quand éclaté, amoché : à respirer de ces airs marins les plénitudes  infernales.ô il en était enfant des cieux ! à vivre ici par dérogation. fuir les réalités, comme si elles en étaient toutes factices. qu'importe ,, ici il n'y en a que les mensonges. de son visage, à se refléter dans les vagues ,, Renji avait fui : les animations des festivals ! été à briller. il y avait les lanternes, à éclater, les rires au loin à émerger ,, quand lui, d'un corps assis sur le sable, il attendait que les vagues n'en viennent le consumer.

amis abandonnés :
pour profiter des silences.

paysage à s'enflammer, soleil à venir brûler les eaux pour s'y endormir, les couleurs en étaient inconnues ! gris léger à se morfondre dans ses tristesses, d'un air léger à faire virevolter les tissus de son yukata. ironie du sort : à avoir voulu s'amuser, quand finalement il en était celui à s'isoler ! là, pour de simples paysages, de sa tête à exploser. c'est que Renji en était complexité incomprise, à vouloir vivre sans réellement savoir comment. canette à la main, feux d'artifices dans l'autre : à allumer un cierge, comme si les étincelles provoquées viendraient à hypnotiser ses pensées.
scintillent,
brillent,
dans les pénombres.
à en créer de petites étoiles, à en tendre le bâtonnet vers les horizons comme pour tenter d'en imaginer les différences de teintes ,, sans ne jamais deviner, qu'elles en étaient similaires. et pourtant, de ces activités presque romanesques, il y avait là certaine plénitude ! à ne pas réfléchir, simplement profiter, le temps que les amis factices en viennent le chercher à nouveau pour le traîner parmi les foules.

de pas :
à s'approcher !

il en releva le regard, haussa un sourcil, inconnu.e à sans doute vouloir profiter iel aussi de ces nuits à venir. et d'un élan de bonté, à venir se racler la gorge comme pour en attirer les attentions : il en secoua ses paquets de cierges comme pour en inviter les présences à le rejoindre. — Ca te dit ? J'en ai trop pris. Et j'vais devoir les jeter si on les utilise pas ce soir. comme excuse : à ne simplement pas aimer les solitudes pour celui habitué des charnels. charme léger, sourire offert presque pour en animer les soirées ,, ô simple envie d'une romance nocturne à se faire histoire délicate. d'une proposition innocente ! pour en brûler les étoiles. — J'ai du feu, aussi.