enfant merveille : à flotter, là où personne ne pouvait réellement vivre ,, par procuration ! comme s'il n'était pas réellement lui, en réalité. aimé pour ce qu'il était ((pour ce qu'il pouvait apporter)) à devoir être parfait ! figure à en avoir les doigts flagellés quand ratés s'en alignaient sur les feuilles. il devait être beau ,, se tenir droit ,, faire briller les regards ,, tout comme les statuts d'une famille à ne jamais devoir être enviée : car cela les rapprocherait des humains. alors il faisait effort pour en polir les figures, ne jamais rien avoir de blafards contre les peaux. et dans les lieux, tout était labyrinthe à ne pas être apprécié. il en aurait aimé que tout soit différent, que les familles en soient plus aimantes : quand lui-même en était déjà mort de l'intérieur.
à jouer aux démons :
détruire ,,
sans en chérir.
petit génie, à devoir toujours montrer plus que son simple minois, on se servait de lui pour en redorer les blason, quand soirées mondaines s'en tenaient dans les manoirs, quand les rires n'en apparaissaient pas réellement. il y avait pourtant petite fleur, à venir protéger comme détester ! haïr comme admirer de loin : celle qui avait réussi à en développer passions aux contraire de tout l'univers dans lequel ils avaient été élevés.
si petite :
si Reine !
dans les chaos.

et il voudrait s'effacer ,,
au lieu :
de briller.

ー私は誰かな。

知らん。

芸術家だよ。

coeur vide, à ne battre pour aucune figure ,, il était presque insensible, Renij. d'un prénom aux sonorités d'amour : quand lui ne savait en offrir. à pourtant être sensible ! faire attention aux moindres gestes qui l'entouraient, à essayer de tout décoder. c'est qu'il en était grand manipulateur des mots, sentiments à se fabriquer comme factices quand il savaient en délier les cœurs, venir faire plonger les autres : pour mieux les briser. car il ne faisait que jouer ! tourner comme l'une de ces valses sans fin, sans recueil, où les lippes reliées ne venaient qu'en sceller malédiction ! c'est que de chaque fleur qu'il croisait, il venait en arracher les pétales : pour leur en montrer que la vie n'était pas aussi belle que prévue.

de ces contes de fée :
où tout était
n'importe quoi.

éphéméride ! à scintiller comme petit astre. les solstices se passaient, tout comme les passions. quand de cibles à se faire il les torturait pour en tirer le meilleur : à vouloir briller toujours plus comme pour en marquer les esprits. et peut-être finiraient-on par l'oublier. car il n'était rien, en réalité. simple arrogance à se faire permanente, à se faire audacieuse : masque posé sur le visage ,, persona sublimée ! quand dans l'ombre : il en était si seul à crever de mascarades.

bougent les corps, contre les parquets. barres à se faire seules amies, ici. de ces pointes aux pas chassés, de ses balayages aux arabesques les plus singulières. vie à prendre dans chaque mouvement, émotions à suivre contre les sonorités des pianos. et Renji : il en était amoureux depuis tout petit ! contre les avais des parents, aux regards toujours trop sévères. à ne jamais rien demander que de pouvoir en faire ce pour quoi il respirait : à aimer les arts ,, à vouloir en devenir œuvre lui-même.
à briller :
sur le devant ,,
des scènes.
quand les portés en étaient toujours spectaculaires ! quand d'une grâce infinie il en charmait les regards les plus strictes. au fond, tout battait, tout résonnait, dans les cages emprisonnant les cœurs. à s'entraîner sur les rebords des toits en cachettes, dans les jardins, contre les pavés, à devoir danser comme il était nécessaire de respirer. c'est que son oxygène à lui s'en trouvait dans ces pas millimétrés aux talents perpétuels ! car sur scène : il n'avait pas à se soucier, du monde qui venait le regarder pour s'en trouver sublime.
comme statue,
à s'effriter :
peu à peu !

j ournées aux emplois du temps si acharnés ,, heures à en être millimétrées comme si les pauses n'en étaient pas permises : il y avait les arts à l'animer ,, le droit à le tuer. à pourtant en aimer les logiques ! quand il pouvait se faire grand de savoir. à suivre les requêtes de papa ,, qui en tenait cabinet bien trop prestigieux pour que son fils n'en soit pas héritier. alors il apprenait, les lois, les articles : à sauver et détruire des vies. il apprenait ! à ne plus rien voir sans logique, à regarder tout ce qui l'entourait à travers des mots et des règles. monde sans âme, sans couleur, qui même lui pouvant les voir n'en était qu'imperfections.

car il saignait : au fond.

à vouloir fuir les réalités ,, quand les journées se faisaient rudes, quand les résultats n'étaient pas acquis. à se recroqueviller dans les danses et ballets, à vibrer jusqu'à s'en épuiser : d'un corps si souvent à ses limites. il aimerait être différent, ne pas être né !  quand tout semblait faire si mal ,, à trouver les luxures plus réjouissantes, les douleurs encore plus belles quand il en s'agissait de ces valses chronométrées ! à presque vouloir faner, au milieu des projecteurs, et loin de tous les règlements du monde.

corps à errer dans les villas, sous les alcools à venir enivrer les têtes. Renji restait humble ! petit astre à se vouloir toujours si fier, toujours si arrogant ((meilleur que les autres.)) alors il ne buvait que très peu, à garder le dos toujours droit, la tête toujours si haute.

brille brille, petit astre.
à en perdre un jour ses éclats !

à devenir inconnu, quand les pavillons ne voudraient plus de lui pour en abîmer ses chaussons de danse. de ces miroirs, qui viendraient lui en dire : qu'il n'était plus le plus beau de ce pays. alors de ses doigts hasardeux à réarranger ses mèches d'ébène, à venir effleurer les peaux nues sous les reflets comme si les peintures venaient à se perdre contre ses pâleurs. mais ô jamais les couronnes n'en glisseraient de ces têtes qui venaient à abuser des amours : à abuser des corps ! comme on abusait de lui.

vices d'un jour, quand Renji n'était que pantin désarticulé. beauté si fragile que le monde voulait s'accaparer, que les doigts d'un seul avaient réussi à briser. et ce n'était pas lui, qui s'était accaparé de ses maux ! à être devenu celui que personne ne pouvait toucher. ((inatteignable)) mais l'ange en avait accaparé les regards de bien trop nombreux ! quand les persévérances se faisaient sentir, dans les salles où les corps venaient à apparaître presque trop magnifiques. certains avaient péri, à le regarder ,, d'autres avaient voulu se l'accaparer, sous les constellations qu'il dessinait de ses jambes. d'amour sacrés ,, de romances obscènes : il y avait eu les baisers si faux jusqu'à ce que les obsessions ne viennent en brûler les dos du bout de ses cigarettes. figure d'un homme aux mains se voulant violentes ,, quand d'une nuit sans fin il y avait eu les marques contre les omoplates à s'encrer dans les peaux. lui qui avait voulu devenir étoiles de ses ironies : en avaient constellations creusées dans l'épiderme.
comme souvenirs :
qu'il n'était ,,
que marionnette.
et c'est lui, qu'on avait détruit d'une nuit quand son jeu s'en était retourné contre lui. d'un probe qu'il avait voulu séduire sans envie d'y voir les couleurs ; à y trouver là démons qu'il ne voulait pas déterrer. de ces fétichismes ,, transformés en calomnie : à vouloir le soumettre, le faire s'écrouler, à chaque regard offert. alors les pleurs en avaient été trop silencieux, à avoir claqué la porte quand les luxures n'en étaient plus joyeuses. qu'importe ,, le cœur n'en aimait jamais ses proies : à juste en avoir perdu derrière lui ses ailes, en échange d'un parfum de nicotine qu'il haïssait tant.

à s'être réfugié !
dans les bras : des muses.

Terpsichore ,,
l'avait accueilli.

enfant bafoué ,, à s'acharner toujours plus sur un corps qu'il en venait à détester : car trop imparfait. maman lui avait répété, qu'il fallait être beau pour plaire ,, papa lui avait invoqué, d'avoir un corps parfait pour nuire. à pourtant le bafouer de couleurs, le faire se décorer de quelques coups ,, quand les yeux imparfaits en nuisaient à l'héritage. il n'était que carcasse où les passions se reflétaient, d'orteils maltraités par les heures passées à danser, de ces chevilles où les poids légers en avaient trop imposé leurs duretés. peau détruite par les bâtons de nicotines, par les poings d'un père calomnieux, par les passions à le tuer petit à petit.
quitte à se ruiner :
toujours plus.

air à infliger terreur dans ceux à l'idolâtrer, à fuir les affections quand il en était si hautain de ses réflexions si directes ! enfer qu'il venait à faire vivre aux autres comme procuration si insensible ,, il y avait les poisons à sortir d'entre les lippes ,, à se délivrer en permanence ! de ces élégances si infatigables. manières et politesses, derrière les proses de Satan ; à le faire être détesté comme admiré ! on le poursuivait, pour ses talents, à être intouchable : de ses figures angéliques.
on voulait de lui :
ce qu'il ne pouvait
offrir !
alors de ces horreurs, il y en avait là tout un univers si parfait ,, si unique ,, qu'il avait forgé comme reflet de lui-même. monstre articulé, aux bras venant dessiner fleurs dans les airs, aux sauts venant se faire miraculés ! quand dans les têtes s'en cachaient là ordre et honnêtetés les plus infâmes : justesse des mots à toujours faire si mal, à toujours venir s'emplir de ce qu'il pensait sans réellement ne faire attention aux sentiments des autres. il savait pourtant s'abstenir, lui, de ses politesses parfois si fausses ((comme lui.)) petit joyaux ,, aux absinthes comme parfums !
à enivrer :
et faire couler ,,
tous ceux qui s'approchaient.

et si l'on venait à dire que tout un monde pouvait se découvrir juste en regardant dans les prunelles de celui qui nous faisait face ? que découvririez vous ? d'une personne qui se cache derrière un masque, d'une autre qui pleure dans le noir à l'abris des regards ,, pour en cacher ses peines. miracles et lignes d'une histoire et de non dits, qui venaient se glisser dans chacune des lueurs que les iris pouvaient refléter.

貴方は誰。

ˏ⋆ ·˚ˎ * d'un corps qu'il déteste, il ne se découvre que rarement devant les autres ,, à en camoufler son dos ,, quand il aime s'habiller toujours de manière soignée et délicate. ˏ⋆ ·˚ˎ * il accorde beaucoup d'attention aux petits gestes et aux petites attentions, et note particulièrement le comportement de ceux qui l'entourent. ˏ⋆ ·˚ˎ * il aime énormément les labradorites, et leur façon de s'iriser quand on les bouge. il possède une bague qu'il ne retire jamais et quelques piercings à ses oreilles qu'il orne souvent de ces pierres. ˏ⋆ ·˚ˎ * aimant beaucoup aller au théâtre seul, ainsi que voir des ballets et opéras, il est en réalité très fleur bleue, quand on vient à le découvrir un peu plus que ce qu'il ne souhaite montrer, et pleur assez facilement quand quelque chose l'émeut. ou l'agace. ˏ⋆ ·˚ˎ * ses fréquentations ne sont pas toutes très recommandables, entre les gamins de riches de familles similaires à la sienne, et ceux qu'il s'est forgé quand il allait au plus mal. ˏ⋆ ·˚ˎ * il n'a jamais rencontré de second Probe, et ne cherche pas à le trouver, secrètement effrayer de savoir ce que cela pourrait révéler, et le fait qu'il ne souhaite absolument pas s'attacher aux autres.