rue comme ça. Avec une brusquerie maladroite, il se détacha de sa prise, s’arrêtant par la même occasion. Il devait être bien amoché, le gamin, pour ne pas se rendre compte qu’il tenait la jaquette à un parfait inconnu. Et s’il savait qu’en plus, il était dangereux et faisait partie d’un des gangs les plus influents de la ville, la musique serait différente. Le respect que les Yakuza entretenaient à l’époque existait toujours, dans les tréfonds des mémoires, avant que le gouvernement ne renverse le rôle et les désacralise. Le terme pourtant, apportait encore du rêve dans la population et on voyait très bien les tatouages majestueux prendre place sur les épidermes. Celui de Katashi n’était pas encore finalisé. Mais bientôt, il passera de nouveau sous l'aiguille, pour ne nombreuses heures à teindre les écailles de son serpent.  

« Par contre mec, sérieux, je suis pas ton pote. Tu m’emmènes avec toi, mais on s’connait pas. Alors, j’veux bien attendre que tu dessaoules, mais faut pas abuser. »

Il l’écarta légèrement de lui, ne cherchant absolument pas à le blesser d’une quelque manière que ce soit. Il était juste trop prêt de lui et ça pouvait paraître bizarre pour des yeux extérieurs. Le danger était partout pour lui, alors autant éviter le plus possible les dégâts. Gotō ignorait tout de l’autre et pour tout avouer, il n’était pas non plus très enclin à apprendre à le connaître. Se rapprocher de quelqu’un d’extérieur à l’organisation n’était jamais bon signe. En plus, il n’était pas le type de mec à pouvoir avoir des amis. Pas qu’il en est jamais voulu. La solitude lui sciait à merveille, lui permettant de se déployer dans sa vengeance à son bon vouloir.

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à s'enfuir là où personne ne le cherchait ,, à se cacher, pour ne pas être trouvé. il savait courir, le japonais. loin, toujours plus loin ; jamais en dessous des lumières. ô non ,, les lueurs n'en n'illuminaient toujours que les scènes ! celles où les parquets se faisaient discrets, là où les corps en étaient œuvres d'art à part entières. et elles scintillaient, sous les silences, sous les valses, où les regards s'en faisaient bien trop contemplateurs ! à être bien plus que ce qu'on leur demandait d'être : quand il n'en était pas simple marionnette à se faufiler dans les espoirs et déceptions. fils coupés depuis si longtemps, à ne dépendre de personne pour se livrer à ses passions, il y avait pourtant dans les pas rencontres un peu étranges ,, aux visages inconnus à qui pourtant il venait en louer toutes ses histoires.  
de regards
à s'étonner :
des remarques !
"Hein...? Tss t'as raison, vous êtes beaucoup trop débiles. Enfin une bonne remarque...", qu'il hocha la tête presque d'accord avec lui de nuances pourtant différentes ! alors à bien se moquer, des mises en garde, à bien ignorer, toutes les différences, il y aurait la lune, pour en bercer les visages de quelques lueurs. étoiles à danser avec eux, de ces bras à tirer les figures comme s'il possédait suffisamment de force pour en diriger les pas. ô Renji n'était que trop aveugle ! face aux vérités ! quand de politesses : ou d'ironie, les corps s'en séparèrent de mouvements presque trop brusques. cils à cligner, visage à fixer ! de ces ignorances bien trop innocentes. "On se connait pas ?", qu'il plissa des yeux, se rapprochant alors malgré les tentatives de s'éloigner, à fixer les allures presque trop distantes ! quand lui s'en montrait des plus curieux ,, à détailler les traits presque violents.

à tirer un peu :
sur la manche ,, de celui à fuir.

"Maintenant que tu le dis ... j'ai aucun pote avec un si beau visage...c'est vrai., de sa tête à se hocher presque convaincu, à reculer de quelques pas en arrière quand sur le visage : sourire à se tracer ,, de candeurs à se vouloir joueuses. et Renji n'avait pas pour habitude ,, d'en montrer autant d'émotions. de ces joies à être sans doute bien trop fausses, de cette voix à en sembler différente. rien ne pourrait en déranger les figures qui s'en voulaient solaires ,, quand les iris en étaient pourtant déformés par les mélancolies d'un soir. Puis après tout je m'en fiche ! Tu t'appelles comment ?", que le visage se penchait, persuadé : qu'il n'en reverrait de toute manière aucunement les visages qu'il ne saurait plus reconnaître. "Moi c'est Renji ! Mais tu dois t'en moquer...j'ai un peu honte maintenant..." d'une main : à en frotter sa nuque. à manquer de trébucher, pourtant, contre l'un de ces trous dans le sol.
hasard :
calomnies !
à s'abattre.

corps qu'il laissa tomber auprès d'un mur, il plia tout doucement ses jambes contre lui, d'une moue presque boudeuse. "Tss si j'avais su j'aurai pris une bouteille de plus, quitte à devoir rester seul.", d'un nez à se plisser, d'une figure à s'en faire fatiguer ,, de chanter toujours les mêmes requiem. "Hé jolie tête ! Tu veux pas me raccompagner ?" à proposer là ! comme simple ironie. "Je peux...te filer des sous ! pleins de sous...! juste pour le trajet.", car lui n'avait que cela à offrir. d'une compagnie à être bien trop désagréable, d'un visage à ne pas marquer les esprits, quand Renji ne faisait qu'en taper sur les nerfs à tous ; comme pour en crier tout un mal-être : qui ne disparaîtra jamais.

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Plus l’inconnu ivre tentait de se rapprocher de lui, pour Katashi s’éloignait, gardant une distance de sécurité avec celui qui l’accompagnait. Sa bouche se déforma en une grimace visible au compliment. C’était vraiment la dernière chose qu’il aurait voulu ; ce mec n’avait aucune pudeur et osait dire à tout le monde le fond de sa pensée. Ils vivaient à une époque où c’était totalement normal qu’un garçon dise à un autre qu’il était beau. Le clan lui avait appris à ne jamais faire confiance à ces individus à la sexualité libertine. De toute façon, il n’avait jamais expérimenté d’attraction quelconque, de quoi le rassurer dans ses affaires. Même s’il fallait également avouer qu’à la lumière plus claire de la vie, le bonhomme devant lui avait la carrure d’un acteur sorti tout droit de ces immenses affiches installées partout dans la ville. A sa question sur le prénom, il ne fit que hausser un sourcil, peu intéressé de lui donner son identité. Il ne devait pas dévoiler son appartenance au clan à celles et ceux qui vivaient hors des allées sombres. Mais il avait l’impression que s’il révélait un peu trop de sa personne à l’autre, il était cuit. Peut-être était-ce l’odeur de l’argent qu’il sentait sur le saoulard qui lui chuchotait de se faire discret ? Alors, il préféra se taire, l’observant lui donner son identité comme une information triviale dans la conversation. Renji.

Sans esquisser un mouvement, il le vit trébucher avant de s’affaler contre un mur, commençant à se plaindre d’alcool. Comme si son système immunitaire en manquait actuellement. Katashi se rapprocha de lui, restant debout, les mains dans les poches de sa veste, le regard sur la tête brune du garçon. Il se demanda pourquoi ses amis l’avaient laissé tomber, alors qu’il semblait bien inoffensif en apparence. Sauf que Katashi ravala cette pensée rapidement en entendant la suite des élucubrations de Renji. De nouveau, il se sentit mal à l’aise, se permettant un léger mouvement de recul lié à un certain dégoût. Mais quel genre de taré continuait de parler comme ça d’un autre homme ? Le Gotō en viendrait à s’offusquer s’il continuait. Être traité de beau par d’autres individus du même genre que le sien le dérangeait profondément, comme pour bien lui faire comprendre que sa masculinité n’était que pour des yeux d’hommes et non féminin. Or, s’il existait femmes et hommes sur Terre, c’était bien pour qu’ils se plaisent l’un à l’autre et non entre hommes ou entre femmes. Ce n’était pas le dessin qu’on lui avait appris lors de sa formation. Les sourcils froncés, il regarda l’autre avec dureté, les yeux aussi fermés qu’un mur de ciment.

« T’es un pervers ou quoi ? lâcha-t-il, sec. J’suis pas une pute, moi. »

Vraiment, Osaka regorgeait d’hommes sans valeur, de femmes de petites vertues, d’individus en somme, qui ne connaissaient ni honneur ni dévotion. Mais il devrait bien le savoir Katashi, après tout, il venait d’un coin où les gamins bouffent dans les poubelles, où les parents versent dans l’illégalité pour survivre à la misère. Lui-même avait dormi dehors, fuyant jusqu’à la moindre main tendue par simple générosité en ayant peur de se retrouver dans un centre de détention. Puis, il y avait eu le premier test, la première rencontre et il était devenu recrue pour le clan du coin. De nouveau, il s’était retrouvé entouré de garçons perdus, fauchés, isolés, violents. Il s’était battu, avait appris à tirer, à se battre, à compter les billets, à garder sa langue et à reconnaître ses supérieurs. Personne n’était populaire auprès de personnes, car tout le monde était le frère de chacun. Même s’il s’était plus souvent fritté avec Satoshi qu’avec n’importe qui d’autre. Des frères, des vrais, une famille, une solide. Tout ce qui lui manquait. Il regarda autour de lui, constatant les passants peu présents. Du bout de la chaussure, il donna un petit cou dans la jambe de Renji.

« Lève-toi. Tu ressembles à un sdf. »

S’il voulait dessaouler assis, il fallait au moins trouver un endroit un peu plus à l'abri, pour éviter que des yeux malhonnêtes de découvre Katashi en de tel compagnie. Il fallait bien être prudent. C’était quoi l'expression ? “Mieux vaut tirer avant de mourir” ? Certainement ce qu’on lui avait dit pour l’obliger à se défendre. Il s’éloigna alors de l’autre pervers, s’imaginant qu’au vu de son état d’esprit, il n’hésitera pas à le suivre. C’était comme ça que les mecs dans son genre agissaient. Toujours aux trousses des autres, pour une raison qui lui échappait. Et s’il crevait contre son mur, ce n’était pas son ressort après tout. Il ne connaissait que son prénom, pas de quoi en faire une connaissance. Il n’était pas responsable de sa vie.

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tout semblait si étrange. de ces rues aux pavés venant se mouvoir sous ses pieds, de ses équilibres pourtant solides ! à celui qui en avait vu bien plus que de simples petits cailloux pour le faire trébucher. et pourtant il avait cette impression que rien ne tournait réellement correctement, sur cette étoile. petit roi qui n'en était pas réellement un, à s'être proclamé ainsi ! quand il pourrait en être déchu. c'est que de ces misères ,, ballet qui pourrait se dessiner : tragédie magnifiée ,, cygne à en devenir d'un noir charbon à perdre ses plumes ,, couronne décrépie à tomber contre le sol. et à en perdre ((tous ses joyaux.)) car Renji n'était que vermine, à se nourrir des peines des autres, quand lui-même n'en était pas réellement sain de tous ces maux invisibles.
à être :
de confiances ,,
et de suretés.

quand il n'avait aucune honte ,, de ses penchants ,, quand il se moquait bien, du regard des autres. et celui devant lui n'en faisait pas exception ! à ignorer les figures qui même sous les alcools en paraissaient si dédaigneuses. quand d'un corps contre le sol il en haussa un sourcil sous ses mots : qui le firent rire ! sans ne même l'inquiéter. car sans doute n'en était-il finalement pas plus pourri que ceux qui l'entourait. "Un pervers ? Une pute ? T'es bien amusant...J'en suis pas une non plus. Si tu veux pas de fric facile pour une simple demande, c'est que t'es vraiment bête. Tout le monde aurait accepté.", qu'il fronça légèrement du nez, à croiser les bras. à ne pas vraiment comprendre : ces hostilités dérisoires. "Mais je vois que je suis tombé sur quelqu'un d'un peu bête ! et bah tu sais quoi : t'es moche.", qu'il hocha la tête, à se convaincre lui-même : à le penser ,, à présent. car d'un visage ,, les mots en étaient tout aussi importants.

de jugements ridicules !
à faire pleuvoir ,, les acides.

chaussure à venir le secouer ,, jambe à se replier instinctivement, il grimaça un instant, faisant mine d'avoir mal, avant de se redresser rapidement et de venir tenter de le rattraper en trottinant. figure aux joues rouges légèrement teintées, à venir frapper tout doucement l'épaule de celui qui s'en voulait si désagréable. "Sale tête...!" qu'il marmonna avant de venir prendre les devants, à marcher presque trop vite quand les pas s'en voulaient millimétrés. "Les gens comme toi...vous êtes pas intéressant ! Et pas drôle non plus ! Et désagréable ! Pire que moi !" d'un nez à se froncer, de jambes à en tracer quelques rondes et valses contre le sol. "Puis finalement j'ai pas besoin de toi pour rentrer ! Alors me suit pas !" et d'épaules à se hausser ,, figure à se faire si distinguée, il en venait à jouer comme un enfant sur le bord du trottoir. d'un don pour rester en équilibre.
fil du temps :
à vaciller ,,
sous les légèretés.

à jouer dangereusement ! comme sur les toits des écoles. à s'amuser de quelques pointes, ô jamais assez saoul pour en casser les corps. figure à s'en faire intrépide, à ignorer la présence derrière lui : quand pourtant il en parlait à voix haute comme simple rhétorique. "Tss. De toute manière les types qui traînent aussi tard dans des ruelles vous êtes soit bourrés, soit pas nets. Et comme la moitié des gens de cette planète, sont des gens pas nets..." à jouer de ses doigts comme pour calculer, de son regard à se plisser, à venir lui en montrer 4 de ses doigts tendus. "Tu fais partis des 4 milliards et quelques ?" quand le monde en était si dangereux de tout. à ne pas pouvoir sortir tout seul, à devoir toujours faire ce qu'on lui disait. lui en cherchait un peu de liberté ,, un peu de calme : parmi toutes les foules aux regards insipides. iris vissés sur les épaules à devoir se montrer toujours trop droites, toujours trop insistants. et lui ne voulait que disparaître un peu ,, de ces projecteurs ,, pour ne faire qu'en effleurer les anonymats dégradants.
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— spark ft. @Amano Renji


Bête et moche. Ce n’était pas vraiment comme ça qu’on le décrivait d’habitude. Katashi avait eu des penchants violents dans son adolescence, recevant plusieurs remarques et surnoms liés à ses pulsions encore trop primaires pour être humaine. Puis, il s’était fait punir, sévérement, à la brute dans le dortoir ou à l’extérieur, les genoux saignés, le dos laminé, les bras couverts de bleus. On lui avait appris à se tenir droit, à baisser la tête, à savoir quand et où se cacher, frapper, s’échapper, se battre. Cela faisait longtemps que le terme bête lui était passé. Il ne l’était pas plus que les autres mecs du clan, et certainement pas plus que Satoshi. Au moins, il savait assez bien se servir de sa matière grise pour pouvoir continuer sa petite enquête. S’était-il déjà fait griller ? Il espérait que non, mais c’était tout de même probable. Ils devaient certainement attendre la résolution, avant de le punir une nouvelle fois. Mais comme tous les idiots du clan Kazunari, il n’avait pas peur de la douleur. Moche, néanmoins, c’était en quelque sorte nouveau. Les gars ne regardaient jamais les physiques, surement pas de leurs frères en plus, et les meufs du Red étaient trop sur leur propre nombril pour réellement le regarder aussi. Il ne leur portait pas beaucoup d’affection non plus, pour tout avouer. C’était réciproque en quelque sorte.

Pas le moins du monde affecté par les paroles de l’autre homme, ivre de plus, qui se laissait aller à des discours tout à fait étranges, il ne fit que hausser les épaules. D’accord, il est bête et moche. Cela ne lui apportait rien de plus à la vie, rien de moins. Même ses frères d’armes avaient eu des propos beaucoup plus dégradants à son écart, pour le provoquer et arracher son mutisme, dans une pluie de poings et de phalanges. S’en était presque amusant, les efforts de l’autre, comme s’il cherchait à obtenir une réaction de lui. Katashi savait suivre la ligne de conduite du clan. Et là, on venait de l’insulter. Oh, pas assez pour lui faire quoi que ce soit à son égo déjà bien rapiécé, mais l'orgueil avait de ses secrets, qui remplaçait ceux du cœur. C’est de cette insensibilité qu’il s’éloigna de lui, n’attendant pas particulièrement qu’il ne le suive. Malheureusement, ce fut le cas, pour recevoir d’autant plus de remarques. Les yeux plissés, Katashi l’observa danser en l’insultant, quelque peu décontenancé par cet individu qui mettait son corps en poésie avec une bouche aussi sale de mots dégradants. C’était bien la première fois qu’on se mettait en scène pour lui dire ce genre de choses, avec espoir, peut-être qu’il en soit tellement offusqué qu’il réagisse. Pourtant, il était trop distrait par les valses ? tango ? pas de danse aléatoire ? de Renji pour réellement relever quoi que ce soit de plus.

« Okay, répondit-il simplement, en s’arrêtant, le regardant s’éloigner toujours plus loin. Je te laisse te démerder. »

Il le vit, monter sur le rebord du trottoir et faire l’enfant. Était-ce un gosse finalement ? Il l’avait cru de son âge, mais apparemment, il s’était trompé. Etait-il même assez pour boire ? Katashi se rembroua lui-même. Mais il s’en foutait, non, qu’il est l’âge ou pas ? Est-ce qu’il avait commencé à faire de la merde à un âge légal, lui ? Non. Alors hein ! Tournant alors les talons, il put tout de même entendre les remarques de l’autre jeune homme. Dans la nuit et la rue déserte, à cette heure du soir et dans ce quartier, il n’y avait que la voix de Renji qui résonnait. Mais Katashi s’éloignait toujours. Il leva la main, sans vraiment avoir pour espoir qu’il ne le remarque ou qu’il lui dise quoi que ce soit. C’était peut-être un “au revoir”, mais pas de ceux qui arrachent le cœur. Le danseur de sa soirée allait terminer sa route tout seul. C’était incroyable, ces gens qui pensaient que le monde lui courait après pour avoir le droit à la grâce de ses paroles insultantes un peu plus longtemps.

« Peut-être ! répondit-il un peu plus fort dans la nuit. Bonne nuit, Renji ! »

Et ainsi, ses pas l’éloignèrent un peu plus de cette rencontre sans fruits, ayant seulement eu l’impression, un bref instant, d’être tombé sur un dégénéré de plus dans cette ville de malades. Lui-même était très atteint, mais c’est à peine s’il s’en rendait compte. Après tout, il est bête et moche.

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Amano Renji
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— spark ft. @GOTŌ KATASHI


remplis de mensonges en étaient les paroles du monde, à se déchaîner comme si rien ne pouvait jamais le rattraper. et Renji en était un peu ironie de lui-même ! à se jamais savoir où aller, ne jamais savoir ce qu'il devait faire. démon contre son épaule à le pousser aux pires des vices, quand finalement : les seules soirées où il en était libre de tout, les autres en étaient encore pires que lui. d'une tête rebaptisée de quelques adjectifs aux connotations si déplaisantes, à n'être qu'un enfant, après tout, dans ces rues bien trop goudronnées, il jouait ! là, contre les parvis, à en faire pas bien trop délicats pour simplement s'occuper ! décorer les rebords de trottoirs sans ne jamais tomber. car s'il y a bien un domaine où le japonais excellait, c'était celui des arts vivants.
poupée ,,
désarticulée !
sous leurs yeux.

presque marionnette aux ficelles coupées, pour une simple nuit d'ivresses. il y avaient quelques douceurs, sur son visage : celles animées par les passions lisibles. quand pourtant venaient à cramer ses joues, fuser les mots, comme hameçons à vouloir s'accrocher à celui qui n'en était que trop idiot. tête à se relever vers les regards insistants, à se renfrogner comme si tout en était trop dédaigneux pour lui, il posa ses mains sur ses hanches, à fixer celui qui en venait à s'éloigner bien loin, sans qu'il ne puisse rien y faire. car après tout, quand on était moche et bête, on en remarquait jamais les opportunités offertes à soi. à croire, qu'il en était simplement tombé sur l'un de ceux qui ne l'aurait jamais captivé sans ces liqueurs délirantes.

à bouder :
toujours plus.

"C'est ça dégage. De toute manière, t'étais pas intéressant." qu'il resta sur son bout de trottoir, à préférer finalement s'asseoir un instant en ignorant tout ce qui lui passait autour. car après tout, il se moquait bien de rester seul ou non. de cette silhouette qui n'en était que désespérante ! à ne pas l'intriguer autant qu'il l'aurait cru ,, car tout le monde se ressemblait, ici.  nez à se plisser tout doucement, soupir lâché à nouveau, il regarda un instant les voitures passer de son téléphone en main, obligé de venir en appeler l'un de ces chauffeurs qui faisait tout pour ne jamais le lâcher du regard lui et sa sœur. dernier choix ! quand les pieds en étaient bien trop douloureux pour se porter au quotidien. de chaussures à se retirer, à alors attendre presque qu'on ne le récupère. sous ces airs frais à rafraîchir ses pommettes, à ces néons aux semblants de constellations. il y avait ces paysages à se déformer presque comme œuvre d'art ! là où grinçaient pourtant les pneus de ceux allant un peu trop vite. jusqu'à ce que finalement : les libertés en soient de nouveau privées ! pour ceux aux destins déjà programmés.


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