Et la folie vous ronge, à ne faire de vous que les pantins de cette chose qui met votre tête à l’envers.
Perfidie qui en corrompt votre esprit, à tourmenter votre âme pour de petits rien, à les imaginer être de grands tout.

Soirée qui s’en était faite trop longue. A s’en être encore intoxiquée des vapeurs trop souvent crachées à son visage par des immondes qui s’en pensaient tout-puissants. A en jouer de ses sourires et de ses attentions pour des ingrats qui n’en voyaient en elle que jolie poupée pour les servir et les choyer.

Et quand la nuit se termine, Hari en retrouve sa liberté, à péniblement offrir un hochement de tête à Eiri pour mieux la quitter, la porte qu’elle prend sans un regard derrière elle, sylphide qui en laisse cette existence maudite aux portes de cet enfer si enjôleur, à ne jamais vouloir emporter avec elle les souvenirs de ce monde effroyable. Mais c’est au coin de la rue qu’elle en aperçoit le sujet de toutes ses convoitises. Sombre personnage qui en franchit le seuil du Red Instinct, pour en passer de longues minutes à échanger avec Eiri, sous les prunelles curieuses de l’effrontée qui les observe tout en restant cachée.

Et dès que son âme sœur prend congé, elle en rentre de nouveau à l’intérieur, tornade qui souhaite en emporter celle qui fait des affaires douteuses avec l’homme de tous les dangers. Incompréhension dans le regard quand elle en pose ses iris incandescents sur le papillon nocturne qui jamais ne s’éteint. ”Putain Eiri, tu fous quoi avec Jian au juste ?” A s’en faire immense comme pour marquer un territoire qui n’est pourtant pas le sien.  

et dans les tréfonds, se cachent toujours les pires ignominies. à absorber les joies, venir les faire éclater ! simples décorations, à orner les visages dans le temps ; beauté fragile, à divaguer de temps en temps. quand dans le noir des lieux, carmins à couler à flots : elle se fissurait petit à petit, celle qui en influait les lieux de sa présence. d'une soirée presque trop irréelle ,, Hari à en lancer dernier regard, pour s'évanouir dans les nuits, et l'envelopper de solitude.
à bercer les lieux ,,
de lumières :
tamisées.
horreurs à bénir les peaux, d'odeurs et parfums à irriter ; c'est qu'ici tout n'en était que peines permanentes ! quand les présences s'en faisaient toujours nocives, de cauchemars à habiter les murs. enseigne à se fermer, visite inattendue de celui qui en attendait toujours, de discrétions à naître quand les étoiles en étaient seules complices : il n'y avait qu'à fermer les yeux, pour s'imaginer s'échapper des prisons écarlates. rapidité des rencontres, à en sembler anodines ! quand s'en cachait pourtant dans chacun de leurs échanges chaos permanents ((Jian.))

de mains à toujours en effleurer les contours des lieux, Eros en avait dédié les seules passions pour les lieux regroupant les Enfers. perfide vision : tempête à débarquer ! et la voix qui avait disparue en était revenue poursuivre ses rêves désillusoires ! d'un regard à venir la fixer, verre essuyé qu'elle contempla pour l'en remplir de cruor aux goûts d'hydromel, elle le glissa vers la jeune femme : car les soirées s'en feraient longues. — Tu nous espionnes maintenant ? d'un dos à se retourner vers elle, car de secrets, Hari n'en connaissait aucune mélodie. main à tapoter le comptoir comme pour lui dire de s'installer ,, lieu trop connu ! ô pourtant dénigré par tant d'iris inconnus, elle en chérissait chacun de ses secrets ! celle aux allures renfermées. — Jian n'a pas le droit d'avoir des connaissances ? d'un faible sourire presque ironique ! quand les rencontres secrètes n'en étaient que synonymes de malheurs.
à baigner
les paumes :
dans le sang.
— Mais ne t'en fais pas. Nous ne faisons que discuter, rien de plus. de toutes les peines du monde ! à délivrer sentences et châtiments ! car à chaque regard croisé, chaque mot échangé : les noms s'en délivraient pour venir en voler quelques âmes ici et là. et Eiri, de secrets bien trop grands pour être gardé, elle n'en dissimulait que les actes perfides, ici ,, quand bien nombreux étaient ceux à en savoir pour qui elle travaillait.

et Hari ,,
elle murmurerait, à tes oreilles :
ô tous les vices collés contre ses lèvres.

Les frustrations qui nous rongent, quand les esprits s’en font perfides. Idées noires à en intoxiquer l’âme et à en corrompre la conscience, sinistres desseins à s’en frayer un chemin dans nos pensées les plus sombres. A en éveiller les envies de meurtre pour des jalousies, quand les possessivités en explosent le palpitant. Et on tente d’en mesurer nos mots quand nos têtes en sont déjà toutes résolues à ne vouloir que la mort de ceux dont la présence est tel un poison à en menacer notre euphorie.

Et au ciel, les anges s’en mènent guerres autour de celui déchu, quand les convoitises en altèrent l’esprit de Hari. Archange de toutes les colères à en penser sa croisade bien fondée quand pourtant elle n’en est que campagne fallacieuse, ses terribles jalousies pour la guider dans ses batailles à mener.

Les mots de Eiri qui en sonnent comme mélodies dissonantes à ses oreilles, à n’y voir que moqueries et arrogance, esprit trop tourmenté pour y voir sereinement les plates vérités du séraphin. La mâchoire qui se serre lorsque Hari s’en retient d’exploser, point de non-retour déjà atteint dans sa conscience dérangée, quand à pourtant en vivre une vie faite de nuances de gris, elle n’en voit les choses qu’en noir et blanc.

Sourcils à se froncer sous la colère, regard à déjà en analyser la pièce pour y trouver un avantage au cas où la situation viendrait à virer au cauchemar. A se savoir trop faible pour affronter Eiri. ”Qu’est-ce que tu peux bien avoir d’intéressant à lui raconter, toi ?” Les mots qui sortent comme autant de lances à vouloir enfoncer dans celle qui lui fait face. Les lèvres qui tremblent à presque en vouloir empêcher cette phrase de sortir, mais les avertissements s’en doivent de se faire entendre, alors le ton se fait implacable quand les iris en sont noirs de résolution. ”Jian est à moi. Je rigole pas, Eiri.” A en cracher ses menaces comme on brandit une arme, quand Jian n’en est pourtant à personne. Mais elle en arracherait à mains nues les ailes de tous les anges qui oseraient en douter.  

Phtonos avait sonné ! de ces jalousies à aveugler : réalité déformée, et tout en semblait se fracasser à chaque regard. d'éclairs à se répandre, de disgrâces, elle venait à en être maudite par les paroles ! car Hari en semblait être démon à venir en lancer blasphèmes contre elle : sans en savoir qu'elle en était bien pire encore, Eiri.  ténèbres à l'avoir dévorée, les passions n'en avaient jamais été ,, ô combien pouvait le penser nymphe aux allures destructrices. guerre inutile, où les sens n'en étaient que délaissés !
à en faire sourire :
de ces
cacophonies.
Jian, et savais-tu ? que l'on venait se disputer à ton sujet ? ironie ! quand Eiri n'y voyait que là que disharmonie ridicule. d'une bataille où seule la douce venait à prendre parti : elle s'en fichait bien ! de ces accusations presque trop risibles. car les yeux en étaient aveugles, ô combien même les pigments en délivraient les regards par de quelconques gris. subterfuges à ne pas vouloir en voir les réalités, quand elle s'en était histoires inventées de toutes pièces !

Hari :
ouvre les yeux.

obstinées, enfant à vouloir avoir le dernier mot ,, c'en était là caractère de feu qui en engendrerait cataclysmes indécents. — Oserais-tu dire que je suis ennuyeuse ?, et de paroles à se jouer d'elle, comme si la situation n'en était pas suffisamment indélicates ; ô elle savait parfaitement ce qu'elle faisait ! celle à la voix posée : à contraster, de cette petite figure à imploser. avertissements, menaces ! à la faire tourner le regard, presque amusée. car dans les iris viennent à scintiller les méfaits du temps : et Eiri, elle ne venait jamais à se battre, pour de simples attaques. — Tes menaces ne te seront pas utiles, contre moi, Hari. Jian n'est pas mon genre. à s'approcher, délicate allure à lui faire face comme si son intérêt en était finalement attrapé.

— Pourquoi ne demanderais-tu pas à Jian toi-même, si tu ne me crois pas ?, inexpressive, à jouer la funambuliste, elle se détourna de la plus jeune, pour s'asseoir sur l'un de ces fauteuils écarlates. quand les mots en étaient toujours posés, si calmes ! d'un ton à ne pas la prendre de haut pour ces esclandres enfantines. silence léger, à réfléchir un instant ,, et peut-être que Hari : pourrait venir à savoir, que les mains en étaient déjà empoisonnées. — Que sais-tu réellement de lui ? regard pointé sur sa fine silhouette, à en laisser sous-entendre lourds secrets bien cachés ! et Hari, elle voulait pouvoir lui faire confiance ,, ne serait-ce qu'un instant : à la jauger, la dévisager, de ses airs chaotiques. car peut-être en serait-elle digne d'en écouter récits et supplications.
sans en hurler :
ses sortilèges ,,
miséreux.