lever les yeux ,,
observer les étoiles :
pour se laisser guider !

d'une voie lactée absente, à sourire sous les nocturnes sans lumière ,, ils en étaient à braver les interdits ! à se faire pour l'une de ces soirées là chevaliers des lumières. sauter à chaque reflet, venir sourire à suivre la petite silhouette si fragile. satisfaction gagnée : à en être preux chevalier bien ridicule ! d'ordres donnés, il en avait suivi chaque demande pour tenter d'en créer douceur fébrile.
silencieuse
demoiselle :
à amuser !
petite nymphe à avoir accepté courageusement les aides offertes, sans ne jamais trop se méfier de ceux à en tendre les mains. préceptes qu'on lui avait appris ,, qu'il ne pouvait que valider ! quand dans ces rues aux noirceurs éparses et aux recoins bien étranges, il y en avait regards à venir épier chaque douceur effleurant les pavés.  pour les capturer, pour les tuer.

à bien les connaître ,,
de leurs sombreurs vertigineuses.

alors à sourire dans le dos de celle protégée des chaos extérieurs, petits pas à se rapprocher tout doucement pour ô ne jamais effrayer : les pieds à traîner ! les fiertés à orner les têtes ! comme si le monde viendrait à en faire taire les quelques voix dans sa tête qui lui murmurait toutes ces erreurs commises. quand tout ce qu'il voulait, était d'en éloigner les gamins du diable. loin, loin, à voguer vers les étoiles, en suivre les chemins qu'elles venaient à tracer pour eux tous ! d'enfants si fragiles, entre ses mains.

à ne pas vouloir
les voir sombrer.

— C'est là ? douce voix à murmurer, quand devant les lieux indiqués, il y en avait là présence bien grande ! à observer les venues si tardives. — On dirait que t'étais attendue...! et il pouvait comprendre ! quand les heures en avaient sonné les précipices. à courir après les minutes, fuir les silhouettes qui pouvait apparaître dans les rues : tout en était dangers permanents ! à faire courir les proies, à faire rugir les monstres de minuit. il y avait de quoi succomber, là où venaient à tomber les plus innocents. et Ryunosuke en était sans doute enrobé d'une armure imparable ! de douceurs observées au loin ! à ne pas s'imposer. ô miracle délivré, quand face à lui bienveillance qu'il avait pu offrir comme simple présent d'une soirée.

Et les confiances s’en propagent, à en laisser barrières tomber en voyant les efforts de celui qui l’accompagne. Les murs qui la protègent à en trembler sous les envies d’en laisser d’autres s’approcher, quand de leurs actes, ils s’en montrent dignes de croire en leur sincérité. Mais le monde n’en est que tromperie et duplicité, Jill à toujours en laisser ses insécurités la garder loin des dangers. Envies d’en laisser sourires se glisser sur ses lèvres face aux comportements de Ryunosuke, quand pourtant elle s’en interdit d’en montrer amusement devant lui.

Et il s’en fait joie que quelqu’un l’attende, quand Jill en craint les remontrances de son être de lumière. Corbeau qui en attend son retour alors que l’oisillon n’aurait jamais du s’aventurer au loin en ces heures prohibées. A en inquiéter celui sans état d’âme de ses sorties dangereuses, mais silhouette à en arracher à la divine le plus pur des sourires, joie d’en ressentir sécurité chaleureuse auprès de l’être qui lui a tout donné.

Pas précipités pour en filer vers Jian, petite à pourtant se stopper pour n’en oublier celui qui en a enfilé son armure pour l’escorter. Demi-tour maladroit à mi-chemin pour le regarder. “... bah salut !” Innocente de simplicité, termes faibles à pourtant en symboliser dans sa tête reconnaissance et amitié. Pas repris pour en bondir dans les bras de Jian, regard qui s’en lève doucement vers lui sous la crainte d’un possible regard déçu qu’elle ne veut croiser. “Désolée, je me suis un peu perdue… Je recommencerai plus, c’est promis !” A en planter regard déterminé dans les iris de Jian. Tête à pivoter pour ne pas en oublier celui apparu à ses côtés, à savoir que son protecteur n’en verrait que méfiance à le toiser. ”Lui c’est Ryu-machin truc. Il a un nom bizarre, mais il est gentil.” A presque en clamer des vérités toutes innocentes, pour en éviter que colères destructrices ne s’abattent sur celui qui l’avait aidée.

Ciel à se dépeupler,
quand de ta présence tu t’en fais absente,
la nuit s’en mue en cauchemar sans fin.

A vouloir lui en arracher le monde de ses mains pour quelques lueurs de bonheur, quand elle en est devenue à son tour son unique raison de rentrer. Petite créature à en offrir, à ses journées si tourmentées, parenthèses de douceur de ses sourires angéliques. Elle avant tous, à toujours la préserver, à tenter d’en devenir son sanctuaire au milieu de ce chaos menaçant.

Te souviens-tu,
quand je t’ai demandé de prendre ma main ce jour-là ?

Effroi à le frapper d'en découvrir l’appartement vide à son retour. Gamine envolée. Mais calme à revenir aussitôt à la vue du mot de celle-ci annonçant son retour prochainement. A tester continuellement sa patience quand il en est dépourvu, il en commence une ronde dans le logement, à s’affairer pour le rendre plus hospitalier encore. Et de ses mains si violentes d’ordinaire, il en vient même à préparer le dîner pour en rassasier le petit monstre à la faim sans limite. A préférer penser à lui en offrir affection, plutôt que de laisser les inquiétudes le ronger.

Je ne t’abandonnerai jamais,
je t’en ai fait la promesse.

Mais minutes à passer sans signe de vie, crainte à prendre le dessus face à l’horloge qui ne cesse de tourner. “Où est-elle encore...” Soupir lâché avant d’en rejoindre la rue pour l’en attendre. Et bien qu’il aurait déjà souhaité arpenter la cité pour en retrouver la plus jeune, un brin de confiance qu’elle se présente d’elle-même en amène accalmie en son sein. Puis, silhouettes à se former à l’horizon à en attirer le regard agité. Elle et un inconnu. Traits à se tendre face à l’invité surprise, à ne pas savoir en apprécier quiconque s’approche d’elle. Peur qu’elle n’en revive souffrance, quand il fait tout pour lui en soigner blessures pourtant incurables. Et Jill à tomber dans ses bras pour en offrir excuse, vient en consoler son cœur de la savoir saine et sauve. “Monte. Le dîner est prêt.” Légère caresse à effleurer le visage de l’enfant, à lui en montrer qu’il n’en est en colère. Incapacité à lui en vouloir.  

Et tu verras,
de tes sourires que tu retrouveras un jour,
tu en rendras ce monde plus beau.

“T’es qui toi ?“ Se détachant d’elle, pour s’en rapprocher du visiteur. “Je veux ton identité complète.” A le traiter comme une de ses proies quand il en avait simplement offert protection. Jian à détester les autres, confiance à se faire si difficile dans ces limbes si cruels.  

A se tenir déjà prêt si les réponses s’en joueront douteuses.

rêvent les étoiles, d'en observer toujours plus les tableaux terrestres à prendre vie. car viennent à se mouvoir les silhouettes dans les nuits ! peinture à prendre forme : de sourires aux escapades nocturnes, délicats traits à se dessiner sur les toiles de minuit quand venaient à scintiller astres éternels et artificiels !

et les rues ,,
en accueillaient :
découvertes étranges !

quand de ses doigts il ne savait qu'en démonter les phalanges. bruits sourds à en étouffer les rires enfantins ,, et un jour il arrêterait de briller, lui aussi. quand d'un monde qu'il était venu créer à l'abris des regards ; caméras à se pointer : pour en dépeindre les artistes violents. à être regardé de loin, ô jamais approché ! de ces univers que peu venaient pourtant à connaître. alors il courrait après le temps, venait attraper les mains qu'il apercevait pour en tirer des obscures abysses les corps à en demander aide désespérée.

sauveur factice :
à ne sauver que lui.

bâtiment à se faire délicat entre les pénombres éclatantes ,, il avait devant lui retrouvailles presque délicates ! d'une enfant à se faire girouette : il en laissait les yeux amusés en observer la danse presque trop douce. quand les pas rapides de la jeune fille s'en étaient retournés vers lui pour le saluer brièvement des seules politesses d'une soirée. et peut-être avait-il réussi à marquer quelques points, malgré tout.

étreinte observée :
de loin !

à se faire discret ,, ô quand les sourires à naître en semblaient d'une pureté à contrarier les noirs infernaux. seule récompense : qu'il pouvait obtenir comme repentance. à ne rien vouloir d'autre ! quand les spectacles à eux-mêmes en étaient suffisant. rire lâché délicatement sous les tentatives de la plus jeune de s'en remémorer les prénoms, il se redressa soudainement ! dos droit à se tendre alors, quand le gardien du temple venait à son tour se faire méfiance désinvolte. sévérité ,, à jauger sa propre personne : ennemi ou allié ? — Ryunosuke. Hideguchi Ryunosuke, 31 ans, sportif professionnel...Besoin d'autre chose ? d'un sourire presque amusé ! sans n'en rien redire : il obéissait ! à ceux à se faire méfiants. car lui n'avait rien à cacher, à en révéler qu'il était. identité qui n'en était pas secrète ,, quand les figures s'en faisaient sûrement suspicieuses.
là ,,
à en accompagner :
princesse sublime !
où les châteaux en semblaient être havres de paix ,, loin des chaos extérieurs, à en protéger de son titan venimeux les portes des tours. joie à s'y échapper ! rayonnent les accalmies presque trop rares : à attirer ici tous les papillons perdus à rechercher les tranquillités. — J'ai fait que la raccompagner. Y'avait les flics et...j'ai juste filé un coup de main. main à se lever ! comme pour en montrer le sac porté. tout n'en était que banalité, ce soir ! pour celui à veiller dans les rues trop tardivement. — En tout cas elle a un sacré caractère ! qu'il comprenait mieux, en observant celui à lui faire face ! car ils se ressemblaient : protecteur d'une figure trop aimée.

quand lui en était ,,
simple chevalier :
à servir d'escorte.

de deux silhouettes harmonieuses :
aux airs de famille attachante.