Désastre sanglant,
monde à devenir ruines pour en arracher la paix

Lueur solaire à en éblouir la rétine, le corps abattu gisant au milieu des débris. “Merde.” Peinant à se relever, ses bras s’en font tremblants à en ébranler tout son être. Il peste avant de retrouver un certain équilibre. Désir de vengeance immuable, à en avoir baissé sa garde prétentieusement, pensant que rien ne pourrait jamais l’atteindre.  

Mais de ce fléau qui portait mon nom,
j’en empoisonnerai moi-même ces terres avant qu’elles ne m’atteignent

A refuser d’en lâcher son dernier souffle par suite d’un attentat causé par un de ces maudits à la volonté bien trop grande de vivre, il s’élance de plus belle à sa recherche sans perdre le moindre temps. Sang qui s’en laisse cracher d’entre ses lèvres, sa silhouette en arpente de nouveau les rues rapidement, laissant derrière lui les désolations de leur affrontement.  

Cours. Cours aussi vite que tu le peux,
personne n’échappe à mon joug

De ce bitume qu’il arpente sans cesse lors de ces crépuscules funestes, à en connaître le moindre des passages qui l’ont foulé, il en retrouve vite sa proie. Souverain de ces rues, les pénombres en deviennent ses yeux. Il pouvait bien fuir aussi loin qu’il le peut, quand de ses destinations en deviendront impasses à se muer en tombeaux.  

Rage de l’âme,  
les frénésies en créent incendies sous les carnages de la vengeance  

Pas qui l’emmènent jusqu’à ces portes familières. Mais de sa carcasse qu’il peine à avancer, son entrée n’en est discrète. Et les iris des clients viennent le percer de leurs interrogations qui frappent leur conscience. Quant à lui, à en ignorer vivement ces autres, il en cherche du regard elle. Contours élégants dessinés de ses courbes, à la reconnaître immédiatement. Distance qui se tait, les deux corps se trouvant dans une certaine proximité. “Did you see him ?” Murmure au creux de l’oreille.  

Et tu en connaîtras mon chaos,
celui qui en apportera l’harmonie à ce monde
 

fureur, à sonner : las de ces glas au dessus de leurs têtes, à se faire apogées des Enfers qui avaient naquis entre les murs rougeâtres. mirages aux creux des regards : piètre plaisanterie ! quand les sourires de celles se faisant bijoux en étaient faux, quand elle, Eiri, en était le plus gros mensonge des lieux. et qui pourrait savoir ? qu'elle en était damnée à se passer pour Reine. Perséphone, à n'être que maîtresse des lieux par procuration. car Hadès en avait délaissé ses côtés depuis bien trop longtemps.
talent
à dissimuler :
les comédies.
de talons à éclater les carrelages, c'en était les charmes d'une figure que l'on venait voir. vitrine vendeuse, de ces corps toujours bien habillés, de ces mèches toujours trop longues, à animer les frêles épaules de celle à se jouer poupée d'une nuit, c'en était théâtre entier qui venait à prendre vie ! de ces mots faux, de ces regards à se faire langoureux ((juste)) pour vendre liqueurs à flots.

et elle se noyait ,,
dans les hydromels :
à déborder.

quand violence d'une entrée, à faire sursauter les clients alentours : il y avait cette figure abîmée et inconnue ! à prendre vie au milieu des lieux sacrés. regard aiguisé, Eiri, à se dresser comme barrière contre le monde, elle s'approcha de ses grâces ! pour aveugler les états ô calamiteux. à beaucoup trop attirer l'attention, ici. alors d'une main délicate, à venir en guider client trop brusque, elle en piégea les présences dans l'une de ces salles arrières : celles secrètes ! gardées pour en offrir délices interdits. à se faire hôtesse d'un soir ,, pour celui bien trop étrange à son goût.

corps à s'exfiltrer, à venir en saisir bouteille comme offrande, elle en aperçu sans grand mal : celui à se faire presque trop infernal. toujours trop grand, mais jamais réellement abîmé. les sourcils à se froncer presque tout doucement, quand proximité à se faire ,, elle en ferait ce qu'elle savait faire de mieux, Eiri. jouer, de ces airs presque espiègles. quand de ces visions d'horreur, à en laisser les yeux se balader sur lui, elle s'en faisait serment d'en réprimander les audaces. ô Jian ,, à en faire sa propre sentence ! car malgré tout ,, elle s'en était fait là habitude de le croiser comme compagnie nocturne. “In the back room. But...let me go first, stay behind.”
mots murmurés,
à sourire :
comme nymphe !
de sa figure à se retourner, venir faire valser les courbes entre les lieux, elle tourna tout doucement la tête vers celui presque méconnaissable, avant d'en soupirer discrètement. “We should have a talk, after that. Understood ?” décision imposée ! d'iris à flancher sous les
carmins éparpillés. rouge : à en sembler bien trop grisâtre. d'un caractère effleuré, elle en ouvrit la porte presque trop agacée, quand à en poser la bouteille au devant de son invité surprise, elle se décala finalement de la porte pour en laisser le plus grand attraper sa proie ! clac. doigts à en tourner les serrures : intimités fébriles, aux limbes déjà proclamées.

et ici ce n'en serait
que tombeau disgracieux !

quand derrière elle :
faucheuse
à tout calciner.

 

Dis-moi,
pourquoi ce monde est-il si difficile ?
Pourquoi la vie est-elle si cruelle ?

A n’en connaître que disgrâce pour s’en offrir paradis discutable. Et il y a cette détresse qui demeure jusqu’à nous en ronger les entrailles. Rêve à ne devenir que cauchemars. Euphorie à ne devenir que supplice. La haine et ses ravages à s’imposer pour n’en laisser de nous qu’êtres condamnés à jamais.

Ne pleure pas,
jamais,
demain sera un jour meilleur.

Poupée à s’en froisser de le croiser dans un tel état. Les échanges nocturnes paisibles à se faire souvenirs, quand elle en voit à présent ce véritable visage. Epiderme marqué de son propre carmin, le temps n’est pas à s’en rendre éblouissant. Et sous les menaces de réprimandes, il ne se contente que d’en rouler ses orbes, avant qu’un léger sourire s’en dessine sur ses lèvres pour n’en exposer qu’indifférence.  

Whatever.

A suivre la silhouette délicate dans ces pénombres. Démon à se tapire, à n’attendre que d’être lâché pour en répandre son chaos. Patience à s’en rendre difficile, mais qui sera récompensée. Et la pièce à en divulguer monstre au regard qu’il déteste tant, en deviendra son palais des horreurs.  

Mais pour t’offrir merveilles que tu mérites tant,
il faut que je me tue un peu plus.

Serrures à condamner le misérable. Dès le bruit entendu, le sicaire en sort son arme pour la pointer sur ce dernier. “This, it’s for the thing you did earlier.” Balle à venir parfaitement en percer la jambe de l’individu. Insultes qui fusent, les gémissements se font bruyants. “There is nowhere you can go now.” Corps à se rapprocher du blessé pour l’attraper d’une poigne brusque afin de le rassoir. “Do you have something to stop the bleeding ? I would hate to lose him, at least not too soon.” A venir en croiser le regard de la nymphe des lieux. Ironie aberrante quand il en est celui qui en a abattu sa fureur.  

Et je t’en fais la promesse.
 

et les anges pleurent, de leurs blancheurs à se tâcher de carmins indélébiles ! goutte après goutte, à s'infiltrer dans les sillons d'une peau si livide, ô l'enfant des cieux n'en n'était que déchéance complète : aux cheveux de satins, nuit entre les mèches, froideur livide sous les doigts aux douceurs inestimables.

poupée ,,
désarticulée !

à vouloir
tout contrôler.

quand corps sous ses yeux à se faire heurter par le temps ,, calomnie sublime qu'elle aimerait lui adresser : et c'est que les blessures ne venaient pas à lui seoir ! regard à vaciller comme colères à son égard, quand tout n'en étaient qu'artifices ,, pour celle à ne pas savoir s'exprimer. car les carnages n'en avaient pas été programmés, car les effluves colorées venaient à se fondre trop parfaitement, ici.

à guider
les présences
fièrement !

à en glisser quelques mots, c'en était les doigts qui en étaient venus offrir là inconnus presque trop aisément. vie condamnée, à n'en avoir été que fugace passage, ici. d'âme emprisonnée, à venir tenter de s'échapper dans les chaos complets, ô les visions n'en effraieraient que les plus innocents ! balle à partir : à la faire froncer des sourcils comme si les lieux en étaient plus important.  “Let me do it.”  et sous les demandes, à venir en sortir d'un tiroir simple serviette en tissus, elle s'approcha finalement pour venir en aide à la faucheuse immortelle. mains à s'affairer contre les jambes percée : sang à se déverser ,, à couler sur les cuirs pour en recolorer les lieux. “I swear if the leather is soiled...” garrot à prendre vie autour de celui trop bruyant pour ses oreilles, à se redresser alors de sa délicate figure, elle laissa ses doigts s'écarter !

jeu malsain :
à s'illustrer.

“And what did that poor thing has done exactly ?” qu'elle posa ses mains sur les épaules de la créature piégée, pour la maintenir au fond du siège. charmes à apaiser les esprits tourmentés ! pour mieux les maltraiter de ses calmes habituels. “You sure are making lots of problems today, you two. So it might be better for you to end things faster than you would actually like...” et même si les murs en étaient silencieux ! qu'importe si les nuits s'en faisaient bénies pour en cacher chacun de leurs méfaits. “Even though this place is all yours for tonight.” invitation contradictoire : violences à faire carnages. à tenir presque délicatement les proies ,, aide somptueuse où les amertumes ne s'en faisaient que virtuosités éphémères, elle en faisait là offrande ! à ce dieu en colère : triomphe à résonner ! entre les entrailles du monde.

et ce soir :
tout en était
permis !

Hymne au chaos,
à chantonner les discordes de notre cœur.

Poésie sublimée de ce désastre, à muer cataclysme en consolation. On agonise de ces chagrins infinis, mais on survit de ces euphories funestes. Muses traquées à devenir plus belles encore sous ces carnages glaçants. Et les lyres en cantonnent leur requiem aux allures salvatrices. Chaque dernier souffle à devenir grand final de cette harmonie fatale.  

Mélodies à se prolonger,
le tocsin sonne face aux massacres contés.

Croisades à se faire toujours plus violentes, quand de sa patience inexistante, ils en commencent à se jouer de lui. Et leurs cors en claironnent, quand ils pensent en avoir échappé à la faucheuse. Audace évidente quand il en a appris à devenir l’ombre de ses proies imprudentes.  

Harmonies en cacophonies,
vos sanglots en deviennent mélopées insignifiantes.

Rictus à en crisper ses traits intimidants à l’écoute de la nymphe et ses soupirs pour un quelconque mobilier. “You shouldn’t worry about some kind of leather, when this mad motherf*cker just exploded a building on me... it could have been you.” D’airs arrogants, à venir en croiser les bras face à la belle. “What i meant, is that this place could have been destroyed at this hour because this nasty piece of sh*t doesn’t care at all, and just wants to save his useless ass no matter what.” Qu’il claque sa langue, à tenter d’en garder son calme quand il ne désire qu’en semer destruction. “So think about your leather later, but thanks i guess.” Main mutilée à en abattre ses envies de cruautés pour en offrir affections dissimulées sur l’épaule de la princesse des lieux.

A devenir souveraine et souverain qui en apportent malheur et désespoir.

“So, we can start ? As you said, let’s try to end things fast and properly, but i hope you have more than one towel.” Rire à en briser le tableau qui en est presque trop tragique. Les hystéries d’aujourd’hui en apporteront les bonheurs de demain.

Et les orchestres bienheureux pourront alors en offrir leurs symphonies radieuses.
 

puit sans fond, où même les lumières ne parvenaient plus à en atteindre les eaux noiraudes. cris à ne plus être poussés : personne ne viendrait lui en tendre les doigts. car à se noyer ,, immergée dans les chaos, aucune lumière ne pourrait en effleurer à nouveau les peaux. Soleil à l'avoir renié, Lune a l'avoir épousée : pour mieux disparaître, dans le dos de ceux à manipuler les vies. ficelles à s'agiter ici et là, simple écran où ils pouvaient en afficher tout ce qu'ils désiraient : et qu'en était-il d'eux ?

à ne pas être réellement
différents.

quand dans les silences, il n'y en avait que supplications à en prier pour les repentances. Eiri ,, à se tenir au milieu des tranchées, comme pour en résoudre tout ce qu'elle pouvait. toujours dans l'ombre ! mais envoyée au milieu des explosions, comme simple chair à canon. à n'avoir rien à perdre, après tout ! sauf peut-être leurs compagnies qu'elle venait à apprécier.
prénoms ,,
à se compter :
sur une main.
quand les voix s'en faisaient colères ! peu habituée, à en entendre l'aigle en étirer ses longues ailes devant elle, elle laissa un fin rire nerveux s'envoler. ô détresse splendide ,, aux allures de reine déchue. regard perplexe ,, sous les affections démontrées : à ne pas savoir comment réagir ! “But it's not. So tone it down if you don't want me to finish what you've began without waiting for you.” froideur à frapper ,, agacée : de ces remontrances presque puériles. elle n'en était pas du genre à en baisser la tête face aux arrogances d'une personne. à s'inquiéter en silence, quand tout en était toujours trop inutile.

silences ,,
qu'elle viendrait :
laisser frapper.

à ne plus rien dire, politique cruelle où les mots n'en étaient que trop inutiles. irritée, énervée, muse à s'en faire presque vexée ! quand les cuirs n'en étaient que prétextes pour en dissimuler chaque anxiété naissante. "But thanks for the explanations." lancé au travers des pièces, de ses mots trop secs sans aucune mélodie. "Glad to see you're okay enough to be so noisy, at least." qu'elle murmura loin de tout ! critique déguisée, comme si le monde pouvait bien s'écrouler ! quand elle n'en comprenait aucun de ces gestes aux intentions bienfaisantes ,, à savoir encore moins les exprimer.

chaos sublimés ;
façonnés de leurs doigts.

qu'elle vient à soigner temporairement, regard à ne plus se poser sur celui qui en prétendait à la couronne des chimères : folie à régner ! dans ces royaumes qu'ils s'étaient tous deux forgés. loin des regards, loin du monde, juste eux et le diable. "Do whatever you want." personne ne regarde, sauf moi. de ses mèches à voltiger autour de ses épaules, à venir en tourner le dos aux scènes pour sortir un instant de la pièce et revenir aussitôt : nappe agrippée au bout des doigts ,, tissus à s'entasser au bout des divans comme pour en montrer là toutes les preuves du monde.

car malgré tout :
elle resterait avec lui !
pour en clore ,,
leur requiem.