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Minamoto Eiri
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et c'est les pas, qui percent dans la nuit. quand les regards valsent entre les lumières artificielles, d'une figure à en ignorer les iris à s'en poser sur elle. beauté fragile, où les visages s'en faisaient rigidité si sublime : ô et pourtant les minutes n'en étaient jamais égarées ! quand d'une adresse qu'on lui avait donnée comme pour veiller sur celui qui n'était pas apparu depuis plusieurs jours.
calomnie :
d'une mission ,,
déraisonnable.
et elle avait l'impression de toujours devoir en surveiller les autres ! d'un rôle qu'elle n'appréciait que trop peu, fatigue sur les paupières à l'agacer ,, quand le coréen n'en semblait être que poids encombrant. Eiri ,, à ne jamais mâcher ses mots : ô chaos à venir effrayer les alentours, quand de ses talons reconnaissables, c'en était les soupirs qui venaient à se glisser contre ses lippes.

doigts à venir sonner :
aux portes de l'enfer.

d'une trousse de soin apportée comme attente subtile de terreur dans les lieux inconnus, elle en avait fait tout le déplacement ! à en avoir presque été suppliée, déesse capricieuse : quand elle ne voulait pas s'approcher des autres. à reculer, quand eux ils avançaient, piètre jeu incohérent où chaque geste en était millimétrés. danse macabre à venir faire resplendir les ronces qu'elle s'était forgée, là, sous les ambitions infertiles. ((vie)) chaotique ,, aux allures de Reine aux charmes envoûtants.
mensonges ,,
infiltrés :
dans chaque
respiration.
alors devant ces portes, à attendre patiemment, elle s'en imaginait là les possibles raisons de ces travaux abandonnés comme simple quête passive. rhume ? à faire brandir les visages blasés qu'elle maîtrisait à la perfection. fatigue ? comme s'il pouvait en décider quand travailler ou non. impardonnables excuses, quand sans prévenir : tout venait à en être chamboulé. et elle s'en retrouvait alors à devoir en jouer de paroles à nouveau ! face à celui qu'elle venait à ignorer par moment. mais ô venue presque anodine, d'inquiétudes pourtant naissantes ,, c'est qu'elle savait ce que les rues pouvaient offrir ! du plus doux au pire : de carmins à couler contre les pavés ,, histoire qu'elle en désirait fausse. car elle préférait pouvoir venir en blâmer les responsabilités que d'en offrir regards de pitié. monde beaucoup trop  connu, où même elle venait à mourir sous les coups reçus.

alors comme pour en feindre l'innocence, de nourriture pour chat à venir camoufler les soins envisagés, elle s'appuya finalement contre le mur de l'appartement, dans une attente à en être presque supplice. car les journées déjà si longues venaient à venir amplifier les patiences d'ordinaire si délicates ! d'un soleil à tout doucement en effleurer son visage, longues mèches regroupées en l'un de ces chignons à en dévoiler sa nuque si pale. douceur d'un été aux allures bien trop matinales ; nuit avortée ! pour celle à en détester les sommeils. car quand les prunelles s'en fermaient, ce n'en était que pour admirer ô combien le monde n'en était que cauchemar. alors quand la porte s'en ouvrirait : ce n'en serait qu'indifférence, contre son visage, comme pour en camoufler ces peurs d'un carnage qui en volait au dessus de leurs têtes. d'une voix, à se faire si légère, à en prononcer les prénoms comme malédiction.

"—  Shigeo ?"

et que viendrait-elle :
à observer ?
une fois les figures
à lui faire face.



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Tambours nocturnes dans la tête du jeune homme, sous l’astre reine des poussières parsemant ces cieux. Les poches foncées se creusent sous ses iris ne voyant que des points blancs au-dessus de lui. Il songe, Taesoo - shigeo - les bras croisés. La douleur envahit son corps entier. Manque de sommeil, manque de force, manque de nourriture. Le policier est cloîtré chez lui, ordres du médecin. Les côtes sont touchées, il doit être immobilisé pour plusieurs jours, voire semaines ! De quoi nuire à sa mission, comme il en rêve ! Le moment parfait pour ressasser les remords et s’en mordre la chair ; angoisse d’un futur compromis. Il a fallu qu’un coup de froid atteigne sa gorge pour briser sa voix autrefois apaisante. Du moins, considérée comme telle. Le policier ne ressent plus aucune gêne concernant la maladie, seulement une voix écorchée, ajoutant malgré un charme à son personnage. Il repense aux décisions prises le soir où il a dû se battre une énième fois - le pire dans cela, c‘est qu’il ne se souvient plus de pourquoi il a fait ça.

Ah ! Toutes ces heures perdues, les lèvres déchirées par l’angoisse et le teint pâle, le coréen a finalement décidé de s’entrainer sur la langue japonaise. La conversation mouvementée avec sa collègue l’a marqué, si ce n’est traumatisé, alors il vaut mieux apprendre à connaitre et maitriser son environnement au lieu de penser qu’on est intouchable ; la protection de la langue étrangère n’a fonctionné que quelques mois. Le voilà assis sur son lit, regardant une vieille série policière qu’il regardait plus jeune. Les dialogues n’ont plus aucun secret pour lui : alors pourquoi ne pas les mettre en japonais, pour avoir un point de vue sur l’usage quotidien de cette langue. Entre deux soupirs, Taesoo grimace de douleur : c’est qu’une côte fracturée est plus redoutable qu’on ne le pense. Pourtant, aussi concentré soit-il, le jeune homme finit par sombrer dans un sommeil profond.

Toutes ces pensées, la douleur, ainsi que la concentration vouée à la télévision ont eu raison de son insomnie. Il sombre dans un sommeil profond mais agité, si bien que lorsque sa porte d’entrée sonne, c’est un sursaut qui le fait chuter du matelas. Un râle de frustration, un grognement de douleur, et le policier se redresse avec difficulté. Il ne sait ni quelle heure il est, ni ce qu’il se passe. Il prend le temps de se rincer le visage et la bouche - douloureuse ! Lèvres qui cicatrisent lentement, ils les pincent par réflex et jette un oeil à son reflet dans le miroir. Vision d’horreur ! Mais la surprise est interrompue par une autre sonnerie de porte, les sourcils se froncent juste avant qu’une voix familière se fasse entendre. Oh, c’est impromptu.

Taesoo comprend la situation, et se rend compte de la sienne. Un pull trouvé dans le fond du placard afin de cacher cette chevelure rebelle. Il est visiblement en mauvais état, mais il tente de cacher un minimum d’éléments pour éviter le regard assassin de Eiri. Ah, non pas qu’il en ai peur : loin de là. Il veut simplement ne pas passer pour un être plus détestable qu’il ne l’est, surtout depuis leur dernier échange.
Finalement, il s’approche de la porte et l’ouvre soudainement, le visage fermé. En voyant la jeune japonaise - si bien apprêtée comme à son habitude, l’on penserait assister à une scène de La Belle et le Clochard ! Car Taesoo se racle la gorge, surpris. « Eiri ? » sa voix cassée trahit davantage son état déplorable. « C’est pour quoi ? » il la zieute de haut en bas, puis remarque le sac rempli. Par politesse - car il l’est ! - le coréen laisse un espace pour faire entrer la brune. « Entre. » Le japonais lui semble légèrement plus naturel. Les chats arrivent, observent de loin la scène qu’ils attendent depuis longtemps ! Car le policier, parle à ses chats. « Assieds-toi, mais tu ne vas pas rester. » déclare l’homme, avant de se rendre compte des paroles aux apparences déplacées. Il fuit vers la cuisine et remplit un verre d’eau, qu’il dépose en face de la belle, avant de s’installer sur un siège non loin. « Je suis pas en état de travailler. Je dois revenir bientôt, a dit le médecin. »



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incohérence entre chacun des gestes, préludes de colères aux allures élégantes ,, c'en était sans doute déjà trop pour celle qui en aimait les nocturnes ! à devoir s'occuper des autres comme s'ils en étaient incompétents. enfant du diable, Eiri venait à s'éteindre peu à peu. à mourir dans les silences, étouffer les émotions : sans ne jamais réellement comment les exprimer. carcasse vide, dénuée de vie, à en accueillir les miasmes les plus sordides. et alors ,, à chaque mot ,, c'en était les cacophonies à blâmer ceux qui lui faisaient face. temps à s'arrêter, quand les nuits en enrobaient les corps pour venir en dissimuler tous les espoirs.

infernale :
valse ,,
de la mort.

et peut-être venait-elle à penser qu'elle n'avait rien à faire, ici, à attendre  que la figure du japonais en apparaisse devant elle. attente inéducable, à venir en agacer les nerfs déjà soumis aux obligations trop polies : car elle les connaissait, ceux qui en fuyaient le jour. à les voir au quotidien, de ces visages amochés, quand les sorts en étaient prévisibles quand ils venaient à en jouer dans les nuits comme si tout n'en était que jeu ! alors que les réalités venaient à ramener là tout ce qu'il n'en était que trop concret : illusions à se détruire, rien n'en était beau, sous les étoiles.

alors à sonner à cette porte, à se tenir debout comme si le temps en était déjà trop long, elle en guetta la porte s'ouvrir soudainement ! d'un corps à se redresser, faire face aux méandres de celui à en cacher là bien des problèmes. elle soupira sans en dire mot, à entrer alors dans les demeures en ignorant tous les alentours. corps abîmé : à le remarquer facilement ! elle en posa son sac sur la table, avant de s'asseoir et de croiser ses jambes. "—  Ne t'en fais pas, je partirai le plus vite possible." qu'elle murmura légèrement, de sa voix toujours aussi calme ! à s'en montrer ferme, pourtant : là où Shigeo s'en voulait peu convainquant. "—  Au vu de ta tête, je ne suis pas sûre que tu pourras revenir dès la semaine prochaine." d'un regard aiguisé, à en boire verre d'eau si gentiment déposé, elle se releva, Eiri !
d'une mission :
confiée
comme détresse.
"—  Je t'ai pris des croquettes. Et y'a une trousse de soin aussi." d'évidences prononcées : elle avait deviné juste ! celle bien trop habillée pour une simple rencontre infortune. quand de bout de ses doigts elle en ouvrir pochette magique aux crèmes et bandages mystérieux, elle le dévisagea un instant, d'inexpression à glacer le sang. c'est qu'elle voulait en finir le plus vite possible avec cette corvée, celle qu'on lui avait demandé, qu'elle devait effectuer : dans les douceurs ou dans les menaces. "—  Tu t'es soigné ?", à laisser ses yeux vagabonder tout doucement sur lui, avant d'en relever la tête. "—  Ne m'oblige pas à vérifier par moi-même." quand pourtant, ce n'en était pas les visions d'un corps qui viendrait à la déranger. à en dissimuler bontés presque aveuglantes, sous excuses qu'elle n'avait pas choisi d'être ici.

et viennent à sonner :
les glas majestueux.

"—  ...il est évident que plus vite tu me laisseras faire, plus vite je pourrais partir." à prononcer comme si tout pouvait en être plus simple ! il n'avait rien à en perdre, elle juste un peu de temps. journée mise de côté, quand les sommeils s'en faisaient trop courts. ô le regard ne venait pourtant jamais à juger sa figure ! celle qui ne faisait que l'agacer en permanence, quand Eiri n'en était que valkyrie à venir en chercher âmes défuntes. et peut-être elle aussi en était déjà un peu partie ! loin, loin des lumières, loin des réussites : à briller dans les chaos, celle qui en était corbeau maudit.


Im Tae Soo
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n°2outfit @Minamoto Eiri
Oxymore de ces instants si, si longs lorsqu'Eiri entre dans la pièce, Taesoo encore faible de la nuit précédente. Il serre les dents, la gorge serrée, la fuite dans la cuisine n'a pas servi à grand chose. Mais pourquoi avoir peur ? Moment de sérénité dans son berceau, entouré de ses chats - spectateurs d'une scène rare ; ah ! voilà la source d'inquiétude. Les conseils des médecins sont d'une importance primordiale - bien que le brun tente une impression de bonne santé face à la jeune japonaise, il se tait. Perplexe, c'est le terme, gravé sur son visage aux traits légèrement déformés. Il se rend bien compte de la dureté de ses mots, ce langage qu'il maitrise uniquement dans sa syntaxe, les émotions ne suivent toujours pas. « Je voulais dire que tu n'as pas à perdre ton temps ici. » Son timbre de voix est soudainement bas, plus doux, car Taesoo se sent en sécurité dans sa demeure. Quel intérêt de créer un conflit en cet endroit sacré, au milieu des animaux ? Strictement aucun. Le policier zieute chaque geste de sa collègue, le visage fermé, tandis qu'elle l'observe à son tour ; et il se sent comme piégé, épié ! L'homme, aux apparences immortelles, fronce les sourcils à plusieurs reprises, ne sachant comment réagir. Il ne bouge pas, cependant, et se pince les lèvres quand Eiri commente son état. Pas faux, à vrai dire. « Je verrai. » c'est tout ce qu'il trouve à dire ! Lui, grand adepte des tirades moralisatrices.

Et puis, comme si Taesoo espérait le contraire, la jeune femme reprend la parole et lui tend un sac remplis de victuailles pour ses animaux !
Oh ! Le coup, droit dans le coeur, et cette faiblesse pour les félins, taesoo ne peut s'en dissimuler. La teinte rosée vient colorée ses joues pâles et creusées, alors qu'il jette un coup d'oeil candide et curieux aux paquets. Il ne dit rien cependant, encore surpris du geste de celle qui l'avait sermonné quelques semaines auparavant. D'autres produits sont présents, notamment de quoi se soigner lui et ses nombreux maux tant physiques que psychologiques. Taesoo relève les yeux vers la belle, sur le point de rétorquer ne serait-ce qu'un commentaire sur le fait qu'il n'ait pas besoin de tout ça, il a déjà ce qui faut. Arrêt immédiat quand, de nouveau, le brun se sent piégé dans cette cage, épié par la japonaise qui ne manque pas l'absence de soins prodigués. Il ouvre légèrement la bouche, tente ! De se forcer à parler, mais un poisson hors de l'eau, le souffle coupé. Un instant, un second, des secondes qui s'écoulent et semblent durer des années quand Taesoo reprend soudainement ses esprits, les doigts agités dans le tissu de ses manches grises. « J'ai fait comme j'ai pu. » répond-t-il simplement, soutenant le regard de Eiri, se refusant toute intimidation. L'homme pouffe de rire, ricane, moqueur ; car il ne sait faire que ça. Moyen de défense face à la panique, il hausse un sourcil, l'air suffisant. « Tu veux m'attacher pour éviter que je te morde ? »

Oh. Folie !
I M P R U D E N C E.

Taesoo, à la langue inconsciente, qui se tait soudainement lorsqu'il comprend que sa phrase a laissé un certain sous-entendu. Dans son regard, loin, au plus profond de cette rétine pleine de mépris, se terre le regret d'une telle audace.

Il se reprend, le policier, à en perdre toute capacité linguistique, son coréen reprend le dessus. « Enfin non je- » raclement de gorge pour cacher cette voix déraillée. « Dernièrement je n'ai pu que dormir et me laver. J'ai désinfecté le plus urgent. » dit-il, l'intérieur de la joue coincé entre ses dents. Honnêteté qu'il se force à exprimer pour briser cette barrière instaurée, si Eiri fait l'effort, lui aussi doit le faire.

Le coréen ne bouge pas, il attend que la sentence tombe, qu'on le prenne par l'oreille et qu'on le jette dans la salle de bain pour le soigner comme le ferait toute personne exaspérée par son comportement. Rare ! Taesoo, n'osant prendre les devants dans son chez-soi. Les chats lui se feront une joie de le lui rappeler, il le sait. « J'serai pas contre un peu d'aide, ouais... »


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et dans les chaos, les lieux s'en faisaient limbes des plus agaçantes ! Eiri, à s'en faire forteresse incomprise ! là où les gestes venaient à s'en faire presque délicats. paroles toujours trop brusques, de ses airs apaisés et patients, c'est que les seules présences qu'elle venait à remarquer en étaient celle de ces créatures à se faufiler entre leurs jambes. et à chaque mot qu'il venait à lui prononcer, soupir lâché comme corvée qu'on lui en avait imposée là ! à ne pas être infirmière, Eiri, ni même embauchée pour en garder gamins trop témaires. "— Justement. C'est pour cela que plus vite ce sera réglé, moins je perdrai de temps." quand elle n'en faisait aucune attaque, à n'en sentir là qu'obligations puériles ! à en offrir là simplicités que n'importe qui pourrait venir à comprendre.

de sa voix ,,
à ne jamais :
s'emporter.

alors elle venait à l'étudier, observer tout doucement ses faits et gestes. maître de l'observation ! comme si en permanence, les repos en étaient de mise. car elle les connait, ceux à se faire trop téméraires, lors des nocturnes imprévisibles. à en être ceux à disparaître le plus souvent trop rapidement ! reine à s'en montrer si impassible, figure d'excellence à n'en rater aucun détail ,, de ses regards à s'en faire lames aiguisées. c'est qu'ici, lieu étranger à ne pas l'effrayer, elle en imposerait ses règles sans modération.

dalhia noir
à en rester :
si gracieuse.

d'un sourcil à se lever, sur les remarques : de soins manqués ,, à le voir de loin. quand les regards à se soutenir, rire à s'envoler en face d'elle, elle le regarda presque intriguée de ces folies nouvelles ! quand les mots s'en voulaient vicieusement salaces. sourire léger à s'en tracer sur ses lippes, à n'en être prude d'aucun instant, elle se tint droite et solide ! de ces quelques humours ironiques qu'elle ne viendrait pas à rater. "— S'il faut en arriver jusque là. Même si sans t'attacher je serai persuadée que tu n'arriverais pas un seul instant à me mordre." provocations avouées ! à n'en reculer face à rien : quand la situation en venait déjà à l'épuiser de ces efforts à devoir en être offerts. "— Quitte à t'en montrer aussi courageux, autant être en mesure de réaliser ce que tu insinues là." et peut-être qu'elle en venait finalement à jouer tout doucement de ces significations cachées, à ne pas en craindre les regards que l'on pouvait lui offrir. ô Eiri n'en était pas innocente ! quand les mots s'en glissaient presque avec trop de facilité au bout de ses lèvres carmines. à se lever alors ! pour en approcher tout doucement de quelques pas.
de ces langages :
à en reprendre ,,
le dessus.
"— Ton haut, retire le.", figure à se planter devant la sienne, d'une chaise qu'elle vint alors à tirer pour l'obliger de ses paroles à s'installer, elle laissa ses épaules se détourner tout doucement ! nuque exposée ! à en sortir de son sac affaires de soins ramenées par prévision. "— Et comme tu l'as si bien dit, si tu refuses, je ne te laisserais pas le choix." de ses cotons et désinfectants au bout des doigts, geste de la tête pour en inciter les décisions, elle en saisit son visage du bout des doigts, pour constater les dégâts les plus visibles. "— Car je doute que le plus urgent soit ces quelques égratignures." proximité à ne pas la déranger ,, habitudes conservées de ces métiers à en rendre plus d'un fou ; les touchers s'en voulaient délicats ! à effleurer du bout de ses phalanges les quelques ecchymoses visibles.


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Embrasement de l'air quand la belle ne perd pas face, pas un instant elle tremble quand Taesoo essaie de se montrer moins agressif - car elle aussi, sans doute habituée dans son travail, répond comme une évidence. Oui, elle partira vite si la situation se décoince, et Taesoo sent son corps se décomposer davantage. Bientôt, il se rendra à l'évidence : ça ne sert à rien de lutter avec elle. Jamais. A en vexer le jeune homme qui, au fond, ne comprend plus si elle vient ici par choix, ou si on l'a forcée. Jamais il ne lui demandera : certaines choses sont mieux gardées sous silence. Silence de mort d'ailleurs, lorsque la jeune femme zieute - encore - de haut en bas le garçon mal en point. Il se sait mal en point, mais il ne se savait pas si sensible (( ne lui dites pas )) au regard perçant de la japonaise. Taesoo prend une profonde inspiration comme si cela allait faire passer le temps plus rapidement. Il se pince les lèvres, se racle la gorge. Sa remarque ! Audacieuse, qu'il a laisser couler hors de son esprit, il s'attend à un retour de main bien mérité - mais ce n'est pas le cas. Loin de là.

Le policier manque de s'étouffer avec sa salive en entendant la réponse de Eiri, gardant le visage toujours aussi stoïque. Elle provoque, pour la première fois sans doute, et c'est là que le regard de Taesoo s'illumine l'espace d'un instant. Un quart de second où il sent que la conversation ne tient pas à un fil avant de terminer sur une engueulade - et ça, le coréen ne peut s'empêcher de pouffer un ricanement sobre. Là, le japonais lui semble si facile, qu'il n'hésite pas à répondre avec audace. « Si c'est un défi que tu me lances, n'imagine pas un seul instant que je vais me dérober. » Et Eiri qui renchérit ! Titille l'instinct de témérité chez le brun qui se lève soudainement, prêt à en découdre. « Je devrais te dire la même chose. Reviens dans deux semaines pour vérifier. » Parce qu'il y quelques instants, Taesoo se sentait intimidé, la provocation déclenche en lui une vivacité soudaine dont il se nourrit constamment. Et honnêtement, ça lui fait un bien fou de ressentir quelque chose d'autre que l'anxiété chez lui.

Enfin, cette sensation n'est que de courte durée : que lorsqu'Eiri étire ses lèvres en un rictus - rare ! sans doute le premier auquel il assiste sous la lumière du jour, à lui en faire perdre la notion de réalité. Si bien que ses paroles aussi, semblent hors du temps. « Hein ? » il en perd son japonais, sur le moment. Parce que les mains, le contact soudain de sa peau brûlante contre ses doigts, l'homme sent ses poings se resserrer par réflex - comme une pulsion retenue, comme si cette émotion lui était néfaste qu'il en voudrait la détruire. Retirer son t-shirt, et elle le lui impose, car les blessures sur son visage n'ont pas l'air si graves. Ah, il n'arrive pas à intégrer les mots individuellement - submergé, c'est le terme, par la confusion et (( ne lui dites pas ! )) la panique.

« Je- je... » bégaiement qui le surprend, à s'en perdre entre les langues, le regard fuyant : taesoo humecte ses lèvres avant de redresser la tête pour s'échapper de l'emprise d'Eiri. Non, impossible d'aligner une phrase dans cet état d'esprit, dans cette faiblesse, surplus de sensations tant plaisantes que douloureuses, tout ce qu'il se résout à faire est d'obéir. Loin est partie l'adrénaline du challenge. Mais, attendez ! Attendez qu'il soit rétabli et il aurait tenu tête, hein ! Là c'est parce qu'il est fatigué, donc il veut pas se battre. Hein, Taesoo ? « Nan pas besoin de forcer. » marmonne-t-il finalement.

Alors le policier s'exécute et retire son t-shirt : le tableau est fort beau, il faut l'avouer. Les muscles sont bien tracés, sans être dans l'exagération pure, mais les nombreuses ecchymoses et cicatrices ternissent l'oeuvre d'art. Comme un acte de vandalisme sur un corps innocent (( qui ne l'est pas ! )) n'attendant qu'à être soigné. Taesoo se tient là, proche de Eiri, les iris posés sur le coussin le plus proche, l'on voit nettement la différence de taille entre les deux individus. La tension est palpable, tant la situation est ironique ! Le policier aussi vulnérable qu'un chaton abandonné : à s'en rappeler de cette scène dans la rue. Oh ! Le souvenir qui lui parvient, et pour changer de sujet (( fuir )) il prend à nouveau la parole, allant jusqu'à ravaler sa fierté. « l'autre soir, avec le chat... » ah, les jointures des phalanges blanchissent ! « je n'aurais pas dû te parler ainsi. surtout vu ce que tu fais aujourd'hui. » il doute que ce qui est dit ait beaucoup de sens. Alors il se répète. « Je me demande même pourquoi tu es venue. Enfin, si tu es venue de ton plein gré. Et comment tu savais pour les croquettes. Et si tu souhaites rester. Et... » les syllabes se perdent, mais Taesoo inspire profondément avant de cesser toute tentative de conversation, ne sachant plus à quoi s'attendre désormais.


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et de marbre, à se faire statue immobile : elle n'en lâcherait qu'invectives pour en montrer qu'elle n'en était pas juste une poupée de cire. à vouloir exister autrement, que dans le regard des autres ! de ses mots ô jamais dissimulés car bien trop rares, elle venait à viser toujours trop juste : comme pour en marquer les esprits de quelques comédies ridicules. de remarques à venir l'exaspérer : les hommes en étaient tous les mêmes. de ces pensées obscènes, qu'elle venait à suivre comme pour ne pas perdre de terrain. ça l'épuisait, de devoir riposter à chaque instant !
à vouloir :
fuir ,,
les limbes !
pour des journées plus agréables. d'une présence qu'elle venait à difficilement supporter, sourcil à se hausser comme si l'audace du plus grand ne viendrait jamais à prendre fin, elle roula finalement des yeux ! comme si les confiances s'en faisaient presque désobligeantes. "— Tu es bien trop confiant, pour quelqu'un incapable de se soigner soi-même.", regard lancé : à le dévisager presque agacée !  "— C'est sans doute un défi pour toi, mais j'en constate que pour le moment, tu n'en n'es pas capable." et sans doute jamais : car Eiri savait s'en montrer furtive, pour en défendre celle qu'elle était. médiocre caractère, à se défendre : quand les humours n'en étaient pas réellement appréciés.

d'un sérieux :
qui venait à lui
manquer !

à celui qu'elle observait comme simple gamin impertinent, qui l'obligeait à rentrer dans ce jeu ridicule à ses yeux. de ses doigts à venir le prendre en tenaille : l'obliger à se laisser faire, pour aller plus vite. d'un visage tout doucement effleuré, à en maîtriser chacun de ses gestes pour ne rien laisser au hasard ! c'est qu'elle viendrait en balayer chacune de ses idées, comme pour ne pas le laisser penser : qu'elle s'en ferait plus douce à l'avenir. de paroles qu'il venait à laisser s'échapper, Shigeo ,, à s'en montrer perdu ; et peut-être avait-elle au moins réussi à en imposer limites à celui qui tentait de s'en montrer plus coriace. victoire accordée ,, à en laisser ses commissures tout doucement s'étaler sur son visage quand il en était celui à finalement capituler ,, ô Eiri à s'en faire muse d'une journée !
de ses airs :
à en imposer ,,
obligation.
de la douceur de quelques gestes, à en garder pourtant ces froideurs empiriques : ô carnage au bout des lèvres, à en observer les peintures se dévoiler. galaxies éphémères, à en marquer les peaux blafardes ,, soupir lâché : à se demander ce que les spectacles avaient pu en offrir pour en dessiner contre les épidermes Enfers infernaux. et de son regard, à bien se moquer d'en découvrir formes et muscles devant ses yeux, elle se concentra tout doucement, à en détourner son attention pour en commencer soins presque trop habiles. de doigts à en laisser crèmes et bandages prendre place, à ne jamais en relever les yeux vers celui à en encombrer son audition de quelques paroles, elle s'arrêta pourtant un instant ! à réfléchir : comme si le temps en était bien trop précieux. "— Et ?", qu'elle releva finalement son visage vers lui en plissant légèrement des yeux comme pour le détailler, en attente presque d'une suite à ces histoires avancées !

à ne pas en être :
de ces générosités imaginées !

"— On m'a demandé de passer, car t'avais pas prévenu. Alors je suis de corvée.", honnêtetés fracassantes, à ne pourtant pas s'en montrer désagréable : de son ton toujours trop délicat. "— Pour les croquettes, ce n'est qu'une question d'observation. Tu es toujours couvert de poils de chats, alors j'en ai déduit que..." de celle que l'on ne pensait que comme simple décoration dans ces lieux aux odeurs d'effluves et d'alcools, elle en était pourtant celle à en repérer tous les signes précurseurs : aux réussites déguisées ! à en noter tous les détails, qu'importe leurs utilités. d'iris aiguisés, à en remarquer tout ce que les autres ne voyaient pas. "— Et ne serais-tu pas en train de me demander de rester ?" à en sous entendre là invitation qu'il venait à lui faire, sans pourtant en avoir réelles intentions d'en nouer quoi que ce soit. car elle s'en faisait loin : de ces social que l'on venait à lui attribuer. "— Pour quoi faire ? Si c'est pour te surveiller, j'ai bien d'autres choses à faire de mon côté." qu'elle en appuyait tout doucement sur ses côtés.
à tester :
observer ,,
comprendre.
quand à fuir les conversations, elle en reprenait ces tâches aux airs de bonne samaritaine. "— Ca te fait mal comment si j'appuie là ?" de ses paumes à en effleurer ses flans, à juste vérifier : si elle pouvait réellement en faire quelque chose, de celui qui s'en montrait si grand face à elle. de touchers légers, grâce dans chacun des gestes ,, et peut-être qu'après tout ne s'en ferait-elle pas si fermées aux demandes de celui à s'en faire victime de ses froideurs.

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Très vite, son audace retombe. Coeur sensible, fragilisé par les conflits extérieurs : n'en sait-il plus comment l'ouvrir sans se faire remarquer ! Gamin né avec une cuillère d'argent dans la bouche, il n'a jamais su la fermer. Entre quatre murs aujourd'hui, femme aux allures si élégantes, à s'en demander qui porte la couronne de fer. Taesoo se pince les lèvres, car la reine ordonne, déclare ; juge ! D'une force tranquille qu'il ne peut taire malgré ses soupirs audacieux. Il parle fort, mais agit silencieusement ; sous couverture, l'homme ne sait comment prendre les devants sans éclater. Les pupilles fines des félins, à l'affût, tandis que leur maitre garde la tête haute - hors de l'eau ! Il ricane, par mégarde, pour se défaire du malaise dans sa chair. La brune constate, et il acquiesce. « je me lance des défis, mais si en face il ne se passe rien, je ne m'avance pas non plus. » à ne rien vouloir forcer - seul son miroir est témoin des nombreuses épreuves qu'il s'impose. Loin de s'en faire victime - premier bourreau ! Le policier reste humain, et avant tout conscient de l'environnement. Humour brutal semé au sein de son équipe - qu'il n'a pas vu depuis des mois. Ô les interactions sont bien espacées, la réalité distordue, l'individu tombe dans les méandres de l'isolement.

Et quand la faiblesse s'emballe, à sentir son corps s'écrouler, l'homme bégaie - même sous la curiosité de Eiri qui n'en perd aucune grâce. « ... Et... euh... Bah » les mots trainent des pieds, des syllabes silencieuses dans la gorge nouée et les lippes scellées. Les soins sont conférés d'une douceur que lui-même ne pourrait se prodiguer. Son souffle se coupe. Taesoo, victime de son propre sort. Fort heureusement, c'est la plus âgée qui reprend le cours de ce qui semble être une conversation ! faible, dénouée, et le jeune homme écoute attentivement. « de corvée... » répète-t-il, presque étonné de ce qu'il considère(rait) comme une tâche de sympathie. Non, absolument pas. Alors il grimace, le sourcil arqué. « tu changes pas une couche non plus... » marmonne-t-il dans sa barbe, espérant (( pensée furtive ! )) qu'elle ne l'ait pas entendu. Ainsi en vient-elle à parler des croquettes ! Elle affiche, sans honte, les nombreux résidus de des magnifiques manteaux félins, impossible pour lui de s'en débarrasser définitivement. « j'avoue que j'ai abandonné l'idée de les retirer au bout de la cinquième fois. Ils réapparaissent toujours en surnombre. » Et si cela doit être un sacrifice à faire, alors soit. Que les poils soient vus, plutôt que son badge de policier, lui-même dissimulé sous un tas de livres et documents dans la table de chevet. Accessoirement, une boite de préservatif ! Pour faire fuir les plus curieux. Ouverte ? Bonne question. L'important, c'est de cacher.

Elle s'interroge, Eiri, à se demander pourquoi Taesoo - shigeo - parle si vite, si bien qu'il ne se rend pas compte que la tournure de ses propres mots ! Elle souligne, la reine ! Savoir, comprendre pourquoi il oserait avoir des souhaits - si éphémères soient-ils. Le policier se garde de tout commentaire désobligeant - en position de faiblesse, à la merci de celle qui semble avoir été choisie (( non dévouée )) pour le soigner. « Tu me prends vraiment pour un gosse... » il oserait ricaner, mais seul le rictus étire ses lèvres, jusqu'à trouver du regard ces iris sombres qu'elle arbore avec dédain. « J'ai dit ça comme ça. J'ai cru comprendre que tu aimais les chats, mais que tu ne pouvais pas en avoir chez toi. Comme y'a un couvre-feu, tu peux rester le temps de les nourrir et de les caresser. » Constat ! Derrière lequel il se cache pour ne pas à se justifier, car elle trouve toujours raison dans ses faits et gestes. « Je serai bien resté loin de toi, mais apparemment je peux pas être laissé sans surveillance. » ironie qui le dépasse quand l'homme repense au commentaire de la brune quelques instants plus tôt. En réalité, Taesoo ne pourrait pas se permettre de la laisser zieuter le lieu - l'esprit et le regard trop vifs, elle remarquerait des indices sur sa réelle identité - et lui n'est pas en état de mentir.

« Ah ! » sa main, réflex du métier, agrippe le poignet de la japonaise, bien trop aventureuse - ou curieuse ? sur la douleur du coréen. « Je sais qu'on ne voit pas les couleurs, mais tu as sans doute remarqué que ce n'est pas ma teinte naturelle là. » Aux remarques sur leur monde monochrome - l'on voit que son épiderme varie entre des teintes plus foncées que la normale : ecchymoses qui se veulent persistantes, Taesoo en oublie la notion d'intimité quand sa main eût glissé sur celle de la jeune femme. Le voilà a serrer légèrement les doigts fragiles et délicats de la belle, empêchant tout mouvement brusque de celle-ci - il se protège ! douleur qu'il ne veut plus revivre, l'individu fronce les sourcils. « Regarde. » Lentement, il dirige les doigts de Eiri sur les parties encore trop sensibles pour oser s'en appuyer. « Ici, jusque là, ça fait un mal de chien. Donc si tu veux t'en occuper, pour le coup, tu seras obligée de rester et de m'attacher. » A demi plaisanterie, car il faut souffrir pour aller mieux. L'homme marque une pause lorsqu'il comprend que sa main a sans doute dépassé une limite implicite - comme un braisier soudain, il s'en écarte avant de se racler la gorge. « J'ai mal partout. Je suis pas incapable de me soigner. Disons que si je le fais, je risque d'ouvrir d'autres blessures. » il se redresse doucement, soufflant pour évacuer la sensation désagréable étirant sa peau blessée. « Etonnant, que tu puisses remarquer les poils de chats sur mes habits mais pas l'ampleur de mes blessures. » il se veut presque moqueur - gentil, fier ! d'avoir trouvé, peut-être, un défaut dans cette rose de cristal. Le silence, et l'homme comprend que la reine pourrait lui assener le coup de grâce pour une parole déplacée. Alors Taesoo adoucit ses traits, et sa voix en perd quelques octaves, à s'abaisser au niveau de son visage. « Tout de même, je te remercie d'avoir accepté cette corvée. Et je vais faire au mieux pour revenir bosser. »


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D'audaces à venir en effrayer les karma, enfant à s'en faire de quelques mots jeu malsain : quand peut-être n'en avait-elle pas pensé, que celui qui se trouvait face à elle viendrait à renchérir à chacune de ses paroles. soupirs las, permanence d'un instant qui venait à  la fatiguer comme si chacun de ces sous-entendus n'en étaient que trop ridicules : ô pitoyable disharmonie ! à en créer cacophonie au sein des orées mystérieuses ! de ses sourcils à s'en plisser, comme horreurs prononcées devant elle. "— Et bien comme ça nous sommes deux." à ne rien attendre : de celui à se faire idées bien étranges de celle qui s'en montrait déjà bien trop patiente.
d'un carnage :
à se préparer !
dans l'ombre.
de ses talons à sonner, contre le sol, à s'en montrer bien trop honnête ! comme si chaque mot n'en était que lame à s'enfoncer dans les chairs, ô elle en laissa pourtant doux sourire se tracer sur ses lippes à sa simple remarque ! à l'avoir entendu : celle qui en était Reine des murmures. "— Effectivement. Mais je dois dire que ce n'est pas aussi désagréable que je pensais, cette corvée." comme pour en calmer ses mots trop durs ! à se faufiler comme pour en apaiser tout doucement chaque intention ! quand elle en parcourait tout doucement bleus et ecchymoses avec attention.

d'un regard toujours trop minutieux, à l'écouter se justifier comme si tout en était d'une gravité bien trop sublime : ô elle se moquait bien, finalement, de savoir pourquoi ses vêtements en étaient couverts de traces de petites créatures adorables. "— Il y en a beaucoup, ici, faut dire." de ces chats, à en capturer pratiquement trop facilement les regards de la douce. quand à tenter d'en décrypter les mots du plus jeune, à se faire d'une discrétion qui viendrait à effrayer les plus courageux des lieux, elle releva les yeux vers celui qui s'en faisait enfant d'une soirée ! physique ignoré, de ses doigts à effleurer les peaux comme banalité concrète, elle haussa finalement l'un de ses sourcils, à hocher la tête. "— Parce que tu te comportes comme tel. Comme un enfant. Si tu ne veux pas que je te vois comme tel, prouve moi le contraire." d'une silhouette à se redresser légèrement, comme si les invitations s'en faisaient presque innocentes. "— Je ne rentre jamais chez moi. Alors il n'y aurait aucun intérêt à avoir un animal là bas. Mais soit, le couvre-feu. Tu veux donc que je passe ma nuit à caresser des chats ?" et peut-être n'y voyait-il là que simplicité, à en héberger Satan sous son toit. "— Peut-être que je te laisserai tranquille, si tu te faisais plus sage. Mais j'ai l'impression que tu as une fâcheuse tendance à faire tout ton possible pour faire le contraire."

loin d'une muse :
à en être ,,
désastreuse.

à se faire chemin contre les blessures du temps, tenter d'en comprendre tous les maux d'un corps ! de son poignet saisi à presque la faire tressauter : de ces regains de courages à le prendre. doigts pris au piège, entre quelques phalanges bien plus grandes encore, d'une douceur à en contraster avec les chaos dessinés sur son corps, elle venait à se laisser faire ! pour une fois. à en guetter chaque mouvement, quand guidée à travers les estampes, elle en posa ses onyx là où venaient à tinter les douleurs. "— Je vérifiais juste si c'était cassé. Mais j'ai ma réponse. Alors même si je t'attachais je ne pourrais pas y faire grand chose" murmuré presque comme pour s'en excuser ! de chaleurs à se répandre contre ses fins doigts encore enrobés, elle fixa un instant sa main contre la sienne, presque perturbée : quand les contacts s'en faisaient toujours si rares, sur celle qui en empêchait tout intru de venir l'effleurer. témérité qu'il venait à laisser paraître ! à elle venir constater les minutes à se faire trop longues.
à ne rien dire :
contempler !
les désastres.
quand Shigeo, à en réaliser les gestes ,, à venir en lâcher sa prise, elle s'éloigna tout doucement de ces proximités ! d'un soupir nouveau ! comme si ce dernier venait à toujours tout gâcher de ses remarques qui s'en voulaient pourtant joueuses. "— Sans doute parce que je n'ai jamais dit que j'étais médecin. Des côtes cassées, ça ne se voit pas à l'œil nu, désolée de te décevoir." à presque s'en vexer ! celle qui en était venue juste pour lui. quand elle ne rigolait jamais vraiment : humour presque inexistant ! chez elle, ô déesse des nuits à s'en montrer presque trop sérieuse. à ne jamais dériver ! de ces objectifs toujours tout tracés. à se relever ! venir tendre du bout de ses paumes ses vêtements pour en garder allures toujours parfaites. regard à se détourner loin de lui : à en chercher fuites ! loin de celui qui s'en faisait audaces fulgurantes. "— Hmm. Bouge le moins possible en attendant, parce que je ne vais pas m'amuser à revenir tous les jours." à pourtant revenir le fixer comme s'il en était énergumène bien étrange, elle plissa un instant des yeux ! à la rechercher de vérités, derrière ces quelques manigances. "— Je ne compte pas m'attarder, couvre-feu ou non. A moins que tu ne tiennes réellement à ce que je caresse tes chats." excuse qu'il lui avait inventé ! quand les pas à la guider vers son sac, elle en sortit simple flacon d'anti-douleurs. d'une douceur presque inégalée, à venir lui tendre le simple emballage : présent d'adieux ! à n'en dessiner là que simple gentillesse derrière quelques obligations déjà prononcées. "— Tiens. C'est pour la...douleur."

à se réconcilier :
face aux Empyrées ,,
arrogantes !


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Immobile, le coeur aux allures variantes, Taesoo se laisse soigner comme il sait si bien faire. Il l'aurait fait seul, s'il le pouvait ! Il le promet, il le jure. Mais les côtes brisées sont intransigeantes, même si son caractère ne change pas. Voire ! L'homme s'adoucit au fil des semaines, depuis presque deux mois sans doute. Il ne saurait l'expliquer, peut-être la routine et le rythme de croisière qu'a pris son quotidien, qui sait. Une chose est sûre, Eiri est toujours aussi dure à approcher et encore plus lorsqu'ils sont tous les deux. Pourtant ! Constatation des félins qui, une fois vus et reconnus, finissent par s'approcher lentement des deux êtres humains. L'un sans doute le plus courageux, vient à se frotter contre le tibia de la brune. Le jeune homme quant à lui, hausse un sourcil, comme si une trahison venait d'avoir lieu. « On dirait qu'il t'apprécie. C'est bon signe. » Car la fratrie dirige ces lieux ! Choisit, malgré la présence de leur maitre, si les invités sont autorisés en ces murs. Eiri, aux airs si distants, passe à la perfection aux yeux des chats - si bien que le policier ne peut s'empêcher des les dévisager. Là, en ce moment, elle s'occupe de lui : une corvée qu'elle admet ne pas détester, si rare ! Taesoo, foncièrement étonné ne peut s'empêcher de sourire, car il ressent en lui une sensation de victoire. Victoire, d'en tirer chez la belle un soupçon de positif tandis qu'elle examine les autres blessures. Alors que le policier souhaite faire part de sa joie avec, sans doute, un commentaire amusé. Mais stop ! Car la plus âgée se montre à nouveau sans pitié quand elle affirme que l'homme 'se comporte comme un gosse' - c'est bien la première fois qu'on le compare à cela ! Lui, solitaire et agressif, à en faire trembler les plus fragiles, un gosse ? Devoir se prouver ? « Jusqu'à maintenant j'ai fait qu'exprimer mes émotions, Eiri. » dit-il d'un ton assuré, insistant sur les dernières syllabes - rappel ! cherchant du regard la japonaise, l'on voit encore sur son minois un sourire malgré la comparaison. « C'est vrai que ça doit te paraitre bizarre. Je t'apprendrai, t'inquiète. » ajoute-t-il, dégainant une énième tentative de blague. Il sait que ça ne fonctionne pas, mais ça le fait rire (( pour une fois )).

L'invitation est osée, et la belle affirme de jamais rentrer chez elle. Est-ce possible ? « Tu dors au bar ? Eh beh, ça doit pas être très amusant tous les jours. » l'homme imagine le lieu en question, servant de logement. Sans animaux, sans coin personnel, proche de tous ces clients pouvant apporter leur saleté toutes les nuits. Alors oui, rester ici et caresser les chats est une meilleure option. « Les chats sont calmes, et ils demandent toujours des caresses. Puis c'est pas moi qu'ils réveilleront cette nuit, pour une fois. » Les cernes, uniques preuves des méfaits, creusent le visage du coréen. Le regard dans le vide, il songe à sa dernière nuit passée sans embuche : lointaine, distante, trouble ! Il en rêve, de tranquillité. Sans doute serait-il bien plus sage, comme le souligne la jeune femme. « Je peux jouer au gentil garçon. En soi, quand je suis seul chez moi, je reste avec les bêtes et j'écoute de la musique. Mais j'aime bien les défis, ça me stimule. A bon escient, bien sûr. » le coeur battant à la chamade ! adrénaline comme drogue, aujourd'hui s'est-il calmé depuis quelques années. Les jours de jeunesse, une furie ! Fougue de cette période, qu'il en façonnait sa réputation de 'gros dur' au coeur tendre. Un vrai cliché. « Il parait que je suis ingérable quand je suis fatigué et blessé. Enfin, plus que maintenant. » le sourire étire son visage - il faut le dire - angélique, comme un fait indéniable. Ni fierté, ni honte, simplement une remarque qui l'amuse, le regard brillant.

La douleur revenue, la mâchoire crispée, Eiri perd le peu d'amusement que l'homme semblait avoir discerné. Certes, certaines blessures sont invisibles à l'oeil nu : sans parler des blessures mentales ! invisibles, même refoulées pour des décennies. Et sur ce sujet, Taesoo ne sait que détourner le regard. Lui-même a ses problèmes et parvient à peine à les gérer ! Puis, face au stoïcisme de la plus âgée, il soupçonne que ses blessures doivent être enfouies si profondément ! qu'il serait impossible de les faire remonter sans y perdre des plumes. Le silence s'installe, car le policier ne veut rien ajouter. Les blessures sont pansées, la douleur s'atténue petit à petit - ou bien est-ce le fait d'avoir été chouchouté (( c'est le mot )) après des nuits de souffrance. Sans grande attention, l'homme observe la japonaise se lever, lui donner un conseil, et il écoute d'une oreille. Ce qui l'interpelle, cependant, c'est qu'elle refuse de rester une minute de plus ici. Et elle émet l'hypothèse, l'excuse ! Des chats, avant finalement de lui tendre la boite de médicament. Toute cette scène, sous le regard ébahi du coréen. Un clignement d'yeux plus tard, sa langue se délie avec aisance. Soudainement, sous le coup de la panique, d'une perte ! compagnie qu'il, au bout du compte, apprécie : les doigts enveloppés dans un des nombreux bandages, les phalanges s'enroulent à nouveau autour du frêle poignet de la douce. « Reste. » déclare-t-il, supplie-t-il inconsciemment. « ... Sinon les chats me feront une scène cette nuit. Et par conséquent, moins d'heures de sommeil, moins d'énergie pour se soigner, et tu devras revenir plus souvent. » les mots s'enchainent, se débattant de la gêne qu'il s'impose. « Le chat noir de l'autre fois, il te reconnaitra. Il dort dans ma chambre pour l'instant. » Instant de flottement lorsque, violemment, la douleur dans les côtes lui rappelle son état. Un grognement vocal lui fait regretter la situation, le coréen s'écroule dans le fauteuil sur lequel il était installé. L'un des nombreux félin vient se lover contre lui, apportant sans doute un semblant de réconfort. Ou demander de la nourriture. Les deux, sans doute. Taesoo se pince les lèvres et soupire doucement. « Je te force pas évidemment. Et puis si t'as pas confiance... » le rictus réapparait, car le sujet revient sur la table. « ... Tu peux toujours m'attacher dehors. Mais fais attention à ce que les chats ne sortent pas. Pour les rattraper, c'est très long. » petit souvenir d'une vieille anecdote ! avant de clore les paupières désormais lourdes. Le policier ne peut plus se défendre à présent.


Minamoto Eiri
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statue de marbre à en épouser les Styx ,, orner les tréfonds des Enfers : pour ne jamais en être plus observée. et on lui en avait volé toutes ses tendresses ! à avoir été élevée comme si le monde entier voulait lui en voler son âme : de sourires, qu'on lui avait pris ! il n'en restait que quelques rémanences de douceurs, à se camoufler sous ses sévérités inflexibles. quand ici, l'on venait à ne lui en offrir aucun de ces regards menaçants : à en sentir pelage se coller à ses jambes. iris presque surpris, à en observer le félin tracer son chemin contre sa peau, elle releva finalement le regard vers celui qui devait en comprendre bien mieux ce petit manège ! "— Il me connait à peine. Les chats sont vraiment étranges." à n'avoir rien fait ! pour en être appréciée. et peut-être en seraient-ils ses premiers amis, quand les doigts s'en feraient moins occupés. air un peu perdu, à finalement se reconcentrer sur ces soins qu'elle avait dû prodiguer, elle s'en faisait d'une honnêteté glaciale : à ne pourtant pas en empêcher d'en adoucir quelques unes de ses paroles.

à finir :
par y voir ,,
un peu de Soleil.

quand celui qui s'en montrait puéril à ses yeux venait à recommencer ses arrogances légères. de courages presque inatteignables, à ne parvenir qu'à en décrocher les étoiles mortes, Eiri ,, elle venait à presque se froisser ! à chaque fois qu'il venait à lui en reprocher maux et interdits. "—Sans façon.", qu'elle plissa des yeux, à y voir là encore, critique presque évidente. c'est que le visage s'en faisait si frigide ! à n'en être que trop sincère : quand les sourires s'en faisaient rares. beauté fragile, à n'en être là que fragment de celle qu'elle avait enterré il y a si longtemps. "— Fais attention, je vais finir par mal prendre chacune de tes invectives." et ce n'en était point une menace : à en tenter un peu d'humour ! quand elle en était en réalité incapable.

regard à finalement se baisser, à devoir en paraître pour encore plus étrange qu'elle ne l'était : ô les astres ne s'alignaient jamais pour l'accompagner jusqu'à son domicile. "— Ce n'est pas ça. Je dors chez moi mais...Je n'y reste jamais très longtemps. Ce n'est qu'un dortoir." à avoir besoin de rectifier ! les pensées de celui qui semblait s'en faire films lointains. "— Qui te dit qu'ils me réveilleront ? Ils ont l'air assez sages.", elle qui voulait se persuader : que personne n'en perturberait ces sommeils trop légers. à ne pas savoir, finalement, ce que les nuits en réserveraient à celle qui s'en faisait docilité d'une seule nocturne. "— Ce rôle ne te va pas très bien, contente toi de te tenir sage le temps que je suis là." car elle n'en supporterait pas, celui qui viendrait à s'agiter en permanence de ses mots à ne jamais s'arrêter.
à veiller :
pourtant !
sur lui.
comme si les blessures venaient à inquiéter, à ne rien dire, ne rien laisser paraître, en sembler si ennuyeuse : à voir pourtant tout ce que lui ne remarquait pas. de ces médicaments offerts, de ces invitations qu'elle venait à remettre à question ! plus rien ne tournait réellement correctement, dans sa tête, à se demander, ce qui la retenait réellement ici. l'ennui, sans doute : dans ces tours de cristal, qui venaient à la rendre folle. quand toucher à en effleurer à nouveau son poignet, prunelles à se plisser tout doucement sans réellement en comprendre chaque geste qu'il venait à lui offrir : ô personne ne venait à la toucher ! de ces douceurs presque indescriptibles. à ne pas comprendre, ne pas vouloir comprendre ,, quand elle n'en connaissait que les violences des gestes et des doigts contre les épidermes. et Shigeo, peut-être venait-il à la supplier : ô bien au delà de ces excuses si ridicules qu'en étaient les quelques animaux. "— ...C'est d'accord. Mais juste pour évier que j'aie à revenir." à cligner des yeux !

à se souvenir :
de ces soirées chaotiques.

"— Je vois...", et c'est qu'elle n'oserait pas s'infiltrer plus loin dans ces appartements ! quand la vision qui lui faisait face en faisait presque pitié à celle qui en était normalement insensible. "— Tu...n'auras qu'à me le montrer...tout à l'heure..." quand de douleurs à le prendre, à en observer la scène sans ne rien pouvoir réellement faire, elle laissa de nouveau ses talons claquer contre le sol pour s'en diriger vers la cuisine, fouiller un peu partout pour en trouver simple verre et le remplir d'eau : comme pour le forcer, à en prendre quelques anti-douleurs. "— Tu n'arrives même pas à tenir debout, alors t'attacher ? Ca ne servirait à rien." et à finalement en ôter ses chaussures ! ranger ses affaires dans un coi, elle le fixa un instant, presque perplexe, quand de ses doigts, à en effleurer les épaules du plus grand pour l'empêcher de s'endormir, elle en fit simple geste de la tête. "— Va te coucher. Je prends le canapé. La chaise, c'est pas très confortable pour tes blessures, alors ne t'installe pas." et peut-être que la soirée s'en ferait longue, ici. "— Et non, je ne te porterai pas. Alors ne reste pas planté là." et d'une douceur presque trop délicate, à en effleurer du bout de ses phalanges le front de celui planté devant ses yeux, elle l'observa un instant. "— Et prend ces médicaments, au lieu de parler de tes chats. Surtout si tu veux que je reste ici."

à dégager
quelques mèches :
de son front.

pour faire semblant d'en prendre sa température. et à en retirer finalement ses doigts, à finir par s'éloigner et en nettoyer son propre verre utilisé juste avant, elle en lâcha ses cheveux pour se mettre plus à l'aise : car quitte à séjourner ici, de quelques heures toujours trop courtes, peut-être arriverait-elle à en détendre ces épaules toujours trop sur leurs gardes. à le regarder de loin, comme pour guetter à ce qu'il en suive ses dires : elle s'en montrerait autoritaire ! comme seule discipline, à régner dans ces lieux.



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la remarque de la belle l'encourage à sortir ses anecdotes sur ces chats, il n'en manque jamais une. « ils n'ont pas besoin de discuter pour approcher, c'est leur spécialité. » taesoo se pince les lèvres, avouant à demi mots sa relation avec les félins. chacun d'eux s'est approché de lui. un par un, ils se sont montrés au pas de sa porte. taesoo, âme désolée que personne n'oserait approcher. nul besoin de paroles pour que ces félins se sentent chez eux - et s'empressent ! d'en faire leur propriété. l'ardeur se tait une seconde quand la dame se tient soudainement sur sa défensive, car le coréen n'a pas sa langue dans sa poche ! à son insu, parfois, si bien que qu'il détourne le regard par gêne et se racle la gorge. « oui bon... » c'est tout ce qu'il trouve à dire au lieu d'une excuse, mais c'est déjà beaucoup de sa part ! les efforts doivent venir des deux côtés, visiblement.

Elle considère le bar comme un dortoir, qu'elle dit, et taesoo ne peut s'empêcher de pencher la tête. « un dortoir ? ce bar ? j'ai vu plus formel comme... logis. mais si ça te permet d'avoir un toit, je vais pas en rajouter. » et heureusement, pour qui se prend-t-il ? il n'a pas son mot à dire, surtout quand la japonaise se doute d'être embêtée par les chats. c'est vrai, peut-être que ces matous n'embêtent que celui qui leur sert de distributeur à croquettes. et peut-être d'autres détails. « m'oui... ça m'étonnerait qu'ils fassent du favoritisme... à voir qui leur donne le plus de croquettes. » et lorsque que le commentaire sur la personnalité du plus jeune fait surface, le concerné se contente simplement de lever la tête comme un homme à qui on aurait donné un ordre, l'armée ! souvenir enfoui d'un entrainement long et intensif, taesoo secoue la tête pour retrouver les pieds sur terre. « très bien je resterai comme je suis. mais faudra pas se plaindre. »

et quand elle accepte, eiri, le regard s'illumine ; instant fugace d'un espoir perdu. le policier n'affiche qu'un léger rictus, prêt à préparer le lieu. ses mains claquent entre elles soudainement comme un signe de départ imminent pour aller récuperer la boule de poils sombre. « dès qu'il sera réveillé, tu le sauras. à son âge, les croquettes importent plus que sa survie. » il évoque le souvenir, les griffes acérées accrochées à son pantalon désormais troué. la véhémence ! avec laquelle ce chaton miaulait, grimpait et mangeait le contenu de sa gamelle. « je te laisserai le nourrir, mes pantalons sont tous troués à l'heure qu'il est. » l'homme croise les bras, dépité, avant de soupirer. Eiri se moque presque, quand lui veut se montrer plus fort qu'il ne l'est actuellement. certes, il serait impossible pour lui de se défendre avec force - ou peut-être juste de quoi désarmer la jeune femme en face de lui. elle lui tend la boite avec ses conseils (( ou obligations )) et taesoo hoche légèrement la tête. « je vais aller pioncer un coup oui, si les chats t'emmerdent, viens me voir, je les garderai avec moi dans la chambre. » le clin d'oeil quand le brun se relève, avant qu'il disparaisse dans ladite pièce. en vérité, même si le sommeil le gagne, une seule envie chatouille son esprit : que eiri vienne le voir, le réveiller, et que son visage traverse ses rêves.

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et de ces orées merveilleuses, elle viendrait à marcher au bord des précipices ! à se balancer, sur la pointe de ses pieds : comme pour en éviter d'en montrer faiblesses qu'elle même ne connaissait pas réellement. "— C'est vrai..." à lui en concéder là : que les félins en étaient bien plus impressionnants que ce qu'elle avait pu penser auparavant ! à lui ressembler légèrement, finalement, d'affections toujours refoulées sans ne jamais en montrer besoin particulier de quelconques attentions. car seule : elle venait toujours à se débrouiller ! à finir par se perdre dans ses froideurs, quand le monde n'en serait que spectateur de ces catastrophes qui venaient à imploser dans ses mémoires.

et alors :
nébuleuse ,,
sans éclat !

contre-sens à fleurir au creux de ses tympans, à la faire tout doucement cligner des yeux, elle secoua légèrement la tête, à en balayer l'air de ses doigts. "— Non, non, pas le bar. Chez moi. Mon appart' c'est le dortoir, pas l'inverse. Je ne dors pas au bar, je ne suis pas aussi désespérée que cela. Même si t'as l'air de penser que je suis du genre à dormir là bas ?" qu'elle pourrait en murmurer ô combien il en était idiot ! à ne pas en comprendre ses mots : sans ne pourtant rien susurrer. car qu'importe ! ce qui la concernait n'en était pas réellement très important, ici. et pourtant, ça l'amusait ! d'en avoir un aperçu de ce à quoi elle pouvait bien ressembler, à travers son regard. sourire délicat à finir par tout doucement se détendre sans doute dans ces lieux presque inconnus à n'en captiver aucunement les regards. mais ici, sans doute que la réalité venait à frapper ! à en être toujours moins vide, que les murs dans lesquels elle venait à cohabiter avec ses propres fantômes.

"— Si ce n'est qu'une question de croquettes, ce n'est sans doute pas moi, alors. Tu as l'air plus apte à les nourrir." à ne rien s'attendre ! quand pour elle les animaux n'en semblaient que captifs auprès des humains. et d'un naturel qu'elle viendrait à lui recommander ,, à se moquer des artifices ! elle se moquait de comment il pouvait en réalité agir : quand elle en avait sans doute vu pire que lui ! de ces personnes un peu étranges à celles plus dangereuses encore. de songes ! à se faire si ridicules, quand peut-être ici y trouvait-elle certain confort dans ces chaleurs réinventées. tête à se hocher, à bien se moquer de devoir s'occuper de ces boules de poils presque trop innocentes, sans doute était-ce un mal pour un bien ! finalement. à en obliger du plus grand repos et sommeil : pour en réparer les méfaits qu'il avait provoqué.
quand elle en serait :
simple intrue ,,
ici.
"— N'y compte pas. Je ne rentrerai pas dans cette pièce. Alors va dormir, je surveille les chats." d'un clin d'œil ignoré : à en rester trop sage, sans doute. "— Mais si ça dure plus que prévu, je te préviens j'attendrai pas que tu te réveilles." comme pour l'embêter ! à pourtant ne pas vouloir rester ici à ne rien faire : quand elle n'en était pas là pour en surveiller celui déjà adulte. à le laisser filer loin de son regard, à soupirer ! pour s'installer tout doucement sur le canapé, elle en laissa sans doute la patience venir s'étreindre d'elle. à observer les lieux, se recroqueviller presque trop défensive de ses jambes contre sa poitrine : ô petite créature qu'elle en était sans doute devenue ! à monter la garde sur les lieux, quand tout s'en ferait sans doute trop long : à ne pas oser se promener dans les lieux, se contenter des pièces déjà visitées, pour laisser l'accoudoir en accueillir sa figure presque toujours trop calme. sommeil léger à immortaliser les attentes ,, comme pour en attendre ! que le monde vienne à se réveiller à son tour.


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